Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 24

Mardi !

 

 

Une nouvelle fois, Marie-Claude se lève la première et comme la veille, elle ouvre les fenêtres et prépare le petit-déjeuner. Quand Éric se lève, il pose un short et une brassière acheter la veille sur le lit, avant de rejoindre Marie-Claude dans la cuisine. Il l’embrasse et lui caresse les fesses et les seins, avant de s’asseoir à table. Marie-Claude vient près de son maître, et ils déjeunent tranquillement, avant que la belle aille se préparer pour leur jogging.

Marie-Claude met la tenue, qui est sur le lit, comprenant que c’est ce qu’Éric souhaite qu’elle porte. En mettant la brassière, elle constate que celle-ci ne couvre que la partie haute de sa poitrine, jusqu’à 2 centimètres au-dessous de ses aréoles. Et en courant, la brassière risque de remonter et dévoiler les trois quarts de ses mamelles.

Et enfilant ensuite le short, celui-ci est tellement juste qu’il lui rentre dans la raie des fesses, mais aussi entre les lèvres intimes. Elle vient retrouver Éric dans la cuisine et dit :

Marie-Claude : « Monsieur, regardez ma tenue est trop petite ! ».

Éric : « Au contraire, tu es parfaite dans cette tenue. Elle couvre juste tes mamelles pour que tu ne sois pas indécente et ton short dévoile tes fesses et ton joli cul musclé ».

Une nouvelle fois, Marie-Claude se laisse convaincre et se dirige vers la porte du garage, quand Éric l’arrête.

Éric : « Non Marie-Claude, ce matin nous partons à pied d’ici, nous traverserons une partie du lotissement, puis nous prendrons le petit chemin à travers les champs pour gagner le bois, et nous reviendrons par le même chemin ».

Marie-Claude commence à paniquer, sachant très bien qu’elle risque d’être vue par beaucoup de voisins, dans cette tenue très osée, et en compagnie de son amant, alors qu’elle est mariée, mais elle obéit, sachant qu’Éric fait cela pour son bien.

Ils sortent de la maison de Éric, et partent en trottinant en passant devant la maison de Marie-Claude, passent devant les maisons de la rue, avant de tourner à droite et de parcourir une autre rue du lotissement. Marie-Claude sent sa poitrine tressauter à chaque foulée et que la brassière remonte sur ses mamelles. Le short rentre de plus en plus en elle. Elle a l’impression que l’entrejambe du short a disparu dans sa vulve et qu’elle court la chatte à l’air.

Marie-Claude est de plus en plus habituée à être exhibée par son voisin, et elle est plus excitée que gênée de courir ainsi. Après avoir quitté le lotissement, ils empruntent un petit chemin pour traverser des champs et pénétrer dans le bois. Là, ils font une pause. Éric constate que la brassière est remontée et découvre totalement la poitrine de sa soumise et que le short a disparu entre les lèvres intimes de la belle. Il constate aussi que le haut de ses cuisses est mouillé et se doute que ce n’est pas que de la sueur. Après un arrêt, assis sur la souche d’un tronc d’arbre, Éric réajuste la brassière de Marie-Claude.

« Voyons ! Remets ta brassière correctement, tes mamelles sont à l’air, que vont penser les voisins, s’ils te voient ainsi ? »
Éric, tout en lui faisant ce reproche, est fier de sa belle, qui n’a pas tenté de cacher elle-même sa poitrine. Ils repartent par le même chemin, et Éric sait que lorsqu’ils arriveront dans leur rue, Marie-Claude aura certainement de nouveau les tétons à l’air. Marie-Claude s’en doute également, mais ne fait aucune remarque, excitée de courir à demi-nue.

En traversant le lotissement, elle court en regardant droit devant elle, ne souhaitant pas voir si d’éventuel voisin ou voisine ne la voit. Une fois rentrés chez Éric, ils se désaltèrent et Éric lui retire lui-même sa brassière et son short, lui faisant remarquer qu’elle est trempée. Il lui demande de ne pas prendre de douche, car il la veut excitée pour l’arrivée des jeunes.

Elle va dans la chambre se couvrir de son peignoir en soie. Celui-ci est court, il lui arrive à mi-cuisses et le dos est totalement transparent.

C’est Éric qui accueille les garçons et Marie-Claude s’avance à leur rencontre, leur fait la bise en frottant ses mamelles contre leur torse. Puis la séance de pompage de bites commence. Marie-Claude leur vide les couilles dans le même ordre que les fois précédentes, mais les garçons s’enhardissent de plus en plus, en dévoilant et malaxant la poitrine de Marie-Claude assez durement. Certain comme Alain va même jusqu’à l’insulter en la traitant de salope, traînée, pompe à sperme.

