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Lorsque nous arrivons chez Éric, Marie-Claude se rend directement dans la salle de bains, pour se laver, n’ayant pas l’intention de déranger mon mari, qui doit travailler. Pendant ce temps, Éric prépare une petite collation, en entendant que Thibo vienne les chercher.
Marie-Claude rejoint Éric sur la terrasse ensoleillée, nue, elle s’allonge sur un des transats. Éric picore dans le plat qu’il a préparé, fait de crudités (radis, bâtonnets de carotte et de courgette, boule de melon, tomates cerises…) et de charcuterie (saucisson, salami, jambon cru, andouille…). Et ils boivent un bon verre de jus de fruit. Marie-Claude regarde Éric se restaurer, lui sourit et s’endort, exténuée par cette matinée, la nuit trop courte et la folle soirée précédente.
Éric reçoit un appel de Thibo. Il lui dit qu’il a déposé un paquet dans son garage pendant qu’ils étaient à la pharmacie, il s’agit de la tenue que doit mettre Marie-Claude pour venir visiter la clinique. Il ajoute qu’il est pris par le temps et qu’il les retrouvera directement à la maison de retraite, dans son bureau, l’accueil sera au courant de leur visite.
Éric regarde l’heure et estimant qu’ils ont encore le temps, il laisse Marie-Claude dormir au soleil. Elle est belle, même radieuse, totalement nue, les cuisses ouvertes.
IL la laisse dormir et va dans le garage chercher le colis qu’a laissé le toubib. En ouvrant celui-ci, il découvre une tenue d’infirmière composée d’une blouse blanche avec le logo de la clinique, des bas blancs, un porte-jarretelles, un string ficelle blanc et des petites chaussures blanches.
Marie-Claude sent les mains de Éric caresser tendrement son visage. Elle ouvre les yeux et souris.
Marie-Claude : « Bonjour Monsieur Éric ! Oh ! Cette petite sieste réparatrice m’a fait un bien énorme. J’avoue que j’en avais vraiment besoin. Thibo vient nous chercher à quelle heure? ».
Éric: « Changement de programme, ce n’est pas lui qui vient, nous le retrouverons dans son bureau de la clinique, mais il a déposé un colis pour toi dans le garage. Tiens regarde! »
Marie-Claude fait l’inventaire de ce qu’il y a dans le paquet, et dis :
Marie-Claude: « Je suppose que je dois mettre cela pour me rendre à la clinique, mais il a oublié de mettre un soutien-gorge ».
Éric: « Tu supposes bien, sauf pour le soutif. Thibo sachant que tu viens à la clinique pour montrer tes gros pis, il a sûrement jugé inutile que tu en mettes un ».
Marie-Claude : « Ah ! Heu !… D’accord Monsieur Éric, très bien . Vous avez certainement raison, mais qu’allons nous faire exactement à la maison de retraite ? »
Éric: « Dans un premier temps, on va voir combien Thibo a de patient. Il en faudrait au moins 5, un par jour, du lundi au vendredi, le samedi tu as le patron du sex-shop, et le dimanche l’épicier pour te vider les mamelles. Et nous allons aussi discuter des conditions financières de chaque tétée , vont-ils simplement te téter ou en profiter pour te doigter et peut-être que tu devras finir par les soulager en les branlant ou en le suçant. Chaque prestation à un prix et pour une pute comme toi , non professionnelle, elles seront très chères surtout que tes consommateurs sont très riches».
Cela fait tout drôle à Marie-Claude qu’Éric parle en ces termes, prestations pour une pute, elle en a les larmes aux yeux, mais cela l’excite en même temps, et elle sent ses tétons érigés et son sexe devenir tout humide.
Éric: « Et pour finir, je suppose que Thibo va te présenter à chaque client éventuel, pour qu’ils te voient, mais surtout tes grosses mamelles, et savoir si tu peux être une bonne laitière ».
Marie-Claude : « Ah! Euh !… D’accord Monsieur Éric, vous avez raison. Et pour le tire-lait on le prend ? Peut-être que Thibo me fera une démonstration d’utilisation à la clinique, et en plus ça devrait stimuler la lactation comme l’a dit la préparatrice de la pharmacie ».
Éric : « Prends-le si tu veux, mais logiquement tu ne vas pas en avoir besoin, on va à la clinique pour que ces messieurs voient tes mamelles, les soupèsent et constatent que tu peux être une bonne nourrice de vieux pervers ».
