Vendredi et samedi !
Le début de la journée du vendredi commence comme les autres jours de la semaine, jusqu’à l’arrivée des jeunes garçons. C’est la dernière fois, qu’ils vont nourrir Marie-Claude, car la semaine suivante, ils seront tous partis en vacances à l’exception d’Alain. Marie-Claude est encore plus excitée car elle veut vraiment leur laisser un excellent souvenir en les pompant encore mieux que les autres fois. De plus avec ses seins gonflés de lait, ses tétons sont en permanence érigés et très sensibles.
Ils sont accueillis par Éric qui les fait pénétrer dans le séjour. Marie-Claude est sur le canapé, en peignoir. Son vêtement est largement ouvert sur sa poitrine, car le frôlement du tissu sur ses pis l’excite trop pour supporter un vêtement. Ses seins sont très gros et elle est passée du 90 E au 95 F.
Elle se lève et va vers les jeunes pour leur faire la bise, et ces coquins ne se gênent pas pour toucher et même peloter les mamelles pleines de la soumise. Alain le premier des jeunes, dit à Marie-Claude :
Alain : «Tes outres ont l’air bien pleines ce matin, je peux me désaltérer avant de me faire pomper ?»
Marie-Claude : « Oh oui ! Cela va me soulager, car ils sont tellement pleins que cela me fait mal »
Alain prend Marie-Claude par la main et l’entraîne sur le canapé. Il lui retire son peignoir et se penche sur le pis droit de Marie-Claude et commence à téter. De son côté Marie-Claude ne reste pas inactive et sors le sexe bandé du garçon et commence à le caresser lentement.
Au bout de 5 minutes environ, il demande à la femelle de le sucer, Marie-Claude s’agenouille alors entre les cuisses du jeune homme et lèche le gland avant de le prendre en bouche jusqu’à ce qu’il éjacule dans le verre. Ses quatre camarades procéderont un peu de la même manière, et ce sont les seins vidés par les différentes tétées que Marie-Claude boit le verre de foutre. Ses mamelles qui étaient si tendues sont maintenant un peu flasques. Mais avec le traitement qu’elle suit, elles se rempliront vite.
Après la pause-café devenue habituelle, Éric pose les cartes sur la table et c’est Denis qui choisit. Jusqu’à présent, ils ont eu la chance de ne pas tirer deux fois la même carte, et ils espèrent que le sort sera en leur faveur et qu’ils découvriront ce que leur réserve la quatrième carte. Denis hésite et se décide pour une carte. Il la retourne et lit :
« Marie-Claude est un piano»
Éric explique aux garçons, pendant que Marie-Claude débarrasse la table, qu’ils pourront caresser, masturber, pincer et même gifler Marie-Claude qui sera allongée nue les cuisses ouvertes et qu’ils pourront se branler sur son corps.
Marie-Claude monte sur la table, aidée par Éric, s’allonge et écarte les jambes. Les garçons se placent autour de la table et commencent à caresser Marie-Claude. Elle sent les dix mains caresser son corps, des doigts qui pincent ses tétons et d’autres qui lui pénètrent le sexe, l’anus et la bouche. Marie-Claude se tortille dans tous les sens sous les cinquante doigts qui caressent, malaxent, pincent et même giflent les mamelles de leur femelle. Ils finissent par se branler et éjaculer sur les seins, le visage, les cheveux et le sexe de la soumise.
Après le départ des garçons, Alain s’occupe de la piscine pendant que Marie-Claude va se doucher. Le reste de la journée est occupé à la ballade de Marie-Claude, le sport en piscine et le bronzage.
Avant le départ d’Alain, pour le week-end, Éric lui demande de surveiller l’arrivée de Marcel, car il veut aller le voir en compagnie de sa femme. Lorsque le voisin arrive, Alain prévient Marie-Claude et Éric et leur souhaite un bon week-end avant de partir. Éric prend alors la femme de son voisin par la main et ils se rendent chez Marcel.
Marcel ouvre la porte, les accueille et les fait entrer dans le séjour. Il regarde sa femme. Celle-ci est vêtue d’une petite robe hyper courte et très décolletée, cachant à peine ses fesses, son sexe et sa poitrine gonflée de lait. Et encore, ses nichons étaient davantage pleins il y a quelques heures.
Marcel leur sert un verre et dit :
« Pourquoi avez-vous mis ces portraits de Marie-Claude, vous savez que je reçois ma famille et des amis dimanche pour mon anniversaire ».
Éric : « Tu ne trouves pas que Marie-Claude est ravissante sur ses portraits grandeur nature ? »
Marcel : « Si mais ce n’est pas la question, que vont penser mes invités? »
Éric : « Marie-Claude assume son statut de soumise et toi, tu dois montrer que tu acceptes cette situation. Tu sais, il vaut mieux passer pour un mari tolérant et candauliste, que pour un mari trompé et cocu ».
