Mercredi !
Ce mercredi matin, après un début de journée habituel, petit-déjeuner, aération des pièces, et douche
Le couple de pervers se rend ce qui est encore chez Marie-Claude, après qu’elle a pris la clé de la maison. Ils passent par les jardins et la porte-fenêtre de la chambre, car Marie-Claude est nue et ne souhaite pas être vue des voisins en ce début de matinée.
Alors qu’Éric attend les ouvriers qui vont décrocher les tableaux, Marie-Claude se rend dans la chambre pour récupérer ses effets. Marcel a déposé des cartons pour que sa salope d’épouse dépose ses vêtements. Elle entasse ainsi, robes, jupes, pull, corsage, collants, pantalons, vestes et lingerie.
Elle remarque que beaucoup de ses vêtements iront directement à des associations. Elle place dans un carton à part, quelques vêtements qu’elle pourra transformer car elle est assez douée en couture. Elle y place des robes qu’elle pourra raccourcir et leur donner un décolleté plongeant, des corsages transparents qu’elle ne mettait pas à l’époque sans un gilet et des sous-vêtements, quelques jupes et quelques pantalons, des soutiens-gorges et slips, bien qu’elle ne porte plus ce genre de chose depuis qu’elle fréquente Éric. Elle les imagine avec le bonnet ouvert pour dénuder ses aréoles et ses tétons ou les culottes ouvertes.
Les ouvriers de « SOS Bricolage & Entretien » arrivent enfin et lorsqu’ils prennent connaissance des tableaux à dépendre, ils sont surpris et ne se privent de commentaires salaces sur le modèle.
Ils commencent par dépendre les 3 cadres, puis ils dévissent les crochets pour les récupérer, ils serviront chez Éric, puis il rebouche les trous laissés par les vis avec du mastic.
Éric leur propose de passer par les jardins, ce qui sera plus rapide et court, que de les emballer et de les charger dans leur camionnette pour faire les 30 mètres de parcours.
À ce moment, arrive dans le séjour Marie-Claude et les deux employés reconnaissent Marie-Claude, et sont gênés, car ils craignent que celle-ci soit entendue leurs commentaires.
Marie-Claude : « Bonjour Messieurs ! Oui ! Vous avez raison, je suis une belle salope, comme ma tenue vous le prouve et si vous m’aidez à transporter mes quelques cartons chez monsieur Éric, je saurai vous récompenser ».
Les deux hommes transportent les cadres et les cartons de Marie-Claude chez Éric et posent le tout dans le grand bureau qu’Éric veut attribuer à Marie-Claude. Ensuite, suivant les directives de Éric, ils prennent les mesures et percent les murs pour fixer les crochets et enfin ils placent les tableaux. Marie-Claude voyant qu’ils ont terminé, s’approchent des deux hommes, face à eux, place ses mains sur la braguette des deux employés et dit :
« Chose promise, chose due »
Et s’agenouille et ouvre leur pantalon. Elle sort leur bite et commence à donner des petits coups de langue sur une, pendant qu’elle branle l’autre. Elle joue avec les deux sexes d’hommes léchant l’un pendant qu’elle branle l’autre, alternant régulièrement les bites dans sa bouche et cela jusqu’à ce qu’elle recueille les semences épaisses et abondantes des deux ouvriers. Elle nettoie les deux queues et se relève et dit :
« Merci Messieurs, c’était délicieux ! »
Et quitte la pièce. Éric raccompagne les hommes et avant qu’il ne parte, il dit :
« Je ne vous donne pas de pourboire, je crois que Madame l’a déjà fait ».
Il envoie ensuite un texto à Marcel pour l’informer que les tableaux sont maintenant chez lui et que Marie-Claude a récupéré ses vêtements. Il aborde ensuite le sujet du divorce, que Marie-Claude reconnaissant ses torts, il suggère à Marcel d’opter pour un divorce par consentement mutuel, et en prenant un avocat commun. Cela est très rapide, entre 15 jours et 1 mois. Marcel paraît convaincu et répond qu’il ira chez un avocat dès le lendemain pour que celui-ci rédige une convention, qu’il enverra aux deux parties.
Pendant qu’Éric téléphonait, Marie-Claude aidée de Fabienne a mis les cartons de vêtements dont elle veut se débarrasser dans le coffre de la voiture.
