Lundi !
Lorsque Marie-Claude rejoint Éric dans la cuisine, elle est de très bonne humeur, ravie de son week-end passé en compagnie de son amant, mais aussi de Béatrice et Régis.
Éric est déjà attablé devant un café noir, et il sert sa princesse, qui passe sa main sur son bermuda.
Éric :« Toi, tu as envie d’un café crème ! »
Marie-Claude : « Oh oui Monsieur Éric ! »
Elle s’étonne qu’il n’y ait pas de viennoiserie, Éric lui rappelle qu’ils sont invités à prendre le café chez Régis et Béatrice et qu’il y aura certainement des croissants et qu’elle pourra en tremper un et même encourager sa nouvelle amie à y goûter.
Elle avale rapidement son café, elle se rend dans la salle de bains pour se préparer. Lorsqu’elle en ressort presque une heure plus tard, elle est coiffée, maquillée, parfumée. Sur le lit, elle trouve une robe hypercourte, décolletée jusqu’au nombril et très échancrée, ne couvrant à peine ses fesses et son sexe et les aréoles de ses seins.
Elle met son collier rouge en cuir et tend la laisse à son maître, et sorte de la maison. Éric met la laisse dans le vide-poche et ils partent en direction de la villa de leurs amis. En arrivant, Éric descend de voiture, ouvre la portière de Marie-Claude, attache la laisse au collier et ils font les quelques mètres jusqu’à la porte d’entrée de leurs amis. Éric sonne en espérant que des voisins ont vu leur arrivée, pour nuire à leur réputation de bourgeois bien comme il faut.
C’est Béatrice qui vient ouvrir, dans une robe très courte et décolletée, mais beaucoup moins que celle de Marie-Claude. Étonnée et choquée de voir Marie-Claude tenue en laisse, elle les fait vite entrée dans la maison, surprise que ses amis osent arriver ainsi chez eux, mais évite de faire une remarque pour ne pas les fâcher.
Régis les accueille chaleureusement, et les invites à prendre un café et des viennoiseries. Marie-Claude s’approche de la table et avant de s’asseoir, elle retire sa robe pour se retrouver nue chez ses nouveaux amis. Béatrice s’approche de la table avec la cafetière et lorsqu’elle sert Éric, celui-ci profite de ce que Régis ne regarde pas, pour passer sa main sous la robe de l’hôtesse et caresse sa chatte.
Elle sursaute :
« Oh ! »
Elle renverse un peu de café sur la table. Éric retire illico sa main, Régis se retourne :
« Qu’est-ce qu’il y a ma chérie »
Béatrice : « Je me suis heurté les orteils dans la chaise de Éric et j’ai renversé un peu de café sur la table ».
En mentant à son mari, elle pose la cafetière et va chercher une éponge et un torchon pour nettoyer la table. Éric encouragé par le mensonge de Béatrice en profite pour répéter son geste. Il constate que Béatrice reste en place plus longtemps qu’il ne faut pour essuyer la table et qu’elle écarte un peu plus ses cuisses.
Régis s’est assis entre Marie-Claude et Éric et alors que Béatrice s’apprête à prendre place face à son mari, Éric lui dit :
« Par solidarité avec Marie-Claude, tu devrais retirer ta robe et te mettre nue comme elle ».
L’hôtesse ne regarde pas son mari, craignant probablement la désapprobation de celui-ci, et retire sa robe immédiatement, offrant son magnifique corps aux regards de ses amis et de son mari. Régis est très gêné qu’Éric ait autant d’influence sur son épouse.
Marie-Claude s’est aperçue de la gêne de Régis, aussi pour changer de sujet, elle demande en désignant la corbeille de viennoiserie, qui se trouve sur le milieu de la table :
« Je peux prendre un croissant ? »
Régis : « Bien sûr, Marie-Claude, ces viennoiseries sont là pour cela ».
Marie-Claude prend un croissant, ouvre davantage ses cuisses, écarte ses lèvres intimes et se pénètre avec la viennoiserie, sous le regard médusé de ses amis. Après quelques allers et retours dans sa chatte du croissant, elle sort la gourmandise et commence à la déguster.
