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Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 29

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Lundi !

Lorsque Éric se lève, Marie-Claude dort encore, épuisée par un dimanche mouvementé. Éric prépare le petit-déjeuner et ouvre toutes les fenêtres de la maison. Il allume alors son ordinateur portable à la recherche de nouvelles idées pour exhiber et humilier sa belle, bien qu’il ait déjà une idée en tête.

En effet, Marie-Claude lui ayant confié que c’est en fantasmant sur le traiteur, laid et gras, elle s’était imaginé que contrairement à sa tenue, il était sale et que cela l’avait excitée de s’imaginer en train de le pomper.

Il lui a donc promis qu’elle viendrait avec lui, quand il irait régler la note de la veille.

Marie-Claude apparaît alors dans la cuisine, nue, reposée et souriante.

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Marie-Claude : « Bonjour Monsieur, avez-vous bien dormi ? »

Éric : « Bonjour ma belle, oui très bien et toi ? »

Marie-Claude : « Oh oui, très bien, merci ».

Marie-Claude s’assoit près de son amant, les cuisses ouvertes, attendant certainement de se faire caresser, mais Éric se lève et lui sert un bol de café, avant de revenir s’asseoir près de la soumise. Il passe alors sa main sur le sexe fraîchement épilé, et constatant qu’elle est déjà humide, il lui dit :

Éric : « Au lieu de tremper ton croissant dans ton café, tu devrais le mettre dans ta chatte humide, je suis sûr que tu aimerais le goût de la viennoiserie parfumée au jus de salope ».

Marie-Claude est surprise de la proposition de son maître et dit :

Marie-Claude : « Oh Monsieur ! Vous avez toujours de bonne idée pour m’humilier, je vous adore ».

Éric prend alors un croissant et le tend à Marie-Claude.

Éric : « Tiens ! Prends celui-ci, il est fourré. Je me suis branlé dedans ce matin, pour t’offrir ma semence ».

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Marie-Claude prend le croissant et croque une bouchée pour goûter la préparation de Éric.

Marie-Claude : « hum ! C’est très bon »

Et écartant ses lèvres intimes elle ajoute :

Marie-Claude : « Maintenant je vais goûter avec mon jus de salope »

Elle introduit une partie de la viennoiserie dans sa chatte et se branle quelque instant avant de la porter à sa bouche.

Marie-Claude : « Oh Monsieur, c’est délicieux, vous avez eu une super idée, votre sperme et mon jus avec le croissant, un vrai régal. Voulez-vous que je vous prépare un croissant avec mon jus de petite chienne ? »

Éric hésite quelque instant avant de répondre.

Éric : « Oui Marie-Claude, je veux bien, car je vois que tu as surtout envie de te branler la chatte et qu’en préparant mon croissant, tu vas pouvoir allier l’utile à l’agréable ».

Marie-Claude sourit malicieusement et prenant une viennoiserie, elle introduit celle-ci dans son sexe et se branle avec. Lorsqu’elle retire le croissant, celui-ci est bien imbibé de cyprine et elle l’offre à son amant en disant :

Marie-Claude ; « Je vais le mettre dans une petite assiette, car il est tout mou, il a bien absorbé mon jus ».

Marie-Claude pose le gâteau sur l’assiette et tend celle-ci à Éric. Il déguste le croissant avec gourmandise, confirmant la demande de Marie-Claude.

Après le petit-déjeuner, les deux amants filent dans la salle de bains prendre leur douche et se préparer. Marie-Claude en arrivant dans la chambre à coucher, ne trouve pas d’habit sur le lit comme à l’habitude. Elle rejoint Éric dans le séjour et dit :

« Heu… Excusez-moi, Monsieur, mais vous avez oublié de préparer mes vêtements »

Éric : « Non, ma chérie, je n’ai pas oublié, ce matin tu n’en as pas besoin, tu viendras avec moi chez le traiteur, avec juste ton imper que tu fermeras juste avec la ceinture ».

Marie-Claude : « Oh Monsieur, vous voulez encore m’exhiber et m’humilier, vous êtes un sacré coquin ».

