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Le mardi après-midi !
Avant de retourner chez toi, tu remets ton tee-shirt et je me munis d’un escabeau pour lessiver les plafonds.
Une fois de nouveau dans la chambre, je te propose :
« Je vais tenir l’escabeau pour te sécuriser pendant que tu laves le plafond »
Tu commences alors à grimper, lorsque je te dis :
« Arrête, je pense que tu devrais retirer ta culotte avant de monter, ainsi j’aurais une vue magnifique sur tes fesses ».
Marie-Claude : « Oh ! Vicieux, vous n’avez pas honte »
Éric : « Tu me dois bien cela en échange du massage ».
Marie-Claude : « Parlons en vous m’avez laisser sur ma faim »
Éric : « C’est pour que tu aies plus d’appétit, ce soir ma jolie! »
Tu redescends alors troublée de l’escabeau, retire ta culotte et tu montes en haut de l’escabeau et commences à lessiver le plafond les pieds sur deux marches différentes, m’offrant ainsi une vue magnifique de tes fesses et de ta chatte.
Marie-Claude : Je sens votre regard, poser sur mes cuisses, mes fesses et mon sexe, dont je vous offre la vue, dans cette position, et parfois l’une de vos mains s’égare sur mes cuisses, et mes fesses.
Nous procédons ainsi pour la seconde pièce de la maison et vers 15 heures, nous avons terminé le nettoyage complet des deux pièces. Je te dis :
« Bon, nous avons bien travaillé, et puis il faut laisser les murs et plafond sécher jusqu’à demain, que dirais-tu d’une petite sieste réparatrice ?
Marie-Claude : « Oh ! Excellente idée, mais vous me ferez un massage ? »
Éric : « Oui mais tu dors avec moi … »
Marie-Claude : « OK… vous savez Monsieur c’est quand même incroyable tout ce qui nous arrive, même avec mon mari je n’ose pas faire le dixième de ce que je fais avec vous… Je vous aime bien… Je… Heu… Vous serez le premier homme avec qui je vais dormir, à part mon mari je veux dire ».
Éric : Je te prends par la main, sans répondre, et à peine arrivé dans la chambre, je te dis :
« Allez ma jolie, déshabille-toi complètement que je te fasse un bon massage réparateur et décontractant ».
Marie-Claude : Timidement, je me mets nue pas long à me déshabiller avec ma tenue de peintre si légère … Et je m’allonge sur les draps, prise d’une petite crise de pudeur …
Éric : « Allons, veux-tu bien mettre tes bras au-dessus de ta tête, et découvrir ainsi ce que tu tentes de me cacher maladroitement »
Je quitte la chambre quelques instants et reviens avec l’huile de massage et nu. Je m’agenouille à genoux au-dessus de toi, une jambe de part et d’autre de ton corps, et je commence à verser un peu d’huile sur tes mamelles.
Marie-Claude : « Je heu… Oui, je heu… Excusez-moi Monsieur Éric mais je heu… Je suis un peu gênée, vous comprenez être nue dans un lit, c’est pareil que debout … Vous revenez nu, je suis toute rouge très gênée, mais je reste les bras au-dessus de la tête, je me tiens aux barreaux du lit … Je regarde votre sexe, il est au repos (pour l’instant) mais déjà il est plus gros que celui de mon mari quand il bande …
Éric : L’huile coule doucement sur la peau de tes seins, immédiatement, je caresse ta poitrine, doucement, titillant par la même occasion tes tétons, puis les caresses se font de plus en plus fortes sur tes outres, plus je masse tes seins et plus la pression de mes mains sur tes outres est forte, maintenant je les malaxe et les pétris durement.
Marie-Claude : Plus vous les malaxez fort, plus ma respiration s’accélère et l’excitation monte puis le plaisir … Ensuite vous alternez entre mes outres et ma chatte en venant même à me mettre un doigt dans le cul … Et au moment ou je commence à jouir des mamelles votre sexe est dressé devant moi me semblant énorme presque 2 fois celui de Marcel.
