Mardi !
Au réveil, Marie-Claude se dirige dans la cuisine, où Éric a préparé le petit-déjeuner et aéré la maison. Il sort de la salle de bains, en bermuda comme à son habitude et découvre Marie-Claude assise à table, attendant son amant pour prendre un café avec lui. Marie-Claude se lève et embrasse son maître avec passion, en portant sa main sur la braguette de son homme.
Éric :« Toi, tu as envie d’un café crème ! »
Marie-Claude : « Oh oui Monsieur Éric, avec un croissant imbibé de ma mouille »
Elle saisit une viennoiserie, écarte ses lèvres, et commence à se branler avec, alors que de l’autre main, elle masturbe son maître. Éric jouit dans la tasse de sa salope. Marie-Claude à l’aide d’une petite cuillère, mélange le tout et sort la viennoiserie de sa chatte pour la tremper dans son café crème.
Après le petit-déjeuner, Marie-Claude débarrasse la table et fait un peu de ménage, lorsqu’elle s’inquiète de l’absence d’Alain. Éric lui annonce qu’il a donné quelques jours de congé à son employé. Marie-Claude laisse Éric en lui disant :
« Je vais dans mon bureau, faire un croquis de la tenue de danseuse que j’ai imaginée pour Béatrice, alias Cristal, afin d’acheter juste la quantité de tissus nécessaire ».
Éric reçoit alors un appel téléphonique, c’est Béatrice. Elle lui annonce que son mari est absent jusqu’au lendemain soir, mais qu’il sera de retour pour voir le spectacle de sa femme. Éric lui dit que Marie-Claude travaille sur le projet de tenue de danseuse et que plus tard, ils passeront la prendre pour aller choisir du tissu.
Éric va retrouver sa maîtresse lui répète ce que lui à dit Béatrice et lui demande :
« As-tu réfléchi, au menu pour le repas de jeudi soir ? Tu ne penses pas refaire la même chose qu’avec ton mari ? »
Marie-Claude rit et dit : « La fameuse poule au jus et ses carottes ! »
Éric : « Oui, tu vois que Marcel aussi était très naïf ».
Marie-Claude ; « Non pas encore, mais ne vous inquiétez pas, je saurais improviser. Autrement, dans une petite demi-heure, je serais prête ».
Trente minutes plus tard, le couple sort de la maison, Marie-Claude entièrement nue, l’imper sur le bras. Éric a pris les plans du vêtement dans son sac. En arrivant devant chez Régis et Béatrice, le couple descend de voiture. Éric prend son sac et Marie-Claude sort du véhicule, nue laissant son imper sur le siège arrière. Éric sonne à la porte, et Béatrice ouvre la porte. Le couple embrasse Béatrice sur le seuil de la porte et entre dans la villa, surpris que Béatrice les accueille entièrement nue sur le seuil de sa porte.
Éric : « Tu ne crains pas que tes voisins te voient nous accueillir nue ? »
Béatrice : « Les voisins, je m’en fous, ils peuvent penser ce qu’ils veulent, j’ai envie enfin de vivre sans me soucier de l’opinion des gens »
Marie-Claude : « Mais Régis, s’il apprend cela, car il ne semble pas du même avis? »
Béatrice : « Content ou pas content, sais pareil. J’en ai marre de toujours faire suivant les convenances ».
Elle entraîne le couple dans le séjour et dit :
« Vous voulez un café ? Je suis allée à la boulangerie ce matin acheté des croissants »
Marie-Claude : « Tu es un amour, mais une sacrée vicieuse aussi, et je suppose que Régis était déjà parti, quand tu es allé à la boulangerie ».
Régis : « Oui, il ne comprendrait que j’ai envie de nouveautés et de découvertes ».
Après le café, Éric montre à Béatrice les dessins de Marie-Claude pour sa tenue de danseuse, et elle est ravie du travail effectué par son amie. Éric range les plans et le trio se prépare à sortir acheter les tissus. La brune prend son imper sur son bras et sort en compagnie de ses amis, dans la même tenue que Marie-Claude.