Marcel : « Oui mais quand même ! Que vont dire mes parents, ma sœur et mon beau-frère ?»
Marie-Claude : « Oh tu sais ta mère et ta sœur, m’as toujours trouvée trop timide parce que je ne voulais pas faire de naturisme, je vais ainsi leur montrer qu’elles sont maintenant plus coincées que moi, et que je peux même baiser leur mari ».
Marcel : « Tu ne veux tout de même pas dire que tu veux faire l’amour avec mon père et mon beau-frère? »
Marie-Claude : « Je vais me gêner, depuis le temps que je fantasme sur ton père, j’espère bien me prendre sa grosse queue dans le cul ».
Marcel voyant que Marie-Claude est déterminée, n’insiste pas et il change de sujet. Il demande à sa femme :
Marcel : « Ta poitrine a encore grossi ? »
Marie-Claude : « Oui Thibo m’a donné un traitement pour gorger mes mamelles de lait ».
Marcel ne comprend plus du tout son épouse, elle qui était complexée par la grosseur de sa poitrine, elle accepte un traitement qui lui gonfle encore plus ses pis, les rendant encore plus impressionnants qu’avant. Deux gros ballons greffés sur son torse…Il aborde alors l’organisation du repas. Éric le rassure en lui disant qu’il a tout prévu et que le traiteur arrivera dimanche matin vers 10 heures pour tout mettre en place.
Lorsque Éric est sur le point de partir, il propose à Marcel de garder Marie-Claude pour la soirée, sachant que le lendemain matin, elle devra se lever de bonne heure, car elle travaille dans le magasin de lingerie. Marcel décline l’offre de Éric, disant qu’il est fatigué de sa dure semaine et qu’il peut garder Marie-Claude. Éric quitte Marcel en prenant par la main l’épouse de celui-ci. Le couple passe une soirée tranquille, car demain Marie-Claude a sa première journée de travail.
Le lendemain matin, c’est Éric qui réveille Marie-Claude. Il l’embrasse et lui dit :
Éric : « Bonjour ma chérie, il est l’heure de se lever ! »
Marie-Claude : « Déjà, mais quelle heure est-il ? »
Éric : « 7 heures, ma belle et nous sommes samedi et aujourd’hui tu travailles au sex-shop ».
Marie-Claude : « Bonjour Monsieur Éric ! Vous savez j’ai un peu peur de cette première journée, mais aussi excitée de connaître de nouvelles sensations ».
Après le petit-déjeuner et la douche, Éric, qui est prêt à conduire Marie-Claude, sert deux tasses de café avant de partir. Marie-Claude apparaît coiffée, maquillée, parfumée et nue.
Marie-Claude : « Quelle robe je mets ce matin pour aller à la boutique ? »
Éric : « Mais tu es parfaite ainsi, et puis le gérant t’offre une tenue par jour de travail. Tu mets ton imper court et on y va ! »
Marie-Claude boit son café, et enfile l’imperméable court, vêtement qu’elle ne prend pas la peine de fermer pour gagner la voiture. Elle fait le voyage exposé aux camionneurs, automobilistes, cyclistes et piétons. Elle a écarté ses cuisses et laisse Éric lui caresser ses mamelles gonflées de lait pendant le voyage. En arrivant devant le magasin, elle prend juste la précaution de rapprocher les pans du vêtement et de nouer la ceinture. Ils rentrent dans la boutique par une porte située à l’arrière du magasin, celui-ci n’ouvrant que dans une heure.
Le gérant les accueille, heureux de voir que Marie-Claude va travailler pour lui. Éric souhaite choisir une tenue pour l’anniversaire de son mari le lendemain. Le gérant laisse le couple se promener dans les rayons. Éric choisit une robe style tunique romaine, nouée sur une épaule, laissant l’autre nue ainsi qu’une partie du sein gorgé de lait. Le tissu est opaque mais léger et on peut deviner le téton dressé de Marie-Claude. La robe est ouverte sur les deux côtés à partir des hanches, dévoilant à chaque pas les cuisses et les fesses de la femelle. Elle retire la robe, afin qu’Éric la rapporte chez lui. Marie-Claude est de nouveau nue, et le gérant arrive avec une robe rouge, hypercourte et décolletée jusqu’au nombril.
Grégory : « Vous porterez cette robe aujourd’hui, et vous repartirez avec ce soir, mais pour l’instant il est temps de la téter, avant d’ouvrir le magasin ».
Éric règle le montant de la tunique romaine, embrasse sa belle et la laisse avec le vieux cochon.
Le gérant du magasin entraîne Marie-Claude dans son bureau, dès le départ de Éric. Marie-Claude s’assoit sur le canapé et lui se place près d’elle, s’allongeant à moitié sur elle. Il a le visage juste à hauteur des pis de sa nouvelle vendeuse. Celle-ci, ouvre le pantalon de son patron et sort un sexe à demi bandé.
