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Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 7

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Mercredi soir !

Lorsque j’arrive chez toi, tu es sous la douche et me rends directement dans ta chambre, et ouvres ton armoire et commode pour te chercher des vêtements sexy. Je sélectionne une jupe au-dessus du genou et un haut moulant en lycra décolleté permettant de libérer tes outres, si on tire dessus vers le bas avec par dessus une veste de tailleur.

Lorsque tu arrives dans ta chambre, lavée et maquillée, tu aperçois tes vêtements posés sur le lit, J’y ai déposé une paire de bas noirs dim up que j’ai trouvé dans ta commode et posé au pied du lit, une paire d’escarpins à talons.

Tu remarques très vite que je n’ai pas prévu de dessous, aussi oses-tu demander :

« Vous avez oublié de mettre des dessous ».

« Oh ! Non ma belle, tu n’en as pas besoin, et ainsi tu pourras t’habituer à sortir sans rien sous tes vêtements, chose que tu devras faire chaque fois que nous sortons ensemble et par la suite, quand tu sortiras seule.

« Oh mon Dieu je n’oserais jamais le faire sans vous ».

« Si et de toute façon je ne t’en laissais pas le choix et en plus tu ne mettras pas la veste, tu la porteras au bras, cela accentuera le contraste avec ton débardeur moulant tes mamelles qui tressauteront à chaque pas ».

Tu baisses la tête, vaincue sachant qu’effectivement tu devras le faire. Et tu commences à t’habiller mettant d’abord les bas, puis la jupe et enfin le débardeur et tu termines par enfiler tes escarpins avant de te positionner devant moi.

« Tu es splendide, une vraie petite salope fière d’exposer ses grosses mamelles en cachette de son mari ».

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Tu retiens tes larmes, pour ne pas avoir à te remaquiller et tu sors de la chambre. Par discrétion pour le voisinage, pour le moment, nous empruntons le passage entre nos jardins, puis tu montes directement dans la voiture, alors que je t’ouvre la portière et là, tu ne prends aucune précaution pour cacher tes cuisses en montant dans la voiture.

Pendant le trajet je te caresse les cuisses, mais sans jamais toucher ni même effleuré ta chatte. Timidement tu me demandes où nous allons et je te réponds que je t’emmène dans un petit restaurant dont la spécialité est les grillades en ajoutant que c’est bon pour perdre les quelques kilos que tu as en trop.

« Vous trouvez que je suis trop grosse ? » dis-tu humilier.

« Non ma chérie, tu as déjà perdu du poids je suis sûr, depuis le début de la semaine et encore 3 ou 4 kilos et tu seras parfaite ».

« Merci Monsieur Éric » dis-tu rassurer que ton physique me plaît

Il y a peu de voitures de garées sur le parking ce soir, il faut dire que nous sommes en milieu de semaine, et ainsi tu seras moins intimidée. Lorsque nous arrivons à la porte du restaurant, contrairement à l’usage je te laisse entrer la première, afin que le peu de clients présent t’aperçoive en premier. Tu avances timidement me serrant fortement la main comme une gamine effarouchée.

Le patron vient à notre rencontre et nous désigne une table dans un coin de la salle. Je note qu’il mate ta poitrine lourde tout en parlant avec nous. Une fois que nous sommes installées, je te demande de retrousser ta jupe pour t’asseoir les fesses directement en contact avec le siège et ensuite de ne pas serrer tes cuisses. Comme tu es placée, le seul client présent ne peut te voir de face, seulement ce gros VRP assis à une table pas très loin de la nôtre, peut te voir de profil et donc juste mater tes cuisses en s’apercevant parfaitement que ta jupe est remontée. Mais cela suffit à la fois à te gêner et à t’exciter.

Tu as les cuisses légèrement ouvertes, environ 15 centimètres, ce qui me permet de glisser parfois ma main entre elles, sans te toucher intimement.

Lorsque le patron vient nous apporter la carte, je lui commande par la même occasion un verre de porto pour toi et un Ricard pour moi, en précisant que je souhaite qu’il y ait des glaçons dans le pot à eau qu’il va y joindre pour diluer ma boisson anisée.

Une fois servi, je mets un peu d’eau et deux glaçons dans ma boisson alcoolisée et trinquons à ton éducation et à ton plaisir. Tu trinques heureuse d’être en ma compagnie, sans réellement en comprendre la signification.