En arrivant devant une mercerie et tissus, les femmes enfilent leurs impers, et descendent de l’automobile. Éric les accompagne avec son sac contenant les esquisses de Marie-Claude. Ils sont reçus par un petit homme, souriant et Marie-Claude explique précisément ce qu’elle recherche. L’homme réfléchi quelques secondes et se dirige parmi les rouleaux de tissus et leur montre un rouleau de soie blanche.
Marie-Claude montre ses dessins et l’homme prend son mètre ruban qu’il a autour du cou pour prendre les mesures. Béatrice ôte son imper et apparaît nue devant le vieil homme. Celui-ci n’est nullement troublé par le corps de la belle brune. Marie-Claude lui demande de mesurer le tour de taille le plus bas possible pour faire une ceinture avec un tissu doré. Ensuite, il déroule la soie blanche pour la placer devant le corps bronzé de Béatrice. Devant la glace, la brune trouve que le tissu ne cache pas assez son corps. Avec le vendeur, ils décident de froncer le tissu pour le rendre moins transparent. Cette option convient aux 4 personnes et donc le trio achète 2 pans de tissus pour le devant et l’arrière du bas du corps de Béatrice, et un autre pour le haut du corps.
Marie-Claude pour ce troisième pan, pensait le passé autour du cou de son amie, emprisonner les mamelles de la belle et nouer les deux pans dans son dos. L’homme propose à Marie-Claude de faire un nœud factice sur l’un des pans et d’attacher les pans avec du ruban auto agrippant, beaucoup plus simple pour un strip-tease.
Elle demande autrement un autre morceau de soie du même rouleau, pour faire un masque et caché le visage de Béatrice.
En plus des morceaux de tissus en soie, le ruban auto agrippant, le tissu doré pour la ceinture et des rubans également doré pour attacher le masque, l’homme place le tout dans un sac et quand Éric sort sa carte bancaire pour régler les achats, le vieil homme propose une remise de 50%, si la danseuse lui fait une fellation. Le trio est surpris de la demande de l’homme, qui jusqu’ici n’avait eu aucun geste déplacé.
Béatrice est abasourdie, elle qui n’a sucer que Éric, à l’exception de son mari. La femelle s’agenouille déboutonne le pantalon du patron de la boutique, baisse son pantalon et son slip et prend en main le sexe dur de l’homme. L’homme lui caresse tendrement les cheveux l’encourageant à le prendre en bouche. Béatrice prend le sexe de l’homme et commence à le sucer. Le vieux très excité depuis qu’il a vu Béatrice à poil, et certainement en manque, ne tarde pas à envoyer sa purée dans la bouche de la brune, qui se force à avaler la semence du vieil homme.
Le patron remercie Béatrice, l’aide à se relever en galant homme et donne le sac à Éric. Marie-Claude remercie le vendeur pour son aide et lui certifie qu’elles repasseront prochainement, car elle fera certainement d’autres tenues pour son amie.
Le trio est à peine dans la voiture que Béatrice crie :
« Comment avez-vous pu me demander de sucer cet homme ? »
Éric : « Mais ma belle, je ne t’ai rien demandé, tu n’étais pas obligé d’accepter, si tu l’as fait c’est que cela te convenait et si tu avais refusé, Marie-Claude aurait pris ta place avec plaisir ».
Marie-Claude : « Oui c’est vrai, il me plaisait bien ce petit vieux, de plus tu as de la chance, il était poli, attentionné, doux et propre, tu n’auras pas toujours la même chance »
Éric : « Tu devrais être fière de toi, ma chérie, en deux jours, tu as fait cocu ton mari, et tu es devenu une putain. Quelle progression pour une petite-bourgeoise ! »
Béatrice : « Je ne suis pas une putain ! Ce n’est pas vrai ! »
Éric : « Oh si Béatrice, tu as sucé ce petit vieux pour obtenir une remise de 50% sur nos achats. Tu souhaites depuis le début, avoir la même vie que Marie-Claude, car tu l’as enviée dès que tu l’as vu s’exhiber sur la terrasse du café ».