Marie-Claude : « Ah euh ! D’accord Monsieur Éric, très bien. Bon ! Je vais dans la salle de bains me rafraîchir, me maquiller et me parfumer. Il faut que je séduise mes éventuels clients ».
Et elle gagne la salle de bains. Lorsqu’elle revient, toute pimpante et nue, elle s’habille et s’approche de Éric, l’embrasse et elle commence à enfiler les bas et le porte-jarretelles, le string puis la blouse et les chaussures qui vont avec. Puis, elle regarde Éric et lui demande :
« Monsieur Éric vous ne trouvez pas que la blouse est un peu trop courte, on peut voir le haut de mes bas et le porte-jarretelles. Et regardez, mes seins sont très à l’étroit dans cette tenue ».
Éric: « “Non pas du tout, et descend un peu le zip de la fermeture, il te faut un décolleté plongeant lorsque tu te présentes, libère tes seins, que je puisse te caresser pendant le trajet ».
Marie-Claude: « euh !… Tout de suite Monsieur Éric, j’aime ça, quand vous caressez mes gros nichons ».
Éric « Moi aussi j’aime tes grosses mamelles de vache laitière ».
Elle libère ses seins de la blouse et il dit :
« Tu es parfaite pour faire le trajet en voiture, je vais pouvoir te caresser les seins et des passants vont j’espère pouvoir les mater, avant d’arriver à la clinique ».
Voyant ses tétons durcir, il lui dit :
Éric: « Regarde comme cela t’excite d’être à moitié à poil, sachant qu’on peut te voir ».
Marie-Claude : « Oh ! Monsieur Éric, vous êtes un gros cochon. Merci Monsieur Éric, pour tout ce que vous me faites connaître, je vous aime ».
Éric lui rend son baiser et passe ses bras autour de ton cou et fixe autour de celui-ci le collier en cuir noir de soumise offert par le propriétaire du sex-shop, auquel il a ajouté une plaque en argent ou est inscrit : Je m’appelle Marie-Claude et je suis une salope soumise.
Marie-Claude va pour se diriger vers le garage, et là, Éric lui dit, qu’il a garé sa voiture devant la maison. Alors Marie-Claude lui dit :
« Mais enfin Monsieur Éric… Euh !…. Mais les voisins vont me voir seins nus, si j’y vais comme cela ».
Éric: « Ils ne seront peut-être pas dehors, et si des voisins te voient, tu les salues naturellement comme si tu étais habillée. Il faut vraiment que tu assumes ton nouveau statut de salope ».
Marie-Claude confiante sort de chez Éric en direction de sa voiture, et alors qu’elle contourne celle-ci, elle voit de l’autre côté de la route, sur le trottoir son voisin, dont la maison se trouve juste en face de la sienne, une baguette de pain à la main. Lorsqu’il la voit, il stoppe sa marche et la salue, Elle lui dit « bonjour » en lui faisant un petit signe de la main en continuant de se diriger vers la portière passager. Son voisin est toujours arrêté à la mater. Elle entend alors sa femme lui demander ce qu’il regarde et lui de répondre : « une apparition », et se dépêcher de rentrer chez lui.
Quand je retrouve Marie-Claude dans la voiture, elle est en train de te caresser les seins et de rouler entre ses doigts, son téton dressé.
Éric: « Qu’est ce qui t’excite comme ça, salope!? »
Marie-Claude : « heu. !.. C’est mon voisin, monsieur Ledit, il m’a vu, et il est resté comme médusé jusqu’à ce que sa femme l’appelle ».
Éric: « Et comment tu as réagi ? »
Marie-Claude: « J’ai fait comme vous me l’aviez ordonné, je l’ai salué et je lui ai même fait un petit signe de la main ».
Éric fait démarrer la voiture et lui ordonne de malaxer ses seins et d’étirer ses tétons fortement pendant le trajet, afin que ceux-ci soient bien durs, lorsqu’ils arriveront à la clinique. Le trajet ne dure qu’une petite demi-heure et se passe sans encombre, trop peu de monde dans les rues.
Ils arrivent à la clinique et Éric gare la voiture sur le parking visiteurs, puis il descend de la voiture pour venir ouvrir la portière à Marie-Claude et la faire sortir.