Éric : Puis je caresse et masse aussi ton pubis, alternant ta chatte et tes seins, Je me glisse pour que ma bouche atteigne ta chatte déjà poisseuse et ma langue pénètre celle-ci alors que j’écarte de mes doigts tes lèvres intimes. Ma bouche est maintenant collée à ton sexe, et la langue fouille ton antre du plaisir.
Marie-Claude : Je deviens folle de jouissance, je ne me contrôle plus jouissant des seins, de la chatte, découvrant la sensation d’un doigt dans le cul et ayant imprimé sur mes rétines votre gros sexe qui bande pour moi … Je jouis très bruyamment, trempée de transpiration, puis vous venez contre moi, je me force pour ne pas vous proposer charitablement de vous soulager …
Éric : Je te prends alors dans mes bras et recouvrant nos corps entrelacés, tu t’endors très rapidement. Alors que tu dors profondément, je prends ta main et la place autour de ma queue, et je me branle ainsi, avec l’aide de ta main.
Marie-Claude : Je dors profondément et me laisse faire telle une poupée.
Éric : Je ne tarde pas à éjaculer sur ta cuisse et ta vulve, avec l’aide de ta main endormie. J’étale alors mon sperme avec ta main. Puis je m’endors enfin avec toi toujours dans mes bras comme une épouse le ferait.
Marie-Claude : Ensuite vous vous endormez allongé à côté de moi pour cette sieste bien méritée.
Éric : Oui nous nous réveillons une bonne heure plus tard, Nous allons alors prendre une douche ensemble et regagnons la terrasse ensoleillée, moi vêtu d’un bermuda et toi totalement nue
Marie-Claude – Oui je me réveille en me faisant caresser une fesse … Je vous embrasse et nous allons prendre une douche ou vous me savonnez le corps et profiter de la situation pour me doigter les orifices, sous le prétexte de les laver, et à mon tour… Je suis troublée comme jamais lorsque je vous savonne le sexe, de savonner votre sexe raidi par l’excitation … Et il vous aurait fallu un simple mot pour que je continue mais vous me dites :
« Allez rince, moi, maintenant, ce n’est pas le moment … Entretenant en moi l’idée que ce sera pour bientôt ».
Éric : Alors que nous sommes étendus chacun sur un transat à prendre le soleil, l’on sonne à la porte.
Marie-Claude : Je sursaute et attends votre retour, tendue mais loin de me douter que vous allez revenir avec quelqu’un.
Éric : oui je reviens sur la terrasse en compagnie de Thibo, mon médecin, un homme de 64 ans, En nous entendant parler, tu te lèves pour aller récupérer le tee-shirt qui traîne sur la table de la terrasse.
Marie-Claude : Lorsque je vous vois revenir, je suis morte de honte, je cache mes seins d’une main et mon sexe de l’autre, toute rouge et je me lève pour vite prendre le tee-shirt, qui est sur la table.
Éric : « Thibo je te présente Marie-Claude, ma nouvelle voisine, Marie-Claude, Thibo mon toubib en retraite. Marie-Claude a emménagé le week-end dernier et son mari étant absent durant la semaine, je lui donne un coup de main pour peindre quelques pièces ».
Thibo : « hé ! Bien je suis enchanté de faire votre connaissance madame » dit-il en ne pouvant détourner son regard de ton corps à demi caché par ton tee-shirt.
Marie-Claude : je suis morte de honte, me cachant le bassin avec le tee-shirt et le buste d’un bras.
« Je heu… Bonjour mais heu… Excusez-moi je… Je ne suis pas en tenue pour vous saluer, je suis confuse »
Éric : « Ne sois pas gêné, d’une part Thibo est médecin, mais en plus il est naturiste alors tu peux te sentir à l’aise ».
