Mardi !
Lorsque le couple arrive chez Éric, il découvre Fabienne vêtue simplement d’un tablier, en train de faire le ménage. Celle-ci sursaute en les voyant, car elle ne les avait pas entendus arrivé. Elle stoppe son ménage quelques instants pour les saluer, et on peut voir sur son visage, la surprise quand elle voit Marie-Claude avec le maquillage qui a coulé sous les crachats du SDF, et des taches rouges de lie de vin jusque dans son décolleté.
Éric sort sur la terrasse et appelle Alain qui nettoie la piscine et lui dit ;
« Alain s’il te plaît, peux-tu promener Marie-Claude pour qu’elle fasse ses besoins et ensuite, tu la passes au jet et à la brosse, et frotte dure en insistant sur la poitrine et ses orifices, car cette petite salope à traîner avec des personnes manquant sérieusement d’hygiène ».
Alain : « Oui Monsieur Éric, tout de suite Monsieur »
Il va chercher le collier et la laisse et attache Marie-Claude, après l’avoir mise à quatre pattes. Puis, il commence à la promener sur la pelouse de la propriété. Lorsqu’elle sent qu’elle va uriner, Marie-Claude aboie deux fois, comme on lui a appris, et Alain s’arrête et regarde la petite chienne uriner. Une fois que Marie-Claude arrête de pisser et qu’elle se soit secoué le popotin, Alain lui caresse le crâne et dit :
« C’est bien tu es une brave bête ! Alors comme cela, tu as été traînée ton cul n’importe où ce matin !
Tu sais pourtant que nous aimons quand tu es belle et propre. Je vais être obligé d’augmenter la pression du jet et de prendre la brosse à poil dur pour te frotter ».
Alain promène encore une dizaine de minutes Marie-Claude, puis il la conduit sur la dalle en ciment pour la laver. Il attache la petite pute au poteau et lui dit :
« Je vais mettre le jet avec peu de pression pour te laver le museau, mais ensuite je vais augmenter la pression pour tes seins et tes orifices ».
Marie-Claude ne dit rien, mais elle se doute qu’elle va souffrir, car elle n’a jamais été lavée avec une pression très forte et parfois, l’eau qui cinglait sa peau lui faisait mal et elle n’a jamais été frottée avec la brosse à poil dur.
Alain ouvre l’arrivée d’eau, règle la pression et commence à asperger le visage et le cuir chevelu de la belle, il prend une éponge qu’il savonne pour laver consciencieusement le visage de la belle, puis il verse du shampooing sur les cheveux de Marie-Claude. Il frotte la tête de Marie-Claude, en prenant soin que le liquide n’aille pas dans ses yeux, puis il rince le tout.
Alain : « Bien, tu es déjà plus belle, mais passons aux choses sérieuses ».
Il augmente la pression de l’eau et le jet vient cingler la peau de Marie-Claude. Il commence par le dos et les flancs de la belle, puis vise les mamelles de sa maîtresse, mamelles qui remuent sous la pression de l’eau et commence à rougir. Puis il se place derrière elle pour viser ses orifices. La belle remue son arrière-train, mais plus pour éviter le jet que par excitation.
Alain coupe alors l’arrivée de l’eau et étale une natte en osier pour éviter que Marie-Claude ne se salisse et aussi pour son confort. Il ordonne à Marie-Claude de se coucher sur le dos, bras et jambes écartés. Il verse alors du savon liquide sur le ventre de la belle, puis il se saisit du manche de la brosse dur et commence à frotter le corps de la belle. Il prend un malin plaisir à frotter la poitrine de Marie-Claude, avant de faire de même sur son ventre, son sexe et son clitoris. Marie-Claude serre les dents pour ne pas crier, de peur d’être corrigée, mais des larmes coulent sur ses joues. Puis il fait mettre Marie-Claude sur le ventre dans la même position pour lui laver les fesses et son œillet.
Il passe au rinçage de Marie-Claude, avant de l’autoriser à se remettre à quatre pattes. Il la laisse ainsi pendant quelques minutes, le temps de ranger le balai-brosse, d’enrouler le tuyau et d’étendre la natte en osier pour qu’elle sèche.
Alain détache Marie-Claude du poteau et la ramène sur la terrasse. Il défait la laisse et le collier et Marie-Claude se remet debout aussitôt. Éric remarque que la peau de la belle est bien rouge et pense :
« Le petit salaud, il n’y aie pas aller de mainmorte »
Mais, il ne lui fait aucun reproche, sa belle ayant mérité d’être ainsi punie. Il lui dit de rester au soleil pour se sécher. Marie-Claude va s’allonger sur un transat et ne tarde pas à s’endormir, repue par une matinée bien remplie. Pendant tout ce temps, Fabienne a fini le ménage et vient rejoindre, nue, Éric sur la terrasse. Il l’a remercié et l’autorise à se reposer sur un transat, pendant qu’il prépare le barbecue en compagnie d’Alain.
