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Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 6

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Mercredi ! 

Éric : Le mercredi matin, lorsque je me réveille, tu dors toujours en tenue d’Ève près de moi, tes lourdes mamelles étalées sur ton buste. Sans bruit, je te laisse encore dormir, tandis que je vais me doucher et me raser, puis je vais préparer le petit-déjeuner. C’est à ce moment-là, que tu apparais à l’entrée de la cuisine, nue comme un ver, la mine réjouie et apparemment bien reposée après une bonne nuit de sommeil, qui pourrait imaginer qu’il y a seulement quelques jours tu étais si timide et si prude, osant à peine te vêtir d’un chemisier près du corps tellement tu avais honte de tes grosses et lourdes outres pourtant si pleines et souples.

Je viens vers toi, et t’embrasse à pleine bouche, en portant ma main entre tes cuisses.

« Bonjour Marie-Claude, bien dormi ? Prête à bien travailler pour que je te récompense ce soir comme tu le mérites ?

« Oui Monsieur Éric, je serai une bonne apprentie et je travaillerai comme une pro !»

Éric : Je m’éloigne en écoutant tes réponses, et te sers un café et deux croissants.

« Prends des forces ma belle, tu as vu, hier soir, tu étais totalement épuisée ».

« Je heu… Oui je suis désolée mais c’était la première fois que je heu… Enfin vous voyez, mais je me rattraperai la prochaine fois, je heu… J’en ai honte, mais j’aime ce que vous me faites découvrir… Et quel est le programme aujourd’hui ? »

« J’aimerais que nous ayons terminé les deux chambres ce soir, ce qui nous donnerait 2 jours pour faire ton ménage, quelques courses l’après-midi et vendredi nous aurions la journée libre pour nous, avant le retour de ton mari ».

« Oh ! Oui une journée que pour nous deux ! Ce serait génial, mais aujourd’hui à part la peinture, qu’avez-vous prévu ? »

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« Ça, c’est une surprise, je verrais le moment venu, et suivant tes dispositions mais sois patiente n’oublie pas que désormais dans ta vie c’est moi qui décide de tout, aujourd’hui tu en veux plus que je ne t’offre mais demain j’exigerai peut être de toi bien plus que tu n’imagines, pourtant tu obéiras pour me satisfaire n’est ce pas ?

« Hoo oui Monsieur Éric, vous pouvez tout me demander, je heu… (Les joues rouges, mais les yeux brillants) Vous savez j’aime mon mari mais heu … C’est à vous que j’ai envie d’appartenir … »

Éric : Je te souris et te tends une combinaison en plastique transparent, et te dis :

« Après ta douche, tu mettras cela, pour éviter que tu aies de la peinture sur les seins, les cuisses ou les fesses sinon je vais être obligé de te les frotter au gant de crin ! »

Voyant que tu n’obtiendras rien de plus de ma part, et n’osant ni insister, ni me faire attendre, tu files dans la salle de bains, te doucher sans avoir conscience de ce que ton abandon à toutes mes volontés présentes et futures signifie. Lorsque tu reviens, légèrement maquillée et revêtue que de la combinaison transparente suffisamment petite pour bien comprimer ta poitrine et mouler tes fesses et tes cuisses et suffisamment légère pour laisser tes appendices laitiers bouger librement et être déchirée si je le désirais.

« Oh ! Tu es à croquer ainsi ma jolie, tu as de la chance qu’on ait beaucoup de travail».

Marie-Claude : Je suis excitée d’être habillée dans cette combinaison transparente, bien plus indécente que si j’étais nue, et même frustrée d’être au bord de la jouissance du fait de la tension physique et mentale que vous avez provoqué en moi par le geste que vous venez de faire afin de m’habituer. Vous m’avez pincé un mamelon entre le pouce et le côté de votre index, m’avez soulevé et étiré le sein aussi haut que possible en me regardant bien droit dans les yeux, j’en ai eu les larmes aux yeux.

