Jeudi !
Ce matin, c’est Éric qui se lève le premier et après s’être rasé et douché, il est allé dans la cuisine préparer le café et ouvrir les fenêtres de la maison. Il jette un œil dans la chambre. Marie-Claude dort encore. Il faut préciser qu’après la punition de sa belle et le dîner, ils avaient eu une nuit tumultueuse.
Cela fait maintenant une heure qu’il est debout, lorsque l’on sonne à la porte. Il va ouvrir et n’est pas surpris de trouver face à lui, la jeune femme de la boulangerie, avec un sac en papier rempli de viennoiseries.
Éric : « Bonjour Mademoiselle, mais entrez ! »
« Bonjour Monsieur, je viens livrer les viennoiseries que vous avez commandées hier matin »
Éric : « Très bien, je suppose que vous voulez voir Marie-Claude? »
« Heu !… Oui enfin si votre femme… est libre ».
Éric : « Moi c’est Éric et vous quel est votre prénom? ».
« Fabienne, Monsieur, je me prénomme Fabienne ! ».
Éric : « Marie-Claude n’est pas ma femme, mais celle de mon voisin et elle dort encore, mais elle ne devrait pas tarder à apparaître. Donnez-moi votre veste et asseyez-vous, nous allons prendre le café en attendant ».
La jeune femme s’assoit et remercie Éric pour la tasse de café. Éric constate qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, mais qu’elle est pourvue d’une très belle poitrine. Il lui propose un croissant et lui demande :
Éric : « Pourquoi voulez-vous voir Marie-Claude, pour baiser avec elle ? »
La jeune femme est surprise que son interlocuteur lui pose une question aussi directe et bafouille :
Fabienne : « heu !…Oui… Enfin pas que cela… »
Éric : « Oui je vous écoute »
Fabienne : « Enfin voilà !… Je heu !… J’aimerais savoir comment fait Marie-Claude pour oser se promener à moitié nue car…Heu !… »
Éric : « Vous aimeriez pouvoir faire pareil, mais vous n’osez pas ? ».
Fabienne : « Oui… C’est à peu près cela »
À cet instant, Marie-Claude arrive dans la cuisine entièrement nue bien sûr.
Éric : « Elle va vous l’expliquez elle-même, puisqu’elle est là ».
Marie-Claude salue la jeune femme et vient embrasser son maître à pleine bouche. Fabienne est assez surprise de constater que Marie-Claude n’est nullement gênée d’être nue devant elle. Éric propose à Marie-Claude de s’asseoir et qu’il va lui servir un café. Puis il demande à Marie-Claude d’expliquer à Fabienne comment elle est devenue sa soumise.
Marie-Claude explique alors comment elle qui était complexée par sa poitrine, et totalement coincée, est devenue avec l’aide de son voisin une femme libérée qui a pris conscience de son corps, et à découvert le plaisir en se caressant mais aussi certaines pratiques comme l’exhibitionnisme, la soumission, la fessée, la pluralité, l’amour anal, l’amour entre femmes et même l’urologie.
Éric constate que les tétons de Fabienne pointent, pendant les confidences de sa soumise, aussi il interrompt Marie-Claude et dit en regardant Fabienne dans les yeux :
Éric : « Je vois que vous ne portez pas de soutien-gorge sous votre tee-shirt et sous votre jupe vous êtes nues également ? »
Fabienne : « heu !… Non Monsieur… J’ai un string ».
Éric : « Donnez le moi s’il vous plaît ! ».
Fabienne : « heu…Maintenant ?… Ici devant vous ? »
Éric : « Bien sûr ! Maintenant à vous de savoir ce que vous êtes venues chercher ici ce matin ».
La jeune femme hésite puis se lève, remonte sa jupe jusqu’aux hanches et retire son string et le donne à Éric qui lui tend la main pour récupérer le sous-vêtement. Éric prend le string et dit :
Éric : « Mais il est trempé ! »
Et il donne le string à Marie-Claude. Celle-ci prend le sous-vêtement et le sens, regarde la jeune femme, lui sourit et met le string intégralement dans sa bouche. Alors que Marie-Claude mâchouille le string de Fabienne, Éric lui demande :
Éric : « Mademoiselle dites-moi maintenant, le but exact de votre visite, car vous pouviez proposer à Marie-Claude de la baiser, et ne pas mettre de string, sans faire autant de mystère ».
