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Éric de retour chez lui, seul, se chauffe un café et allume son ordinateur, afin de préparer le mail qu’il va t’envoyer demain matin quelques minutes avant cinq heures..
Marie-Claude est très déçue qu’Éric ne l’ait pas invité chez lui à passer la soirée et laissée seule avec son mari. Elle s’était imaginée chez lui dégustant un bon champagne et faire l’amour avec lui, avant de s’endormir dans ses bras..
Éric prépare tranquillement le mail qu’il va envoyer dans quelques heures :
« Marie-Claude, je souhaite te voir chez moi dans l’heure qui suivra le départ de Marcel. Douchée, coiffée, et maquillée, tu te présenteras vêtue d’une paire de bas autofixant noirs et des chaussures à talon sans rien d’autre ».
Tu sortiras et fermeras ta maison à clé et une fois devant chez moi, tu mettras ta clé dans ma boîte aux lettres, je saurais alors que tu es là devant chez moi, quasi nue, attendant mon bon vouloir pour te réfugier chez moi à l’abri des regards éventuels de nos voisins, de passants ou d’automobilistes matinaux.
Lorsque j’ouvrirais enfin la porte, tu devras me donnez le but de ta visite matinale. Je ne veux pas t’entendre me dire que tu obéis à mon message, mais que tu veux que je te baise, m’appartenir corps et âme, être mon objet sexuel, ma salope, ma pute et ma petite chienne sans aucun tabou.
Dans le cas contraire, je te rendrais ta clé et tu rentreras chez toi, Mais je ne doute pas de ton choix, tu aimes trop ce que je te fais découvrir et impatiente de découvrir peut-être de nouvelles perversions en ma compagnie.
Tu dois donc être devant chez moi, moins d’une heure après le départ de ton cocu, si tu veux continuer à te faire prendre par tous les trous.
À tout de suite
Éric
Quand Éric se réveille, il allume son ordinateur, et après avoir relu son message, il regarde l’heure. Quatre heures du matin, il l’envoie. Puis il va se doucher et enfile son peignoir, avant de guetter le départ de Marcel.
Marie-Claude est impatiente de lire le message qu’Éric a lui envoyé, mais également anxieuse imaginant à la fois une bonne nouvelle, mais aussi une mauvaise. Elle attend que mon époux quitte la maison pour se précipiter sur son portable, pour découvrir son message. Assise devant l’écran de son ordinateur, elle scrute celui-ci tout en se caressant, en rêvant à un mail très chaud de la part de Éric.
Lorsqu’elle voit qu’elle a un mail, son cœur bat la chamade et j’hésite quelques secondes avant d’ouvrir le message, alors que ma main s’active entre ses cuisses.
Plus elle avance dans la lecture de celui-ci, et plus elle est excitée. C’est trempée qu’elle finit la lecture. Elle le relit une seconde fois, et hésite, car si Éric lui a fait découvrir son goût pour l’exhibition, jamais elle n’a fait cela sans sa présence près d’elle, en extérieur. Puis, elle se précipite dans la salle de bains pour prendre une douche froide et se préparer pour se rendre chez son maître.
Une fois sortie de la douche, les idées un peu plus claires, Marie-Claude retourne relire une troisième fois le mail, et là, elle hésite encore, entre continuer à se préparer pour obéir et se recoucher, se disant que jamais elle pourra sortir nue dans la rue et parcourir la trentaine de mètres qui mènent à la porte de Éric et ensuite d’attendre qu’il ouvre. Alors qu’elle réfléchit, elle sent l’excitation revenir et décide sans se préoccuper du voisinage de le rejoindre. .
Elle enfile une paire de bas noirs auto fixant, chausse mes escarpins à talons hauts et déverrouille sa porte d’entrée et retire la clé de la porte.
C’est avec une certaine appréhension que Marie-Claude ouvre sa porte d’entrée. Il fait nuit, la rue est silencieuse, mais éclairée par quelques lampadaires. Elle se décide et sort de la maison, ferme celle-ci à clé et se dirige vers la maison de Éric. Elle serre fortement la clé au fond de sa paume, car elle a trop peur de la perdre, et de ne plus pouvoir rentrer chez elle, ni la glisser dans la boîte aux lettres de son voisin, pour qu’il lui ouvre, car dans la nuit, comment la retrouver ?. Marchant difficilement avec ses talons de 12 centimètres, elle regarde régulièrement autour d’elle, contente de ne voir personne, ni qu’aucune voiture n’apparaît à l’horizon.
