Vendredi !
Ce matin, Marie-Claude et Éric ne se sont pas levés très tôt, car Éric, pensait que sa belle serait avec Albert, et donc il n’a rien prévu de spécial.
Le couple discute tranquillement en prenant leur café, lorsque Marie-Claude dit :
« Monsieur Éric, j’aurais une requête à vous demander »
Éric : « Si c’est de passer outre le martinet, je t’arrête tout de suite, c’est non ! »
Marie-Claude : « Oh non Monsieur Éric, je sais que je mérite d’être punie, et que vous allez me faire souffrir, mais peut-être que j’y prendrais aussi du plaisir. Non, il ne s’agit pas de cela. Comme je n’ai pas de lait, et donc que je ne peux allaiter, est-ce que je peux éviter d’aller le dimanche soir, chez l’épicier, car cet homme me fait peur ».
Éric : « Comment cela, il te fait peur ? »
Marie-Claude : « Oui, je n’aime pas son regard, ce n’est pas le regard de désir ou lubrique d’hommes que j’ai rencontré depuis que je vous connais, il y a de la haine et de la violence dans son regard, vous savez que je n’ai jamais reculé devant la laideur ou même l’hygiène de certains, mais lui s’il vous plaît, je ne veux pas »
Éric : « Calme-toi, c’est entendu, tu n’iras pas le dimanche soir chez lui ».
Marie-Claude : « Merci Monsieur Éric, je vous aime tellement » »
Éric : « Va te doucher et mets ta tenue pour courir, respirer la campagne et la forêt nous ferons le plus grand bien ».
Quand Marie-Claude réapparaît, vêtue de la brassière et du short, acheté par Éric, elle lui dit :
« Je vous connais assez pour savoir que c’est volontaire, mais cette tenue est vraiment très très petite, la brassière ne cache même pas entièrement mes aréoles, quant au short, il me rentre complètement dans la raie et la moule ».
Éric : « Ne me dit pas que tu trouves cela trop sexy ! Mais rassure-toi, quand nous serons dans le bois, tu pourras la retirer, et courir nue comme tu l’as déjà fait ».
Ils sortent de la maison, et Marie-Claude se dirige vers la voiture, mais Éric s’arrête et lui dit qu’ils vont traverser le lotissement en courant, puis prendre un petit chemin à travers champs pour rejoindre le bois.
Marie-Claude, pourtant habituée à s’exhiber devant des inconnus, ressent pour la première fois de la honte, car elle va être vue, par des personnes de son quartier, qui savent qu’elle est mariée et où elle habite. Elle prend sur elle, et avec son amant, ils traversent le lotissement. Il y a du monde dans la rue, entre ceux qui vont faire quelques courses, ceux qui sont chez eux les fenêtres ouvertes et ceux qui papotes en prenant le courrier, où avec un livreur.
Très vite, elle a ressenti sa brassière remonter sur sa poitrine, quasiment nue après une centaine de mètres, quant au short, il ne cache rien de l’intimité de la belle salope. Marie-Claude sent les regards désapprobateurs sur elle, et imagine les commentaires de ses voisins la voyant courir avec son amant.
Une fois dans le bois, Éric ordonne à Marie-Claude de se mettre nue, ce qu’elle fait sans difficulté, et il reprend leur jogging à travers le bois. En arrivant dans une clairière, ils décident de se reposer. Marie-Claude s’assied sur une souche, alors qu’Éric marche en faisant le tour de la clairière. Il remarque une grande étendue d’orties et il lui vient une idée. Il appelle Marie-Claude et lui demande de se mettre à quatre pattes. La petite chienne obéit sans se douter de ce qui l’attend. Mais lorsqu’elle voit les orties, elle comprend qu’elle va devoir traverser les orties dans cette position.
Elle avance doucement avec précautions pour ne pas mettre ses mains sur les orties, mais elle ne peut éviter que celles-ci, caressent ses bras, ses cuisses, ses seins et son ventre. Malgré les piqûres de l’herbe, elle avance les larmes aux yeux, sachant qu’elle mérite ce qui lui arrive. Éric la fait ainsi traverser une vingtaine de mètres avant de lui dire de faire demi-tour. Le retour est aussi douloureux et c’est le corps marqué par les orties, qu’elle achève son périple. Elle pense que son calvaire est terminé, mais Éric lui ordonne de s’allonger sur le ventre au milieu des herbes urticantes.
Éric munit de gants, prend une poignée d’herbe et fouette le dos, les cuisses et les fesses de sa salope, passant les orties dans son sillon fessier, puis il lui ordonne de se mettre sur le dos et lui flagelle les seins, le ventre et le sexe. Son corps n’est plus que rougeur.