Fabienne : « heu ! … J’aimerais avoir la même vie que Marie-Claude… Une vie dévouée totalement à un maître, et je voulais savoir comme elle avait fait pour trouver son maître ».
Éric : « Mademoiselle, pouvez-vous me laisser quelques instants avec Marie-Claude ? »
Fabienne : « Oui bien sûr »
Éric propose à la jeune femme d’aller sur la terrasse et une fois seul avec Marie-Claude, il discute du cas de Fabienne. Quelques minutes plus tard, Éric rappelle Fabienne et lui dit :
Éric : « Avec Marie-Claude, j’ai pris une décision vous concernant, mais avant de vous en dire plus, j’exige de vous voir nue, Alors mettez-vous à poil, immédiatement, ainsi vous connaîtrez ce que Marie-Claude ressent en étant nue devant vous, et je vous donnerais le résultat de notre conversation.
Fabienne n’hésite pas très longtemps, sachant que si elle n’obéit pas, sa vie terne continuera, alors que si elle se met nue, elle peut vivre enfin ses fantasmes. Elle retire son tee-shirt, dévoilant une magnifique poitrine, puis elle fait tomber sa jupe à ses pieds et se retrouve devant le couple.
Éric lui demande alors de rester debout les cuisses légèrement écartées et les mains dans le dos. Il n’a qu’une seule critique à faire sur le physique de la jeune femme, celle-ci à la chatte fournie et pour Éric, cela n’est pas un défaut, juste un petit problème qu’il pourra résoudre rapidement avec l’aide de Noémie.
Éric : « Vous voulez vivre la même chose que Marie-Claude, mais actuellement vous n’êtes pas libres, vous travaillez à la boulangerie ».
Fabienne : « Mon contrat se termine à la fin de la semaine, et après je n’ai plus de travail et je vis seule sans attache familiale »
Éric : « Je te propose de passer la journée avec moi, pour voir ce que vit Marie-Claude. Bien entendu tu passeras la journée nue, avec interdiction de cacher ta poitrine ou ton sexe et lorsque tu seras assise, tu devras toujours avoir les cuisses écartées. Ce soir tu pourras baiser avec elle, et ensuite tu donneras ta réponse. Avec Marie-Claude, nous sommes d’accord pour te prendre à notre service en tant que bonne à tout faire. Tu commenceras donc lundi matin ».
Fabienne : « Oh merci monsieur… »
Éric : « En échange de ton travail, qui consistera à faire le ménage et la cuisine, tu seras baisée aussi bien par moi que par Marie-Claude, tu devras accepter de découvrir les mêmes perversions que Marie-Claude. Et tu seras également punie sévèrement à tout manquement. Marie-Claude raconte comment tu as été punie hier »
Marie-Claude : « Vous m’avez fait faire du vélo d’appartement, en plein soleil jusqu’à épuisement en me fouettant parfois avec un bouquet d’orties ».
Fabienne : « Oh mon Dieu ! … ».
Éric : « Marie-Claude va te préparer, tes 5 admirateurs ne vont pas tarder à arriver ».
Pendant que Marie-Claude va se doucher et s’habiller, Éric explique à Fabienne que 5 jeunes garçons viennent tous les matins voir Marie-Claude, sans lui donner d’autres précisions et qu’elle devra se tenir debout les mains dans le dos, et les cuisses ouvertes. Fabienne est un peu inquiète à l’idée de devoir se retrouver nue devant 5 jeunes garçons dans quelques minutes.
Marie-Claude revient dans le séjour, douchée, maquillée, coiffée et parfumée une demi-heure plus tard environ, simplement vêtue de son peignoir court en satin. Alors que les deux femmes sont assises dans le canapé, les cuisses ouvertes, l’on sonne à la porte. Éric va ouvrir et revient accompagné des jeunes hommes. Marie-Claude se lève, Fabienne fait de même. Puis Marie-Claude va au-devant d’eux leur faire la bise. Fabienne hésite, doit elle aussi leur faire la bise ?
