Jeudi soir !
La voiture arrive dans la rue, où Marie-Claude a fait connaissance de Albert en début de semaine. Eric remarque immédiatement que Albert, n’est pas à l’endroit habituelle. Il ralentit et roule tranquillement en espérant l’apercevoir. Une centaine de mètres plus loin, il voit deux SDF et leur demande s’ils ont vu Albert et ceux-ci lui apprennent que Albert s’est fait renversé par une voiture la veille, alors qu’il avait trop bu, et il est à l’hôpital dans un sale état.
Eric dit alors à Marie-Claude : « Prends le sac, qui est dans le coffre et donne le à ses deux hommes »
Marie-Claude descend de voiture, l’imper ouvert, prend le sac plastique et traverse la route pour le donner aux deux clochards.
Marie-Claude : « Tenez messieurs, je devais le donner à Albert, mais je ne pense pas qu’il soit en état d’en profiter, alors je vous l’offre »
Les deux vagabonds la remercie, et Marie-Claude retourne à la voiture. Elle est sur le point de monter dans le véhicule lorsque Eric lui ordonne :
« Enlèves ton imper, je te veux à poil dans la voiture ».
Marie-Claude s’exécute, ravie d’être autorisée à s’exhibée, et rejoint son amant. Ce malheureux contre-temps, change totalement les plans de Eric, Il doit très vite prévoir un plan B, pour que sa maitresse ne reste pas sevrée une nouvelle fois.
Marie-Claude : « Où allons-nous maintenant monsieur Eric ? »
Eric : « Pour commencer, je t’emmène au restaurant, tu dois avoir faim? »
Marie-Claude : « Oh oui monsieur ! Une faim de loup ! J’avalerais n’importe quoi ! »
Eric : « Pour avaler, je te fais confiance, ».
Marie-Claude : « Mais je ne peux pas aller au restaurant, dans cette tenue »
Eric : « Oui tu as raison, on va passer par la maison, tu vas mettre une belle robe et ensuite on ira manger.
En arrivant chez Eric, il donne les clés à Marie-Claude, et lui dit :
« Dépêche-toi, je tourne la voiture pendant ce temps ».
Marie-Claude sort de l’automobile, totalement nue, sans se préoccuper du voisinage, et va ouvrir la porte de la maison. Elle en ressort quelques minutes plus tard, vêtue d’une robe ras les fesses, cachant à peine sa chatte, et avec un décolleté plongeant jusqu’au nombril, dévoilant en totalité son sillon mammaire et une partie de ses magnifiques seins.
Elle monte en voiture, dévoilant ses superbes cuisses et sa chatte lisse.
Eric : « Tu as fait un excellent choix, cette robe te déshabille parfaitement. Tu es vraiment indécente dans cette robe ».
Marie-Claude : « Merci monsieur Eric ! ».
Lorsqu’il arrive sur le parking du restaurant, Marie-Claude reconnaît l’endroit. Dans ce restaurant, elle avait fini entièrement nue et ivre de champagne.
Marie-Claude : « Oui bonne idée ! On avait passé une excellente soirée, lorsque vous m’avez emmenée la première fois ».
Il y a une dizaine de client dans la salle, lorsqu’ils rentrent et l’arrivée de Marie-Claude ne passe pas inaperçu. Un silence lourd fait place au brouhaha habituelle d’une salle de restaurant. Le patron, conduit le couple à une table dans un coin de la salle, légèrement à l’abri des autres convives.
Eric commande une bouteille de champagne, en attendant de regarder le menu, et quand le patron apporte la bouteille et les flutes, il leur dit :
« Vous savez que monsieur Fernand est dans la région, et dîne toute la semaine ici. D’ailleurs, il ne devrait pas tarder ».
Eric est ravi de l’information, il n’aura pas loin pour chercher des compagnons de jeux à Marie-Claude entre le restaurateur et le VRP ;
En ettandant que le patron prend la commande et commence à les servir, Eric et Marie-Claude déguste le champagne. La boisson pétillante commence à faire de l’effet, et à émoustiller la salope. Elle a les cuisses ouvertes et commence à se caresser discrètement.
