Mardi matin !
Ce mardi matin, Éric a pris une décision, et il compte en parler à Marie-Claude, lorsque celle-ci se lèvera. Vêtu simplement d’un bermuda, il ouvre les fenêtres de la demeure et prépare le petit-déjeuner. Marie-Claude apparaît nue, reposée et souriante.
Marie-Claude : « Bonjour Monsieur Éric, vous avez bien dormi? »
Éric : « Bonjour ma toute belle, et toi tu as bien dormi aussi ?
Marie-Claude : « Oui Monsieur. Les jeunes dorment toujours? »
Éric : « Oui et à propos de Noémie, j’ai pris une décision »
Marie-Claude : « Vous voulez la renvoyer ? Mais elle est courageuse, obéissante, travailleuse, jeune et belle »
Éric : « Tu as fini ? Je peux parler ? Je veux que comme toi, elle soit toute lisse, aussi ce matin, on va lui raser sa petite chatte et demain elle ira chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale et définitive ».
Marie-Claude : « Oui très bien ! »
Éric : « Et si on a la chance de recevoir prochainement la visite de Régis et Béatrice, on la fera participer. Mais ne lui dit rien, ce sera son baptême de jeune soumise ».
Lorsque les jeunes arrivent enfin dans la cuisine, Éric leur reproche de se lever trop tard, et après avoir avalé rapidement leur petit-déjeuner, Noémie débarrasse la table et commence son ménage alors qu’Alain va nettoyer la piscine comme tous les matins.
Marie-Claude appelle Noémie et lui ordonne de s’allonger sur la table de la terrasse. Marie-Claude lui écarte les jambes et lui dit :
« Ce matin, tu vas devenir toute lisse, comme moi. Tu seras désormais une vraie soumise, et apprentie putain ».
Éric arrive avec une petite paire de ciseaux qu’il donne à Marie-Claude. Celle-ci commence à défraîchir la toison pubienne de la jeune femme.
Une grosse partie des poils de Noémie a disparu. Le couple la laisse ainsi nue, les cuisses ouvertes pendant près d’un quart d’heure, sans s’occuper d’elle. On sonne à la porte. Éric va ouvrir et revient quelques instants plus tard en compagnie de son ami Thibo. Noémie est gênée d’être ainsi offerte au regard de cet inconnu, mais n’esquisse aucun geste pour masquer sa nudité.
Marie-Claude annonce à Noémie que c’est Thibo qui va lui raser la chatte et le SIF. La jeune fille ne sait pas ce que Marie-Claude appelle le SIF, mais ne pose pas de question. Marie-Claude va chercher le matériel pour le rasage. Pendant ce temps, le toubib en profite pour palper et étirer les lèvres intimes de la jeune femme. Sa chatte est humide et Thibo dit à Éric :
« Elle mouille cette petite salope, oh ! Moins que Marie-Claude, mais tout de même, je crois que tu as la, une bonne élève ».
Thibo commence par étaler la mousse à raser avec le blaireau sur le pubis et les lèvres de Noémie, puis il prend le rasoir et commence à ôter les poils de l’apprentie salope. Elle frisonne, mais ne bouge pas, faisant confiance à son « barbier ». Lorsque tous les poils de la toison ont disparu, il demande à Noémie de se retourner et de lui offrir son cul pour raser son sillon interfessier. Noémie comprend alors ce que signifiait le SIF. Marie-Claude se positionne de l’autre côté de la table et écarte les fesses de la jeune femelle. Thibo étale de la mousse à raser, mais cette fois avec les doigts, titillant la rondelle de Noémie et ôte avec le rasoir les rares poils de son sillon.
Éric annonce alors à son employée :
«Je pense que maintenant Thibo à bien mériter une bonne pipe pour le remercier »
Noémie est surprise, mais pas vraiment étonnée de l’ordre de son maître. Elle s’agenouille devant le toubib et ouvre son pantalon, découvrant un sexe de bonne grosseur, mais pas plus et commence à donner des coups de langues sur la queue de Thibo. Marie-Claude s’agenouille aux côtés de son élève pour lui prodiguer quelques conseils, car elle doit progresser dans sa manière de faire des fellations.
Aussi, de temps en temps, Marie-Claude prend la bite de Thibo, pour montrer à Noémie comment faire. Noémie est attentive et bon élève. Quand Thibo explose enfin dans la bouche de Noémie, Marie-Claude lui ordonne de garder la semence de l’homme quelques secondes dans sa bouche, avant d’avaler, et ensuite de nettoyer la bite du « barbier ».