Éric lui fait signe de ne pas bouger et il la présente comme une stagiaire. Les garçons semblent déçus qu’on ne leur propose pas d’approcher de la jeune fille.
Puis le cérémonial commence. Marie-Claude s’agenouille au milieu du salon attendant de sucer la première bite, c’est-à-dire celle d’Alain. Celui-ci s’approche de Marie-Claude, la bite à la main, alors que ses amis prennent place dans le canapé. Fabienne ne sait où se placer, aussi Éric lui prend la main et la place à un mètre de Marie-Claude, face aux jeunes. Elle met ses mains dans son dos, et écarte les cuisses légèrement.
Alain : « Si vous voulez nos jus de couilles, va falloir montrer vos grosses mamelles, Marie-Claude et dire ce que vous êtes pour nous »
Marie-Claude ouvre aussitôt son peignoir pour dévoiler ses pis.
Marie-Claude : « Voilà Alain, mes nichons sont à vous. Vous pouvez les caresser, les gifler, les malaxer ou les tordre pendant que je vous suce, car je suis votre pute, votre chienne, votre vide couille, une salope ».
Marie-Claude ouvre la bouche et s’apprête à sucer la queue du garçon, quand celui-ci, qui prend de plus en plus d’assurance, lui crache au visage et dans la bouche avant de s’approcher de la femme pour qu’elle le suce. Marie-Claude commence par lécher le gland décalotté du garçon, puis le prend en bouche et le suce avec entrain, excitée d’avoir aujourd’hui, une admiratrice.
Fabienne commence à se tortiller sur place, n’osant se caresser ou frotter ses cuisses l’une contre l’autre et se force à garder les mains dans son dos et les cuisses ouvertes. Elle est encore plus étonnée lorsqu’elle voit Alain éjaculer dans le verre, alors qu’elle s’attendait à voir Marie-Claude prendre la purée du garçon dans sa bouche. Fabienne est trempée et elle sent la cyprine couler entre ses cuisses en assistant ainsi aux 5 fellations et éjaculations des jeunes hommes dans le verre.
Marie-Claude prend ensuite le verre, mélange les semences avec une petite cuillère, lèche celle-ci puis avale le contenu du récipient. Puis elle récupère les restes en passant son index sur les bords du verre, mais au lieu de lécher son doigt comme elle le fait habituellement, elle s’avance vers Fabienne, et porte son index aux lèvres de la jeune femme. Celle-ci sait qu’elle ne peut refuser et est trop excitée pour ne pas faire comme son modèle et ouvre la bouche et lèche le doigt en regardant Marie-Claude droit dans les yeux.
Ensuite pendant que Marie-Claude va se laver les dents, les garçons vont s’asseoir autour de la table sur la terrasse. Fabienne suit Éric dans la cuisine et prépare un plateau avec les tasses, le café et les croissants. Marie-Claude revient nue, fait le service en se faisant caresser par les jeunes puis vient s’asseoir près de Fabienne. Marie-Claude profite de ce moment de détente pour poser sa main droite sur la cuisse de Fabienne qui s’aventure rapidement sur le sexe trempé de la jeune femme.
Fabienne écarte davantage ses jambes pour faciliter l’accès à son sexe, mais Marie-Claude se contente de la caresser, sans la pénétrer de ses doigts. Puis vient le temps de tirer une carte, aussi Marie-Claude débarrasse la table aidée par Fabienne. Lorsqu’elles sont seules dans la cuisine, Marie-Claude caresse les fesses de Fabienne et dit :
Marie-Claude : « Petite pute, tu aurais voulu que je te doigte sous la table hein !… Peut-être plus tard, si tu es bien sage »
Et elles reviennent s’asseoir autour de la table. Éric pose alors les 6 cartes sur la table et c’est au tour de Maurice de choisir une carte. Il hésite et prend l’une d’entre elles. Sur cette carte, un seul mot : DOUCHE.