Alors que nous buvons une première gorgée, je prends un glaçon et le passe sur tes tétons au travers du tissu pour les faire durcir, ce qui rend ton corsage quasi transparent et tes tétons dressés bien visibles, le VRP se rince l’œil très excité !

Lorsque nous avons fini nos verres tout en jouant avec quelques glaçons sur tes tétines bien érigés, je fais signe au patron de nous remettre la même chose. Il revient avec deux nouveaux verres d’apéritifs, ce qui après l’avoir bu, te rend un peu plus détendue.

Nous décidons de commander deux viandes grillées avec une salade verte, mais avant que le patron ne revienne pour prendre la commande je te dis :

« Écarte tes cuisses davantage, pour l’instant personne ne peut vraiment te voir, et lorsque le patron se baissera devant toi, surtout garde bien tes cuisses ouvertes ».

« Pourquoi voulez-vous que le patron se baisse devant moi ? »

« Parce que je vais m’arranger pour faire tomber un couvert et je suis certain qu’il mettra beaucoup plus de temps que prévu pour le ramasser, lorsqu’il verra comment tues assise ».

« Oh non je vous en prie ! »

« Ne discute pas, tu veux que je te baise avant le retour de ton mari oui ou non ? »

« Oh oui Monsieur Éric ! »

« Alors tu sais ce que tu dois me dire ? »

paragraphe 2 candy

« Oui je veux être votre soumise obéissante, votre petite chienne, votre objet sexuel ».

« C’est bien, donc tu dois obéir et faire tout ce que je t’ordonne ».

– Oui Monsieur Éric je garderais mes cuisses ouvertes »

Quelques instants plus tard, alors que le patron vient vers nous, je fais volontairement tomber une cuillère et aussitôt le patron s’accroupit pour la ramasser et c’est à ce moment-là, qu’il aperçoit ta chatte que tu offres à son regard, en gardant les cuisses bien écartées. Il prend son temps le bougre pour ramasser le couvert et dit, lorsqu’il se redresse :

« Monsieur aime montrer les trésors de madame, je peux vous assurer que j’apprécie »…

« Oui, je l’éduque pour qu’elle devienne une bonne salope soumise ».

Après avoir pris la commande, sans détacher son regard de ton visage et de ta poitrine il retourne derrière son comptoir.

Marie-Claude : Honteuse, mais excitée de cette exhibition, dont vous savez que cela me trouble tant, je n’ose vous regarder. Vous me dites :

« Alors ma cochonne, tu aurais aimé qu’il te touche ? Qu’il glisse une main dans ton débardeur devant le VRP, qui nous regarde depuis tout à l’heure ? …

« Heu… Je… Je ne sais pas mais heu… Je crois oui monsieur ».

Lorsque le patron revient nous apporter sel, poivre et moutarde, vous dites :

« Dites-moi, vous qui êtes dans la restauration vous seriez capable de donner le poids de chacune des mamelles de ma nouvelle voisine ? »

Le restaurateur, heureux que vous lui permettiez d’aller plus loin qu’une simple observation répond :

« Ho ! Visuellement je dirais 800 g chacun, mais je serais plus précis si je pouvais soupeser …

« Mais bien sûr, Marie-Claude tire sur ton débardeur pour libérer tes mamelles, allez plus vite ! »

J’obéis humiliée sous le regard pervers du patron et celui de plus en plus intéressé du VRP, qui n’ose pas encore se joindre à nous …

Alors que tes mamelles sont maintenant totalement libérées, le patron, prennent tes mamelles dans ses mains, les soupesant lentement, mais concentriquement et alors qu’il maintient le poids de 800 gr chacune, il continue à malaxer et pétrir tes grosses outres dont les tétons sont bien durs.

Pendant ce temps, le VRP a discrètement changé de position à sa table pour mieux voir le spectacle de cette cliente, qui non seulement aime s’exhiber, mais aussi se laisse peloter sans aucune gêne apparente.

Je laisse le patron jouer quelques instants avec toi, sachant que je ne lui permettrais pas d’aller beaucoup plus loin, tant que moi-même je n’ai pas usé et abusé de tous tes orifices. Et remercie le patron de son évaluation et il repart derrière son bar.