Elle arrive enfin devant chez Éric, s’approche de la porte et jette sa clé qu’elle tenait fermement dans sa main, dans la boîte aux lettres, attendant qu’il vienne ouvrir.
Lorsque Éric entend la clé tomber dans la boîte. Il imagine alors que Marie-Claude doit être impatiente qu’il ouvre, mais aussi angoissée à l’idée qu’il dorme toujours et excitée à l’idée de finir la nuit près de lui. Dans le but de faire monter ta crainte, il attend trois minutes avant d’ouvrir sa porte.
Marie-Claude a fait tomber sa clé dans la boîte aux lettres, et Éric ne lui ouvre pas. Le temps passe, cela lui semble une éternité, elle s’imagine qu’il n’a pas entendu la clé tombée dans la boîte. Elle a envie d’appuyer sur la sonnette, mais elle sait qu’il n’appréciera pas, aussi elle se résigne à attendre, sentant l’angoisse montée, en espérant ne pas attendre trop longtemps, ni être vu.
Lorsque Éric lui ouvre, il voit un immense soulagement sur son visage et dans ses yeux. Mais, il ne la fait pas entrer tout de suite, pour se mettre à l’abri. Il la regarde, pour constater qu’elle a bien suivi ses instructions et demande :
« Marie-Claude, mais que viens-tu faire à cette heure-ci? »
Marie-Claude : « Bonjour Monsieur Éric. Heu…Je veux heu… Pardon, je voudrais être votre objet sexuel, votre salope, votre pute, votre petite chienne sans aucun tabou et que vous me preniez par tous les trous quand vous en avez envie, en tous lieux et en toutes circonstances. Je souhaite que vous continuiez à m’éduquer, et me faire découvrir de nouvelles perversions ».
Éric : « Bonjour ma belle ! Tu n’as pas honte de sortir toute nue, allez rentrer ».
Marie-Claude se précipite dans l’entrée de la maison, avant de répondre :
« Pas honte Monsieur Éric, mais peur d’être vu, car c’est la première fois que je fais cela sans votre présence pour me donner du courage, et puis si je peux me permettre, vous avez été longs à ouvrir ».
Éric souris et dit :
« Oui je t’ai laissé volontairement attendre pour te tester, et j’apprécie que tu n’aies pas sonné, attendant patiemment. Mais viens dans mes bras que je te fasse un gros câlin ».
Marie-Claude se jette dans ses bras, se blottit contre son torse nu, découvert par le peignoir et l’embrasse à pleine bouche, mélangeant sa langue à celle de son maître dans un baiser brûlant. Elle sent sa main droite descendre le long de son dos, atteindre ses fesses, puis se glisser entre ses cuisses et enfin caresser sa grotte d’amour.
Éric : « Mais tu es trempée, ma petite chienne, ça t’a excitée d’être nue en pleine nuit, seule attendant que je t’ouvre ».
Marie-Claude : « Je suis toujours excitée à l’idée de vous retrouver Monsieur Éric, j’aime ce que vous me faites découvrir et je veux être à vous pour la vie ».
Éric la prend par la main et l’entraîne jusqu’à la chambre et lui propose de dormir avant l’arrivée des jeunes voisins.
Marie-Claude est ravie de finir sa nuit dans les bras de son maître. Elle le suit et se glisse sous les draps, le regardant retirer son peignoir. Elle se blottit dans ses bras. Elle se sent libérer, sereine, et s’endort rapidement.
Elle se réveille la première, et malgré son envie de lui faire une gâterie, elle se raisonne, se souvenant de la colère de Éric, la dernière fois qu’elle l’a sucé sans sa permission pour le réveiller. Aussi elle se lève, et nue elle va dans la cuisine préparer le petit-déjeuner. Dehors, le temps est magnifique aussi elle décide, pendant que le café s’écoule, d’aérer la maison et ouvre les fenêtres de la maison, en restant nue, sans prendre de précaution particulière pour ne pas être vue de voisins, passants ou automobilistes, afin qu’Éric soit fier d’elle. Puis elle met sur la table, tout ce qu’il faut pour leur petit-déjeuner.
Quand Éric arrive dans la cuisine, il est étonné de la voir devant l’évier, en train de nettoyer celui-ci, devant la fenêtre grande ouverte, fenêtre donnant sur la rue, et cela entièrement nue. Il arrive derrière elle sans faire de bruit,et en saisissant ses pis, il dit :
« Hum !… Ça sent bon le café… »
Marie-Claude sursaute, car elle ne l’avait pas entendu arrivé, et vous répond :
« Oh ! Bonjour Monsieur, vous m’avez fait peur. Je vous ai fait un bon café ».