« Dis-moi encore que tu m’appartiens et que je peux tout exiger de toi » …

« Haaa je… Oui Monsieur Éric, je suis à vous et je vous appartiens. Vous pouvez tout me faire, tout me demander … »

Éric : Satisfait sans toutefois te récompenser d’un geste tendre je lâche ton outre, la combinaison à demi déchirée au niveau du mamelon, et te dis de me suivre. Nous quittons alors ma maison pour nous rendre chez toi, par le passage entre les jardins que nous empruntons, maintenant régulièrement depuis le début de la semaine. N’ayant pas forcément le même coup de pinceau, ni la façon de passer le rouleau, après t’avoir montré comment il fallait procéder, je te laisse dans une des deux chambres non sans avoir palpé tes fesses et tes gros seins libres sous le tissu transparent pour t’apporter un peu de satisfaction, tandis que je vais dans l’autre commencer le travail. De temps en temps, je viens te voir et te demander si tout va bien. Je profite alors de ces moments pour te peloter les mamelles, te faire durcir les tétons en les pinçant, glissant même un doigt dans la déchirure de ta combinaison pour sortir ton téton et le sucer un peu, avant de te laisser sur ta faim, afin que tu sois en permanence excitée et en demande de davantage de caresses.

Dans la matinée, je téléphone pour commander une pizza et une bouteille de Rosé pour le midi, en donnant ton adresse pour la livraison, avec évidemment l’arrière-pensée que le livreur te voit dans ta tenue de peintre sexy. Puis la matinée se termine et je viens une nouvelle fois te voir et aussi constater de l’avancer des travaux. J’en profite pour me coller derrière toi, te félicitant de ton travail, tout en descendant le zip de ta combinaison pour libérer tes mamelles et les malaxer durement. C’est à ce moment-là, que l’on sonne à la porte.

« Ne bouge pas, je vais voir, ce doit être le livreur de pizza »

Tu es rassurée que j’aille ouvrir, vu ta tenue, adéquat pour la peinture, mais certainement pas pour aller ouvrir la porte à un inconnu surtout chez toi. Effectivement, c’est bien le livreur de pizza, je le fais entrer et dis à haute voix :

« Marie-Claude, tu peux venir régler la pizza, j’ai oublié mon portefeuille chez moi ? ».

Marie-Claude : Morte de honte, mais n’ayant pas le temps de m’habiller autrement, en plus je mettrais de la peinture partout, je prends mon porte-monnaie et vous rejoins dans l’entrée, en ayant tout juste eu le temps de remonter légèrement le zip de la combinaison entre mes seins durcis, les joues écarlates, la salopette blanche transparente dévoilant le haut de mes pis, mais dévoilant tout de même mon intimité, ma nudité … Je voudrais m’enfuir et me cacher, mais en même temps, je découvre que cette situation m’excite …

Éric : Lorsque tu apparais dans la pièce, le pizzaïolo, écarquille des yeux, et reste bouche bée, ne s’attendant certainement pas à voir une aussi jolie femme quasiment nue. Il bégaye :

« Bon… Bonjour Madame…Ce…Cela fait heu… Vingt et un euro mad…Madame ».

Tu es aussi gênée que le pauvre livreur, et c’est le rouge aux joues, et les mains tremblantes que tu fouilles dans ton porte-monnaie les vingt et un euros. Tu t’approches alors du jeune homme, littéralement scotché et n’osant venir vers toi, et dès que tu lui as remis la somme réclamée, il tourne les talons, pour partir. La situation m’amuse beaucoup, aussi il me vient une idée.

« S’il vous plaît, vous pourriez nous livrer 2 salades pour demain midi ? »

« Heu…Oui mon…Monsieur mais je ne travaille pas demain »

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« Oh ! C’est dommage je souhaitais que vous reveniez demain avec deux salades et une bouteille de rosé ».

« Heu… Mais je peux m’arranger »

« Vous êtes sûrs ? »

« Oui Monsieur…Je ne vous oublierais pas ».

« Merci et bonne journée »

« À demain monsieur dame »

Avant que le livreur ne parte, je lui précise que s’il n’y a personne, c’est que nous serons chez moi, dans la maison voisine au numéro 8, car en tant que voisin, j’aide Madame pendant l’absence de son mari et précise :

« Aussi soyez discret … Vous en profiterez ».