Éric : « Tu as vu comment tu es fagoté, le bas de ta blouse remonté sur tes cuisses et le haut totalement ouvert. Heureusement que je suis là pour m’occuper de toi, sinon on pourrait te prendre pour une traînée ».
Éric remet le bas de sa blouse correctement, c’est-à-dire cachant à peine son cul et remonte le zip jusqu’au milieu de ses seins, afin de bien comprimer ceux-ci, mais laisser apparaître un splendide sillon mammaire et deviner ses tétons durcis.
À l’accueil, la femme qui les reçoit, leur indique où se trouve le bureau de Thibo, tout en louchant sur le décolleté de Marie-Claude. Ils empruntent un couloir, qui les mène au bureau du toubib. Éric frappe à la porte. Puis ils entrent et après les amabilités d’usages, entre amis, Thibo complimente Marie-Claude.
Thibo lui dit qu’elle est très belle, parfaitement bien maquillée et coiffée, qu’il aime son décolleté laissant voir son sillon mammaire généreux et ses tétons durcis pointés sous sa blouse blanche. Elle est heureuse des compliments que lui adresse leur ami. Puis Thibo change de sujet.
Thibo : « Avant de rendre visite aux potentiels clients de Marie-Claude, il serait bien que nous nous mettions d’accord, sur les tarifs qu’elle doit demander aux vieux pervers richissimes ».
Éric : « Oui tu as raison, il faut un tarif pour chaque prestation ».
Marie-Claude : « heu !… Excusez-moi, mais de quelles prestations parlez-vous, je viens juste pour leur donner la tétée ? »
Éric: « Qu’est-ce que tu peux être naïve, ma pauvre chérie. Si, ils aiment le lait maternel, ils voudront aussi y prendre plaisir ».
Marie-Claude : « Je pensais que de me téter leur suffirait ».
Thibo : « Non, pendant la tétée par exemple, tu devras les branler, et si cela ne suffit pas à les faire jouir, tu devras peut-être les sucer, voir te faire doigter la chatte ou l’anus, ou leur lécher les couilles ou leur mettre un doigt dans le cul ou même le lécher et tout cela à un prix, et c’est de cela que nous devons parler ».
Éric : « Pendant que nous discutons de tout cela, tu peux t’asseoir sur le canapé, et te caresser.
Marie-Claude est humiliée de me faire traiter de naïve et d’être mise de côté pour la discussion alors qu’elle est tout de même la première concernée. Elle va s’asseoir sur le canapé, écarte ses cuisses et commence à se caresser.
Thibo : « Oh ! Tu sais Marie-Claude que c’est la première fois que je te vois avec une culotte. Tu sais que cela te va bien…. Tu devrais en mettre plus souvent, même si ce n’est que pour quelques minutes à chaque fois».
Éric: « Bon ! Tu t’occuperas de la petite culotte de Marie-Claude, plus tard, et parlons tarif. Que penses-tu de 100 euros pour la téter des nichons, avec branlette. Si elle doit les sucer cela leur coûtera 50 euros de plus, si elle se fait doigter ou lécher, c’est aussi 50 de mieux. 50 encore pour leur lécher les couilles ou leur mettre un doigt dans le fion et 100 pour leur lécher le cul.
Thibo: « Je vois que tu as réfléchi et penser à tout. 50 pour chaque prestation supplémentaire c’est bien et 100 pour leur mettre la langue dans le cul, c’est correct d’autant plus qu’à cet âge, ils ne sont pas toujours très propres. Mais pourquoi faire gratuite, la branlette pendant la tétée ? »
Éric: « C’est commercial ça, tu vois ! Ils seront très excités, mais n’auront probablement pas déchargé, aussi il leur faudra un autre service pour cela ».
Thibo: « Oui, d’autant plus qu’à leur âge, il doit leur falloir du temps pour lâcher la purée! »
Marie-Claude est abasourdie quand elle entend qu’elle devra peut-être, non seulement les sucer et se faire caresser, mais également s’occuper de leur anus, et elle dit :
Marie-Claude: « Mais enfin Monsieur Éric, je ne veux pas leur mettre un doigt dans l’anus ou leur lécher le cul ! »
Éric : « Parce que tu crois que tu as le choix, tu es bien une salope et une pute ? »
Marie-Claude : « … Oui… Mais… »
Éric : « Et tu crois qu’une putain a le choix, une putain fait ce qu’on lui demande et ce pour quoi on la paie, et s’il y met le prix pour que tu t’occupes de leur fion, tu t’occuperas de leur fion. Tu as bien compris ? »
Marie-Claude : « Oui… Monsieur Éric »
Marie-Claude est anéantie, jamais Éric ne lui avait parlé aussi durement, et des larmes coulent sur ses joues.