Marie-Claude : « hum ! Quel délice ! J’adore »
Puis elle regarde son amie et lui demande :
« Tu veux goûter ? »
Béatrice : « … Je ne sais pas… Oui… Pourquoi pas ! »
Marie-Claude remet le croissant dans sa chatte, puis le ressort et le tend à Béatrice. Éric satisfait de la tournure des évènements et n’ayant aucun doute sur la suite du petit-déjeuner, jette un œil vers Régis, qui semble ne plus reconnaître son épouse et la regarde bouche bée.
Béatrice prend le croissant et mord dedans :
« Mais c’est vrai que c’est bon ! Jamais je n’aurais pensé à cela ! »
Marie-Claude : « Prend en un et tu me feras goûter avec ta mouille »
Béatrice s’exécute et les deux femelles dégustent la viennoiserie avec gourmandise. Béatrice propose un autre café, se lève prend la cafetière et verse le café dans les tasses, en restant débout cuisses ouvertes près de Éric. Marie-Claude qui devine, ce que souhaite son maître, détourne l’attention de Régis en lui demandant s’il veut goûter un croissant au jus de salope, mais il décline l’offre.
Pendant ce temps, Éric a passé sa main droite entre les cuisses de la brune, qui ouvre un peu plus les cuisses, surveillant que son époux ne remarque rien. Mais celui-ci est occupé par Marie-Claude, qui lui raconte comment elle a offert les fraises pour l’anniversaire de son mari. Éric a déjà introduit 2 doigts dans la fente de Béatrice. Elle retire les doigts de Éric et s’assoit immédiatement avant qu’Éric n’investisse une nouvelle fois sa chatte. Régis n’a toujours rien remarqué. Béatrice rouge de confusion demande à Éric :
« Éric, est-ce que je vous en ai mises assez ? »
Éric lèche ses doigts et répond :
« Ça va aller pour l’instant ma chère Béatrice, mais ne vous inquiétez pas, j’en reprendrais certainement encore, un peu plus tard ».
Béatrice comprend très vite l’allusion de son ami, et rougit, portant une main sur son sexe trempé.
Éric se lève et dit :
« Vous permettez que j’aille sur votre terrasse, fumer une cigarette ? »
Béatrice : « Bien sûr, je vais même vous accompagnez, car moi aussi j’en ai très envie ».
Régis en voyant son épouse sortir nue sur la terrasse dit :
« Mais tu es folle, les voisins pourraient te voir, tu sais bien que la haie n’est pas encore bien haute ».
Béatrice ne tient pas compte de l’observation de son mari et suit Éric dehors.
Régis hausse les épaules et demande à Marie-Claude :
« Vous ne fumez pas ? »
Marie-Claude répond avec humour :
« Si mais seulement les très gros cigares et la pipe »
En rejoignant Éric sur la terrasse, Béatrice dit à voix basse :
« Vous êtes fous, Régis aurait pu nous voir ».
Éric s’assoit sur un fauteuil et répond :
« Prends un fauteuil et viens près de moi, petite chienne, et ne t’occupe pas de ton mari, ma petite pute le distrait pour que nous soyons tranquilles ».
Effectivement, lorsque la brune regarde vers le couple, Régis et Marie-Claude plaisantent, rigolent et ne se préoccupent pas de leur conjoint. Elle écarte largement ses cuisses, prend la main de Éric et la pose sur sa chatte. Éric introduit 3 doigts dans le sexe de Béatrice et il commence à lui branler la chatte pendant le temps qu’il lui faut pour fumer sa clope. Puis, il retire ses doigts, les lèches et dit :
« Désolé, mais je ne peux te faire jouir ici, Régis pourrait le remarquer, mais ne t’inquiète pas, bientôt comme Marie-Claude tu seras totalement à moi ».
Ils regagnent l’intérieur de la maison, et Régis reproche à son épouse d’être sortie entièrement nue, sachant que les voisins pouvaient la voir, craignant pour leurs réputations, dans ce quartier bourgeois. Marie-Claude lui répondant qu’elle était chez elle, et qu’elle se moquait des voisins et faisait ce qu’elle veut dans sa maison. Éric pour mettre fin à la querelle du couple dit :
« Bien si nous abordions le sujet, pour lequel nous sommes ici ce matin ».
Régis : « Oui tu as raison, après tout c’est le but de votre visite »
Éric : « Comme toi et ta femme, semblez craindre que les clients du sex-shop la caressent, je pense à une autre manière d’exhiber Béatrice ».
Béatrice : « Vraiment, je ne risque pas d’être palpée, et subir les gestes déplacés des clients ».