Faisant une pause, autour d’un pichet de jus d’orange, Éric informe Marie-Claude de l’accord qu’il a obtenu avec Marcel pour que le divorce soit prononcé d’ici un mois environ. Ensuite il dit à Marie-Claude qu’elle doit aller elle-même en compagnie de Fabienne porter ses vêtements à une association, car avec Alain il veut aménager la pièce qui va devenir son bureau.
Marie-Claude : « Mais que ferais-je dans ce bureau ? »
Éric : « T’inquiète pas ma jolie, je te le dirais prochainement, peut être lors de la visite de Béatrice et Régis. Mais rassure-toi, tu ne t’ennuieras pas ».
Marie-Claude comprenant qu’elle n’en saura pas plus pour l’instant, n’insiste pas et demande à son mentor ce qu’elles doivent porter pour aller à l’association. Éric répond qu’un imper suffira et qu’elles doivent être sages ».
Les deux femmes revêtent leurs impers et partent en direction de la zone où Marie-Claude sait qu’il y a une association qui prendra ses vêtements.
Éric entraîne Alain dans la pièce à aménager, installe le canapé-lit, dans un coin, en le dépliant pour en faire un lit, il déplace le bureau et le fauteuil directorial, branche un ordinateur portable, installe la wifi et récupère un canapé non transformable avec une table de salon, une armoire penderie et un petit coffre.
Les femmes en arrivant à l’association, vont à l’accueil et demandent à la personne qui s’y trouve, s’il y a quelqu’un qui peut les aider à décharger leur voiture. L’homme ne peut refuser de donner son aide à deux charmantes personnes aussi sexy.
Lorsque les cartons sont dans le bureau, l’homme demande ce qu’il y a dans les cartons et si les vêtements sont en bon état. Il ouvre un premier carton et voyant les vêtements en parfait état, il demande :
« Mais madame, ses vêtements sont presque neufs, vous êtes certaines de vouloir les donner ? »
Marie-Claude avant de répondre, ouvre son imper totalement et répond :
« Oh oui Monsieur ! Maintenant je vis nue ou presque tout le temps et ma fille aussi ».
Faisant passer Fabienne pour sa fille, elle ouvre l’imper de son apprentie pute pour prouver ses dires. L’homme stupéfait veut profiter et prolonger le spectacle, demande aux deux femmes de l’aider à faire l’inventaire de ce qu’elles apportent. Les deux femelles retirent alors leurs impers et commencent à repartir les vêtements par catégories. Elles en profitent pour se frotter parfois contre le corps du bénévole. Une fois les cartons vidés et les vêtements repartis par genres, elles remercient l’homme et lui font la bise en se frottant à lui. Elles montent en voiture et Fabienne dit :
« Le pauvre on n’est pas sympa de le laisser ainsi ».
Marie-Claude : « Oui tu as raison, et puis Éric a dit d’être sage, mais il n’a pas dit d’être ingrate avec ce pauvre homme.
Immédiatement, elles redescendent de la voiture et retourne au bureau. L’homme, qui les a vus revenir, leur demande :
« Vous avez oublié quelque chose Mesdames? »
Et en cœur elles répondent :
« Oui de vous sucer ! »
Elles retirent une nouvelle fois leurs impers, s’agenouillent, baisse son pantalon et son slip et commence à le sucer. L’homme n’en revint pas d’être sucé par la mère et « sa » fille. Marie-Claude ordonne à Fabienne de se mettre derrière le bénévole et de lui lécher le cul. Fabienne hésite quelques secondes et se remémore qu’on lui promit de lui apprendre des perversions avant son départ. Elle se déplace, écarte les fesses de l’homme et passe sa langue entre les fesses de l’employé avant d’introduire sa langue dans l’anus. Malgré l’odeur et le goût âcre, elle se force à bien lécher et nettoyer le trou du cul de l’homme. Celui-ci sous le traitement des deux femmes éjacule son foutre dans la bouche de Marie-Claude qui avale une partie de la semence de l’homme avant de partager celle-ci, par un baiser à Fabienne.
Elles se relèvent, enfilent leurs impers et quittent cette fois-ci définitivement le local après un petit signe à l’ouvrier, debout, le pantalon et le slip aux chevilles.