Marie-Claude : J’ai le corsage passé sous les seins, pesés, pressés, malaxés, les tétons pincés et tirés afin de soulever mes pis … Malgré la honte et l’humiliation je respire fort, excitée, espérant que vous allez me prendre ici sur la table du restaurant malgré la présence du patron et du client qui se rince l’œil sans se cacher, je remarque même qu’il se touche le sexe au travers de son pantalon et ose fixer son regard tandis que je vois ses lèvres me dire sans bruit “gros pute”.

Pendant le repas, je ne te permets pas de recouvrir ta poitrine, t’humiliant de propos sur salace sur le plaisir que tu prends à être exhibée, et pose régulièrement ma main entre tes cuisses, allant même parfois, jusqu’à te doigter sous le regard du gros homme, qui a le regard figé entre tes cuisses.

Lorsque nous avons fini notre plat, le patron vient vers nous avec une bouteille de champagne et deux coupes qu’il pose sur la table et tout en débarrassant notre table, il me dit :

«Cela, c’est pour vous remercier de m’avoir permis de mater et aussi de lui avoir pétri les mamelles».

Il est sur le point de repartir lorsque je lui dis :

« Pouvez-vous dire à ce client que je l’invite à boire une coupe en notre compagnie et ramener une coupe pour lui ».

Il acquiesce alors que tu sembles méduser par ce que je viens de proposer au patron.

En nous quittant, il délivre le message au VRP, qui s’empresse de quitter sa table pour nous rejoindre.

« Bonsoir Monsieur Dame, je me prénomme Fernand et suis ravi de prendre un verre en votre compagnie » dit le gros homme, transpirant à grosses gouttes.

« Bonsoir, j’ai remarqué que depuis notre arrivée, vous reluquez ma compagne, surtout ses cuisses et sa chatte et ses mamelles depuis que le patron est venu les triturés.

« Heu…Oui heu…Madame est très belle et bandante et… »

« Et vous aimeriez vous aussi peloter les pis de ma voisine ? »

« Heu…Bien heu…Oui Monsieur ! ». Réponds le VRP de plus en plus rouge.

Pendant ce temps, j’ai rempli les 3 coupes de champagnes et lève la mienne en disant :

« À la plus belle salope de la région ! »

Des larmes de honte coulent, sur tes joues, alors que ta chatte coule, mais de plaisir, plaisir que mes doigts te procurent en te branlant.

Toujours deux doigts dans ta chatte, nous trinquons avant de te dire :

« J’ai bien envie de rappeler le patron, pour que tous les deux, ils te prennent chacun une mamelle et que je continue à te branler la chatte ».

Morte de honte de me retrouver à me faire tripoter comme un morceau de viande et d’y prendre plaisir, je subis les insultes avilissantes : mamelles, pis, la plus salope de la région … Puis un verre en main je reste paralysée d’humiliation de me faire doigter ma chatte brûlante et malaxer les outres par ces 2 hommes, chacun debout derrière moi. Ils sifflent leur verre rapidement et sur votre invitation.

« Vous ne trouvez pas qu’ils sont suffisamment gros pour mériter que vous vous y preniez à deux mains ».

Ils me les pétrissent plus fort, l’un me les pressant entre ses mains et en les faisant rouler jusqu’à les tordre comme pour allonger de la pâte à tarte, et l’autre me compressant la base très très fort d’une main pendant que de l’autre il me pince le mamelon pour l’étirer… Je pleure en gémissant, incapable de résister à vos doigts qui me masturbent !

Malgré tes pleurs, le traitement des deux hommes sur tes grosses mamelles et mes doigts dans ta chatte, t’amène à la jouissance, inondant mes doigts alors que tu laisses échapper des cris de jouissance non feinte.

Le VRP reste comme ça debout, un de mes seins entre ses mains, extrêmement excité, mais aussi frustré de ne pas pouvoir se soulager … Alors vous lui dites :

« Cette grosse salope, si jouisseuse aime que l’on se masturbe sur son visage … Ne vous gênez pas ! Marie-Claude ouvre grand la bouche et tire la langue ! … »

J’obéis sous le choc de la jouissance mais me sentant plus avilie que jamais pendant que le gros homme astique sa petite queue sous mon nez, me frottant les lèvres de son gland et en moins de 2 minutes, gicle sur ma langue et mon menton. Il se rhabille vite honteux.