Béatrice ne répond rien, et Éric dit aux deux femelles :
« J’ai eu une idée pour le spectacle lesbien de demain soir. Après le strip-tease de Béatrice, elle sort de la scène quelque instant et quand elle revient avec toi, Marie-Claude, tu seras à 4 pattes, nue bien sûr, et tenue en laisse et tu commenceras par te frotter contre les jambes de – Cristal – puis tu lui lécheras la chatte pour commencer votre show.
Marie-Claude : « Oui super comme entrée en scène, qu’en penses-tu ma chérie ? »
Béatrice silencieuse depuis la petite altercation avec Éric répond :
« Oui c’est vraiment une bonne idée, mieux que de rentrer sur scène, main dans la main, mais il faudra répéter cette nouvelle entrée en scène ».
Éric : « Pas de problème, puisque tu es libre jusqu’à demain soir, que ton mari rentre ».
En arrivant à la maison, pendant que Marie-Claude va porter les achats dans son bureau, Éric s’assied sur le canapé et demande à Béatrice de venir s’allonger sur ces genoux. Celle-ci confiance s’installe sur les genoux de son nouvel amant. Quand Marie-Claude revient, elle découvre Éric en train de caresser les fesses de sa nouvelle amie. Elle comprend tout de suite que son maître va la punir, pour s’être rebellée.
Effectivement Éric interrompt ses caresses et commence à donner des claques sur le postérieur de la brune, les coups sont peu appuyés, puis il reprend ses caresses et de nouveau les claques plus fortes cette fois-ci. Il alterne ainsi pendant une bonne demi-heure, finissant par des fessées très fortes. Le cul de Béatrice est très rouge, presque grenat. Éric lui demande de se lever, ce qu’elle fait en se frottant le postérieur et les larmes dans les yeux. Il passe alors sa main entre ses cuisses et constate qu’elle est trempée et dit :
« Tu as aimé cela, hein petite traînée, ta chatte est trempée. Maintenant tu vas reconnaître que tu es une putain »
Béatrice : « …. Je suis…. »
Éric : « Tu veux une deuxième ration ? »
Béatrice : « Non Monsieur Éric… Pitié s’il vous plaît… Oui je suis une putain, vous avez raison et aussi une traînée qui fait cocu son mari ».
Éric : « Bien, maintenant Marie-Claude va masser ton cul de putain avec une crème apaisante et ensuite tu te reposeras. Cette après-midi nous irons faire des courses pour le repas de jeudi soir ».
En début d’après-midi, Marie-Claude vient retrouver Éric dans son bureau et lui donne la liste des achats à faire pour le repas du jeudi. Elle n’en dit pas plus, voulant pour l’instant faire la surprise même à son amant. Éric en prenant connaissance des achats, constate qu’ils devront aller chez le poissonnier, le marchand de fruits et légumes, le caviste, le volailler, l’apiculteur ou tout acheter dans une grande surface.
La décision est vite prise de faire les 5 petits commerces, ce qui donnait plus de chance et de faciliter pour exhiber et d’humilier les deux femelles. Aussi, lorsque Béatrice réapparaît reposée, dans le séjour, il leur demande de mettre leur imper et ils vont dans un petit quartier commerçant pour faire les courses.
Éric arrête l’automobile près d’une petite épicerie, réputée pour avoir des fruits et légumes de qualités. Le trio est accueilli par un quinquagénaire, chétif mais souriant.