Lorsque les deux putains reviennent chez Éric, celui-ci veut leur faire découvrir le nouveau bureau de Marie-Claude. Elle trouve l’aménagement de la pièce à son goût, et en ouvrant les portes de l’armoire, elle y découvre toutes ses tenues pendues ou parfaitement rangées sur les étagères. Marie-Claude ouvre le coffre et trouve en plus de son œuf, et du plug, un petit œuf pour son fondement et des bâillons, des cagoules, des menottes, des chaînes, des pompes à tétons, des pinces à sein vibrant, des spéculums, des cravaches et également des martinets et des godes de différentes tailles.
Marie-Claude : « Oh mon Dieu, mais quand avez-vous acheté tout cela? »
Éric : « Ma petite Marie-Claude, je te rappelle que j’ai eu une vie avant de te rencontrer, et ses ustensiles datent d’avant ta rencontre ».
En revenant sur la terrasse, Alain qui n’oublie pas ses obligations, s’adresse aux femelles et dit :
« Venez faire vos besoins, avant de passer à table ».
Les deux chiennes se mettent immédiatement à quatre pattes, attendant que le jeunot place leur collier et attache leur laisse. La ballade dans la propriété de Éric se déroule comme les jours précédents, puis une fois détachées, les deux femmes s’asseyent sur les chaises de la terrasse en attendant le repas.
Après le repas, Éric ordonne aux deux femelles de mettre leur collier et de monter en voiture. Elles montent en voiture, Marie-Claude devant sur le siège passager et Fabienne, derrière elle. Elles attendent Éric, angoissées à l’idée d’être vu par les voisins, malgré leur habitude d’être nues et exhibées. Éric arrive, monte dans la voiture, démarre et leur dit :
« Cette après-midi, nous allons faire une balade en forêt. Ils roulent pendant près d’une heure, et lorsqu’ils arrivent enfin à destination. Éric fait descendre les deux femelles. Elles ont ordre de se mettre à quatre pattes et de marcher à 2 ou 3 mètres devant lui, ce qui lui permet de voir leurs croupes et leurs seins bougés à chaque instant. Elles marchent ainsi pendant une trentaine de minutes, lorsque Éric décide de faire une pause. Les petites chiennes fatiguées de marcher ainsi se laissent tomber sur le flanc pour se reposer.
Éric les menotte alors les mains dans le dos, et attache les deux colliers avec un cadenas. Ainsi, face à face, et les mains dans le dos, elles ne peuvent se caresser. Puis il s’éloigne des deux femmes les laissant seules dans la clairière. Elles trouvent le temps long, et lorsque leur maître réapparaît enfin, il a les bras chargés de belles et longues orties. Soulagées de revoir leur maître revenir, elles sont inquiètes, car elles savent que les herbes urticantes leur sont destinées.
Effectivement, Éric détache les colliers pour libérer les femelles, puis il leur ôte les menottes et les met debout. Éric attache les deux putes à l’aide des menottes, face contre un tronc. Il fait de même avec les pieds, de manière qu’elles soient bien écartées.
Éric commence par leur caresser le dos, les fesses et l’arrière des cuisses doucement, passant de l’une à l’autre, puis il frotte leur peau avec plus de force, et enfin, il les flagelle brutalement laissant de magnifiques cloques sur l’épiderme des deux femelles.
Il les détache et les place maintenant dos à l’arbre, offrant ainsi leurs poitrines et leurs sexes à la brûlure des orties. Les caresses sont plus fortes et plus précises. Ils incitent en frottant les seins et les sexes des 2 chiennes. Enfin, il libère les deux femmes, qui s’écroulent au sol, épuisées.
Il leur accorde un quart d’heure de repos, puis ils reprennent le chemin inverse en direction de l’automobile. Sur le chemin du retour, Fabienne aboie deux fois, exprimant ainsi son désir d’uriner. Éric prend alors Marie-Claude par le collier et l’entraîne derrière Fabienne et l’oblige à coller son museau contre la vulve de son employée et à ouvrir la bouche. Marie-Claude reçoit le jet jaune, chaud et abondant de pisse dans la bouche et avale le plus qu’elle peut. Puis il fait la même chose avec Fabienne lorsque Marie-Claude désire uriner.
C’est dégoulinante et puant la pisse qu’elles arrivent à l’automobile. Éric déverrouille la voiture et lorsqu’elles s’apprêtent à monter en voiture, leur maître leur ouvre le coffre et où elles s’y glissent, pour ne pas salir les sièges. Ils les placent tête-bêche la tête entre les cuisses de l’autre.