Seule Marie-Claude connaît la signification de ce mot, avec son maître bien entendu. Elle appréhendait cette carte, mais elle savait que cela arriverait et ne montre aucune réticence à la lecture de cette carte. Éric explique alors en quoi consiste cette épreuve. Les garçons surpris montrent plutôt de l’enthousiasme, alors que Fabienne laisse échapper un :
Fabienne : « Oh ! Mon Dieu ! »
Éric lui jette un regard noir, et elle baisse les yeux. Ensuite Éric menotte les mains dans le dos de Marie-Claude et elle va s’agenouiller sur la pelouse, le torse bombé et la bouche ouverte. Les cinq garçons se placent alors autour de la soumise et commencent à se masturber. Fabienne placée en face de Marie-Claude, juste derrière les garçons assiste au spectacle, toujours aussi excitée. Au bout de plusieurs minutes, Marie-Claude reçoit les éjaculations des jeunes, sur les cheveux, le visage, les seins, la bouche. Marie-Claude est maculée de semence blanchâtre lorsque les 5 jeunes ont terminé d’asperger la soumise de foutre.
Marie-Claude reste ainsi près de 5 minutes au soleil. Elle sent le sperme séché sur sa peau. Puis Éric décide que Marie-Claude a gagné le droit d’être rincée. Les jeunes se replacent autour de Marie-Claude et urinent sur ses seins, ses cheveux, son visage et dans la bouche que Marie-Claude se force à garder ouverte, déglutissant de temps en temps pour avaler la pisse chaude qui pénètre sa bouche. Lorsqu’ils ont fini de se vider la vessie, les jeunes regardent Marie-Claude souillée, agenouillée et menottée. Éric l’aide à se relever et lui ôte les menottes. Elle remercie les garçons pour cette nouvelle expérience et s’avance vers Fabienne. Elle prend la jeune femme dans ses bras, frottant son corps trempé d’urine contre le corps nu de son admiratrice. Puis lui impose un baiser, mêlant leurs lèvres et leur langue pendant de longues minutes.
Alors que les garçons prennent congé à l’exception d’Alain, Marie-Claude va se doucher, entraînant Fabienne avec elle. Elles sont à peine dans la salle de bains, que Marie-Claude enlace la jeune femme, collant son corps poisseux contre celui de Fabienne, l’embrassant à pleine bouche. Fabienne excitée ne se préoccupe pas de l’urine qui tombe des cheveux de Marie-Claude, léchant le visage de son modèle et sa poitrine dont les tétons sont érigés. Elle commence à téter Marie-Claude, dont les mamelles sont gorgées de lait. Fabienne est surprise, ne sachant pas que Marie-Claude était en état d’allaiter et elle pompe pendant de longues minutes les deux tétines de Marie-Claude.
Les deux femelles se doigtent, mais quand Fabienne est sur le point de jouir, Marie-Claude retire ses doigts et dit à la jeune femme qu’elle ne peut jouir maintenant, et elles passent sous la douche pour se laver. Une nouvelle fois, Fabienne est frustrée, mais elle accepte cette situation, sachant que cela fait partie de son apprentissage. Lorsqu’elles reviennent sur la terrasse, Marie-Claude va s’allonger sur le transat attendant qu’Alain vienne lui enduire le dos et les fesses d’huile solaire. Fabienne regarde le jeune garçon, caresser sa maîtresse puis Alain lui tend le flacon d’huile pour qu’elle puisse à son tour se protéger et s’allonger sur un transat près de Marie-Claude. Les deux femmes restent ainsi à se reposer jusqu’au moment du repas, Alain venant régulièrement enduire le corps de Marie-Claude d’huile solaire.
Après le repas, Marie-Claude s’occupe de ses parterres de fleurs, avec l’aide d’Alain, tandis que Fabienne va dans la maison faire du repassage et du ménage. En milieu d’après midi, Éric demande au jeune homme de leur faire faire du sport : abdominaux, natations etc., jusqu’au départ d’Alain et de Fabienne.
À suivre…
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