Je remercie alors les deux compères, leur promettant de les rencontrer de nouveau dans l’avenir et que la prochaine fois, au moins pour le restaurateur, il pourra ensemencer l’épouse infidèle…

Le VRP va ensuite au comptoir payer sa note et pour nous remercier, moi de l’avoir invité et toi d’être aussi soumise, il demande au patron de nous apporter une autre bouteille de champagne et s’en va, après un petit geste de la main en sortant du restaurant.

Le patron apporte la bouteille et nous laisse seuls, retournant derrière son bar. Je demande alors au patron s’il peut mettre un peu de musique. Il accepte en disant que de toute façon, personne ne viendra maintenant et que nous pouvons faire ce qui nous plaît, d’ailleurs, il ferme le rideau donnant sur le parking.

Pendant ce temps, je te verse une coupe puis deux tout en te félicitant de ta docilité, mais aussi en employant des termes humiliants sur ton physique et ta soumission (tu es une belle grosse pute, un sacré sac à foutre et j’aime que tu me sois ainsi soumise). Je te verse alors une troisième coupe et te dis, alors que tes seins sont toujours dévoilés :

« Puisque nous sommes seuls maintenant, retire ton haut en lycra et ta jupe et va danser au milieu de la salle pour moi ».

Un peu abasourdi par mon ordre, mais excitée par la situation et les idées embuées par l’alcool, tu obéis et après avoir retiré tes vêtements, ne gardant sur toi que tes bas dim up, tu commences à danser lascivement au milieu de la salle.

Chaque fois que tu approches de notre table, je te tends une coupe de champagne que tu avales et lorsque la bouteille est vide, et toi complètement ivre, je te prends dans mes bras et t’invite à rentrer. Je ramasse alors tes vêtements, passe au bar régler l’addition et nous regagnons la voiture, tu marches nue en dim up et escarpins sur le parking pour rejoindre la voiture.

Tu as beaucoup de mal à marcher et je te soutiens par les hanches pour t’emmener jusqu’au véhicule et te hisser à l’intérieur.

Cela fait à peine deux kilomètres que nous roulons, lorsque tu me dis :

« J’aurais dû heu…Allez au wc avant de partir…J’ai envie de pisser ».

« Cela ne m’étonne pas ma chérie, avec tout le champagne que tu as bu ».

« Heu…Oui vous avez raison, je crois que je suis un peu ivre »

« Oui tu es complètement saoule, tu veux dire, eh bien retiens-toi, je vais m’arrêter dans un endroit discret, mais ne pisse pas dans la voiture, sinon je te mets dehors et tu devras rentrer à pied et à poil à la maison.

« Oh non-pitié ! Pas cela »

« Alors retiens-toi ».

Je roule encore environ 5 km, ce qui doit te paraître très long car je te vois te trémousser sur le siège et apercevant une petite clairière au bord de la route, je m’arrête, viens t’aider à sortir de la voiture, puis te place face à la voiture, éclairer par les phares du véhicule et te dis :

« Maintenant tu peux pisser, j’ai très envie de te voir uriner devant moi ».

« Oh ! Mais je ne pourrai jamais si vous me regardez ! »

« Cela m’étonnerait, ta vessie est pleine alors lâche toi et pisse ma belle petite chienne ».

Je suis accroupie et l’esprit vaincu, je commence à uriner comme ça, nue en bas devant la voiture, honteuse d’en ressentir de l’excitation… Vous vous dites que lorsque vous m’aurez bien dressée et que j’aurai pris l’habitude de prendre des bites dans la chatte par des inconnus, il faudra que vous me fassiez faire la pute sur des parkings routiers.

Lorsque tu as fini de te vider la vessie, tu te relèves tant bien que mal, gênée que tu ne puisses t’essuyer et chancelante, tu viens vers moi et je te hisse une nouvelle fois dans la voiture. Une fois assise, je me baisse vers toi, écarte tes cuisses et passe ma langue sur ton sexe poisseux et humide de cyprine et d’urine.

Puis nous reprenons la route à destination de notre lotissement. En arrivant, j’ouvre le portail télécommandé et rentre la voiture dans le garage, afin de préserver pour l’instant notre relation.

Nous nous dirigeons alors directement dans ma chambre, et alors qu’après t’avoir allongée sur le lit, je me mets entièrement nu et te dis :

« Ce soir, tu as pris du plaisir au restaurant, maintenant je veux que tu me fasses jouir en me branlant entre tes seins ».