Marie-Claude : « Je… Ha… Heu… Eh bien oui c’est heu… Je heu… Dans ce cas … Vous m’excuserez alors de me sentir gênée dans ces circonstances, c’est que je heu… Je n’ai pas l’habitude, je suis assez prude habituellement … »
Éric : Pour te rassurer je te dis :
« Oh tu sais Thibo est médecin, presque à la retraite, mais médecin tout de même et des nichons et des chattes, il sait ce que sait, alors ne t’en fait pas, tu es ridicule de te cacher ainsi ».
Marie-Claude : « Je heu… Excusez-moi Monsieur Éric, je heu… Je vous demande pardon… »
Éric : Je fais semblant de ne pas prêter attention à tes excuses et m’adressant à mon ami je lui demande :
« Tu as le temps de prendre un verre »
« Heu… Oui mais rapidement, j’ai un rendez-vous, mais je reviendrai, et si madame cherche un médecin… »
« Espèce de vieux cochon, tu es en retraite, tu as vendu ton cabinet et tu n’exerces plus que pour quelques amis comme moi ».
« Donc j’exerce toujours »
« Oui mais tu n’as pas le droit de prendre de nouveau client, et là tu es juste intéressé par les grosses mamelles de Marie-Claude, mais rassure-toi, je les ai bien en main et elle n’a pas besoin de toi pour se faire tripoter et en jouir, je lui ai fait découvrir la jouissance mammaire et le plaisir de se promener nue ».
Marie-Claude : Votre attitude de m’ignorer me rabaisse encore plus et je repose mon vêtement sur la table, honteuse, vous écoutant parler de l’activité professionnelle de votre ami … Et quand vous parlez de mes grosses mamelles comme si je n’étais pas là, j’ai les larmes aux yeux, comment mon nouvel ami en qui j’ai toute confiance, à qui j’ai offert ma pudeur de me faire masser les seins et plus encore … Ose parler de moi ainsi ! Et à ce moment, vous me dites :
« Allez reste pas comme une gourde debout comme ça, tu sais ou sont les bouteilles va nous chercher du Ricard et sers nous, allez magne toi les miches … »
J’obéis comme un automate, et quand je reviens et vous sers vous me caressez l’arrière de la cuisse.
« Allez Marie-Claude, détends-toi tu sais bien comment sont les hommes entre eux, on aime bien rigoler, tu sais que je te trouve superbe et quand je parle comme ça de toi à mon ami c’est une façon de créer une complicité tu comprends ? Allez bois avec nous et trinquons à mes mauvaises blagues… »
Nous buvons ce premier verre et naïvement je me sens rassurée, vous avez juste voulu plaisanter … Et en plus vous continuez à me caresser le dos, les épaules.
Une fois que tu as fait le service, je t’attrape par les hanches et te fais asseoir sur les genoux, tes jambes de chaque côté des miennes et tu te trouves ainsi face à mon ami, les cuisses ouvertes et nous trinquons ensemble comme de bons amis, avant que l’une de mes mains empoigne l’un de tes seins.
Marie-Claude : Je m’assieds sur vos genoux troublés et gênée de le faire devant votre ami … Surtout dans cette position, les cuisses ouvertes, pour me sentir plus à l’aise je me dépêche de boire pour que l’alcool m’aide à me sentir moins bloquée … Lorsque je sers à tout le deuxième Ricard, avec de trop grosses doses, je ne m’en rends pas compte, je suis penchée en avant les mamelles pendantes et au moment ou j’ai fini et m’ai prêté à me redresser , vous dites :
« Non-reste comme ça, je dois demander quelque chose à Thibo ».