Éric dépose un baiser dans son cou, tandis que sa main droite s’égare sur ses fesses, entre ses cuisses et je constate qu’elle est déjà humide.
« Mais aussi la petite cochonne, une petite cochonne, que ça excite de faire le ménage, nu devant la fenêtre ouverte ! »
Marie-Claude : « Vous me demandez d’assumer mon statut de salope, alors pour vous faire plaisir, j’ai décidé de ne pas me cacher ce matin, pour faire votre ménage, mais j’avoue que j’ai dû me raisonner pour ne pas fermer la fenêtre ».
Éric lui sourit et la flatte en lui donnant une petite tape sur le derrière. Ils s’assoient autour de la table et prennent leur petit-déjeuner. Éric lui demande :
« Tu as invité du monde pour l’anniversaire de Marcel ? »
Marie-Claude : « Oui, pour son anniversaire nous avons invité ses parents, son frère et sa belle-sœur, mais je ne sais toujours pas s’ils viendront, car ils n’ont toujours pas donné de réponse ».
Éric : « Tu es prête à te comporter en salope devant ta belle famille ? »
Marie-Claude : « heu !… Ça ne va pas être évident par rapport à Marcel, qui va se sentir bafoué et humilié, mais maintenant qu’il accepte que vous soyez mon amant, j’ai très envie effectivement de ne pas vous décevoir, d’autant que… Enfin, si mon beau-père est présent ».
Éric : « Tu peux m’expliquer ? ».
Marie-Claude ; « heu !… Et bien…Mon beau-père heu !… Je fantasme sur lui, depuis que je le connais et ce serait l’occasion de me faire baiser par lui ».
Éric : « Tu risques de foutre une sacrée pagaille et de te mettre la famille de Marcel à dos ».
Marie-Claude : « Oh ! Ils me trouvaient trop prude et timide, parce que je ne voulais pas faire de naturisme avec eux. Ils vont pouvoir constater que j’ai évolué, et au-delà de leur espérance, et tant pis pour ma belle-mère, qui ne m’a jamais appréciée et ma belle-sœur, si leurs hommes me baisent. En tout cas j’assumerai mon statut de grosse salope, de pute et de chienne. En plus j’ai senti que mon beau-père me regardait parfois avec un regard salace et mon beau-frère aussi, je les ai déjà surpris à me mater les seins et le cul la dernière fois qu’ils étaient venus. J’ai trop envie qu’ils me défoncent par tous les trous devant mon cocu de mari. ».
Éric : « Parfait ! Bonne réaction, je suis fier de toi. Maintenant va te préparer, tes nourrisseurs ne vont pas tarder, et ça m’étonnerait qu’ils soient en retard ».
Marie-Claude vide sa tasse de café, et file à la salle de bains, se préparer pour recevoir ses donneurs. Quand elle est prête, elle vient demander à Éric, quelle tenue elle doit porter. Il lui répond de mettre un string et un tee-shirt très échancré et décolleté, afin d’exciter ses visiteurs.
Éric prend sa douche, et lorsqu’il rejoint Marie-Claude dans le séjour, elle est vêtue, comme prévu. Son tee-shirt ne couvrant à peine ses fesses et le décolleté et les échancrures sous les aisselles laisse voir près des deux-tiers de ses pis. Seuls ses tétons et aréoles sont masqués.
Éric : « J’espère que ta tenue leur donnera envie de te peloter pendant que tu leur vides les couilles »
Marie-Claude : « Moi aussi, Monsieur, j’ai envie qu’ils me caressent pendant que je les suce ».
Éric : « En attendant, installe-toi confortablement dans le canapé, et chauffe-toi doucement ».
Marie-Claude s’installe dans le canapé, les yeux fermés, les fesses au bord de l’assise du divan et le dos appuyé contre le dossier et laisse ses mains se promener sur son corps. Elle se caresse très doucement, laissant ses mains frôler sa peau et exacerber ses sens. Lorsque l’on sonne à la porte, elle ne bouge pas, continuant à stimuler ma sensualité.
Éric va ouvrir et fait entrer les jeunes voisins dans le séjour. Cette fois-ci, ils sont cinq, Denis accompagnant ses amis, Jérôme, Alain, Maurice et Léon. Ils restent figés en voyant Marie-Claude se caresser langoureusement sur le canapé.
