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Histoire de Sexe Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 23

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Lundi après-midi !

Très mécontent du contrat que lui a envoyé le propriétaire du sex-shop, Éric décide d’aller le voir en compagnie de Marie-Claude, mais pour lui prouver son désaccord, il ordonne à celle-ci de se vêtir comme elle le faisait avant de le connaître, à savoir soutien-gorge, culotte en coton, jupe longue et pull ras du cou.

Marie-Claude se sent incommoder d’être aussi couverte, car depuis plus d’une semaine, elle est plus souvent à poil, que vêtue. Voyant que le courrier du propriétaire à contrarier Éric, elle n’ose rien dire et c’est en silence qu’ils se rendent au magasin.

Éric gare sa voiture près du magasin. Quelques mètres de marche et ils entrent. Dès qu’il les aperçoit le gérant vient vers eux, le sourire aux lèvres et dit en voyant Marie-Claude :

« Vous avez froid ce matin ? »

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Éric : « Absolument pas, mais je ne souhaitais pas que vous puissiez bénéficier de la vue du corps merveilleux et dénudé de Marie-Claude, car je suis très mécontent du contrat que vous m’avez fait parvenir ».

Le gérant : « Comment cela, j’ai repris ce que vous m’avez dit jeudi, je ne comprends pas »

Éric : « Vous allez vite comprendre, notre accord ne tient plus. Vous avez voulu diminuer le salaire de Marie-Claude et les primes, que Marie-Claude fasse des prestations gratuites et le pourcentage diminué. Ce n’est pas honnête. Donc Marie-Claude ne viendra pas travailler pour vous le samedi ».

Et il tourne les talons, en prenant Marie-Claude par la main pour se diriger vers la sortie.

Le gérant : « Attendez Monsieur Dame, on peut s’arranger, je reconnais que j’ai fait quelques erreurs en rédigeant le contrat, mais je peux en refaire un ».

À ce moment, Éric sait qu’il a gagné et qu’il va pouvoir exiger plus que ce qui avait été convenu la première fois. Il se retourne, reviens vers le futur patron de Marie-Claude et dit :

« Bien alors prenez de quoi écrire et noter nos exigences ».

L’homme se dirige immédiatement derrière sa caisse, prend une feuille et un stylo et dit :

« Je vous écoute !»

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Éric : « Je propose que vous embauchiez Marie-Claude pour un salaire de 500 euros pour 8 heures de travail, plus 100 euros la tétée avec branlette. De plus, vous lui fournirez chaque samedi une tenue sexy, qu’elle conservera et une prime de 10 pour cent sur les ventes qu’elle réalisera ».

Le gérant ne compte même pas, trop content de pouvoir récupérer Marie-Claude et de téter ses mamelles pleines de lait. Avant de partir, il va au rayon collier et laisse et prend une laisse en métal qu’il paie et ils quittent le magasin, assurés qu’ils recevront très vite le contrat d’embauche de Marie-Claude.

Une fois de retour dans la voiture, Éric dit :

Éric : « Alors ma petite Marie-Claude, es-tu satisfaite de ce nouvel accord avec ton employeur ? ».

Marie-Claude : « heu… Oui Monsieur Éric, puisque vous-même êtes satisfait ».

Éric : « Tu vas gagner au moins 800 euros pour 8 heures de boulot, c’est génial non ? »

Marie-Claude : « 800 euros ? Mais vous avez dit 500 pour 8 heures »

Éric : « 500 euros plus 100 pour une tétée et une tenue sexy ça coûte entre 100 et 150 euros et 10 pour cent sur le chiffre de tes ventes cela fait au minimum 800 euros »

Marie-Claude : « Mais vous ne craignez pas qu’il change d’avis quand il va réfléchir ? »

Éric : « Je ne crois pas, il est trop content de pouvoir te mater tous les samedis et de pouvoir téter tes grosses mamelles pendant que tu le branles. Allez rassure-toi, tu pourras t’exhiber en montrant tes pis et ton cul à tous ses clients, car je ne doute pas qu’il te choisira des tenues hypersexy pour que tu attires la clientèle ».

Marie-Claude : « Oui mais heu !… Je vais êtes excitée et vais avoir envie de me faire baiser, à m’exhiber ainsi toute la journée… Ne vous fâchez pas mais heu… Vous pourriez peut-être l’autoriser à me baiser une fois au moins gratuitement non… Qu’en pensez-vous? »

Éric : « C’est la pute qui veut se faire baiser qui parle, ou la candidate à un emploi, qui craint de ne pas avoir le poste ? »

Marie-Claude : « Oh ! Heu !… Peut-être les deux, Monsieur Éric, mais je vous laisse décider, vous savez bien ce qui est bien pour moi ».