Après avoir sucé et avalé le mélange des 5 spermes, Éric invite les garçons à venir boire un verre de jus de fruit sur la terrasse. Marie-Claude les rejoint quelques minutes plus tard, le temps pour elle de se laver les dents et de retirer son peignoir. C’est totalement nue qu’elle apparaît sur la terrasse. Les jeunes restent sans voix, bouches bées, car c’est la première fois qu’ils la voient intégralement nue. Marie-Claude fait le service et ils commencent à discuter, même si les garçons ne quittent pas Marie-Claude des yeux.

Éric et Marie-Claude apprennent qu’ils sont tous issus de famille très aisée, à l’exception d’Alain, qui vit seul avec sa mère, et que c’est par hasard qu’il était en compagnie des quatre autres, le jour où Thibo les a recrutés. Les 4 amis partent en août en vacances, seul Alain qui a besoin d’argent pour ses études reste dans la région et cherche du travail comme jardinier paysagiste, mais que malheureusement pour l’instant il n’a encore rien trouvé.

Éric leur propose alors son jeu de cartes, et ils adhèrent aussitôt et c’est Charles qui est désigné pour prendre une carte. Il tire la carte : « Marie-Claude est un esquimau ». Ils demandent immédiatement ce que cela signifie. Éric leur explique qu’ils doivent mettre les mains dans le dos et imaginer que Marie-Claude est une glace, qu’ils ne peuvent se servir que de leur bouche pour lécher, sucer, aspirer, mordiller, pénétrer toutes les parties du corps de Marie-Claude, et ils doivent changer de place régulièrement pour varier les plaisirs.

Marie-Claude débarrasse la table des verres et de la carafe et s’allonge sur la table, les mains derrière la tête et les cuisses ouvertes, offrant aux 5 bouches gourmandes tout son corps. Ils se jettent sur elle, comme des morts de faim. Deux sur ses seins, un sur sa bouche, un sur son sexe et le dernier sur ses pieds. Éric supervise le jeu et oblige les garçons à changer de morceaux de chair afin de varier les plaisirs cela pendant une heure.

Marie-Claude n’a jamais connu un tel délice que de se faire lécher, sucer et même mordre. Quel plaisir de se faire aspirer les tétons et en même temps se faire pénétrer la chatte par une langue chaude et humide, même inexpérimentée, une autre qui vous lèche les aisselles ou les orteils et la dernière qui se mêle à la sienne dans sa bouche.

« Oh Monsieur Éric ! Quelle super idée que de me livrer en pâture à 5 bouches en même temps ».

Marie-Claude jouit plusieurs fois, sous le traitement de ses garçons et c’est épuisée qu’elle les remercie et les embrasse lorsqu’ils partent.

Éric raccompagne les jeunes jusqu’à la porte et retient Alain en lui demandant de rester, car il a peut-être quelque chose pour un job. Il revient avec Éric sur la terrasse. Marie-Claude est allongée sur l’un des transats où elle s’est endormie. Éric imagine qu’Alain pense qu’il va lui communiquer une ou deux adresses où il peut aller de sa part.

Éric le surprend en lui proposant de travailler pour lui, qu’il sera payé 1500 euros par mois et pourra même déjeuner avec eux le midi. Il commencera à 9 h et jusqu’à 13 h et de 14 h à 17 heures. Il s’occupera du nettoyage de la piscine, de l’entretien de la pelouse et des parterres, sachant que c’est Marie-Claude qui décide des fleurs à planter. Il ajoute enfin qu’il devra aussi s’occuper de Marie-Claude.

Alain est très satisfait de la proposition de Éric, sachant qu’il sera capable de faire les tâches qu’Éric vient de lui énumérer à l’exception de la dernière, où il a besoin de précisions.

Alain : « Qu’entendez-vous par s’occuper de Marie-Claude, Monsieur Éric ? »

Éric: « Tu continueras à venir le matin avec tes amis, jusqu’à ce que ceux-ci partent en vacances pour donner sa dose de sperme à Marie-Claude, et faire le petit jeu de cartes commencé aujourd’hui. Après le départ de tes amis, tu devras prendre soin d’elle, même en ma présence.

Alain : « Et ça consiste à faire quoi exactement? »

Éric: « Je te précise que bien sûr tu seras payé même quand tes amis seront là »

Alain ; « Même quand elle nous suce et qu’on joue après ? »

Éric : « Bien sûr, c’est pour le bien-être de Marie-Claude, c’est donc normal que je te rémunère pour cela. Autrement, tu devras toujours vérifier qu’elle a le corps parfaitement enduit d’huile solaire, lorsqu’elle s’allonge au soleil pour bronzer ».