Éric ne répond pas, il tend l’imper à sa belle qu’elle enfile et noue la ceinture, sans le boutonner et ils vont au garage, pour se rendre chez le traiteur. Marie-Claude aimerait dénouer sa ceinture et s’offrir aux regards des autres usagers de la route, mais n’ayant pas reçu d’ordre de Éric, elle s’abstient de prendre l’initiative, de peur d’être punie. Une fois garé près de chez le traiteur, Éric se tourne vers Marie-Claude et demande :

Éric : « Cela t’a manqué de ne pas t’exhiber pendant le trajet ? »

Marie-Claude : « Oui Monsieur, mais je suis tout de même excitée, car j’imagine que si vous avez souhaité que je sois nue sous mon imper, c’est pour m’exhiber ou m’humilier »

Éric sourit et sort de la voiture, contourne celle-ci et va ouvrir la portière de sa petite pute. Il la prend par la main et entre dans le magasin. Le traiteur n’est pas là, et ils sont accueillis par un ouvrier. Celui-ci va le chercher et semble ravi en apercevant Éric et surtout Marie-Claude.

L’homme les entraîne dans son laboratoire, où il prépare les plats et dit :

« Je m’excuse pour ma tenue, mais ce matin je n’ai pas entendu le réveil et très en retard, je n’ai pas eu le temps de me raser, ni même de prendre une douche ».

Marie-Claude est ravie de cette information, elle va peut-être enfin avoir un homme laid, obèse et sale dans ses bras. Le traiteur demande s’ils sont satisfaits du repas et présente la facture à Éric. Celui-ci regarde le montant et demande au commerçant, s’il peut lui faire une remise de 10%. Alors que le traiteur s’apprête à répondre, Éric remarque que Marie-Claude commence à se trémousser sur son siège. Il se doute que la dernière information donnée par l’artisan ne doit pas être étrangère à cet état de fait.

Le traiteur : « Non je suis désolé, j’ai déjà tiré les prix au maximum pour vous, franchement ce n’est pas possible »

Éric : « Au moins 5% »

Au même moment, il tire sur le bout de la ceinture de l’imper, dévoilant le corps nu de Marie-Claude. Et il enchérit :

« 5% et le corps de Marie-Claude pendant une heure »

Le traiteur : « C’est OK ! 5% et votre pute reste avec moi pendant une heure ».

Éric est satisfait de sa négociation, car il sait qu’il devait absolument laisser Marie-Claude au commerçant pour tenir sa promesse de la veille. Il ôte le vêtement de Marie-Claude et sort en laissant sa chérie avec le gros homme, laid et sale.

Éric se rend dans un bar, prendre un café et lire le journal en attendant. Il revient une heure et quart plus tard, demande à l’employé si son patron est toujours dans son laboratoire et se dirige directement dans la pièce où il va le trouver en compagnie de Marie-Claude.

Il frappe et entre immédiatement sans attendre de réponse. Marie-Claude est allongée nue sur le carrelage froid du laboratoire et le commerçant accroupi sur elle et il lui gifle les seins durement.

L’homme se redresse aussitôt et se couvre avec son tablier, alors que Marie-Claude se lève en prenant sa poitrine dans les mains. Éric règle la facture, et prend Marie-Claude par la main pour l’entraîner dehors.

Marie-Claude sans protester, dit à Éric :

« Monsieur, vous avez oublié mon imper ! »

Éric : « Non ma chérie, je l’ai laissé volontairement dans la voiture, pour que tu sortes du magasin nue et regagne ainsi la voiture en espérant que tu vas être vu.

Effectivement, lorsqu’il traverse le magasin, il y a deux femmes d’âge mûres et l’employé présent. Si le jeune homme est satisfait de cette apparition, il n’en est pas de même des deux femmes qui trouvent l’attitude du couple scandaleuse.

Avant de monter en voiture, elle prend l’imper qui est sur la banquette arrière du véhicule et s’habille en ne fermant le vêtement qu’avec la ceinture, comme pour le voyage aller.