Lorsque le livreur est parti, je te regarde et te dis :

« Il ne va pas oublier, ça, j’en suis sûr, il ne doit pas voir une femme comme toi, à moitié à poil tous les jours, tu as vu comme il semblait avoir envie de te toucher ? »

« Je heu… Vous profitez de moi Monsieur Éric, vous savez que je me laisse faire à tout ce que vous me demandez et vous me montrez au livreur, ça me gêne vraiment, je suis chez moi, si mon mari venait à savoir que je fais la peinture quasi nue, qu’est-ce qu’il dirait » …

« Ne t inquiète pas, il ne le saura pas, et si tu te sens humiliée d’être offerte ainsi à la vue de ce jeune livreur, je suis sûr que si je regardais entre tes cuisses, je constaterais que tu es mouillée, car je sais depuis la venue de Thibo que tu aimes être exhibée et humiliée ».

Je saisis le haut de ta combinaison et fais glisser le zip jusqu’à ton entrejambe et place ma main entre tes cuisses. Je commence à te caresser les lèvres intimes, tu t’écartes immédiatement espérant que je te doigte. Je glisse effectivement deux doigts dans ton antre du plaisir sans difficulté tellement tu es trempée. Mais je me ressaisis et retire mes doigts et te dis :

« Faisons une pause déjeuner, on reprendra le travail après, et ce soir j’espère qu’on aura encore du temps pour nous ».

« Humm ! Hoo ! J’ai si envie, mais OK ce soir je serai à vous pour que vous me fassiez jouir et … Je heu… Si vous le souhaitez vous aussi je pourrai vous faire du bien, il suffira de demander… »

Alors que nous déjeunons en buvant du rosé, nous prévoyons que ce soir, la peinture sera quasiment terminée et qu’ensuite nous nous accorderons du temps pour nous.

Après près d’une petite heure de pause et nous êtres restaurés, nous nous sommes allongés dans les bras l’un de l’autre, sur ton lit recouvert d’un plastique pour ne pas le tacher, nous reprenons le travail.

En fin d’après midi, le travail est terminé, aussi je décide de nous arrêter pour ce jour, et arrivant derrière toi, je ne t’attrape pas les seins que je pétris fortement.

Marie-Claude : « Hoo attention Monsieur Éric vous allez déchirer la combinaison »

Je fais glisser ta combinaison jusqu’à ton entrejambe avant de la faire glisser de tes épaules et finir de te mettre nue. Je te retourne face à moi, t’embrasse et sans un mot, te prends par la main et t’entraîne chez moi à travers nos jardins comme nous en avons pris l’habitude.

Une fois sur la terrasse, je t’empoigne à bras-le-corps, t’allonge sur la table et commence à te masser les outres, appuyant le malaxage et pétrissage progressivement. Je sens tes tétons se durcir sous mes mains, alors que tu t’abandonnes totalement au plaisir, tes jambes s’ouvrent progressivement, comme par magie, aussi après un bon quart d’heure de pétrissage, pincement, étirement et gifles sur ta poitrine, mes mains descendent vers ton bas-ventre.

Ma main effleure ton clitoris, tes lèvres, puis se plaque contre ton sexe trempé. Un puis deux doigts, se glisse dans ta chatte alors que de mon autre main, je titille ton petit bouton. Tu ne tardes pas à gémir, et à t’ouvrir de plus en plus, sous le va-et-vient de mes doigts.

C’est à ce moment-là que la sonnette de la porte d’entrée retentit :

« Dring ! Dring ! Dring ! »

« Ne bouge pas ma belle ! Je vais voir qui viens nous importuner. »

Je t’abandonne aussitôt, alors que tu allais protester de te quitter alors que tu étais aux portes de la jouissance. Déçue, tu écoutes et reconnais la voix du toubib que tu as rencontré la veille. Bien que celui-ci t’ait déjà vue nue, tu t’empresses de descendre de la table et te t’asseoir masquant ainsi le bas de ton ventre, grâce à la table.