« Marie-Claude, ma chérie, tes jeunes invités sont là! »
Marie-Claude sursaute. Prise par son plaisir, elle ne les avait pas entendus arriver. Elle se lève et vient les saluer en leur faisant la bise.
Pendant que Marie-Claude les embrasse, s’arrangeant pour frotter ses pis contre leurs poitrines, Éric leur rappelle les règles du jeu, et ils le rassurent en lui disant qu’ils ont expliqué celles-ci à Denis.
Marie-Claude propose de commencer en conservant le même ordre que la première fois. Et c’est Jérôme qui s’avance le premier vers elle, alors que ses camarades s’assoient en attendant leur tour. En s’approchant d’elle, il lui demande :
Jérôme : « Je vais pouvoir vous caresser les seins, pendant que vous me sucez ? »
Marie-Claude : « Bien sûr Jérôme, tu peux les caresser, les malaxer même les gifler si tu le veux, et n’hésite pas à bien me cracher sur les seins et sur mon visage et même dans ma bouche si tu veux, je trouve ça très excitant».
Il s’approche et elle baisse son pantalon et son slip, Il a saisi ses seins et les caresses tendrement, puis commence à les malaxer alors qu’elle le prend en bouche, il me dit :
« Madame, vous êtes sûres que je peux vous cracher dessus? »
Marie-Claude arrête de le sucer et le regarde dans les yeux et elle crache sur sa bite et lui dit :
Marie-Claude : « Bien sûr que tu peux, ne sois pas timide, tu peux même me dire des mots crus si tu veux, ça m’excite ! ».
Jérôme : heu ! Oui très bien Madame. Oh ! Ah ! C’est bon hum ! Ah oui suce-moi salope ».
Puis il lui crache sur le visage et les seins pendant qu’elle le suce comme une affamée de bite et il me traite de salope. Ça l’excite terriblement
Il résiste un peu plus longtemps que la première fois à ses caresses buccales, avant de prendre le verre et de déverser son sperme et qu’elle le reprenne en bouche pour lui nettoyer son membre viril.
Ensuite, c’est au tour d’Alain, puis de Maurice. Cela se passe comme pour la première fois, sauf qu’il imite leur ami et triture mes nichons, tirant même sur mes tétines et Maurice était un peu plus propre, même s’il sentait toujours la pisse.
Puis ce fut le tour de Léon et du petit nouveau Denis. Celui-ci, probablement le plus âgé de la bande, et le plus excité par le spectacle auquel il vient d’assister, pince violemment les mamelons de Marie-Claude, pendant qu’elle lui lèche son gland et il décharge très rapidement dans le verre.
Marie-Claude mélange les cinq semences avec une petite cuillère et dit :
« Avec quatre spermes, c’était meilleur qu’avec trois, aussi j’espère que ce matin avec cinq jus de couilles différents, je vais vraiment me régaler, d’autant plus que cela m’en fait plus à boire ».
Puis elle lèche la cuillère et levant mon verre, elle regarde les jeunes et verse la totalité du verre dans sa bouche. Elle garde les semences dans sa bouche quelques secondes puis avale avant d’ouvrir la bouche pour leur montrer qu’elle a tout ingurgité et dit :
Marie-Claude :« Oh ! Putain…C’est vraiment trop bon… Plus il y a de sperme différent et meilleur est le breuvage. Ah ! Qu’est-ce que j’adore le sperme Monsieur Éric, j’en boirais bien toute la journée tellement c’est bon.
La bande de copain se lève alors et vient lui faire la bise et salue Monsieur Éric avant de partir, après qu’Éric leur demande de revenir le lendemain à la même heure.
Éric raccompagne les jeunes et en profite pour regarder s’il y a du courrier dans la boîte aux lettres. Il y a une enveloppe et ouvrant celle-ci, il constate qu’elle provient de la boutique de lingerie.
Il revient dans le séjour. Marie-Claude est déjà dans la salle de bains. Il ouvre l’enveloppe et lit le contrat que le propriétaire du magasin à rédiger. Il n’est pas très satisfait du contenu alors que Marie-Claude revient nue dans la pièce. Elle s’assied, se blottit contre Éric et dit :
« Quelle bonne idée a eu Thibo, c’est trop génial de sucer ces jeunes le matin et de boire leur foutre ! »
Éric lui caresse le sein droit, alors qu’elle est penchée contre lui et dit :
Éric ; « Demain, je pense qu’il faudra leur en donner plus, car ils risquent de se lasser de venir juste se vider les couilles et de répartir ».