Une heure plus tard, Éric rentre la voiture directement dans le garage. Il fait sortir les filles du coffre et les fait passer par la porte menant à la pelouse. Alain les attend, ôte leur collier et les conduits sur la dalle en béton pour les laver. Une fois propres, elles restent debout cuisses ouvertes sur la terrasse pour sécher au soleil.
Une fois sec, il envoie les deux putains au lit, épuisées elles s’endorment immédiatement.
Jeudi matin !
Le jeudi matin en se levant, comme à l’habitude Éric prépare le petit-déjeuner, ouvre les fenêtres et pense que dans quelques heures, il déposera Marie-Claude pour son stage de sans-abri. Souhaitant celle-ci est en manque de sexe jusque-là, Marie-Claude qui est habituée à jouir plusieurs fois par jour, sera sevrée de sexe pour la journée.
Lorsque Marie-Claude apparaît nue dans la cuisine, elle embrasse son amant et maître, puis elle s’assied pour avaler un café. Elle a les cuisses ouvertes et se penche pour caresser son mentor sur le bermuda.
Éric : « Non Marie-Claude, pas maintenant ».
Marie-Claude est surprise, mais n’insiste pas. Après la douche, il entraîne sa pute dans la pièce aménagée la veille, et en croisant Alain, qui prend son café, il lui dit :
« Quand tu auras fini ton petit-déjeuner, tu viendras nous rejoindre dans le bureau de Marie-Claude, s’il te plaît ».
Marie-Claude suit Éric en pensant qu’il va lui montrer d’autres choses, qui sont dans la pièce. Aussi, c’est en confiance que la pute suit son amant. En arrivant dans la pièce, il ordonne à Marie-Claude de s’allonger sur le canapé-lit et d’écarter les bras et les jambes. Marie-Claude pense à un nouveau jeu prévu par Éric. C’est à ce moment, qu’Alain les rejoint et son patron lui demande d’attacher les chevilles de la belle aux pieds du lit afin qu’elle soit bien écartée. Pendant ce temps, il attache les poignets de Marie-Claude aux autres pieds du lit. Totalement offert, et sans possibilité de bouger, il prend un drap et recouvre le corps de la belle jusqu’au cou, puis lui dit :
« Voilà ma belle, dans cette position, tu ne peux pas t’exhiber, ni te caresser. Tu passeras ainsi la journée, privé de sexe, car je souhaite que tu sois en manque, pour ton stage auprès de Albert. Je passerais de temps en temps, voir si tout va bien, mais le mieux que tu as à faire, c’est de te reposer et même de dormir ».
Les deux hommes quittent la pièce et Éric éteint la lumière, laissant Marie-Claude dans l’obscurité totale.
Éric interpelle alors Fabienne, qui boit une tasse :
« Fabienne, ce matin c’est toi qui vas me sucer, car Marie-Claude est privée de sexe pour la journée ».
Fabienne s’accroupie entre les jambes de son patron, sort son sexe du bermuda et commence à donner des petits coups de langue sur la bite de son patron, puis elle passe sa langue sur la longueur du sexe avant de le prendre en bouche. Il profite de la position de Fabienne pour lui peloter les mamelles, étirant et pinçant les tétons de la jeune employée.
Lorsque Éric sent qu’il va jouir, il repousse la tête de la jeunette, et prend la tasse de café de Fabienne pour jouir dans son café. Il fait s’asseoir la belle et lui dit :
« Bois ton café crème Fabienne ! »
La blondinette prend la tasse, mélange la boisson et avale le contenu de celle-ci, et remercie son maître, car elle a vraiment aimé le goût.
En milieu de matinée, Alain prépare Fabienne pour la promener et Éric se rend dans le bureau, pour voir Marie-Claude. Elle a fini par s’assoupir et lorsque son maître allume la lumière, cela la réveille.
Éric : « Je te réveille ? Tout va bien? »
Marie-Claude : « Oui je m’étais endormie. Non ! Ça ne va pas, Monsieur Éric, et comment je fais si j’ai envie de pisser ? »
Éric ; « Oh ! Ne t’inquiète pas, avec Alain, nous avons mis une bâche sur le matelas et une alèse par-dessus, alors tu peux pisser si tu veux passer dans ton jus toute la journée. Mais rassure-toi la prochaine fois que tu seras dans la même position, ce sera pour être offerte pour jouir ou pour être cravaché, voir les deux en même temps ».