Avant de faire démarrer le véhicule, Éric lui dit :

« Raconte-moi en détail, cette nouvelle expérience ma belle »

Éric prend la route de la maison et Marie-Claude commence le récit de son heure passé avec le traiteur :

« Il s’est assis à son bureau et m’a ordonné sèchement de venir le lécher pendant qu’il préparait l’avoir de 5% que vous aviez exigé. Je me suis alors glissé sous le bureau, et placé entre ses jambes pour lui tailler une pipe comme il me l’avait ordonné. Son sexe était tout mou et son gros ventre cachait son petit service trois pièces. Des deux mains, j’ai du relevé son gros ventre pour voir son sexe rabougri et lorsque je me suis approchée pour passer ma langue sur sa bite, j’ai senti une odeur nauséabonde. Je confirme, il n’avait pas pris de douche, mais probablement depuis plusieurs jours et pas seulement le matin même. Il sentait la pisse, le foutre, la sueur et même la merde. Je n’avais jamais ressenti une telle humiliation, mais après tout, je l’avais bien cherchée et même souhaitée. Aussi j’ai commencé par lui donner des petits coups de langue sur sa bite, alors que je sentais ma chatte couler entre mes cuisses. Lorsque j’ai décalotté son gland, j’ai découvert du sperme séché à la base de son gland. Je me suis donc mise à lécher la base de celui-ci jusqu’à décoller les croûtes de sperme que j’ai pris en bouche et mâchouillé avant de les avaler.

Ensuite je l’ai sucé de mon mieux, et je n’avais aucun mal à le prendre entièrement en bouche, tellement elle était petite. Ensuite il m’a demandé de lui lécher les couilles, pendant que je continuais à le branler. Ses boules sentaient encore plus fort, probablement à cause de ses poils et parce que j’avais le nez plus prêt de son anus. J’ai pris ses petites boules en bouche et les ai mâchouillés avant de reprendre son sexe et de le sucer jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche.

Pendant ce temps, ma chatte coulait abondamment, mais je ne pouvais pas me caresser, occupée que j’étais à maintenir son gros bide pour dégager son intimité.

Ensuite, il m’a fait sortir de dessous son bureau et il m’a donné l’ordre de m’allonger sur le carrelage du laboratoire. Il était très froid, puis il s’est placé à califourchon sur mes seins, me tournant le dos, et il a commencé à me doigter d’abord la chatte, puis mes deux trous en même temps, Ses doigts allaient et venaient en moi en cadence et j’ai joui tellement il me branlait bien et aussi parce que j’avais honte de me donner à un homme aussi répugnant.

Puis il a voulu que je lui lèche le cul, mais en approchant mon nez de ses grosses fesses, j’ai refusé, cela sentait trop mauvais. Il m’a menacé de me corriger et comme je ne le léchais toujours pas, il a commencé à me frapper la chatte de plus en plus fort et en même temps, il relevait parfois son gros cul et se laissait tomber sur ma poitrine, écrasant mes seins durement. J’ai fini par céder, en me résonnant, me disant que si j’étais dans cette situation, c’est parce que je l’avais désiré. J’ai alors approché ma bouche de son anus et ma langue a commencé par lui caresser le sillon fessier, avant de m’attarder sur sa rondelle. Il puait et était sale. J’ai retenu ma respiration et introduit ma langue dans son petit trou .C’était tellement humiliant que j’ai joui de nouveau, sans me caresser, ni les seins, ni le sexe.

Il s’est alors levé et je l’ai de nouveau sucé pour me prendre une nouvelle éjaculation dans la bouche. Ensuite, j’ai nettoyé sa queue et il m’a dit :

« Puisque ton patron est en retard, je vais te corriger pour avoir refusé de me lécher la rondelle ».
Et il s’est accroupi sur moi et m’a giflé les seins durement, et heureusement vous êtes arrivés, car ce salaud me frappait fort les mamelles.

Éric : « Montre-moi tes seins ! »

Marie-Claude dévoile alors sa poitrine et effectivement Éric peut constater que la poitrine de Marie-Claude est encore toute rouge.