L’homme commence à pomper le sein droit de Marie-Claude, parfois il s’arrête de sucer le pis pour le mordiller ou le lécher. De son côté, Marie-Claude branle la bite de l’homme, ou malaxe ses couilles. Elle est de plus en plus excitée, à cause des proportions du gérant, qui a un sexe long et fin et des couilles poilues, grosses comme des clémentines.
Au bout d’un quart d’heure, le patron dit à Marie-Claude :
« Viens me sucer ! ».
Marie-Claude se place immédiatement entre les jambes de l’homme, lèche son gland décalotté et le prend en bouche. Parfois, elle stoppe la fellation pour lécher les couilles du gérant. Elle est tentée de les gober, mais elle se dit :
« Non ! Pas dès le premier jour, que va-t-il penser ! »
Elle le reprend en bouche accélérant les va-et-vient dans sa bouche, jusqu’à ce que l’homme décharge sa crème dans son gosier.
Son patron lui indique un lavabo avec un gobelet, un tube de dentifrice et une brosse à dents neuve. Marie-Claude se lave les dents, se rince la bouche et rejoint l’homme derrière sa caisse pour enfiler la robe rouge qui lui est destinée.
Elle se regarde dans une glace du magasin. La robe est si courte que la moitié de ses fesses est visible, et laisse voir ses lèvres intimes. Quant à sa poitrine, le décolleté laisse voir les tétons et la moitié de ses aréoles. Elle pense alors :
« Je ressemble vraiment à une putain ! »
Et elle sent aussitôt que son sexe s’humidifie.
Pendant la première heure de travail, un seul client a passé le seuil de la porte. D’abord étonné et surpris de voir Marie-Claude lui demander ce qu’il désirait, il lui a répondu :
« Rien de spécial, je regarde! »
Marie-Claude : « Bien je vous laisse, mais n’hésitez pas à venir me voir, si vous avez besoin d’un renseignement ».
Marie-Claude le laisse faire son tour, jusqu’à ce que le gérant qui a compris que le client venait juste par curiosité, fasse une annonce au micro :
« Aujourd’hui, sur présentation de votre ticket de caisse à notre vendeuse, celle-ci se fera une joie de se laisser caresser ».
Marie-Claude est surprise de l’annonce, mais elle se dit :
« Après tout, si cela peut faire gonfler le chiffre d’affaires ! »
Le client prend un gadget à 20 euros et passe à la caisse pour en savoir plus. Le gérant lui explique qu’il faut un minimum de 50 euros d’achat et que le temps passé avec la vendeuse est de 10% du montant. Par exemple : 50 euros, 5 minutes avec Marie-Claude, 100 euros, 10 minutes. L’homme repart dans les rayons et revient avec 90 euros d’achats supplémentaires. Il paie les 110 euros et le gérant lui dit :
Grégory : « Vous avez le droit de peloter ma vendeuse pendant 10 minutes ».
Marie-Claude en voyant le client régler ses achats, revient voir son patron, qui lui dit :
« Monsieur a le droit de vous caresser et de vous peloter pendant 10 minutes, allez dans la cabine de visionnage numéro un ».
Marie-Claude entraîne son client dans la cabine. La porte à peine refermée, il saute sur elle pour lui caresser les seins, puis les fesses et la chatte. Marie-Claude se laisse faire, elle a envie de déboutonner le client et de le sucer, mais cela ne fait pas partie du contrat, aussi à contrecœur, elle s’abstient. Au bout de 10 minutes la lumière de la cabine s’éteint et le couple sort de celle-ci.
Le client quitte la boutique avec ses achats et Marie-Claude retourne s’exhiber dans le magasin, où quelques autres clients flânent dans les rayons. Il y a un jeune couple qui a déjà choisi plusieurs gadgets et n’a pas besoin de Marie-Claude. Un couple de quadragénaires dont la femme porte dans ses bras plusieurs tenues sexy s’y trouve aussi. Marie-Claude se dirige alors vers un client quand elle aperçoit Thibo rentrer dans le magasin. Elle se dirige aussitôt vers lui, avec un large sourire.
Marie-Claude : « Bonjour Monsieur Thibo, cela me fait plaisir de vous voir. Venez, je vais vous présenter à mon patron, après je m’occuperais de vous »
Thibo : « C’est pour cela que je suis venu justement »
Marie-Claude présente son ami au gérant :
« Permettez-moi de vous présenter Monsieur Thibo, c’est un ami de Monsieur Éric et aussi de mon mari, et c’est lui qui a pensé à me prescrire un médicament pour gorger mes mamelles de lait ».
Grégory : « Bonjour Monsieur, très heureux de faire votre connaissance. Vous avez eu une très bonne idée de faire allaiter Marie-Claude, cela lui donne des pis énormes et bien fermes ».
