Marie Claude se fait prendre au restaurant par un jeunot !

Coucou, c’est moi Marie Claude la maman de Muriel et je veux vous raconter une histoire qui m’est arrivé il y a quatre ans et que je n’ai pas révéler à personne ni même à Muriel ma fille qui la découvre en même temps que Brigitte et Philippe la composent sous ma dictée.

J’avais quarante et un ans à l’époque, mariée, mon mari est décédé quelques semaines après cette aventure, dans un accident de voiture, et une fille Muriel. J’habitais encore dans la région Mulhousienne et travaillait dans la même entreprise qu’actuellement sauf que je dépendais à cette époque de l’agence de Mulhouse.

Voilà mon histoire :

Je me suis rendu avec mon mari et ma fille dans un grand magasin de vêtements afin de renouveler en partie ma garde-robe et celle de ma fille. Au moment des essayages, j’ai croisé le regard d’un jeune. Il était en train de me regarder de la tête aux pieds. Lorsqu’il a remarqué que je me suis rendu compte de son manège, il a détourné sa tête et a continué à pianoter sur son portable. Quelques secondes après il se retournait de nouveau dans ma direction et repris son jeu.

J’ai trouvé cela plutôt flatteur qu’il me regarde, je lui ai adressé plusieurs sourires.

J’aurais bien voulu rentrer en contact avec lui surtout que j’avais toujours un fantasme qui me trottait dans ma tête c’est de faire l’amour avec un jeune de dix-huit — vingt ans. Il devait avoir cet âge-là. Mais il m’était impossible d’établir ce contact à cause de la présence de mon mari et de ma fille.

Au retour à domicile, je n’arrêtais pas de repenser à ce jeune, j’imaginais qu’il me faisait l’amour, à tel point que je me suis même, masturbé.

Des fois, le hasard fait bien les choses, quinze jours après je me retrouve face à face avec lui sur mon lieu de travail.

Là mon patron me dit :

— Bonjour, Marie Claude, je vous présente notre nouveau stagiaire Raoul qui sera parmi nous pendant trois mois. Je compte sur vous pour lui présenter la société et le mettre à l’aise.

Après le départ du patron, Raoul s’installe à mes côtés à son bureau. Je lui explique quelle sera notre méthode de travail, en lui donnant au départ quelques exemples à me présenter pour tester ces capacités, avant qu’il puisse travailler réellement, en gros de la facturation fictive pour être plus précise.

Il me présenta alors une première facturation que je contrôlais et corrigeai au besoin. Pour un premier test, c’était très bien réussi pendant que je contrôlais, il était penché sur moi en me montrant du doigt des sommes qu’il ne comprenait pas, mais au lieu d’attendre mes explications, il fit allusion à la rencontre dans le magasin et me demanda si l’on pouvait se voir pendant la pause déjeuner.

— Attend moi à midi à la sortie des bureaux, j’arrive dans une minute le temps de déposer les documents. Je l’ai rejoint et nous sommes allés déjeuner ensemble, dans un restaurant au centre-ville.

Raoul ma mise à l’aise en me disant : Je sais que tu es mariée, que tu as une fille, je ne suis pas là pour te faire des histoires ! J’aime les femmes de ton âge et je vous trouve bien plus coquine que ces petites jeunes ! J’aime les rondeurs comme les tiennes !

— Merci Raoul ! Ainsi tu jouais le voyeur dans ce magasin ?

— Non, mais tu avais laissé le rideau à moitié ouvert, alors je n’ai pas pu résister à t’admirer.

— J’ai laissé le rideau ouvert pour montrer à mon mari ma robe, je ne suis pas exhibitionniste, et en plus je n’étais pas nue.

— Je sais, mais à la vue d’un aussi joli corps comme tu as, j’étais comme paralysé.

J’étais flatté, j’étais même en train de mouiller ma petite culotte…

Je n’étais plus moi même et il me dit :

– « Je sens que dans tn regard il y a une coquine ! »

Et là il me chuchote à l’oreille :

– « rejoins-moi dans les toilettes ! »

J’ai patienté pendant une minute, puis je suis allé le rejoindre. Il m’a alors embrassé fougueusement, m’a pris par la main et m’a entrainer dans les toilettes pour handicapés, et de suite à glisser ses mains sur mes seins pour les malaxer. Il continua à me faire de petit bisou dans mon cou, et est descendu doucement vers mon décolleté. J’étais excitée et je me suis mise à gémir, alors il a posé sa main sur ma bouche pour éviter que l’on nous entende.

Mes mains passèrent sur sa braguette pour l’ouvrir, et je sortis son gros sexe bandé… alors il, me prit pas les cheveux et m’ordonna à le sucer. Il me força à l’avaler en entier à tel point que j’ai failli m’étouffer. Je l’ai sucé longuement, il bavait tellement que ça dégoulinait sur mon cou.

Puis il m’ordonna de me lever et il releva ma jupe sur mon ventre.

– « Tourne-toi », je me retournais, il écarta mon string et enfonça son gros sexe dans ma chatte, il me donnait de gros coups avec beaucoup de ferveur, et il me remplissait mon minou.

Ensuite il me chuchota à l’oreille :

– « J’ai envie de t’enculer »

Je n’ai même pas eu le temps de lui répondre que déjà il a enfoncé son gros sexe dans mon cul.

M’étant crispé j’ai demandé d’arrêter au moment même ou un orgasme s’est déclenché.

Nous nous sommes ensuite rhabillés et il était grand temps de retourner au bureau.

Nous nous sommes revus encore deux fois avant de rompre avec lui, cela devenait trop risqué, des collègues de travail ont eu vent de cette relation.

C’était pour moi la première fois que j’ai trompé mon mari. Il n’a jamais rien su et ma fille Muriel vient de l’apprendre en ce moment même !

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