Cela fait une bonne heure que Marie-Claude dort. Fabienne a dressé la table et les saucisses sont cuites, ainsi que les pommes de terre, mises dans la braise. Marie-Claude commence à bouger et se réveiller. Éric s’approche d’elle et dit :
« Allez ma douce, debout les saucisses sont prêtes! »
Marie-Claude ; « Oh oui des saucisses »
Éric : « Oui mais des saucisses pour manger, pas pour te mettre dans la chatte ou le cul ».
Les jeunes éclatent de rire et Alain ajoute ;
« Oui avec elle, faut mieux préciser ».
Marie-Claude rejoint le groupe à la table et s’exclame :
« J’ai une faim de loup »
Et se faisant très tendre, elle demande à Éric.
« Chérie, tu peux me préparer une pomme de terre, j’ai peur de me brûler »
Son amant prépare deux pommes de terre pour lui faire plaisir, alors qu’Alain apporte les saucisses et en met une dans l’assiette de sa maîtresse en lui disant :
« J’espère que je ne vous aie pas trop fait souffrir ce matin »
Marie-Claude : « T’inquiète pas Alain, je sais que tu n’as fait qu’obéir aux ordres de Éric »
Le repas se passe dans une très bonne ambiance et alors que Fabienne revient avec les glaces pour le dessert, Éric dit :
« Vous avez vu dans quel état Marie-Claude est rentré ce matin de ses escapades ? Voulez-vous qu’elle vous raconte sa matinée ?
Les deux jeunes disent en chœur : « Oui bien sûr ! Racontons-nous ta matinée Marie-Claude ».
Marie-Claude raconte comment Éric l’a abandonnée dans les griffes du gros porc qu’est le traiteur, avant d’aller demander à un clochard la permission de passer une nuit avec lui et que finalement elle a accepté de passer une journée entière avec lui. Pendant le récit de Marie-Claude, Alain avait sorti sa bite de son bermuda et commençait à se caresser sous le regard intéressé de Fabienne. Éric a invité la jeune femme à sucer le jardinier, en précisant que si elle le prenait en bouche, elle devrait aller jusqu’au bout et avaler, et que cela ne l’empêchait pas d’écouter la confession de Marie-Claude.
Excité par le récit de Marie-Claude et les lèvres de Fabienne, Alain n’a pas résisté longtemps et Fabienne a pris la semence du jeune homme et a avalé le sperme sans difficulté.
Fabienne à la fin du récit dit ;
« Mon Dieu comment as-tu pu ? Jamais je n’aurais pu lécher le cul sale du gros et lui mettre ma langue dans son petit trou ».
Éric intervient et répond :
« Fabienne, je te rappelle que tu es ici pour apprendre et vivre la même vie que Marie-Claude, alors si je décide de te livrer à cet homme pour une heure ou plus, tu devras obéir ».
Fabienne : « Oh non pas ça Monsieur, je vous en prie »
Éric : « Encore un mot de protestation, et je te conduis chez le traiteur dès ce soir et pas seulement pour une heure, mais pour la nuit entière »
Fabienne baisse la tête et dit :
« Oui Monsieur Éric ! Pardon! »
Éric poursuit :
« Ma petite Fabienne, commence à te faire à l’idée que tu ne baiseras pas que des apollons, et qu’au contraire, comme Marie-Claude tu seras donnée en pâture à des hommes laids obèses et sales. Et cela plus vite que tu ne le penses. Bien entendu, pour tes débuts Marie-Claude t’accompagnera, mais dans quelque temps tu devras être seule ».
Fabienne toujours la tête baissée :
« Oui Monsieur, je ferais tout, pour ne pas vous faire honte »
Éric : « Voilà une chose de résolue en espérant ne pas y revenir »
Fabienne se lève pour débarrasser la table et faire un peu de ménage,alors qu’Alain décide de monter dans sa chambre travaillée ses cours.
Éric propose à Marie-Claude d’aller dans le centre-ville, boire un verre. Marie-Claude accepte volontiers la proposition de son maître et demande ce qu’elle doit porter comme vêtement. Éric lui répond qu’il la veut très sexy et donc une robe courte, et décolletée sera parfaite avec une paire d’escarpins à talon.