Marie-Claude : « Vous croyez ? Moi je veux bien passer plus de temps avec eux, mais que proposez-vous que je fasse en plus ? ».
Éric : « Déjà, il faudrait que tu les accueilles un peu plus vêtue, puis après leur avoir vider les bourses, je les invite à boire un verre de jus de fruit sur la terrasse. Cela nous permettra de discuter et de les connaître un peu mieux, car il est possible qu’ils ne soient pas là, au mois d’août. . Pendant ce temps, tu vas à la salle de bains, te laver les dents et tu reviens entièrement nue, faire le service. Ensuite, je demande à l’un d’eux de tirer une carte, il y en aura 6 ou plus, et ils pourront faire avec toi, ce qui est noté sur la carte, et chaque carte ne pourra être tirée que deux fois pour éviter les répétitions.
Marie-Claude : « Oh oui et qu’allez-vous mettre sur ses cartes ? ».
Éric : « Quelle impatience ma chérie! Je pourrais noter :
Cunnilingus et doigtage sur une,
Marie-Claude est un piano,sur une autre,
Anulingus et doigtage sur la troisième,
Douches sur la quatrième,
Marie-Claude est un esquimau.
Et bouffage de bourses et de cul pour la cinquième ».
Marie-Claude : « Oh Monsieur Éric ! J’aime déjà votre nouveau jeu pervers, regardez je suis trempée »
Éric : « eh bien branle, toi, ma belle, mais laisse-moi finir »
Marie-Claude n’a pas attendu qu’Éric le lui dise pour se caresser, mais là, elle enfouit trois doigts directement dans sa grotte et se branle de plus en plus vite jusqu’à la jouissance.
Éric la regarde se branler comme une sauvage, sourit et continu ses explications.
« Sous chaque titre des cartes, je vais noter les indications pour que tout se passe comme je le souhaite. Tu veux plus d’explications ou tu préfères attendre que les jeunes tirent les cartes pour tout savoir.
Marie-Claude : « Oh non Monsieur ! Dites-moi tout maintenant s’il vous plaît. Oh oui ! Oh je me branle comme une salope ! Ma chatte est en feu ! Dites-moi tout, que je jouisse en vous écoutant.
Éric : « OK ma petite pute ! ;
Cunnilingus et doigtage. Ils pourront te lécher la chatte et la doigter avec 3 ou 4 doigts,
Anulingus et doigtage Ils te bouffent le cul et te doigtent avec 2 ou 3 doigts,
Marie-Claude est un piano, Allonger sur la table les cuisses ouvertes, ils te caressent, et peuvent se branler sur tes seins, ton visage ou dans ta bouche ».
Marie-Claude : « Oh Monsieur Éric ! Je vais jouir rien qu’à l’idée de me faire peloter par dix mains sur mon corps de salope! ».
Éric : « Tu ne veux pas connaître les dernières ? »
Marie-Claude : « Oh oui ! Oui ! Je jouiiiiiiiis ! Oh c’est trop bon ! »
Éric : « Pour la carte douche, Ils se branlent sur ton visage, et tes seins alors que tu es menottée les mains dans le dos et ensuite ils pissent sur toi pour te nettoyer et bien sûr tu devras garder la bouche ouverte ».
Marie-Claude : « Oohh non ! Monsieur pas cela, c’est trop dégradant ! »
Éric : « Tu n’as pas détesté l’autre jour que j’urine sur toi, et puis être humiliée, cela te fait mouiller, alors si ma belle, il y a une carte douche »
Marie-Claude : « Oh oui ! Oui ! Je jouiiiiiiiiiiiis ».
Éric : « Et les dernières,
Marie-Claude est un esquimau. Les mains dans le dos, ils se servent de leur bouche et leur langue sur tout ton corps : visage, bouche, seins, sexe et anus ».
Marie-Claude : « Oh oui, me faire lécher, sucer et mordiller partout par cinq bouches à la fois… Vous êtes trop pervers Monsieur Éric. Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui !… »
Éric : Je peux continuer ? ….
Et la sixième bourse et cul et bien tu leur bouffes les couilles et leur lèches le cul jusqu’à ce qu’ils jouissent ».
Marie-Claude : « Oh Monsieur, j’aime votre imagination et ce que vous me faites faire. Mais s’il vous plaît baisez-moi, enculez-moi j’en ai trop envie. »
Éric : « Tu devrais déjà être à 4 pattes en me demandant cela, petite chienne ! »
Et il lui donne une grosse claque sur le cul, avant de se placer derrière elle pour t’embrocher.