En arrivant sur la terrasse, il s’exclame :

« Ha ! Mais Marie-Claude est là aussi ».

« Ne sois pas hypocrite, nous savons que c’est pour la mater une nouvelle fois que tu reviens ».

Alors qu’il s’apprête à protester, je continue :

« Enfin, pour quelqu’un qui aime les femmes avec des petits seins, tu sembles apprécier de voir les grosses mamelles de Marie-Claude ».

« Oui ! J’avoue ! Je reconnais que ses pis bovins sont bandants »

Tu écoutes, honteuse que l’on parle de toi ainsi, mais n’ose rien dire.

« Oui tu arrives mal, j’étais en train de masser Marie-Claude, et elle était sur le point de jouir, quand tu as sonné à la porte ».

« Oh ! Je suis désolé, mais ne vous gênez par pour moi, vous pouvez continuer ».

« J’ai une meilleure idée, Marie-Claude, écarte ta chaise de la table, mets-toi face à nous, et fais-toi jouir en écartant bien tes cuisses ».

Tu restes quelques secondes interloquer, puis alors que des larmes coulent sur tes joues, tu te places face à nous, écartes tes cuisses le plus possible, pose un pied sur une chaise et laisse une de tes mains se saisir d’un de tes seins que tu commences à caresser, alors que ton autre main, glisse entre tes cuisses, et que deux doigts disparaissent très vite dans ta chatte trempée de désir.

Très vite, tu gémis sous l’effet de tes mains sur ton corps.

« Hé bien Éric ! Tu es un veinard, tu es vraiment tombé sur une sacrée salope ! Et pourtant j’en ai vu des salopes, mais jamais comme ta Marie-Claude. Avec elle tu détiens une vraie jouisseuse »

Les paroles humiliantes du toubib ne font que décupler ton excitation, et ta main remue de plus en plus vite entre tes cuisses alors que l’autre main tort durement tes mamelles et pince un téton pour l’étirer. Et des cris de jouissance viennent ponctuer ta séance de masturbation et d’exhibition.

Marie-Claude : Lorsque je reviens à la réalité après le choc de la jouissance, je vois que Thibo est en train de remettre son sexe dans son pantalon, Et oui tellement absorbée par ma recherche du plaisir, je n’ai même pas remarqué que “notre” invité s’était masturbé en me matant et qu’il avait joui, lâchant son sperme sur la table. Je suis aussi honteuse que lui de m’être laissée aller ainsi et tandis que Thibo embarrassé d’avoir taché la table, nous salue et quitte la maison sans attendre, sur un signe de votre part, je commence à lécher la table…

Je te fais te lever, et te prenant dans mes bras, je te dis :

« Je suis très fier de toi, tu as démontré à ce vieux cochon que tu aimais t’exhiber et te donner en spectacle même devant un inconnu, et tu m’as démontré que tu étais bien obéissante en léchant le foutre de mon ami ».

« Oh merci monsieur, mais j’avoue que votre massage m’avait laissé sur ma faim, et que j’avais très envie de jouir, et heu… C’était très excitant de me caresser devant votre ami.

« Bien ! Tu as encore envie de jouer ? »

« Oh oui ! Dites-moi ce que je dois faire ? »

« On va aller chez toi, j’ai envie de te regarder faire du vélo d’appartement, mais avant je vais te préparer ».

« Vous aimez m’entraîner, je vous laisse devenir mon coach avec plaisir, mais heu… Vous voulez me préparer, je heu… Que dois-je faire ? »

« Oui mets-toi debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête, je reviens dans deux minutes ».

Pendant que je m’absente, tu t’exécutes et te places en position au milieu de la terrasse.

Marie-Claude : Lorsque vous revenez, je suis jambes écartées les mains derrière la nuque … Vous posez un sac sur la table, et prenant une corde, vous commencez à bondage mes seins, afin de les comprimer afin qu’ils ressemblent à deux magnifiques obus, prêts à exploser sous la tension.