Marie-Claude se relève enfin, en pleurs et Éric la prend dans ses bras et l’embrasse amoureusement. Le couple reprend alors le chemin du retour et en abordant les champs, elle remet sa tenue de sport pour traverser la campagne et le lotissement où ils habitent.
À la maison, Marie-Claude retire sa tenue et va prendre une douche, puis Fabienne lui applique une crème apaisante, pour calmer les brûlures et démangeaisons dues aux orties. Marie-Claude est inquiète, car elle craint que les cloques soient encore visibles le lendemain, mais Éric la rassure et lui confirme que demain, elle sera parfaite pour recevoir Régis et Béatrice.
Après le déjeuner, Éric applique une nouvelle fois de la crème sur le corps de sa belle, et elle va s’allonger dans la chambre, sur le lit, son maître lui ayant déconseillé de se mettre au soleil, qui pourrait activer les effets des herbes urticantes.
Fin d’après-midi, Marie-Claude réapparaît reposée et effectivement les cloques ont quasiment toutes disparu et elle ne ressent plus les effets des orties. Elle se fait encore plus chienne et câline :
Marie-Claude : « Merci Monsieur Éric, merci de m’avoir punie, car si j’ai souffert, cela m’a aussi donné du plaisir. Je vous aime tellement que j’aimerais vous avoir dans moi en permanence ».
Éric : « Je ne suis pas encore dans toi pour l’instant, mais je te promets d’explorer tous tes orifices ce soir, après le dîner ».
Éric tint ses promesses et après le repas, il prit Marie-Claude par la main, pour la conduire dans la chambre, où la belle après avoir commencé à sucer son maître, celui-ci l’a baisée de longues minutes, la faisant jouir deux fois, avant de la prendre par le cul pour l’emmener à nouveau au septième ciel et de décharger sa semence abondante et épaisse dans la bouche de la soumise. Repu, le couple s’endort dans les bras l’un de l’autre.
Samedi !
Ce matin, Marie-Claude et Éric se sont levés plus tôt, car c’est la seconde journée de travail de Marie-Claude dans le sex-shop. Comme pour sa première journée, Marie-Claude revêt juste son imper, son employeur lui offrant une tenue tous les samedis.
Éric la dépose devant le magasin et Marie-Claude contourne celui-ci pour pénétrer par l’arrière de la boutique. En arrivant, elle ôte son imper et fait la bise à son patron, qui en profite pour la peloter. Puis, ils font un petit tour dans l’entrepôt pour choisir la tenue du jour pour la vendeuse.
Marie-Claude opte pour une combinaison résille ouverte à l’entrejambe. Elle va dans la cabine numéro une pour enfiler ce vêtement extensible. Lorsqu’elle ressort de la cabine, elle se regarde dans le miroir et apprécie son image dans ce vêtement qui ne cache rien de son anatomie.
En ce début de journée, il n’y a encore pas de client, et Marie-Claude en profite pour mettre de l’ordre dans les rayons et remettre des articles qu’elle va chercher dans la réserve. Le premier client, un petit vieux, fait un tour dans le magasin, juste pour se rincer l’œil en suivant parfois la vendeuse, car un ami lui a dit que le samedi, il y avait une belle vendeuse sexy. Malgré l’annonce du gérant, l’homme n’achète rien et quitte la boutique au bout d’un quart d’heure environ.
Quelques minutes plus tard, quelle n’est pas sa surprise en voyant entrer dans le magasin, Régis et Béatrice. Marie-Claude va les accueillir, leur fait la bise, et remarque que Béatrice à une robe mi-cuisse comme elle était en début de semaine.
Elle regarde Marie-Claude des pieds à la tête et lui demande :
« Cela ne te gêne pas de t’exposer aux regards de ton patron et des clients ? »
Marie-Claude : « Non au contraire, ça m’excite, mais vous que faites vous ici? »
Régis : « C’est Éric qui m’a donné l’adresse et qui m’a dit que tu travaillais ici dorénavant le samedi et comme Béatrice veut des vêtements plus sexy, nous avons pensé que tu pourrais la conseiller ».
Béatrice fière d’elle, annonce à sa nouvelle amie :
« Tu sais que je n’ai pas remis de culotte depuis je t’ai rencontré lundi dernier. Au début, Régis m’accompagnait et depuis jeudi, j’ose même sortir seule pour faire quelques petites courses à la boulangerie, l’épicerie ou le tabac journaux ».