Marie-Claude : « Oh oui ! Claquer moi le cul en me baisant ».
Éric vient se placer derrière les fesses de Marie-Claude, frotte son sexe en érection contre ses lèvres intimes trempées de cyprine et la pénètre jusqu’à la garde avant de rester ainsi enfouie dans sa chatte. Puis il commence à aller et venir en elle, accélérant progressivement ses va-et-vient, tout en claquant son cul régulièrement.
Marie-Claude : « Oh oui ! Défoncez-moi ! Oui fessez-moi, je suis une grosse salope ! Oui plus fort !
Encore ! Oui ! Oui ! Oui plus fort ! Encore ! Oui ! Oui ! Oh monsieur plus fort ! Ah je suis votre pute votre grosse chienne bien salope ! Oh ! Ouiiii faite de moi ce que vous voudrez ! Ah j’aime trop le sexe le sperme, j’aime la bite, je suis une vraie chienne »..
Éric la besogne, la baisant de plus en plus vite et dis :
« T’aimes ça que je te gifle le cul ? Tu aimes que je fasse rougir ton joli petit cul de chienne ? »
Marie-Claude : « Oh oui Monsieur ! Frappez mon cul plus fort ! Faites-moi mal ! Oui je vais jouir ! ».
Éric décharge dans sa chatte et s’écroule près d’elle, avant de lui donner une dernière claque sur ton postérieur, et te dire :
« Va te laver ma belle salope ! Et après tu finiras le ménage. ».
Marie-Claude est satisfaite et heureuse et elle va se doucher, se coiffer et se maquiller avant de revenir dans la cuisine continuer le ménage.
Éric va à son tour se laver, se raser et s’habiller avant de dire :
« Je vais faire une course, soit sage et si on sonne, tu sais que tu dois ouvrir sans te couvrir ».
Marie-Claude : « heu….Oui Monsieur Éric… Mais vous êtes sûrs que je peux ouvrir ainsi ?… »
Éric : « Bien sûr ! Je te laisse mon porte-monnaie, il y a un peu d’argent, au cas où tu en aurais besoin pour donner un pourboire au facteur ou autre. »
Et sans attendre une réponse de sa part, Éric va au garage, monte en voiture et part, laissant Marie-Claude seule, nue dans la maison.
Marie-Claude, malgré la dernière phrase de Éric, ne s’inquiète pas trop, sachant que le facteur ne passe pas avant 11 h 00 ou midi et que son maître sera certainement revenu d’ici là, et elle continue le ménage, car elle souhaite satisfaire Éric et elle sait que demain ils reprendront leur jogging dans les bois.
En partant de la maison, Éric s’arrête chez un fleuriste et commande un superbe bouquet, en demandant qu’il soit livré le plus tôt possible. La vendeuse lui certifie qu’il sera livré dans l’heure et lorsqu’elle me demande s’il elle doit ajouter où joindre un message, il lui donne une carte de visite, où il a noté : « Pour la plus salope des soumises ».
En prenant sa carte, il sait et voit que la fleuriste lit son message, elle sourit et dit :
« Soyez sans crainte, le message sera joint aux fleurs ».
Éric quitte ensuite la fleuriste, et continue son périple en direction d’un magasin de sport. Il recherche un short blanc et une brassière de même couleur, pour le jogging de Marie-Claude. Il trouve exactement ce qu’il cherche, et fais l’acquisition de trois vêtements de chaque, ce qui permettra à Marie-Claude de les laver entre chaque séance, mais d’être toujours vêtue pareille.
Puis, c’est dans un sex-shop, autre que celui, où Marie-Claude va travailler pour faire mes dernières emplettes de la matinée, avant de faire une halte et de prendre un café à la terrasse d’un bar du centre-ville, avant de rejoindre Marie-Claude.
Pendant ce temps, alors que Marie-Claude est seule, nue chez Éric à faire le ménage :
Marie-Claude continue de faire le ménage nu, quand elle entend sonner à la porte. Prise de panique, elle ne sait pas quoi faire, hésite à aller ouvrir la porte, complètement nue, car elle sait que ce n’est pas Éric. Elle se demande vraiment qui ça peut bien être, d’autant plus qu’elle sait que ce n’est pas le facteur, car ce n’est pas son heure de passage.
Marie-Claude hésite à aller enfiler quelque chose sur avant d’aller ouvrir, puis je se dis qu’elle doit assumer son statut de salope et aller ouvrir nue.
