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Michel Steuve nous confie une histoire taboue sur une expérience de plan cul

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Du virtuel à la réalité.

J’ai de temps à autre, des envies qui me poussent à outrepasser certaines règles.
Cela passe par la consultation de sites porno à ceux de petites annonces dites « plan cul »
Je ne suis pas un assidu, mais bon, que l’on ne se cache pas non plus derrière notre petit doigt.

Un jour, je tombe sur un site et, ne faisant pas attention, j’arrive sur une page Gay.
Intrigué, je regarde un peu tout en trouvant cela amusant.
Il y a de tout, mais je suis surpris de voir des photos d’hommes de mon âge s’exhibant nu.
D’autant que même si je ne suis pas un canon de beauté, certains d’entre eux sont, pour rester gentil, assez communs dirons-nous.

Titillé par cette découverte, je cherche un peu plus avant de qui sont ces hommes qui comme moi ne sont pas très jolis.
J’arrive au final sur un site amateur où n’importe qui peut poster sa photo, pour peu que l’on soit nu.
Je me dis pourquoi pas essayer, surtout que le site en question permet de laisser des commentaires sur ladite photo.

Je me mets nu, sors mon smartphone et en prends une, la poste en m’inscrivant et attends.
Ma photo est validée et je suis maintenant exhibé à poil de mon plein gré sur ce site.
Je reviens quelques jours après et constate alors que ma note que j’attendais exécrable n’est pas si mauvaise et que quelques commentaires étaient assez élogieux malgré tout.

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Très excité par l’idée de s’exhiber sur le net, je trouve d’autres sites amateurs et publie d’autres photos, mais cette fois-ci à visage découvert.
Un jour, un des commentateurs croit m’avoir reconnu sur le site, mais je ne réponds pas et laisse tomber.
Mais vint le jour où, ayant pris l’habitude de ne pas répondre, cette fois-là je confirmai à un autre commentaire que mon prénom était bien Michel.

Au fil du temps, alors que j’avais presque oublié ces sites d’exhibition n’y allant presque plus et bien que j’avais pris soin de supprimer mes photos au bout de quelques jours, en arrivant sur l’un d’eux, dans la bannière d’accueil je me vois moi.
Je servais d’illustration avec d’autres pour attirer les visiteurs.
La photo était suffisamment grande pour que l’on me reconnaisse.
Je clique alors dessus croyant que c’était sans conséquence ou une erreur, mais une page de profil s’affiche alors avec ma photo en grand ainsi que mon nom complet. En voulant en savoir plus, je clique alors sur « more information about Michel Steuve »
Puis je tombe sur une pseudo fiche demandant de s’inscrire si on veut en savoir plus sur moi.
Ça faisait bien six mois que je n’étais pas passé sur ce site.
Je l’ai contacté, le site, mais peine perdue, après avoir réitéré plusieurs fois ma demande de suppression, rien ni fit.

Puis un jour je reçus dans ma boite mail une proposition nominative d’un type qui avait vu ma petite annonce gay et qui voulait que je lui serve de « pompeur ».
J’allai directement sur ce site de petites annonces et vit qu’effectivement une annonce plan cul sans lendemain venait d’être postée en mon nom, le renseignant ainsi que mes coordonnées. J’étais un suceur de queue aimant le « jus », l’exhibe et soumis… Selon l’annonce.
Comme pour le précédent, je n’arrivai pas à faire supprimer cette annonce.

Par la suite je reçus d’autres, mails, tous plus crus et insistants les uns que les autres et émanant de personnes ou de sites de petites annonces gay.

Je tapai alors mon nom dans un moteur de recherche, non sans une certaine fébrilité, pour découvrir qu’il y avait plusieurs petites annonces de ce genre, le plus souvent sur des sites anglophones, mais récemment sur des sites francophones.
Certaines annonces en plus de ma photo et de mon nom complet, renseignaient aussi mon adresse, là où je vis.
J’arrivai cependant cette fois-ci à en faire supprimer plusieurs. Mais le mal était fait, enfin le mal….

Après quelques jours d’e-mails, coups de téléphone voire visites à domicile où j’expliquais que c’était une mauvaise blague ça ne se tassa que progressivement pour enfin cesser définitivement.

Jusqu’au jour où je reçus la visite d’un « papy », très bien sur lui vers les 70 ans, de taille moyenne à petit et qui semblait très doux.
Il me demanda si « mon » annonce était encore d’actualité tout en me tendant son smartphone avec ma photo à poil.
J’avoue que de me voir sur son smartphone me fit un choc. Il sourit gentiment en attendant ma réponse insistant sur le fait qu’il ne voulait que me voir nu et, si je le désirais, qu’il aimerait bien me « tripoter » un peu.
D’habitude j’aurais répondu que non, mais, voyant sa gentillesse et lui mon embarras à le rembarrer sans ménagement, il ajouta que cela ne faisait rien, qu’il m’écrirait, qu’il me laisserait réfléchir.

Quelques jours plus tard, je reçus son e-mail où il précisait ses pensées et envies, dont le fait que je vienne lui ouvrir la porte de rue entièrement nu ou si pas en peignoir sans rien dessous, qu’il prendrait des photos et ferait des vidéos si je le désirais, mais que si je n’étais pas intéressé je n’avais qu’à lui dire et il me laisserait tranquille. Auquel cas si j’acceptais, je n’aurais qu’à lui dire quand cela m’arrangeait.