Éric : « En résumé, tu as trouvé cette nouvelle expérience satisfaisante où pas ? Tu serais prête à refaire ce genre d’expérience ? »

Marie-Claude : «Oh oui Monsieur ! Car malgré certains petits inconvénients, j’ai tout de même joui quatre fois, et puis j’avais envie d’une telle expérience et je crois que plus la situation est glauque et plus je prends de plaisir, Et cela, c’est grâce à vous, je ne vous remercierais jamais assez pour me faire découvrir de nouvelles expériences ».

Marie-Claude qui était toute à son récit, n’a pas fait attention au trajet emprunté par Éric, et lorsqu’elle réagit, elle demande :

« Mais où sommes-nous, nous n’allons pas à la maison? »

Éric : « Si ma chérie, nous allons à la maison, mais avant je voudrais que tu ailles te présenter à quelqu’un ».

Il s’arrête dans une petite rue, et Marie-Claude a beau regarder autour d’elle, elle ne voit pas de magasin, il n’y a que des petits immeubles.

Éric : « Tu vas sortir de la voiture sans nouer ta ceinture, ni boutonner ton imper. Je t’autorise à mettre les mains dans les poches pour maintenir les pans de ton vêtement fermé. Tu vois ce SDF à 50 mètres, va le voir, accroupis-toi face à lui et dis-lui que tu viens de ma part et en même temps tu écartes les pans de ton imper et aussi tes cuisses pour qu’il puisse bien mater ta chatte. Ensuite, tu lui demandes s’il accepterait que tu passes une nuit entière avec lui, soit dans son squat, soit sur le trottoir. S’il accepte de t’avoir comme compagne pour une nuit, propose-lui de rester une heure avec lui pour qu’il te doigte les trous. Pendant ce temps, tu lui rouleras une pelle et tu lécheras ensuite ses doigts avant de revenir à la voiture, l’imper totalement ouvert. Tu as tout enregistré ? »

Marie-Claude : « Oui Monsieur, j’ai tout enregistré, mais vous êtes encore plus pervers que je ne pensais »

Éric lui sourit alors qu’elle descend de voiture et avant de fermer la portière, elle s’exclame :
« Je vous aime Monsieur Éric »

Marie-Claude ferme la portière de l’automobile et avant de s’éloigner, elle met les mains dans les poches et écarte les pans du vêtement avec un large sourire avant de se couvrir et de s’éloigner de la voiture en direction du SDF. Elle marche tranquillement, comme si elle voulait déjà faire durer son plaisir. Marie-Claude ralentit en arrivant près du SDF, s’arrête à sa hauteur et avant qu’elle n’est eue le temps de lui adresser la parole, le sans-abri dit :

« Qu’est-ce qu’il y a la bourge, tu n’as jamais vu un clochard ? Allez ! Dégage sale pute ! »

Marie-Claude n’est nullement découragée par cet accueil, et dit en s’accroupissant ;

« Je viens vous voir de la part de Monsieur Éric »

Le SDF : « Ce brave monsieur Éric, il fait faire ses courses par une meuf maintenant, Et que veut-il, en principe c’est lui qui m’aide ».

Marie-Claude : « Il ne veut rien, c’est moi qui désire quelque chose. Je voudrais passer une nuit entière avec vous »

Et tout en disant cela, elle écarte les pans de l’imper et également ses cuisses, dévoilant par la même occasion son corps à l’homme, qui est assis face à elle.

Le SDF : « Et vous êtes qui vous, par rapport à Monsieur Éric ? »

Marie-Claude : « Je suis sa voisine et sa soumise. Et il m’aide à réaliser mes fantasmes et aussi les siens »

Le sans-abri écoute Marie-Claude sans détacher ses yeux du corps de la belle. Marie-Claude continue :

« Je peux passer la nuit soit ici sur le trottoir, soit dans votre squat, alors que dois-je dire à mon maître ? »

Le SDF ; « Si j’accepte, ce sera dans mon squat, mais je ne suis pas seul, nous sommes trois ».