Et vous m’empoignez les pis et demandez à votre ami :
« Dis-moi, toi qui es médecin, tu peux me dire si ma façon de masser les appendices mammaires de ma belle voisine est adaptée pour soulager son mal de dos ? »
Et vous commencez à me les pétrir sans retenue, à pincer les mamelons et moi les larmes aux yeux d’avilissement, je ne peux m’empêcher de jouir sur vos genoux, jambes écartées, devant votre ami …
Thibo : « Oui tu t’y prends parfaitement, d’ailleurs on voit tout de suite comme cela lui fait du bien, cela avec un massage des épaules et du dos ne peut qu’être très efficace.
Marie-Claude : Moi j’ai le cerveau foudroyé par la jouissance, qui n’est pas due qu’à votre massage, mais aussi à cette situation ambiguë … Je reste assise sur vous et je sens contre ma vulve votre sexe raide sous votre bermuda, tandis que vous reprenez la conversation avec votre ami …celui dit.
« Dis donc mon ami tu t’y prends très bien et ta voisine à une capacité surprenante à jouir des mamelles, est-ce que c’est votre mari qui vous y a habituées ou au contraire c’est l’abstinence qui vous rend si réceptive ? … »
Marie-Claude : « Je heu… Eh bien je suis assez sensible et pendant des années, à cause de ma timidité, je me suis retenue et j’ai même habitué mon mari à ne pas trop me toucher… Mais depuis quelques jours Monsieur Éric m’a fait découvrir ma nature de femme et j’avoue que même si j’en ai honte, je suis heureuse de prendre autant de plaisir avec lui, mais heu… Vous ne direz rien à personne non plus ? »
Thibo : « Ne vous inquiétez pas, mais ne craignez-vous pas de tomber amoureuse de mon ami ».
Marie-Claude : « Je heu… Eh bien non, j’aime mon mari et le plaisir qu’il me donne n’a rien à voir ».
Thibo : « Tout de même, si je peux me permettre en tant que voisin, s’il est le seul à vous faire jouir, il y a un risque, enfin je me mêle peut-être de ce qui ne me regarde pas mais je connais Éric … »
Éric : « Tu sais Thibo, Marie-Claude a de gros besoins et elle est frustrée si je ne la fais pas jouir, et j’ai bien l’intention de m’occuper d’elle le plus longtemps possible, d’autant plus qu’elle est seule la majorité du temps, et puis à part son mari, qui ne fait pas l’affaire, elle n’a que moi, n’est ce pas ma chérie »
Marie-Claude : «Je heu…Oui c’est vrai docteur, j’aime profondément mon mari, mais jamais il ne m’a fait jouir comme Monsieur Éric, mais je heu… Je dois avouer que je m’attache beaucoup à lui»
Thibo : « Et vous ne craignez pas pour votre couple ? »
Éric : « Marie-Claude ne craint rien, car nous sommes prudents, et j’ai encore beaucoup de nouvelles sensations à faire découvrir à ma belle voisine ».
Thibo : « Vous faites comme vous voulez, mais à part cela, il y aurait la possibilité que Marie-Claude jouisse d’autres hommes, mais c’est à vous de choisir »
Marie-Claude : Je n’en reviens pas.
« Mais j’aime mon mari et si je laisse Monsieur Éric me faire jouir comme ça, c’est parce que je… Enfin je l’aime bien »
Thibo : « ha vous voyez, ça commence ! Vous aimez surtout ce qu’il vous fait, en résumé, vous commencez à être accros à lui ».
Éric : « Thibo s’il te plaît, regarde comme elle a joui tout à l’heure juste en lui malaxant les mamelles »
Thibo : « Mais c’était devant moi »
Éric : « Oui et ? »
Thibo : « eh bien ta mignonne me parait aussi très exhibe, même si elle semble s’en défendre et jure qu’elle est timide »
Éric : « Je sais tout cela, et aussi que l’on peut être timide et exhibitionniste »
Thibo : « Et qu’as-tu l’intention de faire ? »
Éric : « Et bien lui faire découvrir l’exhibitionnisme, mais progressivement, cela fait partie des autres plaisir que je veux lui faire découvrir, bref je sais que tu n’aimes pas les femmes, qui ont de grosses mamelles, que cela fait vache laitière, mais j’avoue que je me suis servi de toi, pour qu’elle s’offre en spectacle et jouisse encore plus rapidement que d’habitude, preuve que la présence d’un inconnu l’excite »
Marie-Claude : Je suis tombée dans le panneau comme la gourde que je suis de mettre donner en spectacle.