Elle se dirige alors vers la porte toute tremblante, car elle ne sait pas, qui est derrière la porte. Elle prend son courage à deux mains et ouvre la porte ;
Elle voit une femme, qui tient un joli bouquet de roses à la main, qui la regarde de bas en haut, avant de lui demander :
« Bonjour Madame, vous êtes bien Marie-Claude, la grosse salope soumise et bonne chienne ».
La gorge nouée par ce qu’elle vient d’entendre, et répond timidement en baisant le regard, n’osant affronter son regard humiliant,
« Heu !.. Oui c’est bien moi »..
La fleuriste : « Voilà un joli bouquet de fleurs pour vous alors, maintenant j’ai besoin d’une petite signature sur le bon de livraison »..
Marie-Claude : « heu !… Oui … Oui bien sûr heu !… Entrez ! Il faut que je cherche un stylo ».
Marie-Claude se dépêche de la faire entrer et de refermer la porte derrière elle, afin de ne pas rester trop longtemps dehors nue à la vue de tous.
Marie-Claude prend un vase et verse de l’eau dedans et met le bouquet de fleurs dedans qu’elle dépose sur la table du séjour. Puis elle va prendre un stylo et rejoint la fleuriste. C’est une jolie femme de 41 ans, avec de belle proportion, elle est vêtue d’un tailleur noir avec un chemisier blanc, et des talons aiguilles, elle porte des lunettes, elle est coiffée d’un chignon et ces cheveux sont de couleur châtain foncé,
Marie-Claude signe le bon de livraison et lui dit :
« Voilà Madame ».
La fleuriste : « Merci Madame, dites-moi, est-ce que ça fait longtemps que vous êtes une salope soumise? ».
Marie-Claude est choquée par la question et se met à bafouiller :
« Heu ! …eh bien non heu !…Eh bien c’est mon voisin Monsieur Éric, qui m’a initiée à cela et heu !…. »
La fleuriste ne lui laisse pas finir sa phrase dite :
« Non mais pour se balader à poil et ouvrir la porte comme cela, il faut vraiment être une sacrée salope ! Tu dois beaucoup aimais le cul toi? ».
La fleuriste n’attend pas la réponse et s’approche de Marie-Claude et porte sa main sur le sexe de Marie-Claude et dit :
« Et ben dis donc ma salope ! Tu mouilles grosse cochonne ! ».
La fleuriste masturbe Marie-Claude, qui reste debout, les jambes écartées laissant faire la fleuriste caresser sa chatte.
La fleuriste : « eh bien dit donc, qu’est-ce que tu mouilles, tes une vraie chienne en chaleur toi ! Allez ! Agenouille-toi, tu vas me lécher la chatte et le fion »..
Sans attendre de réponse de Marie-Claude, elle l’agrippe par les cheveux et la fait se mettre à genoux en face d’elle, elle remonte sa jupe, elle ne porte pas de culotte et Marie-Claude se retrouve immédiatement la tête entre les cuisses de la fleuriste, le visage plaqué contre le sexe de la marchande.
Celle-ci relève sa jambe droite et pose son pied sur la table du salon, s’ouvrant ainsi davantage pour sa chatte et son anus à la caresse buccale de Marie-Claude.
Marie-Claude à la tête plaquée contre le sexe de la fleuriste, qui la tient par les cheveux, et qui lui dit de lui bouffer la chatte et le fion. Elle a son pied droit posé sur le bord de la table, ce qui a pour effet de bien écarté son sexe et ses fesses, afin de faciliter à Marie-Claude, l’accès à ses orifices. Marie-Claude a les larmes aux yeux d’être traitée de la sorte par la fleuriste, mais elle sent monter en elle une terrible excitation et se met à lécher son sexe déjà très humide, ayant la tête plaquée sur son sexe, sa langue rentre entre ses lèvres, et elle fouille l’intérieur de son intimité avec la langue.
Marie-Claude l’entend dire :
« Oh ah vas-y salope ! C’est bon… Enfonce bien ta langue de pute dans ma chatte »
Tout en disant cela, la fleuriste frotte la tête de Marie-Claude, de plus en plus fort contre sa chatte toute trempée. Elle continue de lécher et de fourrer sa langue à l’intérieur du sexe de la fleuriste et elle a de la mouille qui coule dans sa bouche. Elle essaie de se retirer pour cracher, mais la fleuriste la tient fermement par les cheveux et empêche tout mouvement en arrière l’obligeant à avaler sa cyprine.