Éric : « Tu as raison Marie-Claude, c’est moi qui décide… Et ta remarque est pertinente et je suis d’accord pour qu’il te baise gratuitement une fois ».

Éric prend son téléphone et appel le sex-shop et dit au gérant que pour le remercier de son accord, il pouvait noter sur le contrat qu’il pouvait baiser gratuitement Marie-Claude une fois par journée de travail.

L’homme ravi de l’appel, remercie Éric et raccroche.

Marie-Claude : « Merci Monsieur, vous comprenez heu… J’aurais eu du mal à tenir toute la journée à être exhibée sans me faire baiser. Heu… Je peux vous poser une question ? »

Éric : « Oui bien sûr, je t’écoute! ».

Marie-Claude : « Pourquoi vous avez acheté une laisse métallique, il y en a une dans le vide-poche de votre voiture ? »

Éric: « Parce que celle-ci est plus longue, et que lorsque je te promènerais, si tu n’obéis pas je pourrais te fouetter le cul avec ».

Marie-Claude : « Mais ça va me faire mal ! »
Éric : « Oui ma chérie, et quand tu en auras pris un ou deux coups sur les fesses, tu seras très obéissante et puis tu m’as bien dit que tu voulais être fouettée plus durement »

Marie-Claude baisse la tête, humiliée et déçue qu’Éric pense à la dresser, alors qu’elle lui obéit en tout point depuis qu’elle le connaît.

Voyant l’air triste et les yeux humidifiés de Marie-Claude, Éric lui dit :

Éric : « Allez fais, moi, un sourire, si tu es sage et obéissante, je ne te fesserai pas avec la laisse. Mais je te rappelle que tu aimes que je te fesse durement, alors que peut-être tu aimeras recevoir des coups de laisse sur ton postérieur et avoir de belles marques rouges ».

Une nouvelle fois, Marie-Claude est vaincue par les paroles et les caresses de Éric, qui lui propose de rentrer se changer, pour la conduire ensuite à l’institut de beauté. Elle retire ses vêtements et sous-vêtements et enfile une petite robe d’été mi-cuisses avec boutonnage devant et des bretelles spaghettis. Éric lui permet exceptionnellement de mettre un string, car elle devra rentrer seule à pied de chez l’esthéticienne.

Une fois prêts, ils repartent et Éric s’arrête devant le salon de beauté. Il accompagne Marie-Claude et dit à l’esthéticienne qu’il souhaite une épilation intégrale et définitive pour Marie-Claude, comme il l’avait précisé lors de la prise de rendez-vous.

Marie-Claude se retrouve seule avec la jeune femme, qui la conduit dans une cabine de soin où elle précise qu’elle doit se mettre nue et s’allonger sur la table de soin. Marie-Claude retire sa robe et s’allonge sur la table, se recouvrant d’une grande serviette blanche prévue à cet effet.
Quand Noémie, c’est le prénom de l’esthéticienne revient, elle lui sourit, discute quelque instant avec Marie-Claude, lui posant quelques questions pour détendre Marie-Claude. Noémie prend son appareil à épilation à la lumière pulsée et retire la serviette blanche qui recouvre le corps nu de Marie-Claude.

Ce n’est pas la première fois que Marie-Claude vient dans un institut de beauté, mais c’était pour des soins de peau ou l’épilation de ses aisselles ou des jambes, mais jamais pour des endroits intimes.

Tout se passe bien, jusqu’à ce que Noémie lui demande d’écarter les cuisses pour lui épiler le pubis et les lèvres intimes. Quand elle commence à toucher celles-ci, Marie-Claude sent une douce chaleur envahir mon bas-ventre, une chaleur qui s’intensifie pendant toute la durée de l’épilation de la chatte de Marie-Claude. Puis Noémie fait se retourner Marie-Claude, pour épiler son SIF (sillon interfessier), mais étant peu pourvue de poil à cet endroit, elle a très vite terminé son travail.

L’esthéticienne demande ensuite à Marie-Claude de se remettre sur le dos pour lui passer une crème apaisante. Marie-Claude obéit, c’est d’ailleurs ce qu’elle sait faire de mieux, et Noémie commence à masser ses aisselles, puis ses jambes remontant des chevilles jusqu’en haut de ses cuisses, Ensuite, elle commence à masser son sexe, s’attardant sur le clitoris et les lèvres intimes. Elle joue avec en les massant l’une après l’autre, en les écartant et Marie-Claude commence à mouiller de plus en plus..