Thibo : Et que vas-tu lui faire découvrir d’autres : les plaisirs avec des femmes, des hommes, les fessées, les gifles, le sado maso, l’uro ? Et pourquoi pas avec des animaux tant que tu y as ?
Marie-Claude : Je me rends compte en vous écoutant que vous avez fait exprès de me dévoiler à votre ami pour me faire découvrir que oui certainement je suis exhibitionniste et mon plaisir a été encore plus fort de me faire masturber les seins devant votre ami mais je me sens rabaissée d’avoir été manipulée…
« Je heu… Je veux bien découvrir ces nouveaux plaisirs, mais je heu… Je ne veux pas avec une autre femme, j’aurais trop honte et puis le sado maso, j’en ai entendu parler, je ne suis pas comme ça… N’est ce pas Monsieur Éric ? »
Éric « Je prends note ma chérie que tu es prête à faire beaucoup de jeux sexuels avec moi, et je suis fier de toi, mais pourquoi avoir honte d’une expérience avec une autre femme ? Quand à ne pas être maso, je te rappelle tout de même que tu aimes beaucoup quand je malmène tes gros nichons ».
Marie-Claude : « Je heu… Je ne sais pas c’est que je heu… Je n’ai jamais fait ça et puis je heu… En fait je ne me suis jamais imaginée avec une autre femme … Et pour mes gros nichons, c’est vrai que j’aime quand vous les malmenez, peut-être que j’avais une mauvaise image de ce genre de chose enfin vous voyez … »
Éric : « Je ferais ton apprentissage de tout cela progressivement, tu n’as pas t’inquiétée ».
Sur ces paroles, Thibo, se lève et dit :
« Mes amis, je dois vous quitter je suis déjà en retard, mais j’essayerais de repasser vous voir dans la semaine ».
Éric « Oui c’est cela, tu reviendras surtout pour voir Marie-Claude à poil, vieux pervers »
Il sourit, et quitte la terrasse avec un signe de la main
Marie-Claude : Je suis un peu rassurée par vos paroles réconfortantes et lorsque votre ami se lève pour partir, je me lève à mon tour et il me prend dans ses bras pour m’embrasser sur les joues, et avant de partir il me prend un sein, le palpe en disant :
« Humm c’est vrai que je n’ai pas l’habitude des gros pis, mais vous en avez de très beaux Marie-Claude ».
Et il s’en va en promettant de revenir dans la semaine, tandis que vous le charriez en disant qu’il a surtout envie de me revoir nue …
Une fois seuls, nous restons un moment silencieux sur notre transat, jusqu’au moment ou je te propose de venir t’allonger sur le même transat que moi, et rester ainsi enlace, à nous embrasser.
Marie-Claude : Oui je viens vous rejoindre sur votre transat, heureuse de me blottir contre vous et heureuse que nous nous embrassions et de sentir vos caresses.
Éric : Des caresses tout à fait soft, de la nuque, le dos, les fesses, les cuisses sans jamais effleurer tes parties intimes.
Marie-Claude : Oui de douces caresses, au soleil, je m’endors dans vos bras.
Éric : Je somnole, en te tenant dans les bras, et alors que tu dors ainsi depuis une bonne heure, je suis obligé de te réveiller car un gros nuage noir pointe à l’horizon.
Marie-Claude : Je me réveille, nous nous embrassons et rentrons chez vous, je reste nue.
Éric : Tu as déjà été attachée nue ?