Éric : « J’ai remarqué dimanche matin que Béatrice dansait très bien, qu’elle savait parfaitement se trémousser, et bouger de manière sensuelle, aussi pourquoi ne ferait-elle pas un show avec une danse orientale et finir par un strip-tease intégral. Cela devrait durer une demi-heure environ et on pourrait demander une centaine d’euros au gérant, sachant que de son côté, il fera payer les voyeurs. Elle pourrait aussi enchaîner avec un show lesbien. Un gain de 300 euros peut être envisagé pour une durée totale d’une heure ».
Pendant qu’il soumettait son idée, Éric a remarqué que sa voisine avait écarté davantage ses cuisses et porté sa main sur son sexe.
Régis : « Oui mais pour un show lesbien, il faut une seconde femme ! Et Béatrice n’a jamais fait de strip-tease, pas même avec moi ».
Éric sourit et dit :
« Régis rassure, toi,, la seconde femelle, elle est à côté de toi, je suis certain que Marie-Claude se portera volontaire pour être la partenaire de Béatrice. Quant à faire un strip-tease, Béatrice est assez sensuelle pour nous faire bander en se trémoussant ».
Béatrice : « L’idée est plutôt alléchante, car ainsi je ne risque rien, mais je ne voudrais pas être reconnu par d’éventuels voisins, commerçants où connaissances »
Marie-Claude : « Il y a une tenue de danseuse du ventre au magasin, avec un voile qui cache le bas du visage, ainsi tu ne seras pas reconnue ».
Éric : « La recette de la prestation sera en totalité pour Béatrice et plutôt que d’avoir un forfait de 300 euros par exemple, on pourrait demander un pourcentage, si c’est plus avantageux. J’ai même pensé à lui trouver un nom d’artiste : Cristal »
Régis intéressé dès qu’on parle d’argent devient plus attentif à la discussion et demande :
« Oui c’est très bien comme pseudo et quand allez-vous rencontrer le patron de Marie-Claude ? »
Éric : « Le plus tôt possible, pourquoi pas cet après-midi ? Le magasin est fermé, mais il ouvrira à Marie-Claude et nous pourrons rentrer par la porte de derrière ».
Régis : « Désolé, mais je ne pourrais pas venir, je dois préparer mon planning pour la semaine ».
Béatrice : « Mais tu sais mon chéri, on n’a pas besoin de toi, Éric sera là, pour défendre nos intérêts. Je sais qu’il s’occupera bien de moi, et je lui fais totalement confiance ».
Une nouvelle fois, Régis ne comprend pas l’allusion de son épouse, et répond :
« Oui tu as raison, rejoint Marie-Claude et Éric vers 15 heures chez eux et vous pourrez rencontrer tous les trois, le gérant de la boutique.
Dans la voiture, Marie-Claude dit à son compagnon :
« Ce Régis, il est vraiment naïf, il n’a pas compris les allusions de Béatrice »
Éric : « Oui, mais je te rappelle que Marcel n’était pas plus futé, et quand il a compris, il était trop tard, tu m’appartenais déjà ».
Marie-Claude : « Vous voulez me remplacer par Béatrice ? »
Éric : « Mais absolument pas, quelle idée. Mais deux salopes valent mieux qu’une, et vous pourrez vous motiver, voire vous mettre en concurrence ».
Marie-Claude : « Oui, mais cela peut mettre beaucoup de temps »
Éric : « Ce sera plus rapide qu’avec toi et Marcel, car elle est déjà prête à cocufier son mari. Je te charge d’organiser un repas pour jeudi soir, pour fêter votre premier spectacle de la veille.
À 15 heures précises, Béatrice sonne à la porte. Éric ouvre et accueille la brune. Elle est vêtue d’une robe courte et décolletée, mais assez sage. À peine est-elle dans le séjour, qu’elle pose son imper qu’elle avait sur son bras, ôte sa robe et explique en souriant :
« J’ai été obligée de mettre une robe, pour ne pas que Régis ait des doutes ».
Le trio part ensuite voir le patron du sex-shop, qui les fait entrer dans sa boutique par la porte de derrière. Éric explique le but de leur visite. L’homme semble intéressé, et demande une démonstration. Marie-Claude demande quelques minutes au gérant, va chercher la tenue de danseuse du ventre qui se trouve en rayon et habille Béatrice.