Alain ; « Même ses fesses et son…»

Éric ; « Bien sûr, surtout ses seins, ses fesses et sa chatte, je ne souhaite pas qu’elle prenne un coup de soleil sur les parties sensibles de son corps ».

Alain : « Compris ! J’en prendrais soin »

Éric ; «  Je n’en doute pas un seul instant. Tu devras aussi lui faire faire une heure de sport par jour, pour qu’elle retrouve la ligne (abdominaux, fessiers, cardio) »,

Alain; « Oh ça va, je fais pas mal de sport ! »

Éric ; « Oui mais Marie-Claude n’aime pas trop souffrir, du moins pas de cette façon. Tu devras te montrer très ferme et même menacer de la punir »

Alain; « Mais je ne pourrais pas la punir ».

Éric ; « Ne t’inquiète pas, je suis là pour cela »

Alain: « Ouf ! Je me voyais mal punir Marie-Claude ».

Éric : « Non, mais tu assisteras à ses punitions. Cela sera plus humiliant pour elle et autrement tu devras la promener en laisse à quatre pattes comme la petite chienne qu’elle est, lui faire faire ses besoins près du tas de déchets au fond du jardin et ensuite de ramasser ses excréments et les mettre dans les ordures et après la passer au jet, pour lui laver les orifices ».

Alain semble un peu surpris de ses précisions, mais est émoustillé de s’occuper de la belle soumise de son patron et d’être rémunéré pour cela.

Éric enchaîne en lui disant que le reste du temps, il devra tondre la pelouse une fois par semaine, s’occuper des arbustes. Il pourra aussi aider Marie-Claude à agencer ses parterres de fleurs et nettoyer la piscine tous les matins.

Alain demande la permission de téléphoner à sa maman pour lui annoncer la bonne nouvelle.
Bien sûr, il lui dit qu’il est engagé pour s’occuper des extérieurs de la propriété de Éric, mais ne parle pas de Marie-Claude.

Pendant qu’Alain téléphone à sa mère, Éric réveille Marie-Claude et lui annonce qu’il a embauché Alain pour nettoyer la piscine et s’occuper des extérieurs de la propriété.

Marie-Claude est contente de la nouvelle, car Alain est un peu son chouchou et reste allongé sur le transat. Éric lui annonce ensuite que le garçon est aussi chargé de s’occuper d’elle et lorsque Alain revient sur la terrasse, Éric lui dit :

Éric : « Alain, je crois que Marie-Claude ne sait pas protéger avec de l’huile solaire ».

Alain s’approche de Marie-Claude et saisit la bouteille d’huile solaire et dit :

« Excusez-moi, Marie-Claude mais je dois prendre soin de vous et vous mettre de l’huile sur le corps ».

Éric : « Alain, tu ne dois pas t’excuser pour t’occuper de Marie-Claude, mais lui dire – Marie-Claude, tu ne dois pas aller au soleil sans te protéger, et tu lui verses de l’huile sur le corps et tu la masses pour enduire tout son corps ».

Alain verse alors de l’huile sur les épaules de Marie-Claude et commence à la masser, les épaules, puis les bras et il descend sur ses seins. À peine a-t-il touché ses pis, que les tétons de Marie-Claude se dressent. Éric qui assiste au spectacle note que Marie-Claude écarte davantage ses cuisses. Alain descend ensuite ses mains sur le ventre de la belle, qu’il masse consciencieusement. Ensuite, il se déplace et prend un pied de Marie-Claude, qu’il masse puis l’autre avant de remonter sur les mollets de la soumise. Lorsqu’il arrive sur les cuisses de Marie-Claude, cuisses largement écartées, il reverse un peu d’huile sur celles-ci et ses mains remontent vers le sexe de Marie-Claude.

Alain commence à masser le sexe de Marie-Claude. Celle-ci s’ouvre de plus en plus et gémis sous les mains du garçon. Ils écartent les lèvres intimes de la belle et les patries.

Marie-Claude : « Oh oui Alain ! Continue… Branle-moi ! Je t’en prie fais, moi, jouir… ».

Alain bande comme un âne, mais se retient pour ne pas violer Marie-Claude. Il arrête et s’éloigne du transat en lui disant, dans une demi-heure, il faudra te tourner pour cuire l’autre face. Marie-Claude est déçue, mais comprend la réserve du garçon. Elle se laisse aller à rêver qu’il la prendra plus tard. Alain lui, va s’occuper de la piscine et branche l’aspirateur flottant pour enlever les quelques feuilles qui flottent à la surface.