Éric la voyant pleurer, vient m’asseoir près de Marie-Claude et la prend dans ses bras, je lui dis :
Éric :« Allons, calme-toi, tu vas détruire ton maquillage, toi qui étais si belle ce matin, et puis tu verras que comme tout ce que je t’ai fait découvrir depuis huit jours, tu y prendras du plaisir, car je sais ce qui est bon pour ma petite chienne. »
Marie-Claude : « Vous croyez ? »
Marie-Claude réconfortée par les paroles de Éric, elle sèche ses larmes, lui sourit et l’embrasse, car comme toujours, Éric doit avoir raison.
Thibo : « Bon ! On peut reprendre notre discussion, pour l’instant j’ai cinq patients potentiels qui sont susceptibles d’être intéressé, si cela leur convient, j’en programmerai un chaque matin vers 10 heures. Il faudra que Marie-Claude soit scrupuleusement à l’heure, et elle devra avancer sa prise de sperme avec les jeunes voisins du lotissement. »
Éric : « Elle sera à l’heure, c’est moi qui la conduirais ici tous les matins ».
Thibo : « Parfait ! Et si nous allions voir le premier client de Marie-Claude. Il se prénomme Gustave, il a 77 ans, c’est un ancien dirigeant d’entreprise et donc très autoritaire, mais plutôt pas trop mal conservé et surtout célibataire et très riche, comme tous ceux que j’ai choisis. Cela évite des questions de la famille sur ce genre de frais paramédicaux. On y va? »
Ils se lèvent et suivent Thibo dans le couloir et empruntent l’ascenseur, de nouveau un couloir et enfin Thibo frappe à la porte d’une chambre et entre. Éric et Marie-Claude le suivent :
Thibo : « Bonjour Gustave ! Comment ça va ce matin ? Je vous présente un confrère Monsieur Éric et son infirmière Marie-Claude.»
Gustave : « Bonjour messieurs dame, ça va bien merci ! »
Tout en répondant, le vieux ne quitte pas Marie-Claude des yeux. Ils louchent sur ses jambes et son décolleté.
Thibo enchaîne : « Il y a une quinzaine de jours, vous m’avez dit que vous souhaitiez téter une femme ? »
Gustave : « Bien sûr que je m’en souviens, j’ai toujours cette idée-là en tête. Mais pourquoi cette question ? »
Thibo : « Parce que j’ai la personne, qui vous convient pour cela. Marie-Claude, ici présente, est prête à vous donner le sein une fois par semaine, est-ce que cela vous convient ? »
Gustave : « Pour sûr que cela me convient, mais je suppose qu’elle ne fait pas ça gratuitement la petiote. Combien elle veut, et est ce qu’elle va me sucer aussi? »
Éric : Je prends alors la parole et explique au vieux, qu’il lui en coûtera 100 euros et que Marie-Claude le branlera pendant la tétée, mais que s’il souhaite un autre service, ce sera 50 ou 100 euros de plus par commande supplémentaire ».
Gustave : « Parfait et je peux voir le matériel ? »
Comprenant ce que souhaite Gustave en parlant de matériel, Éric se tourne vers Marie-Claude, toujours près de lui, les bras dans le dos pour bien faire ressortir sa poitrine et dit :
« Allez Marie-Claude ! Montre ta laiterie à Monsieur Gustave ».
Marie-Claude humiliée, mais très excitée, car elle apprécie de plus en plus d’être avilie et affichée comme un animal de foire, ouvre sa blouse entièrement et la retire pour la poser sur le dossier d’une chaise, se retrouvant en string, bas et porte-jarretelles devant les 3 hommes. Elle voit le vieux Gustave, ouvrir de grands yeux et il demande en s’approchant d’elle.
Gustave : « Je peux toucher la camelote? »
Sans attendre une réponse, il pose ses mains sur la poitrine de Marie-Claude, il la caresse, la soupèse, la comprime puis saisit ses tétons qu’il roule entre ses doigts et les étire.