Le haut en soie blanche moule parfaitement la poitrine de la belle, découvrant son ventre, le bas est constitué d’une ceinture en satin maintenant deux pans de tissus devant et derrière, dévoilant les jambes et les cuisses de la femelle. Pour finir la tenue, le bas de son visage est masqué par un morceau de tissus de même matière. Marie-Claude met alors la musique et Béatrice commence son numéro de charme, sensuel et langoureux. Elle danse ainsi pendant un quart d’heure, puis la musique change et un slow remplace la musique orientale. Béatrice se trémousse, offrant aux regards du gérant, Éric et son amie, ses cuisses, ses fesses, caresse sa poitrine, son cul et sa chatte. Puis elle retire le haut du vêtement, suivra le bas du costume. Nue à l’exception du masque et de ses talons hauts, elle se caresse, allant même jusqu’à se toucher le sexe nu et finit même par se doigter avant que la lumière du spot s’éteigne.
Éric rallume le spot ; L’homme est enthousiaste et dit :
« C’est OK, je prends le numéro et vous donne 300 euros pour chaque prestation. Quand pouvez-vous commencer ? »
Béatrice : « Mercredi soir, mais il nous faut aussi la tenue de danseuse, mais vous ne voulez pas voir notre show lesbien, même pas un échantillon? »
Le patron de Marie-Claude refuse d’offrir la tenue de danseuse, mais accepte de voir un échantillon du spectacle de Marie-Claude et Béatrice.
Les deux femelles hyperexcitées d’avoir obtenu ce qu’elle désirait à l’exception de la tenue, font l’amour comme des folles, elles se lèchent, s’embrassent et se doigtent tous les orifices sans aucune retenue jusqu’à épuisement.
Le trio retourne à la voiture, et les deux femelles en chaleur, sorte de l’établissement totalement nue, leur imper sur le bras, se moquant d’être vues. Elles entrent chez Éric de la même manière. Elles déposent leur vêtement sur le dossier d’une chaise. Éric prend alors la main de Béatrice et l’entraîne dans la chambre.
Béatrice ; « Monsieur Éric, il faut que je rentre maintenant, Régis va s’inquiéter si je rentre tard ».
Éric : « Oui tu vas aller retrouver ton mari, mais avant je vais te prendre par tous les trous ».
Béatrice : « Mais je ne peux faire cocu Régis ! »
Éric : « Pourtant tu étais prête à te faire baiser ce matin sur ta terrasse, alors ne me fait pas regretter de ne pas t’avoir prise ce matin devant lui ».
Éric bascule Béatrice sur le lit pour la baiser. Béatrice n’esquisse aucun geste de défense, au contraire, elle s’offre à son nouvel amant, l’encourageant même :
« Oh oui ! Encore ! Plus fort ! Oui, oui, oui, faite moi jouir ! »
Éric se retire de la chatte de Béatrice après que celle-ci a joui deux fois, la retourne et l’encule pour la faire jouir une nouvelle fois. Lorsqu’il se retire de son cul, il offre sa bite à Béatrice qui le prend en bouche. Éric baise la bouche de Béatrice, la forçant à lui faire une gorge profonde jusqu’à éjaculer dans son gosier et l’obliger à tout avaler, avant de lui nettoyer la queue.
Marie-Claude qui a assisté au spectacle, dit à Béatrice :
« N’oublie pas de remettre ta robe avant de partir, si tu ne veux pas que ton cocu ait un doute sur ta fidélité ».
Éric ajoute : « On t’attend demain matin, pour aller acheter du tissu afin que Marie-Claude te fasse une tenue de danseuse pour mercredi soir ».
Béatrice : « Elle saura faire cela ? »
Éric : « Marie-Claude est très douée en couture. Elle a transformé quelques vêtements et sous vêtements ordinaires en vêtements et sous-vêtements très sexy. Fais-lui confiance ! Allez file salope tu vas être en retard ».
Quand Béatrice arrive chez elle, Régis lui reproche d’avoir été absente très longtemps, elle lui explique qu’il a fallu parlementer avec le gérant, lui faire une démonstration et file dans la salle de bains prendre une douche, sous le prétexte qu’elle a transpiré en dansant, mais surtout pour éliminer l’odeur de sperme et de cyprine, avant que son époux sente ces mêmes odeurs.
À suivre…
Ajouter un commentaire