Arrive alors monsieur Fernand, qui se dirige directement vers la table où il dîne tous les soirs de cette semaine, mais le patron l’intercepte et lui dit :
« Ce soir, je vous ai mis à une autre table »
Il le conduit à la table vaccante en face de Eric et Marie-Claude. En voyant le couple, il retire sa veste qu’il pose sur le dossier de la chaise et va les saluer. Eric lui dit :
« Je vous aurais bien invité à notre table, mais je pense que vous aurez une meilleur vue de votre table. Mais vous prendrez bien une coupe de champagne tout de même »
Monsieur Fernand : « Avec plaisir ! »
Il retourne à sa place et le patron vient avec une coupe, remplis celle-ci avec la bouteille du couple et la pose sur la table de monsieur Fernand. Le vrp lève son verre en direction du couple. Marie-Claude porte alors ses doigts sur son sillon mammaire, dénude son téton et titille celui-ci, ses cuisses s’ouvrent davantages sous le regard de monsieur Fernand. Comme lors de leur rencontre, il sue et s’éponge le front avec sa serviette. Marie-Claude remarque que l’homme est proche du malaise, aussi elle resserre les cuisses, mais continue à jouer avec son sein gauche, totalement dénudé, qu’elle pétrit de plus en plus.
Pendant ce temps, la salle de restaurant s’est vidée, et il ne reste plus qu’un couple d’une soixantaine d’année, qui ne prète pas attention à Marie-Claude. Celle-ci verse quelques gouttes de champagne sur sa poitrine et lèche son sein. Elle réitère plusieurs fois son geste. Eric commande une troisième bouteille et le dernier couple est à peine sorti du restaurant que Marie-Claude retire sa robe et se retrouve une nouvelle fois nue dans ce restaurant et devant le gros homme.
Elle se met à 4 pattes et se dirige vers la table du représentant, se glisse sous la celle-ci, déboutonne le pantalon de l’homme rondouillard et sort son sexe de son slip pour le caresser avant de la prendre en bouche. Le patron du restaurant ne voulant pas être en reste, s’approche et en l’apercevant Marie-Claude saisie ce second sexe et le branle, puis elle le prend en bouche et masturbe le vrp. Elle alterne ainsi jusqu’à ce que ses deux compagnons de jeux, jaillissent dans sa bouche. Satisfaite d’avoir fait deux heureux ce soir, elle se relève, saisit le seau à champagne et debout les cuisses ouvertes au milieu de la salle, elle urine dans le seau.
Elle se tourne alors vers monsieur Eric et dit :
« Monsieur Eric, s’il vous plait, baisez-moi ! »
Eric la couche sur une table et la prend. Sa compagne est trempée et il la pilonne de longues minutes, faisant jouir deux fois sa chienne, avant de se retirer et d’investir son anus. Marie-Claude jouit encore une nouvelle fois, avant qu’il sorte de son cul, pour éjaculer sa crème épaisse dans sa bouche.
Ils quittent le restaurant, après avoir règlé la note, et en arrivant dans leur lotissement, Eric arrête la voiture et dit à Marie-Claude :
« Descends ! Tu finira le trajet à pied! »
Marie-Claude sait que cette fois-ci, ce n’est pas une punition, mais un nouveau jeu de son maître, elle obéit et nue se dirige à pied vers la maison de Eric, espérant qu’à cette heure avancée de la nuit, elle ne rencontrera personne. Eric démarre et double Marie-Claude, lui faisant un petit signe en passant. Eric rentre la voiture dans le garage et attend sa soumise. Il sait qu’elle en a environ pour 5 minutes pour faire le kilomètre qu’elle avait à faire.
Marie-Claude parcours le chemin, en regardant anxieuse si personne ne la voit. Elle est environ à mi-chemin, quand elle entend des hommes parler. Les battements de son cœur s’emballent, mais elle continue à avancer et les voix se font plus proches. En arrivant à une interception avec une petite rue, elle aperçoit effectivement deux hommes qui discutent et ne prètent pas attention à elle.
En arrivant enfin, chez Eric, elle trouve la porte close. Elle n’ose sonner, aussi elle donne des petits coups dans la porte.
Toc ! Toc ! Toc !
Eric ouvre enfin, et dit :
« Oui Marie-Claude ! Que désires-tu ? »
« Rentrez et me faire baiser ! »
Eric la met enfin à l’abri de regards possible, et Marie-Claude demande alors en souriant :
« Vous vouliez me laisser coucher dehors ? »
Eric répond en riant : « J’avoue que l’idée m’a effleuré l’esprit »
Le couple se dirige vers la chambre à coucher, ou Eric fera de nouveau jouir sa maitresse en la prenant dans la chatte et le cul.
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