Noémie fait se retourner Marie-Claude pour masser son sillon, et là, elle masse plus que de raison, ses fesses et son œillet, Marie-Claude commence à gémir et elle se repasse dans la tête les images avec Michelle à la pharmacie. Sa chatte coule et Noémie sans aperçoit. Elle se penche alors et Marie-Claude sent les lèvres de Noémie se poser sur ses fesses, puis c’est sa langue, qui suit son sillon avant de s’attarder sur sa rosette. Soudain, elle sent son téton frotter son petit trou, et elle constate que cette coquine de Noémie à ôter sa blouse blanche et qu’elle est nue derrière elle, frottant ses tétons contre le cul de Marie-Claude. Elle est au bord de la jouissance et Noémie s’en aperçoit, aussi elle remplace son téton par son majeur, elle frôle l’anus de Marie-Claude et d’un coup, elle enfonce son doigt en totalité dans son fondement. Elle crie, mais est-ce de surprise, de douleur ou de plaisir ? Probablement des trois, mais très vite le plaisir a été le plus fort et elle jouit, comme une chienne, inondant le drap recouvrant la table.

Marie-Claude s’écroule sur la table, mais Noémie vient se placer devant elle, cuisses ouvertes et lui demande de la faire jouir à son tour. Elle s’assoit sur la table, devant son visage et la prenant par les cheveux, elle plaque son visage contre sa vulve trempée et dit :

Noémie : « Lèche-moi salope, lèche-moi la chatte, suce mon clito et bouffe-moi le cul, je ne te lâcherais pas avant que j’aie joui et maculé ton joli visage de cyprine ».

Marie-Claude : « Oh oui ! Je vais dévorer ta petite chatte de gouine et t’enculer avec mes tétons et mes doigts, jusqu’à ce que tu demandes grâce ».

Marie-Claude commence par lui lécher sa chatte, aspirant ses lèvres pour les allonger, puis elle remonte sur son clitoris, glissant deux puis trois doigts dans son antre. Elle masturbe sa chatte de ma main droite, et la gauche saisit son sein droit, le caresse, le palpe de plus en plus durement, pince son téton et tire dessus. Noémie gémit de plus en plus et se tortille sous les caresses de Marie-Claude. Elle lâche son sein et la fait se retourner, pour qu’elle lui présente son cul, cul que Marie-Claude lèche et qu’elle pénètre de mon majeur sans résistance, tellement celui-ci est lubrifié de mouille et de salive. Il ne faut pas très longtemps à Marie-Claude pour la faire jouir et elles s’écroulent dans les bras l’une de l’autre, et s’embrassent. Elles restent ainsi, pendant de longues minutes.

Marie-Claude descend de la table, et remet ma robe, et alors qu’elle s’apprête à prendre mon string, l’esthéticienne lui dit :

Noémie : « Laisse le ici, tu n’en as pas besoin, tu te sentiras encore plus vulnérable sans rien sous ta robe et totalement lisse ».

Marie-Claude : « Convaincue et obéissante, elle lui tend son petit sous-vêtement, l’embrasse à pleine bouche et quitte l’institut. Elle rentre à pied, encore excitée, et ce n’est pas le léger vent qu’elle sent sous sa robe et entre ses cuisses qui calment ses sens et son envie de sexe.

En arrivant chez Éric, Marie-Claude est trempée de sueur, car faire plus de deux kilomètres à pied par cette chaleur lui a donné chaud, et le fait de traverser une partie de la ville à pied, en robe courte sans aucun dessous et seule, l’a également excitée et elle sent que son sexe à couler le long de ses cuisses. Elle s’apprête à retirer sa robe et à montrer sa chatte et son sillon fessier à Éric, quand celui-ci dit :

Éric : « Non pas maintenant. Tu me montreras plus tard. Va prendre une douche pour te rafraîchir et ensuite nous irons manger une grillade en ville.
Marie-Claude revient douchée et maquillée, avec la même petite robe courte et légère qu’elle avait pour se rendre chez l’esthéticienne. En ce rendant jusqu’à la voiture, qui est garée devant la maison, un coup de vent soulève la robe de Marie-Claude, et dans un réflexe, Marie-Claude rabaisse sa robe de la main. Éric le lui reproche aussitôt, en lui disant qu’elle doit laisser faire le vent et permettre que celui-ci dévoile son cul.