Marie-Claude : « heu… Non Monsieur Éric, mais pourquoi j’aurais été attachée nue ? »
Éric : « Pour le plaisir ma chérie, tu veux que je t’attache ? »
Marie-Claude : « eh bien je heu… Non je n’ai jamais fait ça mais je veux bien oui mais après vous aller faire quoi ? »
Éric : En rigolant, voyant ton appréhension je te réponds :
« Je vais te torturer mon enfant ».
Marie-Claude : Croyant à une blague je rigole aussi :
« Bon, vous ne voulez rien me dire, et bien d’accord, attachez-moi toute nue, mais à quoi ? Et où ? »
Éric : « Je vais t’attacher aux pieds du lit, sur le dos, je pense qu’il te faut quelque chose de soft pour une première fois ».
Marie-Claude : « Je heu… Oui d’accord pour me faire attacher en croix aux pieds du lit, mais vous allez me faire quoi ? »
Éric : « Je vais te caresser, te peloter les mamelles, mais je ne vais pas tout te dire saches que je veux juste te faire découvrir de nouveaux plaisirs, aller, suis moi. Je vais te caresser, te peloter les mamelles, mais je ne vais pas tout te dire saches que je veux juste te faire découvrir de nouveaux plaisirs ».
Puis te prenant par la main, je t’entraîne dans ma chambre,
Marie-Claude : Aussitôt, je me lève et vous suis jusqu’à la chambre, avec tout de même un peu d’anxiété.
Éric : Je m’assois sur une chaise, et t’ordonne de venir te coucher sur mes genoux, les mains et les pieds de part et d’autre de mes jambes, et pour te mettre en confiance, je commence par te caresser les cuisses puis les fesses,
Au bout de quelques minutes de caresses, je te donne une claque sur les fesses, pas trop dure, puis une autre et encore une autre. Une bonne dizaine de claques atterrissent sur ton joli fessier, qui commence à rosir sous l’effet des petites claques.
Marie-Claude : Je vous suis apeurée mais comme je vous fais confiance, j’obéis et viens sur vos genoux, je me laisse caresser, le plaisir monte, puis quand vous commencez les claques, légères, le plaisir continue à monter … Je n’ai pas mal, c’est seulement un peu humiliant de recevoir une fessée, mais je le vis comme un jeu et sentant que vous m’avez déjà fait accepter un palier supplémentaire, vous reprenez vos caresses, sur les fesses…
Éric : Oui je reprends mes gifles sur ton cul, mais cette fois-ci, elles sont plus fortes que lors de la première série, et je m’arrête de nouveau pour alterner avec des caresses.
Marie-Claude : Oui c’est au moment ou vous sentez mon plaisir devenir fort que vous reprenez vos claques, plus fortes, mais à chaque fois, avant que je commence à avoir mal, vous reprenez vos caresses, me masturbez un peu et de nouveau les claques en disant :
« Thibo m’a conseillé de mal te parler … Tu es prête ? …
« Oui… »
« Alors grosse salope, tu aimes que je te gifle le cul ? »
« Oui Monsieur »
« Espèce de truie en chaleur, tu aimes jouir de tes grosses mamelles, mais tu aimes aussi te prendre une bonne fessée avoue ! »
« Je heu… Oui Monsieur Éric, j’ai honte mais j’aime »
« Tu préfères que je te parle gentiment ou que je te traite comme le mérite une putain qui a hâte de revoir son mari pour se prendre un coup de bite dans la chatte ? »
« Ho ! Je heu… Oui j’ai hâte que mon mari m’en mette un bon coup …»
« Et que feras-tu s’il est trop fatigué de sa semaine pour s’occuper de toi? »
Pendant ce temps, j’ai repris une série de claques sur tes fesses et tes cuisses, toujours de plus en plus fort, mais là je ne m’arrête pas pour alterner avec des caresses, j’alterne juste les coups sur tes cuisses et ton cul, de plus en plus fort, jusqu’à ce que ton fessier soit écarlate.