Après le départ de Thibo, Noémie va se doucher pour enlever les dernières traces de mousse à raser et Marie-Claude va dans la chambre se vêtir, comme convenu avec son maître. Noémie revient nue dans le séjour et remercie Éric. Marie-Claude réapparaît une dizaine de minutes plus tard vêtue de sa tenue rouge de putain, achetée dans « son » sex-shop. Elle porte la guêpière seins nus, le ministring, la jupette ultracourte, des bas, les cuissardes et même le collier rouge de soumise.
Éric complimente sa douce pour sa tenue et dit :
« Bien puisque tout le monde est prêt, on va y aller »
Noémie toujours nue, ne comprend pas. Marie-Claude lui dit alors :
« Noémie, met ton manteau, on ne va pas t’attendre toute la matinée ».
Ils se rendent alors dans le garage et Éric demande à la jeune femme de venir devant près de lui et d’ouvrir son manteau, Marie-Claude s’asseyant derrière Noémie. Pendant le trajet, Marie-Claude est penchée en avant et malaxe les seins de Noémie, pinçant et étirant parfois les tétons de son élève. Éric se gare devant le magasin et ouvre la portière de Noémie, puis celle de Marie-Claude. Ils savent que ce matin le magasin est fermé, mais Marie-Claude frappe à la vitrine et le propriétaire du magasin en voyant Marie-Claude, il leur fait signe de rentrer par l’arrière de la boutique. Le trio contourne le bâtiment et le commerçant les attend et les accueille avant de refermer à clé le magasin.
Éric s’excuse de venir à cette heure, mais ils veulent habiller leur protéger et ils ont estimé qu’ils seraient plus tranquilles pour faire leurs achats. Pendant ce temps, Marie-Claude a ôté le manteau de Noémie, qui pour la seconde fois de la matinée, se retrouve nue devant un inconnu.
Le « patron » de Marie-Claude demande :
« Je suppose que vous souhaitez pour la jeune fille, le même genre de vêtement que pour Marie-Claude, à savoir des vêtements très courts, très échancrés et très décolletés ? »
Éric répond :
« Oui et également des sex-toys ».
L’homme prend son mètre ruban et commence à prendre les mensurations de Noémie, et comme avec Marie-Claude, il en profite pour peloter et caresser la poitrine, les fesses et le sexe de la jeune femme.
Il propose à Marie-Claude de venir avec lui pour choisir les vêtements, alors que Noémie reste debout les mains dans le dos et les jambes légèrement écartées en compagnie de son nouveau patron Marie-Claude revient les bras chargés de tenues sexy. Avant que ne commence l’essayage des différentes tenues, Éric demande ;
« Auriez-vous aussi la même tenue que Marie-Claude, mais pas en rouge, pour mon apprenti putain ? »
Le commerçant répond :
« Oui bien sûr, j’ai plusieurs colories, mais j’en ai même une blanche qui devrait aller parfaitement à cette jeune fille, même si ce n’est plus apparemment une oie blanche ».
Il s’éloigne et revient avec la panoplie entière de parfaite pute.
Éric lui demande de mettre la tenue de côté, car il veut réfléchir. Il a surtout une idée derrière la tête.
Noémie essaie les différents habits et le couple opte pour 4 robes, 4 minijupes, 4 corsages transparents, 5 paires de bas noirs, 5 paires de bas blancs, 3 paires d’escarpins à talons, une paire de cuissardes, un imper court, 4 soutiens-gorges demi-sein et 4 strings ficelle noirs et 4 blancs. Puis, il demande au commerçant un plug anal, un collier de chienne et une laisse et un œuf vibrant à télécommande.
Éric en regardant les sex-toys, trouve des petits œufs à peine plus gros qu’une petite pile électrique, pour l’anus. Il en prend deux qu’il ajoute à tous ces achats.
Le commerçant va à la caisse et présente la note à Éric, sans comptabiliser la tenue blanche, tout en mettant les achats dans des sacs. En voyant la note, Éric n’est pas étonné du montant, mais il se dit qu’il peut demander une ristourne aussi il dit :
« Vu le montant vous feriez bien un petit geste »
L’homme consent à faire une ristourne, mais Éric est plus exigeant et demande que l’homme offre la tenue blanche pour sa petite protégée. Le patron hésite, Éric ajoute :
« Et bien sûr, une pipe de la gamine, pour vous remercier de faire un geste commercial ».
Le commerçant accepte et met sur le comptoir : guêpières, minijupes, string, bas, cuissardes et collier.