Marie-Claude : « Nous voudrions 2 beaux melons pour quatre personnes s’il vous plaît »
L’épicier : « Oui c’est pour manger quand et quelle grosseur désirez-vous? »
Marie-Claude : « C’est pour jeudi soir, et pour la grosseur, je les désire de cette taille »
Et elle dénude la poitrine de Béatrice, montrant au commerçant les belles mamelles de son amie.
L’épicier : « Je vois, je vais avoir exactement ce que vous souhaitez »
Ils prennent deux beaux melons les soupèse, et dit :
« La moitié de ceux-ci fait exactement la taille des nichons de votre copine, et ils sont garantis juteux et très sucrés ».
Marie-Claude : « Il me faudrait aussi 8 beaux abricots bien juteux »
Le commerçant : « Pour jeudi soir aussi, je suppose ? »
Il s’éloigne et revient avec un sac papier contenant 9 beaux abricots bien dorés par le soleil. Il en prend un, sépare les oreillons et les tend à Éric et Marie-Claude :
« Goûtez, vous allez voir comme ils sont bien juteux ».
Marie-Claude et Éric mangent les oreillons d’abricot et Éric rétorque :
« L’abricot de madame est lui aussi très juteux, vous voulez goûter? »
Béatrice debout, toujours dépoitraillée, laisse alors Éric ôter la ceinture de son imper et la mettre nue devant l’épicier. Elle ne dit rien et lorsque l’homme s’agenouille devant la brune, celle-ci écarte ses cuisses pour laisser le commerçant lui lécher la chatte.
L’homme se redresse au bout de quelques minutes et dit ;
« Effectivement l’abricot de madame est également très juteux et sucré.
Marie-Claude demande ensuite 2 pommes, 3 bananes et 8 carottes .
L’épicier prend trois sacs papiers et place les bananes, les pommes et les carottes en disant :
« Je ne vous demande pas ce que vous allez faire avec cela, car je crois que j’ai une petite idée ».
Riant, sans attendre une réponse. Il va à la caisse, calculer le montant des achats du trio et précise :
« Je ne vous aie compter les abricots ».
Éric remercie l’épicier et règle le montant par carte bancaire.
En partant, l’homme dit :
« Au revoir, monsieur dames, revenez quand vous voulez, mais en fin de journée, je peux fermer la boutique plus vite, pour bien m’occuper de vous ».
Béatrice qui a renoué son imper, sort de la boutique les larmes aux yeux, d’avoir été humiliée de la sorte par le couple d’amis. Éric en voyant les larmes couler sur les joues de Béatrice, lui dit :
« Allez ma petite putain, ne dit pas que cela ne t’a pas plus, tu as écarté toi même tes cuisses pour te faire bouffer la chatte ».
Prise en flagrant délit de perversion, elle essuie ses larmes et esquisse un sourire, vaincue par l’argument de son amant.
Les deux femelles montent à l’arrière du véhicule, Marie-Claude prend un paquet de lingettes de la poche de son imper et nettoie l’intimité de son amie.
Marie-Claude : « Voilà tu es de nouveau toute propre et fraîche »
Ils se rendent ensuite chez un apiculteur pour acheter du miel. Ils sont reçus par un jeune homme d’une trentaine d’années, le fils de la maison. Marie-Claude lui demande un très bon miel, précisant que c’est pour rôtir des oreillons d’abricots. Le jeune homme réfléchit quelques secondes et propose deux catégories de miel à la femme. Marie-Claude goûte les deux et choisit le miel de lavande et ouvrant une nouvelle fois l’imper de Béatrice pour la mettre à nu, elle enfouit deux doigts dans le sexe trempé de son amie et dit :
« Et que pensez-vous de celui-ci, il se rapproche plus de celui de lavande, vous ne trouvez pas ? »
Tendant les doigts trempés de mouille, vers le fils de la maison, qui ne résiste pas à lécher les doigts de la blonde. Marie-Claude avant que le jeune homme ne dise un mot, ajoute :
« Vous pouvez y goûter directement à la source, si vous désirez ».