Ils montent en voiture, en direction du centre-ville. Éric gare sa voiture sur un parking et entraîne Marie-Claude dans le centre en espérant que d’autres coups de vent dévoileront le cul de sa soumise, et que des passants pourront admirer les fesses de la belle. Ils empruntent différentes petites rues très fréquentées, dans le but d’exhiber le postérieur de Marie-Claude. Celle-ci sent le vent sur ses cuisses et son sexe lisse. Elle craint que le vent ne soulève sa petite robe légère, car elle a en mémoire la remontrance de son maître. Bien évidemment, le vent ne manque pas de lui jouer des tours et de relever son joli postérieur à ceux et celles qui la suivent. Ce qui amuse beaucoup Éric, en voyant la gêne, qui se lit sur le visage de Marie-Claude.

Arrivés au restaurant, ils s’installent à la terrasse et commande un verre de vin et une grillade salade. Marie-Claude, assise en face de la rue, garde les jambes légèrement écartées. Éric lui en fait la remarque, l’obligeant à ouvrir davantage ses cuisses, afin que lui placer dos à la rue, puisse voir son sexe lisse. Marie-Claude obéit bien sûr et s’ouvre davantage, montrant sa chatte à son maître, sachant que tout passant qui regarderait dans sa direction, verrait également son sexe.

Après le repas, sur le chemin du retour en direction du parking, Éric l’oblige par deux fois, Marie-Claude a marché devant elle, en relevant sa robe pour lui montrer ses fesses, sans se préoccuper des personnes susceptibles de les suivre. Marie-Claude une nouvelle fois humiliée, obéie à Éric et lui montre ses fesses.

Arrivé sur le parking, quasiment désert, il demande à Marie-Claude après avoir ouvert sa portière, de retirer sa robe et de rentrer dans la voiture, entièrement nue. Elle hésite, implore Éric de revenir sur sa décision, mais rien n’y fait, il lui rétorque juste qu’elle sera punie et vaincue elle retire sa robe et s’engouffre dans le véhicule pour se mettre à l’abri.

Pendant le trajet, Éric dit à Marie-Claude son mécontentement pour avoir hésité et tenter de faire fléchir son maître. Marie-Claude ne répond pas et reste silencieuse jusqu’à leur arrivée chez Éric. Elle pense que maintenant elle est à l’abri, que son maître va garer son véhicule dans le garage. Mais c’est mal connaître son maître, qui gare sa voiture sur le trottoir et fait descendre Marie-Claude de voiture, nue dans la rue, à la vue possible de voisin.

Éric prend son temps pour fermer à clé le véhicule et faire les quelques mètres jusqu’à la porte d’entrée de la maison. Lorsqu’elle passe devant lui pour se mettre à l’abri de regards indiscrets possibles, il lui donne une claque sur les fesses. Marie-Claude va directement dans la chambre se déshabiller, car elle doit toujours être nue, chez son maître.

Pendant ce temps, Éric téléphone a Marcel et l’invite à venir boire un café. Quand il a terminé sa conversation, Éric dit à Marie-Claude :

« Prépare le café et mets deux tasses, Marcel vient boire un café avec nous et comme je suis très mécontent de ta désobéissance, tu peux mettre une gamelle par terre parce que ce soir, tu ne mérites pas de te mettre avec nous ».

Marie-Claude : « . Heu ! Oui très bien Monsieur Éric. Je suis désolée de vous avoir désobéi. Je ne recommencerai pas promis ».

C. : « J’accepte tes excuses, mais tu seras tout de même punie. Approche, je vais te mettre ta laisse, tu devras marcher à 4 pattes toute la soirée ».

M. : « heu ! Oui très bien Monsieur Éric ».

À ce moment Marcel sonne à la porte. Éric tient Marie-Claude en laisse, elle est à 4 pattes complètement nue, avec juste son collier de soumise et la laisse par laquelle elle est tenue comme une chienne. Éric la tire vers la porte d’entrée et ouvre la porte. Marie-Claude se sent complètement humiliée. Elle a les larmes aux yeux, mais cela lui procure une excitation qui devient de plus en plus intense. La cyprine coule entre ses cuisses et ses seins durcissent.

Éric ouvre la porte à Marcel.

Éric : « Bonjour Marcel, entre ! Je ne te présente pas ma petite chienne, elle est punie car pas très obéissante.

Marcel entre, mais il est comme estomaqué de voir sa femme, nue et tenue en laisse à 4 pattes comme une chienne. Il entre sans dire un mot, son regard ne décroche pas de Marie-Claude. Il la regarde se faisant tirer par la laisse et guider par mon maître.

Éric : « Alors Marcel, comment vas-tu ? Ah Marie-Claude !, Va nous chercher le café ».

En disant cela, Éric lui ôte sa laisse et lui donne une grosse tape sur les fesses. Elle va aussitôt dans la cuisine à 4 pattes chercher la caféière..