Pendant qu’Éric fait le chèque, Marie-Claude fait s’agenouiller Noémie devant l’homme, qui a déjà baissé son pantalon et son slip. Noémie s’applique de son mieux, mettant en pratique les conseils donnés par Marie-Claude un peu plus tôt le matin. Et elle finit par avaler la crème du vieux avant de lui nettoyer la queue. Elle revêt alors la tenue blanche de putain, fière de porter la même tenue que sa maîtresse.
Avant de partir, chargé chacun d’un sac d’achat, le commerçant propose :
« Si un samedi, Marie-Claude ne peut venir, la gamine pourrait la remplacer avec la même rémunération ».
Éric répond : « Pas la même rémunération, car Noémie est encore presque neuve, donc plus chère ».
Et le trio sort du magasin et retourne à la voiture, Éric entouré de ses deux putains. Les deux femmes montent à l’arrière du véhicule, après avoir déposé les paquets dans le coffre.
Pendant le trajet retour, il regarde dans son rétroviseur et voit ces deux accompagnatrices se caresser et s’embrasser à pleine bouche.
Mardi après midi !
Après le déjeuner, Éric s’enferme dans son bureau et appelle Noémie, l’esthéticienne pour prendre un rendez-vous pour l’épilation définitive de Fabienne. Puis il va voir Marie-Claude, et lui annonce que désormais, Fabienne l’accompagnera quand Alain la promènera en laisse pour faire ses besoins.
Il convoque alors Alain et lui annonce qu’il doit maintenant traiter Fabienne comme Marie-Claude, à savoir mettre de la crème solaire sur la jeune domestique et qu’elle devra faire ses besoins de la même façon que Marie-Claude.
Alain prend les colliers et laisses des deux femmes et leur dit :
« Allez ! C’est l’heure de la ballade ».
Immédiatement Marie-Claude se met à quatre pattes, imitée par Fabienne. Alain attache alors les laisses aux colliers et commence à promener les deux petites chiennes. Elles marchent à quatre pattes de chaque côté du jeune homme. Quand Fabienne ressent le besoin d’uriner, elle aboie comme elle a vu faire sa maîtresse et le trio s’arrête pendant que la jeune apprentie urine. Une fois que Fabienne remue sa croupe pour montrer qu’elle a fini, Alain ordonne à Marie-Claude de se placer derrière son employée et de lécher la vulve humide de la jeune chienne. La ballade reprend et lorsque Marie-Claude exprime à son tour le besoin de pisser, le trio fait une nouvelle halte et Fabienne vient se placer derrière Marie-Claude attendant que sa patronne finisse d’uriner pour la lécher.
Éric qui suit à quelques mètres pour juger du bon déroulement de cette première ballade à trois, ce dit :
« Décidément cette petite apprend très vite ! »
Après la promenade, les deux jeunes reprennent leurs activités régulières et Marie-Claude se prélasse au Soleil. Éric prend sa voiture et part en ville sans dire un mot à Marie-Claude. Celle-ci est étonnée, car ce n’est pas dans les habitudes de son maître, d’agir ainsi.
Éric gare sa voiture dans une petite rue et fait une cinquantaine de mètres à pied, où il rejoint Albert le SDF. Celui-ci en voyant Éric sourit et l’accueille chaleureusement avant de dire :
« J’ai eu la visite de votre dame, mais vous êtes au courant bien sûr et vous venez me voir pour déterminer quel jour, elle peut venir pour son stage ».
Éric : « Exactement mon vieux Albert Je veux que tu la traites avec les égards d’une bourgeoise, mais aussi comme une pute en mal de sensations fortes, et je sais que tu sais faire et que je peux te faire confiance ».
Il lui tend alors une liasse de billets de 10 euros en disant :
« Tiens mon ami, c’est pour les frais que tu pourrais avoir pour accueillir ta stagiaire ».
Albert : « Oh ! Je vais juste avoir besoin d’emprunter des frusques à une collègue pour la journée et acheter des clopes et aussi de quoi se rincer le gosier. Aussi, vous me donnez beaucoup trop »
Éric : « Le supplément c’est pour que tu prennes soin de ma douce et que tu la soignes bien ».
Ils conviennent du jeudi soir, 18 heures, et les deux hommes se quittent. Éric rentre chez lui, s’enferme dans son bureau et appelle Régis pour convenir d’une rencontre. Ils discutent pendant un bon quart d’heure et les deux hommes s’accordent pour le dimanche matin vers 9 h 30 – 10 h 00 chez Éric.