Étant de plus en plus excitée, Marie-Claude lui lèche et suce le clito, pénétrant sa langue de temps en temps à l’intérieur de sa chatte, fouillant celle-ci.. La fleuriste ne tarde pas à avoir un premier orgasme.
La fleuriste : « Ah !… Oh putain !… Tu vas me faire jouir grosse salope ! … Ah, encore sale putain !… Oh ! Ah grosse pute !… C’est trop bon ! ».
Puis, elle s’effondre sur le canapé et se positionne à 4 pattes sur le divan, écarte ses fesses et dit :
« Viens me faire jouir du cul, grosse salope ! ».
Marie-Claude s’approche du cul de la fleuriste, et s’agenouille. La fleuriste l’agrippe par les cheveux et lui plaque le visage contre son cul et dit :
« Torche-moi le fion, grosse putain ! ».
Elle frotte le visage de Marie-Claude sur sa raie cuillère et son anus, et Marie-Claude se met à lui lécher le trou du cul.
Marie-Claude est humiliée quand elle l’entend dire qu’elle est un torche-cul, mais cela l’excite encore plus et elle se met à lui bouffer le cul avec fougue, elle lui lèche la raie et l’anus, lui crache sur son trou du cul et y enfonce même sa langue dans son anus.
La fleuriste se met à se masturber en même temps et ne tarde pas à avoir un orgasme.
La fleuriste : « Oh Ouiiii !Lèche-moi bien sale pute !…, Oh !… Ah la salope !…, Oh putain !…Je vais jouir… Ah ! »
Pendant que la fleuriste jouit, Marie-Claude se masturbe violemment la chatte jusqu’à se faire jouir.
Ensuite la fleuriste se rhabille et s’en va sans un mot, ni un regard pour Marie-Claude.
Lorsque Éric arrive dans sa rue, il voit la camionnette de la fleuriste, garée devant chez lui. Il se gare à une cinquantaine de mètres de chez lui, et décide d’attendre le départ du livreur. Il est un peu surpris quand un bon quart d’heure plus tard, il voit la fleuriste, en personne, sortir de chez lui. Il devine que si la fleuriste à effectuer elle-même la livraison, c’est parce que le message joint à la commande, a dû titiller la commerçante. Il attend encore quelques minutes et décide de rentrer.
Lorsqu’il arrive, il trouve Marie-Claude, nue bien sûr, dans la cuisine, assise devant un café. Il s’assoit et demande à Marie-Claude de lui en servir un. Marie-Claude s’approche de Monsieur Éric avec une tasse quand Éric passe sa main entre ses cuisses.
« Mais tu es trempée ! Tu as profité de mon absence pour te caresser ? »
Marie-Claude : « heu !… Non mais c’est de votre faute… ».
Éric : « Comment cela de ma faute ? »
Marie-Claude : « Ben…Oui…C’est quand même bien vous qui avez acheté et fait livrer des fleurs, pendant votre absence, en sachant que je serais obligée d’ouvrir nue ».
Éric : « Et tu as ouvert au livreur, à poil, et ça t’a excitée, c’est ça? »
Marie-Claude : « Non, pas exactement… Heu ! Enfin si, mais j’avais énormément honte. Heu ! Enfin je ne comprends pas vraiment ce qui m arrive Monsieur Éric ,, mais mon corps était tout chaud,, mes seins très durs et mon sexe très humide, et à la fois, j’avais très très honte de moi et quand la fleuriste m’a ordonné de lui lécher le sexe et le cul en me traitant comme une chienne ça m’a beaucoup fait jouir. Que m arrive-t-il Monsieur Éric? »
Éric : « Il t’arrive que tu prennes conscience que tu aimes de plus en plus être exhibée et humiliée. Tu comprends enfin que ton corps est fait pour le plaisir et que tu dois continuer à me faire confiance, pour connaître de plus en plus d’expérience comme ce matin ».
Marie-Claude : « Oui Monsieur Éric, vous devez avoir raison ».
Éric : « Je constate aussi que tu commences à prendre autant de plaisir à lécher des chattes que tu en prends à sucer des bites. Si tu continues à progresser comme cela, tu prendras bientôt aussi du plaisir avec des animaux ».
Marie-Claude : « Oh non ! Pas ça Monsieur Éric ! Je vous en prie ».
Éric : « Non verrons, mais pour l’instant va prendre une douche, tu pues le sexe et après tu prépareras le repas ».
Marie-Claude quitte le séjour en direction de la salle de bains, en ayant toujours dans la tête la dernière phrase de son maître.
À suivre…
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