Une fois dans la cuisine, Marie-Claude se rend compte qu’elle doit se lever pour prendre le café. Alors elle retourne à 4 pattes dans le salon pour demander à Éric, si elle peut se lever pour faire le service.

Marie-Claude : « heu ! Monsieur Éric, pardon de vous déranger, mais heu ! Je dois me lever pour faire le service, est-ce que je peux ? »

Marcel la regarde bouche bée, n’en revenant toujours pas de ce qu’il voit.

Éric : « Oui bien sûr après le service, tu te remettras à 4 pattes comme une bonne chienne et tu viendras te mettre à mes pieds . Prends une gamelle d’eau fraîche pour toi, ma petite chienne ».

Marie-Claude : « heu ! Oui bien sûr Monsieur Éric ».,.

Elle retourne à la cuisine, toujours à quatre pattes…

Éric : « Alors Marcel, tu n’es pas très bavard, tu as l’air étonné de voir ta femme tenue en laisse. Eh bien c’est sa punition pour m’avoir désobéi aujourd’hui »…

Marie-Claude revient quelques instants plus tard avec un plateau et dessus la cafetière et une carafe d’eau, Elle pose le tout sur la table basse du salon. Éric lui rattache aussitôt la laisse et dit :

« Couché ! Au pied ! ».

Éric sert les cafés et met de l’eau dans la gamelle de Marie-Claude. Celle-ci se couche près de son maître et celui-ci pose la gamelle près d’elle.

« Tu vois Marcel ta femme a désobéi à un de mes ordres aujourd’hui, et sa punition et d’être traitée comme une chienne, tenue en laisse par son maître. D’ailleurs, elle va devoir boire en lapant comme un animal. Ça devrait lui servir de leçon pour les prochaines fois, tu n’es pas d’accord Marcel?

Marcel. : « Heu !… Eh bien heu !… Si elle vous désobéit heu ! Oui enfin qu’a-t-elle refusé de faire? »

Marie-Claude se met à 4 pattes aux pieds de Éric, comme une chienne obéissante et lape quelque gorgée d’eau dans sa gamelle pendant que les deux hommes discutent. Marie-Claude sent l’excitation montée en elle.

Éric : « Elle a refusé de se mettre nue dans la voiture pour revenir du restaurant ; Mais regarde cette chienne, elle se frotte à moi, je suis sûr qu’elle mouille la salope ».

Marie-Claude écoute son maître,expliquer à Marcel sa désobéissance. De plus en plus excitée, elle commence à frotter sa chatte et son cul sur la jambe de Éric.

Éric : « Regarde comme ça l’excite d’être traitée ainsi, elle ne pense qu’à une chose, se prendre une bite dans le cul ».

Marcel ; « heu !… Tu crois vraiment que c’est ce qu’elle veut? »

Éric; « Voyons Marcel, ce n’est pas des puces qui la grattent, elle n’a plus de poils. Rends-toi à l’évidence, ta femme est une chienne, et je suis arrivé à temps pour la prendre en main ».

Marcel ; « Si tu le dis, enfin c’est tout de même ma femme ! »

Éric ; « Si peu ! Marie-Claude est avant tout ma chienne, même si elle est liée à toi par le mariage, tu n’as plus aucun droit, ni pouvoir sur elle. Tu veux qu’on lui demande ? ».

Marcel ; « heu ! Oui je veux bien ».

Éric: « Marie-Claude, va jusqu’à la porte, et ensuite tu reviens et tu lèches le pantalon de celui, avec qui tu veux rester.

Aussitôt, Marie-Claude se met à quatre pattes, va jusqu’à la porte et reviens et place sa tête sur l’entrejambe de Éric et lèche son pantalon.

Marcel déçu, même s’il ne se faisait pas trop d’illusion, se lève et dit à Éric :

« Tu as gagné, mais pense tout de même que le week-end, elle est avec moi ».

Éric ; « Oui Marcel, je le sais, mais combien de temps accepteras-tu cette situation, avant de me l’abandonner ? Au revoir Marcel, et bonne semaine ».

Marcel quitte la maison et une fois seul avec sa chienne, il lui ordonne d’aller se coucher dans la chambre d’ami, car elle ne mérite pas ce soir de dormir avec lui.

Déçue, car elle pensait qu’Éric, lui avait pardonné, elle se rend dans la chambre. Éric lui retire sa laisse et son collier et dit :

« Je ne t’attache pas pour la nuit, mais je t’interdis de te caresser. Si tu me désobéis tu seras punie très sévèrement ».

Marie-Claude craignant d’être punie, se contient et s’endort, malgré l’envie de se caresser.

À suivre…

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