Béatrice écarte ses cuisses, sans attendre, pour se faire bouffer la chatte une seconde fois. Puis Éric s’apprête à régler le pot de miel mais le jeune homme offre celui-ci pour les remercier.
Éric : « Tu sembles y prendre goût de te prostituer, même pour un pot de miel »
Béatrice humiliée, baisse la tête, n’osant répondre.
Ils se rendent ensuite chez le volailler pour acheter les cuisses de dindes. Accueilli par un quinquagénaire bedonnant, celui-ci leur montre 4 belles cuisses de volailles et donne même des conseils pour les confire. Le commerçant demande alors s’ils désirent autre chose. Marie-Claude qui a une idée perverse, demande à l’homme s’il a des croupions de dinde et elle en prend également quatre.
Éric demande au commerçant :
« Vous me les offrez, si je vous offre celui de madame? ».
L’homme accepte et Béatrice sans attendre, relève l’arrière de son imper, se penche en avant, pose ses mains sur ses fesses et écarte celles-ci pour offrir sa rondelle au volailler. Il s’agenouille et plonge son visage entre les deux globes de la brune. Il lèche sa raie culière, puis son œillet enfouissant sa langue le plus profondément possible. Marie-Claude toujours aussi perverse dit :
« Vous pouvez la doigter, si cela vous fait plaisir ».
Le commerçant pénètre aussitôt le fondement de la belle de son index, suivi rapidement par son majeur et branle le fion de Béatrice pendant deux ou trois minutes avant de retirer ses doigts et de les lécher. Il se relève. Il donne alors le sac de provisions à Éric, qui règle les cuisses de dinde avant de partir.
Dans la voiture, Marie-Claude nettoie une nouvelle fois la chatte trempée et le cul de Béatrice pour se rendre chez un caviste. Celui-ci d’une trentaine d’années, suite à la demande de Éric, propose deux bouteilles de pinot et deux de calvados. Il propose au trio de goûter et sort 3 petits verres à dégustation et fait goûter ses clients. Hésitant sur le pinot d’égale valeur gustative, Éric regarde la forme des deux bouteilles, dont l’une est plus allongée mais moins large et dit à l’homme :
« C’est madame qui va choisir quelle bouteille, elle préfère ».
Marie-Claude ouvre l’imper de Béatrice, lui tend une des bouteilles et la pénètre en enfonçant le goulot dans la chatte de la brune, et la branle quelques secondes avant de faire la même chose avec la seconde sous le regard médusé du commerçant. Éric demande alors à Béatrice quelle bouteille elle préfère.
Béatrice : « … Je ne sais pas, Monsieur Éric …Les deux sont bien, mais je crois…. Que je préfère la plus longue et la plus mince ».
Éric paye la bouteille de calvados et une de pinot, et ils quittent le magasin pour la dernière boutique, la poissonnerie. Marie-Claude nettoie une nouvelle fois la chatte trempée de son amie et il arrive déjà devant le magasin. C’est une femme d’une cinquantaine d’années qui les accueille. Éric demande si elle a de la morue, la femme répond par l’affirmative et lui montre un gros filet de poisson bien épais.
Éric : « Votre morue est très belle, mais moins appétissante que ces deux-là ».
Et il désigne ses accompagnatrices. La femme lui demande pourquoi il dit cela et il répond :
« Parce ce que c’est deux salopes, sont prêtes à tout par vices et perversions, si vous m’offrez la morue ».
La femme se dirige vers la porte de la boutique, ferme, celle-ci à clé et pose une pancarte « absente quelques minutes » puis revient vers les deux filles, les prend par la main et les entraîne à l’arrière de la boutique avant de leur dire :
« Allez les salopes, à poil et si vous êtes obéissantes, je vous offre la morue ».
Les deux femelles ôtent leur imper et se retrouvent nues dans l’arrière-boutique. La commerçante les prend chacune par un téton et les emmène dans le fond de la réserve en disant :
« Je vous promets que je vais vous éteindre le feu que vous avez au cul ».