Je sors de la voiture totalement nue, encore un peu saoule, honteuse de ce que j’ai accepté et en même temps frustrée de ne pas avoir pu sentir votre virilité en moi … Une fois chez vous, allongée sur votre lit, je vous regarde vous mettre nu et en particulier votre sexe déjà bien épais et long même si vous ne bandez pas encore et je caresse vos couilles, votre sexe de mes doigts puis je prends mes seins pour les presser l’un contre l’autre, votre sexe au milieu et je commence à vous branler entre sans que vous ne bougiez …
Vous durcissez très vite et je me retrouve votre belle grosse queue bien raide sous le nez, et trop impatiente, je passe un coup de langue sur votre gland … Vous me giflez, pas fort du tout, mais avec un beau clac.

« Pas encore, demain tu auras le droit de la sentir te ramoner le gosier, mais chaque chose en son temps … »

Je tire alors ton visage en arrière, et ajoute :

«Tu as juste le droit de me branler avec tes pis que tu lécheras lorsqu’ils seront maculés de sperme ».

Obéissante, tu sers, enferme ma bite dans ton sillon mammaire…

Je prends mes seins en mains, je les soulève et les presse de part et d’autre de votre sexe bien dressé et je commence à vous branler en les faisant monter et descendre. Voyant le plaisir que vous semblez y prendre je me lâche et en profite pour, de temps en temps les relâcher et vous caresser un peu les couilles, j’ai tellement envie de recevoir votre semence ! Reprenant ma cravate de notaire, je suis tirée la tête en arrière … Vous m’avez agrippé les cheveux :

« Laisse-moi bien voir tes grosses outres m’astiquer, mets bien la tête en arrière sinon je vais devoir te raser la tête… »

Je m’exécute de mon mieux et vous me crachez d’un coup entre les seins.

« Il faut lubrifier ! Tu vas apprendre à branler mieux que ça, il faudra que je demande à des amis de se porter volontaire, tu commenceras demain avec le livreur de pizza … Allez crache, toi, sur les pis ma grosse cochonne ! »

Sur mon ordre, tu craches alors plusieurs fois sur tes grosses mamelles, puis enserrant une nouvelle fois ma queue entre tes pis, tu recommences à me branler.

« Oui c’est mieux ma chérie, allez continue je veux inonder tes outres de mon sperme.»

Encouragée par mon compliment, tu accélères la cadence pinçant tes tétons entre tes doigts et comprimant ma bite dans ton sillon mammaire en l’y faisant glisser grâce à ta salive a laquelle j’ai ajouté ma contribution … Je t’ai craché plusieurs fois sur les outres, ce qui augmente notre excitation, la tienne de découvrir comme le fait d’être humiliée fait monter en toi le plaisir et la mienne de prendre conscience que oui, plus que jamais, j’ai au bout de la queue une femelle docile et assez naïve pour se transformer en une esclave sexuelle prête à tout accepter et à tout subir … Tant que je continue à y aller progressivement …

À cette pensée Je ne tarde pas à éjaculer, maculant abondamment tes seins de semence blanchâtre et épaisse.

Je me retire alors et t’ordonne de te nettoyer avec ta langue, te disant que tu es une bonne salope et que je vais faire de toi une pute, si tu continues à progresser aussi vite.

Marie-Claude : Je ne proteste pas à cette idée, n’y voyant pas une promesse, mais des paroles dites dans le feu de l’action… Je suis si contente de vous avoir fait jouir sans compter que moi aussi j’ai joui, sans me toucher, uniquement du fait de me faire stimuler ainsi la poitrine et humilier verbalement.

Épuisée et submergée de la morphine produite par mon cerveau par cette jouissance mammaire, je m’affale sur le lit, tout contre vous et m’endors sans même me couvrir d’un drap.

De votre côté, vous pensez à ces derniers jours, satisfait d’avoir transformé une petite-bourgeoise mariée prude et timide en grosse salope soumise et heureuse de l’être, découvrant la jouissance d’être un objet de plaisir sans se rendre compte qu’elle va finir sous peu en pute de chantier, divorcée, cédant ses biens à son maître pour qu’il l’accepte chez lui comme esclave domestique et sexuelle… Vous vous endormiez.

À suivre…

Marie Claude

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