Cela fait maintenant trente minutes que Marie-Claude est allongée sur le dos, offrant son corps au soleil. Éric est à quelques mètres d’elle en train de préparer le barbecue. Éric profite de ce que la belle somnole pour dire à Alain :

Éric: « Tout à l’heure en regardant masser Marie-Claude, j’ai constaté que tu bandais fort. Mais tu sais, tu peux lui demander de te sucer, quand tu en as envie ».

Alain :« Oh ! Merci Monsieur Éric »

Et il va vers le transat, où Marie-Claude est endormie.

« Allez Marie-Claude, c’est cuit ! Il faut vous retourner » dit-il en souriant.

Marie-Claude regarde son jeune admirateur, lui sourit et se dresse sur le transat pour changer de position et de s’allonger sur le ventre. Le garçon procède de la même manière que précédemment. Il commence par enduire les épaules, puis les omoplates avant de descendre sur le bas du dos de la soumise. Ensuite, il s’occupe des pieds de Marie-Claude et remonte sur ses jambes. Les mollets, les genoux et les cuisses de Marie-Claude sont tout à tout recouvert d’huile solaire.

Puis Alain commence à huiler les fesses de sa « patronne ». Il caresse et malaxe le postérieur de Marie-Claude avec plus ou moins de douceur et de dynamisme. Marie-Claude semble apprécier le massage de son fessier par le jeune homme. Éric constate que sa maîtresse s’ouvre davantage et soulève parfois son popotin, allant ainsi au-devant des mains d’Alain.

Alain verse de nouveau de l’huile sur le corps de Marie-Claude, visant la raie culière de la soumise. Il écarte les deux globes musclés de Marie-Claude et commence à masser le sillon de Marie-Claude. Après avoir bien caressé la raie de la belle, il s’attarde sur la rondelle de la soumise. Marie-Claude se trémousse et geint sous la caresse du jeune homme.

Marie-Claude : Oh oui Alain ! Continue…Encule-moi !… Fais-moi jouir du … »

Alain ne laisse pas le temps à Marie-Claude de finir sa phrase et enfonce d’un coup son majeur dans le fondement de Marie-Claude. Son doigt a totalement disparu dans le fion de Marie-Claude.

Marie-Claude : « Oh petit salaud ! Oh que c’est bon ! »

Alain branle maintenant le cul de Marie-Claude et ajoute son index dans la rondelle de la belle. Cela fait maintenant près d’une dizaine de minutes que Marie-Claude se fait branler le fion, quand Alain décide de mettre un troisième doigt dans le cul de la soumise. Celle-ci se tortille dans tous les sens, criant son plaisir et elle ne tarde pas à jouir alors que les doigts d’Alain sont plantés dans son cul.

Alain retire ses doigts, baisse son short et approche son sexe tendu du visage de Marie-Claude. Celle-ci attrape la bite d’Alain et l’englouti totalement dans sa bouche. Après quelques caresses buccales, Alain sent qu’il va jouir et tente de se retirer de la bouche de Marie-Claude, mais celle-ci le retient en maintenant fermement ses fesses pour le maintenir au fond de sa gorge et Alain jouit dans le gosier de la soumise, remplissant la bouche de Marie-Claude de sa liqueur virile. Marie-Claude lâche alors le jeune homme, qui se retire de la bouche gourmande de la belle. Elle avale le sperme d’Alain et nettoie le sexe d’Alain. Marie-Claude sourit au jeune et lui dit :
« Merci Alain ! Ton sperme est encore meilleur quand il est tout chaud. Maintenant je veux que tu jouisses toujours dans ma gorge ».

Alain se lève, remet son short et va chercher le collier et la laisse de Marie-Claude. En revenant, il lui donne une claque sur les fesses de la belle et lui dit :

« Allez Marie-Claude, c’est l’heure de la ballade avant de déjeuner »

Et il attache le collier autour du cou de Marie-Claude. Puis il fixe la laisse. Marie-Claude se lève pour suivre son jeune accompagnateur.

À ce moment-là, Éric qui a assisté à toute la scène, dit à Alain :

Éric: « Tu es sûr de ne rien avoir oublié ? »

Alain : « heu… Je ne crois pas, enfin heu ! »

Éric : « Tu as bien mis tes doigts dans le cul de Marie-Claude ? »

Alain : « Ah oui ! J’ai oublié de me laver les mains »

Éric : « Non, tu as tout faux. C’est Marie-Claude qui doit te nettoyer les doigts avec sa langue et sa bouche, de même qu’elle devra te nettoyer la bite quand tu l’enculeras. Allez donne-lui tes doigts à lécher. »

Alain de la remarque de son patron, tend sa main vers le visage de Marie-Claude. Celle-ci ouvre aussitôt ma bouche et commence par lécher les doigts du jeune homme, avant de les mettre dans sa bouche, et de les lécher consciencieusement.