Marie-Claude : « Félicitations ma belle, tu vois qu’on s’y habitue »
Béatrice : « Oui quand je rentre, je suis tellement excitée que Régis en profite, aussi il m’encourage à être encore plus cochonne ».
Le gérant passe alors son annonce, annonce qu’il a modifié, car il souhaite que son hôtesse soit le plus possible dans la boutique, pour inciter les chalands à acheter.
« Aujourd’hui, sur présentation de votre ticket de caisse à notre vendeuse d’un montant supérieur à 100 euros, celle-ci se fera une joie de se laisser caresser dans la cabine N°1, pendant 5 mn, 300 euros/10 minutes, 500 euros/15 minutes et 20 minutes au-dessus de 1000 euros ».
Béatrice est choquée par l’annonce qu’elle vient d’entendre :
« Comment peux-tu accepter cela ? »
Marie-Claude : « Mais ma belle, cela fait décoller le chiffre d’affaires et je touche 10% du chiffre du samedi en plus de mon salaire. Bref, par quel rayon voulez-vous commencer? »
Régis : « On veut tout voir, j’ai dit à Béatrice – budget No limite – mais pourquoi pas le rayon robe ! »
Ils suivent Marie-Claude et lorsque celle-ci leur montre certains modèles, ils trouvent les tenues trop courtes mais Marie-Claude en bonne vendeuse, persuade le couple en disant que Béatrice peut toujours mettre un imper ou un manteau dessus. Après avoir flâné dans divers rayons, Régis a les bras chargés de robes, guêpières, jupes courtes, chemisier et sous-vêtements. Marie-Claude propose ensuite des accessoires et ils choisissent un plug anal, un œuf vibrant télécommandé, un collier et une laisse.
Lorsqu’il passe à la caisse, le montant est exorbitant. Le gérant annonce une note de 1090 euros. Régis règle sans sourciller les achats et le gérant leur annonce que pour ce montant ils ont droit à 20 minutes en compagnie de la charmante vendeuse. Pendant ce temps, Marie-Claude s’offre aux caresses manuelles et buccales de Régis, devant Béatrice, qui a enlevé sa robe pour se caresser. Lorsque la lumière de la cabine s’éteint quelques secondes, Marie-Claude explique au couple qu’il ne reste qu’une minute et que Béatrice doit se rhabiller.
Quand le trio sort de la cabine, le couple est ravi de l’aventure et Marie-Claude trempée est déjà épuisée par les caresses de son ami. Avant qu’il quitte le magasin, Marie-Claude les embrasse et dit à Béatrice :
« S’il te plaît, ne prend pas de douche d’ici demain ».
Ils confirment leur venue le lendemain chez Éric et quittent le magasin.
Le gérant en voyant l’état d’excitation de sa vendeuse, entraîne Marie-Claude dans la réserve et la baise sur les cartons de vêtement, sans fermer la porte qui les sépare du magasin, car celui-ci est resté ouvert à ma clientèle.
Pendant la pause de midi, Marie-Claude suce son employeur avant de se reposer une petite heure, avant de reprendre le travail. L’après-midi n’est pas de tout repos pour Marie-Claude qui se rendra 4 fois dans la cabine pour se faire masturber entre 5 et 10 minutes et sera tétée une fois à chaque sein par le gérant.
À 19 heures, elle enfile son imper et va faire la bise à son patron qui lui tend une enveloppe avec ce qu’elle a gagné dans sa journée.
Éric lui demande : « Alors ma petite pute, as-tu passé une bonne journée ? »
Marie-Claude : « Oh oui Monsieur, j’ai dû gagner près de 1000 euros aujourd’hui »
Éric : « Tu exagères, petite ambitieuse ! »
Marie-Claude : « Non je vous le jure : 500 euros la journée, 2 tétées à 100 euros, le matin Régis et Béatrice sont passés au magasin et j’ai gagné 119 euros et l’après-midi 4 clients pour une soixantaine d’euros et cette jolie combinaison » et elle ouvrent son imper pour montrer sa tenue.
Éric : « Bien jouer ma belle, tu vas très vite ruiner ton patron à ce rythme, mais tu as donc vu Régis et Béatrice ? »
Marie-Claude : « Oui, ils m’ont confirmée leur venue demain et bonne nouvelle Béatrice est totalement lisse ».
Marie-Claude explique à Éric, comment elle est au courant de cela et dit que leur nouvelle amie n’a pas remis de culotte depuis leur rencontre.
Ils arrivent chez eux pour une soirée tranquille, car ils veulent être en forme le lendemain.
À Suivre…
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