Marie-Claude : « Je hoo ! Je me branlerai comme une cochonne et je… Haaa ! Houu ! Heu… Je viendrai vous voir pour que vous me fassiez jouir Haaa ! Houu !… »
Éric : « J’espère que tu viendras me voir, plutôt que de te branler seule comme une truie »
Puis je te donne encore 3 claques sur chaque fesse, très forte, puis caressant ton cul et tes cuisses je passe une main entre celle-ci et constate que tu es trempée.
« Dis donc ma salope, apparemment tu aimes la fessée, tu es trempée »
Et alors que je te caresse le sexe, j’ajoute :
« J’aurais peut-être dû continuer, et te faire jouir sous la fessée ? »
Marie-Claude : « Hoo ! Oui Monsieur Éric je viendrai vous voir et je heu … Oui j’aime votre
fessée… Je heu… Oui s’il vous plaît continuez mais doucement »
Éric : Je t’attrape alors par le bras te couche de nouveau sur mes genoux et commence par te caresser l’intérieur des cuisses sans te toucher le sexe, puis les fesses et au bout de 2 minutes environ je reprends ma fessée, mais les coups sont fort contrairement à ta demande.
Marie-Claude : « Humm ! Hoo oui continuez faites-moi jouir s’il vous plaît, touchez-moi je suis trempée … Mais à ce moment vous reprenez la fessée d’une main et de l’autre vous me tenez par une mamelle de l’autre côté de vos jambes.
Éric : Je te comprime très fort la mamelle, la tordant par moments, alors que ma main s’abat de plus en plus fort sur ton cul.
« Oui ma chérie, je vais te faire jouir, mais en te corrigeant le cul comme jamais il n’a été puni et ce jusqu’à ce qu’il soit écarlate et que tu en jouisses ».
Les coups tombent de plus en plus fort sur tes cuisses et ton postérieur
Marie-Claude : Malgré moi et malgré la douleur, je sens la jouissance monter tant de par votre traitement alternatif de compression et de torsion de mes mamelles, mais aussi la fessée qui bien que douloureuse me fait beaucoup de bien …
Éric : Je sens tes cuisses s’ouvrir progressivement au fur et à mesure que je te frappe, je lâche ton sein, désirant te faire jouir que par la fessée une nouvelle forme de plaisir pour toi, une découverte, une révélation.
Marie-Claude : Oui vos claques sur mes fesses font bouger mes lèvres et provoquent une excitation vraiment forte et sans m’en rendre compte j’écarte les cuisses et je commence à gémir proche de la jouissance.
« Hoo ! Hoooo ! Humm ! Oui Monsieur oui »
Et vous cessez de stimuler mes seins pour me faire uniquement jouir du cul, me faire jouir de me faire fesser le cul.
« Haaaa ! haaaa ! Haaaa ! Hoooo pitié ! Stop Monsieur humm ouii ! C’est trop bon… Je jouis haaaa ! Hoo mon Dieu monsieur je… Hoo j’ai honte vous vous rendez compte vous m’avez fait jouir en me donnant une fessée, Je heu… Excusez-moi d’avoir douté et d’avoir eu peur, je heu… Vous pourrez me demander tout ce que vous voudrez »
Ne comprenant pas ce que vous pourriez d’ailleurs me demander de plus …
Éric : « Puisque tu es prête maintenant, va t’allonger sur le lit, bras tendu au-dessus de ta tête et cuisses ouvertes largement, je reviens ! »
Et pendant que tu t’installes sur le lit comme je te l’ai ordonnée, je m’absente quelques minutes et reviens avec un sac. Je le pose entre tes jambes, retire les liens et t’attache chaque membre à un pied du lit.