Lorsque Marie-Claude revient quelques minutes plus tard dans le séjour, Éric dit :
« C’est cela que tu appelles court et décolleté ? Va te changer et dépêche-toi »
Marie-Claude s’étonne de la réaction de son amant, et les larmes dans les yeux, elle retourne dans la chambre se changer. Elle choisit une robe avec des bretelles spaghetti, très échancrée et très décolletée, dévoilant la totalité de son sillon mammaire et courte, elle recouvre juste les fesses mais pas plus. Elle sait qu’en s’asseyant pour prendre un verre, on pourra remarquer qu’elle ne porte rien dessous.
En revenant se présenter à Éric celui-ci dit :
« Parfait ! Tu vois que ce n’était pas si compliqué que cela de trouver une robe courte et décolletée ».
Puis il ajoute : « Relève ta robe, penche-toi sur la table et écarte tes fesses».
Marie-Claude se doute immédiatement de ce que va faire son maître et écarte ses fesses, offrant son anus à son amant. Éric fait sucer le plug anal à sa salope avant de l’insérer dans la pastille de la blonde. Alors que la jeune femme se retourne, il lui écarte les cuisses et introduit l’œuf vibrant télécommandé dans la chatte de Marie-Claude.
Marie-Claude : « Oh Monsieur ! Vous allez me rendre folle, si vous déclenchez la télécommande dans le centre-ville ».
Éric ne répond pas et entraîne la femelle soumise dehors et lui ouvre la portière pour la faire monter dans l’automobile. En montant dans la voiture, elle ne peut éviter d’offrir sa chatte à la vue de son maître, et pense que tout passant aura la même vue lorsqu’elle sortira ou retournera dans l’auto dans le centre-ville.
En s’asseyant, elle remarque que sa robe très courte remonte et qu’elle a les fesses nues sur le siège de l’automobile et imagine que cela sera pareil dans quelques minutes à la terrasse du café, ce qui commence à la faire mouillée.
Pendant le trajet, Marie-Claude dit à Éric :
« On aurait peut-être pu inviter Fabienne à venir avec nous, pour l’initier à l’exhibition? »
Éric : « Oui tu as raison, mais en même temps, elle mérite d’être privé de sortie pour son intervention après ton récit, mais la prochaine fois elle viendra avec nous, mais avant il faudra lui acheter des vêtements sexy ».
Marie-Claude : « Et pourquoi pas dans le magasin où je travaille le samedi, elle pourrait peut-être avoir une réduction, si elle est gentille avec le patron ».
Éric : « Oui bonne idée, il faut bien qu’elle commence à vendre ses charmes ».
Puis il ajoute : « Cette après-midi, on va prendre un verre en terrasse, mais tu te mettras seule à une table, moi je m’installerais tout près de toi pour te regarder et te mater. Tu auras le droit de croiser les jambes, mais si je désire que tu décroises les jambes, j’actionnerai la télécommande et tu écarteras tes cuisses en fonction de l’intensité des vibrations que tu recevras. »
Marie-Claude : « Vous êtes diaboliques, et si quelqu’un m’aborde, comment dois-je réagir ? »
Éric : « Tu l’éconduis gentiment, en disant que tu attends ton amant ».
En arrivant sur la grande place du centre, Éric se dirige vers une terrasse ensoleillée et remarque quelques tables libres. Il montre à Marie-Claude, où elle doit s’asseoir en posant sa main sur un siège, et il gagne une autre table légèrement de biais par rapport à Marie-Claude à 3 ou 4 mètres d’elle. Marie-Claude a du mal à poser ses fesses nues sur le siège, car celui-ci est brûlant et elle met plusieurs secondes avant de pouvoir poser son postérieur sur le siège.
Éric appelle le garçon de café et commande deux coupes de champagne, précisant que la seconde est pour la jeune femme seule à la table d’à côté. Quand le garçon revient avec les coupes, il sert Marie-Claude en précisant que c’est l’homme en blanc qui lui offre cette consommation. Marie-Claude fait un petit geste de remerciement comme s’il ne se connaissait pas.
Elle croise ses cuisses et attend les ordres de son Maître. Cela ne se fait pas trop attendre. Éric active la télécommande et immédiatement Marie-Claude décroise les jambes et les maintient écartées de 10 centimètres environ. Éric augmente l’intensité des vibrations de 1 puis 2 crans et Marie-Claude s’ouvre à la vue de son amant et des voyeurs potentiels qui pourraient la remarquer. Lorsqu’il arrête les vibrations, Marie-Claude croise de nouveau les jambes. Éric joue ainsi avec Marie-Claude pendant de longues minutes.