Marie-Claude : « Cela ne me pose pas de problème, si vos acolytes, ne font que regarder et ne me touche pas »

Le SDF : « Cela, j’en fais mon affaire ma jolie, mais je ne veux pas pour une nuit, mais pour 24 heures. Je veux après la nuit, que tu passes la journée avec moi. À 20 mètres, il y a des pissotières aussi de temps en temps, nous pourrons y aller ensemble pour que tu me suces et que je te baise ».

Marie-Claude : « Cela me convient, et je ne pense pas que cela pose un problème à mon maître que je reste un peu plus longtemps en votre compagnie ».

Le SDF : « Alors c’est OK ! Dites à Monsieur Éric de venir me voir pour qu’on règle ensemble le jour et les détails de votre stage ».

Marie-Claude s’assoit près du SDF et demande :

« J’aimerais rester une heure en votre compagnie, pour me faire doigter, si cela vous fait plaisir ».

Le SDF lui lance une vieille couverture trouée et dit :

« Couvre-toi avec cela, si tu ne veux pas te faire remarquer avec ton bel imper neuf ».

Marie-Claude se couvre avec le plaid en remerciant le clochard pour son attention. Elle prend alors la main de l’homme et la porte entre ses cuisses recouvertes par le tissu sale et troué.

Le SDF constate la moiteur de l’entrejambe de la femme et dit :

« Eh bien toi, tu es une sacrée salope, j’en ai vu des bourgeoises en mal de sensations fortes, mais des comme toi, jamais. Je crois qu’on va bien s’amuser ensemble lors de ton stage de sans-abri ».

L’homme a glissé deux doigts dans la grotte de Marie-Claude et celle-ci se tourne vers le clodo et lui prenant la tête, elle l’embrasse à pleine bouche malgré son haleine fétide mêlée de tabac, vin rouge d’une personne qui ne sait pas laver les dents depuis plusieurs jours. Elle lui accorde ainsi un baiser langoureux et baveux et commence à prendre son plaisir sous les doigts de l’homme.

Marie-Claude : « Oui c’est bon ! Continue ! Plus vite ! Oui ! Oui ! »

Reprenant quelque peu ses esprits, elle demande :

« Doigte-moi le fion, j’aime sentir mon cul rempli »

Le clochard obéit aussitôt et levant une fesse de la belle, il glisse sa main sous son cul et investit son orifice anal avec un puis deux doigts. La belle est sur le point de prendre son pied pour la seconde fois, lorsqu’elle supplie l’homme :

« Crache-moi dessus, sur le visage, dans la bouche, je veux que tu me souilles de crachats et de baves ».

Le SDF s’exécute souillant le visage de Marie-Claude. Celle-ci ouvre grand la bouche pour recueillir les crachats du Clochard. Après une seconde jouissance de Marie-Claude, l’homme retire ses doigts de son cul.
Elle saisit la main de l’homme et suce ses doigts avec délectation, puis elle lui donne un nouveau baiser avant de commencer à se lever.

Le SDF : « hé ! Tu ne vas tout de même pas t’en aller sans trinquer avec moi ».

Il prend la bouteille de rouge, placé près de lui, la débouche et prend une gorgée avant de reboucher la bouteille. Marie-Claude est surprise qu’il ne lui tend pas la bouteille, mais elle comprend très vite, lorsque l’homme se penche vers elle et lui fait ouvrir la bouche. Il crache alors une partie du pinard dans la bouche de Marie-Claude. Elle garde quelques secondes le vin dans sa bouche, avant d’avaler le breuvage.

Elle dépose un nouveau baiser sur les lèvres du clodo, puis retire son plaid, qu’elle rend au clochard et retourne vers la voiture, les pans écartés de l’imper.

Marie-Claude ne couvre pas son corps, comme le lui a demandé son amant, mais en aurait-elle eu envie ?

Marie-Claude ouvre la portière de l’automobile, s’assoit et dit :

« C’est OK ! Il accepte mais pas pour une nuit, il exige une journée entière. J’ai pensé que vous seriez d’accord, aussi j’ai accepté. Vous devrez le contacter pour conclure le rendez-vous »

Éric : « Parfait ma chérie ! Tu as bien fait d’accepter ».

Il fait démarrer le véhicule en direction de la maison.

À suivre…

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