Marie-Claude : Toute pantelante de ma jouissance, j’obéis comme un automate me disant que ça y est vous, allez me baiser sur votre lit attaché … Mais ce n’est pas pour aujourd’hui encore
Éric : Non, ce n’est pas encore mon but, je veux avant que tu deviennes très docile et accroc à mes jeux de plus en plus pervers. Une fois attachée, je m’assieds sur ton ventre et prenant tes seins à pleine main, je te dis :
« Je vais maintenant te faire jouir des seins et peut-être que si tu es bien obéissante et sage je te ferai jouir de la chatte ou du cul ».
Et je malaxe et pétrie tes outres de plus en plus fortement et fermement.
Marie-Claude : Oui je suis attachée en croix, je ne me reconnais plus et je jouis sans me maîtriser après que vous vous êtes, occupés de mes pis hypersensibles.
« Hoo ! Oui faites-moi jouir de la chatte et cul, je ferai tout ce que vous me demanderez … Je heu… S’il vous plaît faites-moi jouir de la chatte je n’en peux plus! Baisez-moi Monsieur Éric j’ai trop envie, je ne tiendrai jamais jusqu’au retour de mon mari ».
Éric : « Oui je te ferais jouir mais pas aujourd’hui, je m’occuperais de ta chatte et de ton cul plus tard, et tirant sur tes pis, je les gifle à toute volée les faisant aller de droite à gauche et de haut en bas.
Puis je te laisse ainsi et reviens avec une grosse bougie, que j’allume devant toi,en te disant :
« Veux-tu que je te réchauffe ? »
Marie-Claude : Je suis épuisée de jouissance et sous le choc de la découverte de ces jeux … Naïve, je réponds :
« Je heu… Oui réchauffez-moi, si vous voulez monsieur »
Éric : Je m’approche de toi, la bougie à la main, et alors que la bougie est au-dessus de ton nombril, je fais tomber quelques gouttes sur ta peau.
Marie-Claude : Je crie, plus de peur que de douleur, vous me mettez de la cire sur le ventre, les seins et par trop de pression, je commence à pleurer :
« Pitié monsieur je… Pas maintenant je suis épuisée… J’accepterai tout ce que vous voulez mais demain… Je suis trop épuisée »
Éric : Ne voulant pas présumer de tes forces, je souffle la bougie que je pose, puis je sèche tes larmes par des baisers en te consolant, et te félicitant pour ton courage, puis je te détache d’abord les bras, et immédiatement tu ôtes la cire que tu as sur le corps pendant que je te détache les pieds.
Je te prends alors dans mes bras, et te dis :
« Tu as besoin de te reposer, la journée a été éprouvante, entre les travaux chez toi et nos jeux sensuels».
J’évite de dire sexuels volontairement.
« Mais avoue que tu as aimé cette première fessée et jouir en te faisant gifler tes grosses mamelles et que tu es une grosse cochonne docile et soumise, prête à tout pour me faire plaisir ».
Pendant que je te dis cela, j’ai posé ma main entre tes cuisses et doucement, caresses ton sexe sans jamais le doigter malgré mon envie.
Marie-Claude : Oui je suis dans vos bras et quand vous me posez ces questions, je fonds sous l’effet de votre main contre mon sexe.
« Oui monsieur c’est terrible je suis une grosse cochonne je ne peux pas me retenir je heu… J’ai aimé que vous me fessiez et me fassiez jouir en me giflant … Je suis prête à tout pour mon plaisir, pour votre plaisir je humm… Hoo vous réussissez à me faire jouir à chaque fois que vous le voulez, c’est horrible… Mais j’adore me sentir ainsi à votre disposition pour vous offrir ma jouissance.
Éric : Maintenant il te faut dormir pour récupérer, je viendrai me coucher près de toi tout à l’heure et promis, demain si nous avons bien avancé dans les travaux, je te ferai à nouveau jouir d’une autre façon, mais pour cela tu dois être très sage et obéissante.
Marie-Claude : « Oui monsieur je serai bien sage et obéissante … » et je m’endors.
À suivre…
Marie Claude
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