Marie-Claude toujours en laisse se redresse pour la ballade.

Alain : « Non Marie-Claude ! À quatre pattes ma belle, comme la petite chienne que tu aies ».

Marie-Claude est surprise autant de l’ordre donné que du tutoiement du garçon, mais obéis.

Alain marche tranquillement dans la propriété, obligeant Marie-Claude à marcher au pied, c’est-à-dire juste a côté de lui. Alain profite parfois pour flatter la tête de Marie-Claude et il lui dit :

Alain: « Quand tu as envie de faire tes besoins, tu aboies comme une bonne petite chienne ».

Et la ballade reprend pendant encore une dizaine de minutes, lorsque :

Marie-Claude : « waouh ! Waouh ! »

Alain s’arrête dans le fond du jardin, et regarde Marie-Claude. Celle-ci écarte le plus possible ses jambes et urine devant le jeune homme, un jet puissant, chaud et odorant.

Lorsqu’elle a fini, elle avance pour faire comprendre à Alain qu’elle a fini et celui-ci la conduit sur la dalle de béton. Il attache la laisse à un poteau, saisit du tuyau d’eau et tourne le robinet. La pression est forte et Alain approche le jet de la chatte de Marie-Claude et lui nettoie le sexe à l’eau froide. Puis il regagne la terrasse, où Alain libère la femelle de sa laisse et de son collier. Marie-Claude se met immédiatement debout, et s’étire, car elle a mal au dos, d’avoir marché à quatre pattes pendant plus d’une demi-heure.

Alain lui donne une claque sur les fesses et dit :

« Vous pouvez vous reposer. Vous êtes une bonne petite chienne ».

Marie-Claude est surprise que le jeune homme reprenne ses vouvoiements, mais se dit qu’Alain veut juste montrer son autorité lorsqu’elle en « mode chienne », et elle sourit.

Après le déjeuner, Marie-Claude demande des conseils à Alain, pour agencer au mieux ses parterres de fleurs. Ils partent tous les deux dans le jardin. Pendant ce temps, Éric reçoit un appel du photographe, lui confirmant qu’il a terminé les travaux qu’il lui a confiés. Il décide que les portraits seront livrés et installés les tableaux dans la maison de Marie-Claude.

Alain conseille Marie-Claude sur les fleurs à planter et il la laisse dans le jardin, et revient sur la terrasse. Éric l’entraîne alors chez Marie-Claude, où il lui explique qu’il veut disposer les meubles différemment. Après réflexion, il modifie la place des meubles du séjour, afin de laisser une place stratégique sur le mur principal de la pièce pour mettre en évidence le portrait grandeur nature de Marie-Claude. Ensuite, ils vont dans le bureau de Marcel, qu’il aménage également d’une autre façon pour les deux autres tableaux soient vus dès qu’on arrive dans cette pièce.

Éric ne donne aucune information à Alain sur le bien-fondé de ses changements.

Lorsqu’il revient sur la terrasse, Marie-Claude est dans la piscine à barboter. En voyant les deux hommes revenir, elle demande :

Marie-Claude :  « Excusez-moi Monsieur Éric, je peux savoir ce que vous êtes aller faire chez moi ? »

Éric : «  Tu verras cela demain, mais pour l’instant il serait bon que tu fasses un peu de sport. Alain, tu peux faire faire quelques longueurs de piscine à Marie-Claude ? »

Alain : « Oui monsieur tout de suite ».

Alain plonge aussitôt dans la piscine rejoindre la soumise et la fait nager pendant une bonne demi-heure, en l’encourageant :

« Allez Marie-Claude, plus vite ! Encore un effort ! C’est pour votre bien ! Vous serez encore plus jolies dans quelque temps ! »

Au bout d’une demi-heure de nage, Alain fait sortir Marie-Claude de l’eau. Alors qu’elle sort de la piscine, Alain lui donne une claque sur les fesses :

« C’est bien, Marie-Claude ! ».

Alain prend ensuite congé de ses employeurs, avec le sentiment d’avoir consciencieusement fait son travail, et que Monsieur Éric est satisfait de lui. Une fois seul, le couple décide de passer une soirée tranquille en restant à la maison.

 

À suivre…