Gustave : « hum !… Elle a de beaux nichons, ferme et doux et ses tétons sont bien durs ? Mais ses mamelles ne semblent pas très pleines, mais je suis OK, j’achète la tétée pour 100 euros, mais combien cela va me coûter si je veux qu’elle me suce, s’occupe de les couilles et de mon cul.
Thibo : « Elle aura les mamelles bien pleines, la semaine prochaine et cela vous coûtera 50 euros pour vous sucer, 50 de plus pour vous lécher les couilles et les mettre dans sa bouche et 100 de mieux pour vous lécher le cul »
Gustave : « euh !… 300 euros pour tout cela pendant une heure… C’est OK, mais je ne veux pas que la demoiselle refuse quoi que ce soit… »
Éric : « Elle ne refusera rien, et vous pourrez même lui bouffer la chatte et le cul, et ça, c’est cadeau de la maison, mais interdiction de la pénétrer, ni de la doigter. Vous donnerez l’argent chaque vendredi au docteur Thibo, et Marie-Claude viendra le lundi matin à 10 heures ».
Thibo qui a pris note de l’accord, dit à Monsieur Gustave qu’il établira le contrat, scellant l’accord entre lui et Marie-Claude, et qu’il devra le signer en déposant le premier versement, puis ils quittent la chambre, après que Marie-Claude est remise sa blouse.
Éric demande alors à Marie-Claude :
« Alors ma chérie, es-tu satisfaite de l’accord que nous avons obtenu? »
Marie-Claude : « heu !… Oui si vous pensez que c’est un bon deal, mais ce qui m’ennuie, c’est de lui lécher le cul, car je n’ai jamais fait cela, sauf avec vous, même pas à mon mari… Enfin, il a l’air propre… »
Éric: « Oui ma chérie et je te connais, tu aimes foutre ta langue dans mon cul et tu verras que tu aimeras cela avec lui, tu es trop perverse pour refuser une opportunité de te pervertir de nouveau avec une nouvelle pratique »
Marie-Claude ; « Oui vous avez certainement raison, Monsieur Éric, vous savez ce qui est bien pour moi et savez me faire franchir de nouvelles frontières du vice, et je vous aime pour cela ».
Éric embrasse Marie-Claude et passe ma main sous ta blouse. Il constate que son string est trempé et il sait que cela ne sera pas un problème de lui faire faire tout ce qu’il veut.
Ils sont proches de la porte du second client et Thibo dit :
« Vous vous rendez compte Marie-Claude, à 300 euros par jour vous gagnerez 9000 euros par mois, et tout cela en prenant du plaisir, c’est pas mal ».
Marie-Claude : « heu !… Oui, mais je ne viendrais pas les week-ends, cela fera donc moins ».
Éric : « Tu sais ma belle le week-end, tu gagneras au moins autant entre le samedi au sex-shop et chez l’épicier, avec la perspective de remporter le jackpot, si le propriétaire te lègue son magasin lorsqu’il prendra sa retraite dans 2 ou 3 ans.
Ils sont déjà devant la porte, Thibo frappe et entre dans la chambre. L’homme qui les reçoit dans sa chambre est un petit bonhomme malingre, il a près de 80 ans et sans grande prestance, mais suffisamment riche pour pouvoir se payer les mamelles pleines de Marie-Claude. Moins riche que Gustave, Hector demande juste une fellation en plus de la tétée. Mais en voyant les fesses nues de Marie-Claude, lorsqu’il la fait de tourner, il demande à pouvoir lui goder le cul, pendant la tétée. Éric lui annonce qu’il lui en coûtera un supplément de 50 euros. Ils sont toutefois satisfaits de conclure cette seconde affaire à 200 euros, surtout Marie-Claude qui a trouvé le vieil homme très doux et très touchant.
Les visites des troisième et quatrième clients se sont déroulées sensiblement comme avec Gustave. Henri et Pierre sont petits, ventrus, chauves et mal rasés. Bien élevés, ils sont cordiaux et acceptent un contrat de 300 euros chacun, avec les mêmes prestations que le premier.