La fin de journée se déroule normalement, et alors que le couple et leurs deux employés sont sur le point de prendre un petit apéritif, Éric va chercher une bouteille de champagne et en revenant ordonne à Fabienne d’aller chercher 4 flûtes à champagne.
Marie-Claude : « On a quelques choses à fêter ? C’est pour cette raison que vous étiez si mystérieux depuis ce matin ? ».
Éric : « Je ne voulais rien dévoiler tant que nous n’étions pas tous réunis car vous serez tous plus ou moins concerné, même si bien entendu Marie-Claude est la plus intéressée et impliquée.
Éric débouche la bouteille et remplit les 4 verres avant de continuer :
« Marie-Claude a rendez-vous jeudi soir à 18 heures avec Albert ».
Marie-Claude : « Albert ? C’est qui ? »
Éric : « C’est le SDF que tu as rencontré hier. Tu passeras 24 heures avec lui, pour être exhibée, humiliée et baisée »
Marie-Claude : « Whouai ! Super ! Mais en quoi les jeunes sont concernés ? »
Éric : « Alain sera chargé de nettoyer Marie-Claude après son stage, voir la punir, quant à Fabienne, elle m’accompagnera pour récupérer Marie-Claude vendredi soir. Je n’en dis pas plus, car tout dépend ensuite de la tournure des évènements ».
Marie-Claude très excitée par la nouvelle se trémousse sur son siège. Alain sait qu’il va prendre plaisir à laver et brosser la pute, quant à Fabienne, elle semble un peu inquiète ne sachant ce qui va lui arriver.
Éric : « Et une bonne nouvelle, n’arrivant jamais seule, dimanche matin nous aurons la visite de Régis et Béatrice. Pour les jeunes, je précise que c’est un couple qu’on a rencontré dernièrement et d’après une question de Béatrice, on suppose qu’elle vient pour avoir une première expérience homosexuelle et il est probable que Fabienne soit baisée par le couple et qu’Alain puisse profiter des charmes de Béatrice. Voilà ! J’espère que vous êtes satisfaites et heureux de ses nouvelles. Maintenant trinquons au sexe et à la débauche».
Après le repas, Fabienne débarrasse la table, alors que Marie-Claude va s’allonger sur un transat. Alain et Éric restent quelques minutes à discuter ensemble. Lorsque Fabienne revient, Éric l’envoi s’occuper de Marie-Claude qui est excitée depuis l’apéritif.
Fabienne s’approche de sa maîtresse et lui demande :
« Un coup de main maîtresse ? »
Marie-Claude : « Oh ! Donne-moi plutôt des coups de langue petite salope ! Viens me bouffer la chatte, le clito et le cul ! »
Fabienne s’allonge entre les jambes de Marie-Claude, et plonge sa tête entre ses cuisses, plaque sa bouche contre la chatte de sa maîtresse et commence à lécher la chatte trempée. Marie-Claude jouit très rapidement sous les caresses buccales de son employée.
Éric s’approche alors de couple lesbien et dit à Fabienne :
« Allez Fabienne ! Va mettre ton imper, je t’emmène chez l’esthéticienne ».
La jeune est étonnée, car elle n’était pas au courant que son maître avait pris un rendez-vous. En arrivant chez Noémie, celle est n’est pas surprise de voir Fabienne, car Éric lui avait expliqué par téléphone, que le rendez-vous concernait son apprentie pute.
Elle retire le vêtement de sa cliente et la conduit dans une cabine, en lui disant de s’allonger sur le dos. Noémie raccompagne Éric jusqu’à la porte et retourne dans le petit cabinet pour s’occuper de Fabienne. Elle lui explique qu’à la demande de ses maîtres, elle va l’épiler intégralement et définitivement.
En revenant chez lui, Éric ouvre sa boîte aux lettres et découvre un courrier de Marcel, « encore » époux de Marie-Claude. En prenant connaissance du contenu, il apprend que son « rival » souhaite divorcer avec tort exclusif de son épouse pour abandon du domicile conjugal et vie dépravée et que d’autre part, il désire également vendre la maison, pour quitter le quartier.
Éric appelle Marie-Claude et lui donne le courrier, pour qu’elle le lise. Celle-ci se met en colère et dit :
« Le salaud, il veut divorcer en me mettant tous les torts pour que je perde tout ».
Éric tente de la calmer et la raisonner.