Arrive alors un couple de quadragénaire, qui prend place entre les tables de Marie-Claude et celle de Éric. Tel qu’ils se placent, ils sont de profil, par rapport au couple pervers. Éric déclenche une nouvelle fois la télécommande et Marie-Claude s’offre de nouveau aux regards. Le nouveau voisin s’aperçoit très vite que Marie-Claude a les cuisses ouvertes et ne porte rien sous sa robe. Il se penche vers sa compagne, et lui dit quelque chose à l’oreille. La femme se tourne vers Marie-Claude avant de sourire à son mari. Le couple ne paraît nullement choqué, mais plutôt amusé par le jeu de jambes de leur belle voisine.
Éric prend alors son verre et se dirige vers la table du couple, et demandant la permission de s’asseoir en leur compagnie, il se présente et apprend ainsi que l’homme se prénomme Régis et sa compagne Béatrice. Il leur annonce que la femme qu’ils matent est sa maîtresse et qu’elle obéit à ses ordres pour croiser ou ouvrir ses cuisses. Béatrice paraît sceptique. Il explique comment il commande sa maîtresse à distance, et elle dit à Régis :
Béatrice : « Oh chéri, il faut que tu achètes le même sexe-toy »
Éric précise alors que la belle porte en plus un plug anal et ajoute à la femme qu’elle pourra vérifier quand Marie-Claude viendra les rejoindre. Il fait signe à Marie-Claude de venir les rejoindre, et effectivement lorsque Marie-Claude passe près de Béatrice, celle-ci passe sa main sur les fesses de la pute et constate la présente du plug dans le cul de Marie-Claude.
Régis commande une bouteille de champagne et la discussion porte principalement sur l’éducation de Marie-Claude. Béatrice confie alors que tout ceci l’excite beaucoup et que son string est trempé. Elle est aussi intéressée pour savoir si Marie-Claude est bi, car elle aimerait avoir une expérience avec une autre femme. Pendant la discussion, l’inconnue demande à Éric, si elle peut emprunter la télécommande quelques instants. Éric accepte mais qu’en échange, elle lui donne son string. Elle hésite quelques secondes, et dit qu’elle va le retirer et quitte la table. Elle revient, rouge de honte, quelques minutes plus tard en tenant son string ficelle dans son poing, et que c’est la première fois qu’elle est nue sous sa robe dans un lieu public. Marie-Claude sourit et lui répond :
« Tu vas voir, on s’y habitue très vite ».
L’échange se fait et Béatrice confie qu’elle en a profité pour ajouter quelques gouttes d’urine à sa mouille. Éric donne l’appareil à Béatrice en lui expliquant le fonctionnement et surtout que si elle augmente trop les vibrations, Marie-Claude risque de ne pas pouvoir se retenir.
Marie-Claude récupère le string de Béatrice. C’est un ministring ficelle et la porte à son nez, sans se soucier des personnes attablées autour d’elle et elle remarque que la ficelle n’est plus blanche, mais marron.
Béatrice commence en plaçant le curseur sur 2 et ils constatent que Marie-Claude s’écarte et commence à se trémousser sur son siège. Marie-Claude ouvre la bouche et enfourne le sous-vêtement souillé et commence à la mâchouiller pour en tirer toutes les saveurs. Béatrice amusée pousse la télécommande sur 4 et Marie-Claude commence à gémir doucement, bougeant de plus en plus.
Éric intervient et dit :
« Je crois qu’il faut arrêter la démonstration, si on ne veut pas voir la police débarquer et nous interpeller pour troubles à l’ordre public ».
Béatrice rend la télécommande à Éric, en précisant que Marie-Claude peut garder son sous-vêtement en souvenir. Pendant que les deux hommes échangent leurs cartes de visite, Marie-Claude dépose un baiser sur les lèvres de Béatrice, et celle-ci en profite pour caresser le cul de Marie-Claude. Les deux amants quittent leurs nouveaux amis et regagnent leur voiture en empruntant le quartier de la vieille ville, fait de petite rue ombragée et peu fréquentée.
Une fois dans ce quartier, Éric déclenche de nouveau la télécommande et ordonne à Marie-Claude de marcher devant lui, en dénudant ses fesses. Marie-Claude remonte sa robe jusqu’à la taille pour qu’Éric puisse mater son joli cul. Éric pousse le curseur de la télécommande sur 5 et Marie-Claude surprise pousse un petit cri de surprise étouffé par le string de Béatrice qu’elle a toujours en bouche, et a du mal à se retenir de se masturber en pleine rue pendant la fin du trajet.
Arrivé à la voiture, Éric éteint la télécommande pour laisser Marie-Claude se calmer et en arrivant devant la maison, Éric récupère le string de Béatrice et le met dans le vide-poche de l’auto. Ils découvrent en rentrant les deux jeunes allongés et enlacés sur le même transat.
À suivre…
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