Bien allons chez toi, je vais te faire faire du sport, et te prenant par la main, je t’entraîne jusque chez toi, emportant mon petit sac d’accessoires. Je te fais monter sur le vélo, et tu commences à pédaler, tes seins bondés, remuant au rythme de ton pédalage comme deux sacs de chairs attachées à ton buste.

Au bout de 10 minutes environ de sport, et jugeant que tes grosses mamelles ne remuent pas suffisamment, je libère tes seins, puis je cherche dans mon sac, deux pinces à seins équipés de poids, que je place à chaque téton. Surprise, tu pousses un petit cri lorsque je place celles-ci sur tes tétines, mais tu te ressaisis et tu te retiens de geindre. Les poids fixés aux pinces étirent tes tétons les faisant bouger à chaque mouvement.

Je t’ordonne alors de reprendre ton sport, en accélérant afin que je puisse bien voir tes seins ballotter avec les poids au bout de tes tétons. Je te fais alors mettre en “danseuse” ce qui me permet de te doigter la chatte, Je t’oblige à pédaler ainsi pendant un bon quart d’heure faisant se balancer tes outres dans tous les sens avant de libérer tes tétons, et t’aide à descendre du cycle d’appartement.

Marie-Claude : Oui je pédale en danseuse faisant coulisser autour de vos doigts le fourreau de ma chatte brûlante, et je suis au bord de perdre connaissance de jouissance quand vous retirez vos doigts pour me donner une grande claque sur les fesses, suivie d’autres sur les mamelles après m’avoir enlevé les pinces… Lorsque vous me faites descendre du vélo je me colle à vous espérant que vous allez me baiser, je n’arrive pas à me retenir tellement j’ai envie :

« Hoo Monsieur Éric, baisez-moi s’il vous plaît vous faites de moi une femelle en chaleur, soulagez-moi je vous en supplie ! »

Je prends dans mon sac, un gode et de te dis :

« Pour l’instant, tu n’es pas encore prête à te faire baiser par moi, et à tromper ton mari, aussi pour ce soir, tu vas te contenter de ce gode, et comme tu aimes être matée, je vais te filmer pendant que tu te donnes du plaisir ».

Un peu déçue, tu saisis le gode et après avoir passé ta langue dessus, tu le poses entre tes cuisses ouvertes, caresse quelque instant tes lèvres intimes avec, avant de l’engloutir dans ta chatte trempée de désir.

Je te filme totalement avec parfois des gros plans de ta chatte ou de tes seins que tu malmènes de ta main libre, alors que je t’encourage en te disant que tu es une belle salope qui ne demande qu’à être baisée.
Puis je te dis :

« Je te baiserais lorsque tu m’auras dit une bonne dizaine de fois que tu veux faire cocu ton mari, que tu veux être ma putain, ma salope, ma chienne en chaleur et mon objet sexuel prêt à m’offrir tes orifices quand j’en ai envie, que tu acceptes de te soumettre à toutes mes perversions auxquelles je veux t’initier et même à être offerte si j’en éprouve le désir ».

En m’écoutant, tu fais aller et venir le gode dans ta chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort, bien au fond de ta grotte du plaisir malmenant tes seins et tes tétons sans aucune réserve jusqu’à la jouissance.

Je te demande alors de le répéter :

Marie-Claude : « Oui je veux faire cocu Marcel, et devenir votre putain, votre salope, votre chienne en chaleur vous servir d’objet sexuel et accepter toutes vos perversions en me livrant à vos amis ou à tous ceux que vous aimeriez voir me ramoner la chatte »

Je filme bien sûr cette séquence, qui pourra me permettre de te faire chanter au cas où tu deviendrais moins obéissante dans l’avenir.

Je te dis alors :

« Bien pour te récompenser, je vais t’emmener au restaurant, aussi va prendre une douche et te maquiller ».

Tu me tends le gode, que je prends et te fais le lécher pour le nettoyer avant de le remettre dans le sac, puis je t’embrasse et te laisse une nouvelle fois sur ta faim, alors que je te laisse seule, emportant mon sac avec moi.

À suivre…

Marie Claude

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