Lorsqu’ils quittent la chambre de Pierre, Thibo les avertis que le cinquième est certainement le plus difficile des cinq. Riche propriétaire terrien, il a tout vendu pour se reposer chez Thibo, mais il est très exigeant et agit comme s’il était encore patron. Il les informe qu’Adolphe est obèse, laid et sale. Éric voit aussitôt le visage de Marie-Claude se décomposer et il s’approche d’elle et la réconforte.
Ils entrent dans la chambre, et effectivement Thibo était au-delà de la vérité. Le vieux Adolphe est allongé sur son lit, en pyjama, sa veste couvrant à peine son ventre énorme et ses bourrelets. Il doit peser au moins 130 kilos minimum. Il transpire et ses cheveux sont gras. Il n’a pas un double menton, mais un triple. En bref, il est répugnant et pour ne rien arranger, il n’est pas très aimable.
Avant de discuter, il exige que Marie-Claude se mettre nue, pour voir la marchandise, et comme celle-ci, lui convient, il accepte de discuter, enfin il veut diriger les débats et fini par conclure :
« Je ne veux pas de barrière, en plus de la téter, j’exige qu’elle fasse tout ce que je veux, lorsque je paie une putain, c’est pour obéir et si je désire qu’elle me chevauche, elle me chevauchera ».
Éric : « Je suis désolé, mais les rapports intimes ne sont pas prévus! »
Adolphe : « J’offre 500 euros chaque fois, quoi qu’on fasse, c’est à prendre ou à laisser ».
Éric : « 600 euros, ou rien »
Éric risque le coup, malgré l’intransigeance du vieux, il accepte ainsi de livrer Marie-Claude à cette masse de graisse répugnante, se disant qu’il ne demandera peut-être pas chaque semaine à Marie-Claude de le chevaucher.
Adolphe accepte l’accord à 600 euros et dit qu’il viendra signer le contrat dès mardi.
Dès qu’ils sont de retour dans le couloir, Marie-Claude s’effondre en larmes, disant qu’elle ne voulait pas baiser avec le père Adolphe. Éric la réconforte et la rassure en lui disant qu’il ne demandera peut-être pas de relation chaque semaine. Une fois dans le bureau de Thibo, Marie-Claude se calme et c’est soulagée par leurs paroles rassurantes qu’elle sourit. Thibo fait rapidement le calcul et annonce à Marie-Claude qu’elle va gagner 1700 euros par semaine. Éric et Marie-Claude quittent alors la maison de retraite.
Sur le chemin du retour, Éric s’arrête devant un photographe encadreur. Il demande à Marie-Claude de l’attendre, car il n’en a pas pour très longtemps. Éric relève alors sa blouse pour dévoiler largement ses cuisses, et descend le zip pour dévoiler au trois-quart ses grosses mamelles. Avant de sortir, il lui dit :
« Ainsi ma belle, les passants vont pouvoir te mater, pendant que je suis dans le magasin, et si cela t’excite, je te permets même de te caresser ».
Sans attendre de réponse, Éric est déjà dehors et rentre dans le commerce. Il sort une clé USB de sa poche et dit au photographe :
Éric : « Voilà, j’ai une demande un peu spéciale à vous demander. Je voudrais que vous fassiez des agrandissements des 3 photos qui sont sur cette clé, sachant que je souhaite que la personne, qui est sur les clichés, ait sa taille exacte c’est-à-dire 1m72 ».
« Effectivement, c’est assez spécial, mais faisable, sachant que cela vous fera des tableaux entre 1m80 et 2 mètres. Mais il me faut au moins que sur un des clichés le modèle soit pris debout.
Éric rassure le commerçant et lui donne la clé. Il la place sur son ordinateur portable et voyant le premier cliché, il est surpris, car sur celui-ci, Marie-Claude est entièrement nue, debout, les mains derrière la tête, les cuisses légèrement ouvertes.
« Oh ! Magnifique femme ! Avec un tel cliché, il me sera facile de calculer les proportions et de vous satisfaire. Sans être indiscret, c’est pour son anniversaire? »
Éric : « Non pas du tout, c’est un cadeau pour son mari, afin qu’il n’oublie pas que sa femme est une salope, qu’elle m’appartient et qu’elle fait tout ce que je désire ».
« Effectivement c’est une commande spéciale » dit le photographe en souriant.