« Chérie, tu ne peux tout de même pas nier que tu as abandonné ton domicile et que tu te comportes comme une pute, mais tu ne vas pas tout perdre pour autant. Quand il aura vendu la maison, une fois déduit ce qui reste à rembourser sur l’emprunt, il te reviendra 50% de la somme ».
Marie-Claude se calme et Éric lui dit qu’il allait téléphoner à Marcel, pour lui dire que Marie-Claude ne s’opposait pas au divorce, ni à la vente de la maison et savoir ce que Marie-Claude pourra récupérer dans la maison.
Marcel : « Marie-Claude peut et doit récupérer les 3 cadres où elle expose son cul, le plus tôt possible et qu’elle peut aussi récupérer ses vêtements, bien qu’elle n’en porte plus beaucoup. Autrement, je garde le tout, sauf s’il y a des babioles, qui sont à elle, et que je mettrais dans un carton à son intention ».
Éric : « Bien, je vais tout de suite pour récupérer les tableaux et Marie-Claude viendra chercher ses vêtements demain matin, si tu veux bien ».
Marcel : « Demain matin, c’est parfait, je serais absent ».
Éric résume sa conversation avec son ex, à Marie-Claude, qui semble satisfaite et elle demande :
« Mais où mettrez-vous les cadres ? »
Éric : « Dans le grand bureau, où je vais rarement. J’ai une petite idée de ce que je vais faire de cette pièce, qui sera bientôt la tienne, mais je t’en dirais plus ultérieurement ».
Il appelle ensuite l’entreprise « S.O.S. Bricolage & Entretien » pour récupérer les trois cadres en précisant qu’il faut 2 employés pour dépendre, transporter et fixer les tableaux chez lui et donne les dimensions des cadres.
Un rendez-vous est pris pour le lendemain matin. Lorsqu’il en a fini avec les affaires de Marie-Claude, il prend un verre avec sa maîtresse et part récupérer Fabienne chez Noémie. Lorsqu’il arrive à la porte de l’institut de beauté, et sonne pour qu’on vienne lui ouvrir. Noémie lui ouvre, lui dit que Fabienne est prête et qu’elle se repose dans la cabine. Puis, elle l’invite dans son bureau. Éric pense que c’est pour régler la prestation de l’esthéticienne, mais celle-ci dit :
« Monsieur Éric, l’autre jour je vous ai demandé de me vendre Marie-Claude et vous avez refusé, et me refuserez-vous également de me vendre votre petite employée ? »
Éric : « Vous en avez parlé avec elle ? »
Noémie : « Non pas encore, je voulais votre avis avant. Si vous acceptez, je m’engage à l’inscrire dans une école d’esthétique et lorsqu’elle aura son diplôme, je lui donnerais 50% de mon affaire et ce , devant notaire ».
Éric : « Bien pour Fabienne, c’est vraiment très intéressant et qu’est-ce que j’y gagne ? Car je perds une petite salope travailleuse et courageuse ».
Noémie : « Toutes mes prestations et produits de beauté pour Marie-Claude seront gratuites ainsi bien sûr que l’épilation de Fabienne ce matin ».
Éric : « Parfait ! Vous comprendrez bien que je veux réfléchir avant de vous répondre, mais je ne suis pas opposé dans l’intérêt de Fabienne. Je veux en discutez avec elle et Marie-Claude et vous rappelez ce soir ou demain matin, pour vous donner ma réponse.
Éric va chercher Fabienne, il remarque qu’elle a les cheveux mouillés et la ramène à la maison, sans lui faire part de sa conversation avec l’esthéticienne.
Le soir, pendant le repas, Éric parle de sa conversation avec Noémie. Fabienne se met à pleurer, triste de probablement quitter ses employeurs, mais heureuse de pouvoir suivre une formation dans l’esthétique.
Alain en riant dit : « Pleure ma belle, tu pisseras moins, mais au faîte tu n’as pas fait ta ballade ce soir »
Fabienne : « Si j’ai pissé dans la douche de Noémie »
Éric : « Dans sa douche ou dans sa bouche? »
Fabienne : « Les deux, Monsieur »
Éric : « Et elle a fait de même, ce qui explique que tu avais les cheveux mouillés ».
Fabienne : « Oui ! Après j’ai pris une vraie douche et fait un shampooing en compagnie de Noémie »
Éric : « Mais tu sais si tu nous quittes, ce ne sera que la semaine prochaine, tu as encore le temps d’avoir de nouvelles expériences ».
Le repas se termine dans la sérénité et ils font se coucher, Alain et Fabienne seuls, et Marie-Claude avec Éric.
À suivre…
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