Éric éteint de nouveau la lumière et abandonne la pute, pour retourner à ses occupations.
Fabienne prépare des pilons de poulet qu’elle met à mariner pour les cuire ce midi. Pendant ce temps Alain et Éric discute sur la terrasse en prenant un jus de fruit.
Vers midi, Fabienne met la table en demandant si Marie-Claude va se joindre à eux. Son patron répond par la négative et alors qu’elle apporte 3 couverts sur la terrasse, Éric lui dit de ne mettre que 2 couverts et une gamelle par terre, car elle mangera comme une petite chienne. Fabienne obéit et lorsque Alain apporte les pilons de poulet, les deux hommes s’assoient à table et Éric met un morceau de poulet dans la gamelle prévue pour Fabienne et lui ordonne de se mettre à 4 pattes et de manger comme une chienne, sans s’aider des pattes.
Fabienne se sent humiliée de manger ainsi, sous les commentaires des deux hommes. À la fin du repas, c’est le visage souillé de graisse et de marinade que Fabienne est autorisée à se lever pour débarrasser la table. Puis seulement après avoir fait son travail, qu’elle peut aller se laver.
En milieu d’après midi, Éric va retrouver Marie-Claude toujours attachée sur son lit. Celle-ci est réveillée et en voyant Éric, elle est très en colère contre son maître.
« Pourquoi me traitez-vous ainsi, alors que j’ai toujours fait ce que vous désiriez ? Je ne mérite pas d’être punie aujourd’hui sans motif. Je vous déteste ! ».
Éric : « Tu as fini ? Pour t’être mise en colère contre moi, tu seras sévèrement punie, mais nous en reparlerons plus tard, pour l’instant je vais te détacher, mais tu as interdiction de te caresser jusqu’à ce soir. Tu as bien compris ? »
Les larmes aux yeux Marie-Claude :
« Oui Monsieur Éric. Je vous demande pardon ! »
Éric : « Mon pardon, tu l’auras plus tard, mais pour l’instant, je vais te libérer ».
En enlevant le drap qui la recouvre, il constate que Marie-Claude à pisser et qu’elle baigne dans son urine. Une fois détachée, Marie-Claude se lève et Éric lui dit :
« Tu as besoin d’une bonne douche, tu ne peux aller voir mon ami Albert dans cet état ».
Il l’accompagne jusqu’à la salle de bains, et lui annonce :
« Tu vas prendre ta douche sous le contrôle d’Alain, car je ne veux pas que tu en profites pour te branler et te faire jouir ».
Alain arrive vêtue simplement de son bermuda et il rentre dans la douche avec Marie-Claude. En voyant l’étonnement de sa pute, Éric lui dit :
« Tu te laves seule sous le regard d’Alain, mais c’est lui qui te lave la poitrine et les orifices, afin que tu n’y prennes pas de plaisir. Ensuite il restera à te surveiller pendant que tu te maquilles, te coiffes et te parfumes. Quand tu seras prête, il te ramènera jusqu’à la terrasse où je t’attendrai.
Alain laisse Marie-Claude faire son shampooing seul, puis elle se lave les pieds, les jambes, le dos et les épaules, puis le jeune homme intervient mettant du savon liquide dans ses mains, ils savonnent énergiquement la poitrine de Marie-Claude, puis il savonne ses doigts et pénètre le sexe de la belle avec 3 doigts et ensuite deux doigts dans son anus, mais il ne s’y attarde pas, pour ne pas lui donner de plaisir. Ils rincent la poitrine et les orifices en appliquant le jet sur les trous de la pute. Lorsque Marie-Claude est sèche et prête, il la conduit sur la terrasse et la laisse en compagnie de son patron.
Fabienne arrive sur la terrasse avec l’imper de Marie-Claude et un sac en plastique rempli de victuailles. Elle précise qu’elle a mis un thermos de café, des sandwichs, des pilons de poulet et deux bouteilles de vins. Marie-Claude enfile son imper, prend le sac plastique et se dirige vers la porte en compagnie de Éric.
À Suivre…
Ajouter un commentaire