Et en regardant les deux autres clichés pris également dans la cabane des chasseurs, il demande :
« Et ces deux clichés sont à faire également grandeur nature ? Ce sera un peu plus long à réaliser, sachant que sur celle-ci, madame est soit courbée sur la table, et sur la dernière elle est allongée les cuisses relevées. Donc il y a quelques calculs à faire mais amplement réalisable. Vous désirez un devis ? »
Éric rassure le photographe, lui certifie immédiatement la commande, avec livraison chez Marie-Claude pour le milieu de la semaine, et lui fait un chèque de mille euros d’acompte, sachant que le travail demandé coûtera plus.
Éric demande au photographe d’assurer également la livraison et la mise en place de la photographie dans le séjour et le bureau de Marcel.
Le commerçant accepte en disant qu’il viendra avec un ouvrier, car il faudra au moins être deux pour porter et fixer les tableaux au mur.
Quand Éric revient, Marie-Claude n’ose lui demander ce qu’il a fait, imaginant que qu’il a pris rendez-vous avec ce professionnel, pour qu’il la photographie pour l’exhiber une fois de plus devant un inconnu, lui reprochant timidement de l’avoir laissé près d’une heure seule, exposée aux regards de passants.
Éric voit que l’une des mains de Marie-Claude est posée sur ton string rendu transparent par sa mouille, et lui répond :
« Apparemment, tu ne t’es pas ennuyée, ton string est trempé. Allez retire le, et ensuite on rentre à la maison ».
Marie-Claude obéit immédiatement, espérant qu’Éric va la doigter pendant le trajet jusque chez vous.
Éric fait démarrer le véhicule et posant sa main droite sur sa cuisse, il lui demande :
« Alors ma petite salope, tu as eu beaucoup d’admirateurs ? »
Marie-Claude : « heu !… Pas vraiment, les piétons passaient en regardant, mais sans montrer de l’intérêt, sauf un il y a une dizaine de minutes. Un SDF apparemment s’est arrêté et m’a maté pendant plusieurs minutes. Puis, il m’a insultée et il est parti. J’avais peur qu’il ameute d’autres personnes, mais non, heureusement ».
Éric : « En tout cas, cela t’a excité, tu es trempée. J’espère que ton mari est toujours occupé, car s’il nous voit arriver, il va falloir que je lui explique que tu t’es exhibée dans la voiture et que c’est pour cela que tu n’as plus de culotte et que ta chatte est trempée ».
En arrivant chez lui, Éric gare la voiture directement dans le garage en télécommandant la porte de celui-ci. Je fais descendre Marie-Claude du véhicule et elle file dans la salle de bains, retirer son uniforme d’infirmière, prendre une douche et revêtir la robe ajourée qu’elle avait le matin.
Ils se rendent ensuite chez Marie-Claude, voir son mari, et l’inviter à dîner. Tout en marchant, sur le trottoir, Éric dit à Marie-Claude :
« Demain matin, dès que Marcel sera parti, tu ouvriras ta messagerie. Si tu n’as pas de message de ma part, tu te recouches et si je t’ai envoyé un mail, et bien tu devras exécuter ce que je te demanderais. Je ne t’en dis pas plus »
Ils arrivent chez Marie-Claude. Marcel les accueille le plus naturellement du monde, demande si tout, c’est bien passé, mais en voyant l’inscription que Marie-Claude porte à son collier de cuir, il dit :
« Mais chérie, tu ne peux pas garder cela, pense que tu as invité ma famille pour mon anniversaire. Et puis nos amis, nos connaissances et les voisins qui peuvent lire ça… ».
Marie-Claude : « Monsieur Éric dit que je dois assumer mon nouveau statut de salope et de pute ».
Éric : Intervenant, persuade Marcel que Marie-Claude doit garder son collier en toutes circonstances, mais il décline mon invitation, prétextant qu’il est fatigué et qu’il doit se lever tôt le lendemain matin. Il abandonne donc Marie-Claude à son cocu de mari, et rentre chez lui.
Marie-Claude avait oublié l’anniversaire de Marcel, et qu’elle avait invité sa famille. En pensant à son beau-père découvrant mon nouveau statut, elle sent une chaleur envahir mon bas-ventre. Elle doit avouer qu’elle a toujours fantasmé sur son beau-père, un homme autoritaire et, pour l’avoir vu une fois en maillot de bain, mieux pourvu que son fils. C’est avec difficulté qu’elle s’endort près de son mari.
À suivre…
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