Marie-Claude : « Oui et il a influencé mon mari en présentant votre boutique comme un magasin de lingerie et en vous recommandant auprès de lui ».
Grégory : « Alors je suis votre débiteur. Prenez ce que vous voulez, je vous l’offre ».
Thibo : « Ce que je veux, c’est la bouche de Marie-Claude, je suis venu pour que cette salope me taille une pipe, car j’ai les bourses pleines ».
Grégory : « Ce qui est dit, est dit ! Marie-Claude conduisez votre ami dans la cabine numéro un, vous serez tranquilles pour pomper monsieur ».
Marie-Claude prend Thibo par la main et le conduit dans la cabine et aussitôt enfermés, elle s’agenouille et dégrafe le pantalon de son ami.
Thibo : « Fais-moi une cravate de notaire avant de me sucer, je veux sentir ma bite entre tes gros pis pleins de lait ».
Marie-Claude dégage ses mamelles du haut de sa robe, et prend la queue de Thibo. Elle crache plusieurs fois sur ses seins pour bien lubrifier et que le sexe de son ami glisse parfaitement entre ses pis.
Marie-Claude donne des petits coups de langue sur le gland de Thibo, quand elle peut. Après 5 minutes de branlette espagnole, Marie-Claude suce le gland avant de lécher le sexe sur toute sa longueur. Puis elle prend la bite en totalité dans sa bouche. Elle est devenue une experte de la « gorge profonde ».
Parfois, elle délaisse la bite de Thibo pour prendre en bouche ses couilles. Marie-Claude termine par reprendre le sexe de l’homme jusqu’à éjaculation de Thibo dans son gosier. Elle s’efforce de tout avaler, sans en perdre une seule goutte. Thibo se réajuste et Marie-Claude remet le haut de sa robe, cachant un tiers de sa poitrine avant de sortir de la cabine. Avant de partir il va saluer le gérant du magasin et quitte le magasin.
Après un nouveau passage dans la cabine avec un client, le gérant ferme la boutique pour une heure. Il est seul maintenant avec sa vendeuse. Il lui ordonne :
« Allez ma belle ! Fous-toi à poil que je te baisse sur le comptoir. Il attrape Marie-Claude par les hanches, la retourne et la force à se pencher contre le comptoir. Il lui écarte les cuisses et embroche sa nouvelle vendeuse. Marie-Claude est tellement humide que le sexe du gérant glisse dans la chatte de Marie-Claude. Elle savoure ce membre viril qui la pénètre, elle en avait tellement envie.
« Oh oui ! C’est trop bon ! Oui baisez-moi plus fort ! Encore ! »
L’homme, excité par les encouragements de sa vendeuse, la pilonne pendant de longues minutes. Marie-Claude jouit une première fois, puis une seconde avant de réclamer :
« S’il vous plaît prenez mon cul ! J’ai envie de sentir votre pieu dans mon cul de salope ».
Le gérant ne résiste pas et immédiatement il se retire de la chatte de Marie-Claude, et encule la belle aussitôt. Il défonce le cul de la soumise, tout en lui claquant les fesses durement.
Il faut peu de temps à Marie-Claude pour jouir une troisième fois, et sentir l’homme se répandre dans ses entrailles. Lorsque l’homme se retire, Marie-Claude s’agenouille et nettoie la bite de son patron avant de se redresser et de déposer un baiser sur la joue du gérant.
« Merci Monsieur, j’en avais vraiment besoin ».
Il reste le temps de la pause, à se reposer, avant d’ouverture du magasin. L’après-midi se déroule comme la matinée, sauf que Marie-Claude passe plus de temps dans la cabine à se faire peloter qu’à déambuler dans les rayons. Lorsque arrive le moment de la fermeture du magasin, le gérant est très satisfait du chiffre d’affaires effectué dans la journée. Il remercie Marie-Claude pour son dévouement avant de l’entraîner dans son bureau pour la téter. Il pompe les mamelles pleines de Marie-Claude, pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il éjacule dans la main de Marie-Claude qui le branlait pendant l’allaitement. Elle lèche ses doigts puis lèche le gland du vieil homme afin de ne pas en perdre une goutte et de bien nettoyer la queue de l’homme. Elle ne prend même pas le temps de réajuster sa robe. Elle pose son imper sur ses épaules et quitte la boutique, sachant qu’Éric l’attend dans sa voiture près de l’entrée.
Effectivement, son maître est là. Avant de monter dans la voiture, elle retire son imper et rentre dans l’automobile, les outres à l’air. Pendant le trajet, elle raconte comment s’est passée sa journée et une fois arrivés dans la maison de Éric, ils passent une soirée tranquille, car demain une journée éprouvante attend Marie-Claude.
À suivre…
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