Elle s’arrête devant un grand bac de glace pilée, servant sur les étals à tenir le poisson bien frais. Puis s’adressait à Marie-Claude, elle lui dit :
« Allez salope ! Monte dans le bac et allonge-toi sur la glace, ça va te rafraîchir le cul ».
Marie-Claude, hésite un instant, et obéis, sachant qu’elle doit satisfaire la femme et aussi son maître, et ne pas lui faire honte, en refusant. Elle se hisse en s’accrochant au bord du bac et bascule dans la glace.
Elle frisonne et une fois allongée dans la glace sous les yeux de Béatrice, de la poissonnière et de Éric, elle grelotte de froid, claquant des dents, tremblant de tous ses membres.
La femme appuie alors sur un bouton rouge, situé sur un appareil au-dessus de Marie-Claude. Immédiatement une pellicule de glace, tombe de la machine et la recouvre d’une fine couche la soumise. Marie-Claude, serre les dents et les poings pour ne pas crier.
La poissonnière s’adresse alors à Béatrice et lui ordonne :
« Va rejoindre ta copine et allonge-toi sur elle, pour la réchauffer ».
Béatrice obéit, monte dans le bac et s’allonge sur sa partenaire. Elle est très vite frigorifiée et ne peut réchauffer Marie-Claude, toujours tremblante de froid. Pendant ce temps, la commerçante a pris une boule de glace et la façonne jusqu’à obtenir un beau godemiché qu’elle enfonce dans sa totalité dans la chatte de Marie-Claude. Elle réitère l’opération, mais avec un plus petit, puis elle doigte le cul de Béatrice avec un, puis deux doigts et lorsqu’elle retire ceux-ci, elle les remplace par le petit gode qu’elle place entièrement dans le fondement de la brune.
La poissonnière : « Allez ! Sortez de là ! Vous allez salir la glace ».
Les deux femelles soumises, se dépêche d’évacuer le bac, alors qu’elles sentent la glace fonde sur leurs cuisses ouvertes. La femme leur ordonne de rester debout, cuisses ouvertes et mains derrière la tête. Grelottantes, Elles obéissent, restant ainsi, alors que la commerçante retourne dans le magasin. Quand elle revient, elle a à la main, un beau filet de morue salée, et sans attendre commence à fouetter les seins et le ventre des deux femelles, le sel qui recouvre le poisson, cinglant la peau des deux putains en laissant des points rouges sur leurs peaux.
La femme après avoir flagellé les deux soumises, d’une bonne dizaine de coups chacune, tend le filet de poisson à Béatrice et dit :
« Il est à vous, rhabillez-vous et dehors les salopes ! »
Elles ressortent du magasin satisfait malgré la douleur endurée par le froid et les coups. En rentrant chez Éric, elles sortent les achats et les rangent. Les deux femelles se rendent dans la salle de bains prendre une douche bien chaude et ôter le sel et l’odeur de poisson.. Elles en ressortent près d’une heure plus tard, réchauffées et pomponnées. Béatrice prend alors son imper et Éric lui demande pour quelle raison, elle prend son vêtement. Elle annonce à son amant, qu’elle rentre chez elle.
Éric : « Personne ne t’attend chez toi, Régis est absent, alors tu restes avec nous ce soir ».
Le ton est ferme et Béatrice ne discute pas l’ordre de Éric, mais en a-t-elle envie ? Elle repose son imper et embrasse son amant. Avec l’autorisation de leur maître, elles vont s’asseoir dans le canapé, pendant qu’Éric dresse la table.
Pendant le dîner, Éric et Marie-Claude humilient Béatrice, en lui démontrant qu’elle avait vendu son corps pour peu de chose. La brune reconnaît son nouveau statut de putain, puis, ils décident d’aller se coucher, les deux femelles dormant de chaque côté de leur maître.
À suivre…
Ajouter un commentaire