Un papy tout doux tout gentil tout poli ! Bof pourquoi pas ! Si je ne me sentais pas le moment venu, je ne pense pas qu’il en aurait pris ombrage plus que ça. Je lui répondis donc que c’était d’accord, mais que je me réservais le droit de tout stopper si jamais cela ne me convenait pas.
Il me répondit qu’il était impatient de revenir et qu’il comprenait tout à fait mes craintes.

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On sonna.
C’était un soir, vers 20 heures, ce devait être lui.
J’ai alors regardé par la fenêtre à côté de la porte d’entrée donnant sur le trottoir, c’était bien lui.
Il patienta un moment puis résonna une nouvelle fois. Il m’avait vu.
J’entrouvris alors la porte.
Il se tenait droit, l’air tout réjoui tenant entre ses mains son smartphone qu’il braquait vers l’ouverture de la porte où je me trouvais en peignoir.
Il restait là, il faisait sombre, mais l’éclairage public placé de l’autre côté de la rue illuminait celle-ci ainsi que ma façade et ma porte à peine ouverte. Il n’avait pas besoin de flash et j’entendis alors le faux déclic d’un appareil photo sortir de son smartphone.
Et il me dit à voix basse : je filme aussi…

J’ouvris la porte un peu plus, sur 20 cm, me dévoilant davantage et me positionnât mieux dans son embrasure face à lui.
Puis, tout aussi poliment me demanda si j’étais nu sous mon peignoir.
Je lui répondis en commençant à l’ouvrir un peu et doucement.
D’abord mon torse, puis un peu plus, mes tétons durcis par la fraîcheur du soir, une demie épaule pour enfin relâcher les pans que je tenais encore d’une main, lui laissant voir mon ventre rond et mon sexe nu et rasé.

Il écarquilla les yeux de joie et poussa un peu la porte qui s’ouvrit un peu plus.
Comme me demandant s’il pouvait le faire, il avança une main et écarta les pans de mon peignoir.
Je le laissai faire et senti l’encolure me tomber d’une épaule, puis de l’autre, aidé de sa main.
Mon peignoir s’arrêta un instant coincé sur mes coudes que je tenais encore un peu serré sur les hanches, puis, ouvrant cette fois la porte au 3/4 et reculant sur le trottoir pour me prendre de plain-pied avec son smartphone, je relâchai mes bras laissant tomber complètement mon peignoir sur le carrelage du hall d’entrée.
Je me tenais entièrement nu face à lui, juste un peu en retrait du seuil de la porte.
Je pensais à ce que j’étais en train de faire, aux éventuels passants qui pourraient me voir, même si à cette heure la rue reste très calme et les voisins d’en face, peu nombreux, déjà derrière leurs rideaux.
Cela commençait à me faire bander et cela ne lui échappa pas.

Il s’avança un peu pour m’attraper et me saisir la queue.
Je sentis ses doigts frais et doux me la tirer, puis me prendre les bourses, les palper doucement pour me reprendre par la queue, mais cette fois, en me tirant un peu plus, comme s’il voulait me faire sortir de chez moi.
Sans résister, je le laissai faire et avança un peu, à la limite du trottoir et du seuil de ma porte.

Michel steuve nous confie une histoire taboue sur une expérience de plan culIl avança silencieusement et posa un instant sur le rebord extérieur de la fenêtre, puis se mit à me caresser, me prendre les fesses, me les masser et me lécher et sucer les tétons.
Il me branlait aussi doucement, avant d’attraper mes miches et de les écarter.
Sentant un courant d’air frais sur ma petite rondelle je fermai les yeux et tomba comme dans un état second.
Il recommença à me masturber puis revint me reprendre les fesses essayant de me faire me retourner.

Quand il y arriva, il était aussi arrivé tout en me tournant, à me faire sortir au-delà du seuil de ma porte, ce que confirma alors mes mains qui pour me retenir de ne pas tomber, ayant gardé les yeux fermés, je sentis le froid de la pierre et de la brique de ma façade sur laquelle je me tenais en y posant les mains.
Je ne l’avais pas tout de suite senti, mais il tombait une fine bruine, assez fraîche et qui me fit frissonner.
Je sentis alors sa main me caresser le sillon des fesses allant à la recherche de la petite rondelle, passant ente mes jambes pour me prendre les bourses, les masser puis attraper ma queue et me la branler par derrière.

J’accompagnai ses masturbations et caresses en me cambrant comme une vraie petite prostituée.
Il m’incita à reculer et écarter les jambes pour me prendre encore mieux en photo et vidéo.
Ne le sentant plus près de moi, car ayant pris du recul, je me sentais seul et me savais occupé à m’exhiber nu sur mon trottoir.
La bruine fit place à une tout aussi fine pluie et maintenant, je sentais des gouttes d’eau glacées me perler sur le dos, les reins et la croupe toujours offerte. Gouttes qui parfois se rejoignaient et faisait un fin filet d’eau froide me glissant ente les fesses.
Ce qui m’excitait davantage.

Puis, j’entendis une porte se fermer. Je reconnus de suite le bruit caractéristique que faisait ma porte quand elle se refermait et surtout, le bruit caractéristique de la serrure automatique qui une fois porte fermée, empêche qu’elle se rouvre sans clé.
Et ma clé, elle était à l’intérieur.
Il avait cru bien faire sans connaître ce genre de serrure en refermant la porte pour garder la chaleur à l’intérieur.
Mais maintenant, j’étais complètement nu sur le trottoir, sans possibilité de pouvoir rentrer et une fine pluie glacée nous tombant dessus.

J’aurais pu paniquer, mais ce n’est pas dans ma nature et vivant seul, sonner n’aurait servi à rien.
Il y avait bien une clé chez ma vielle voisine vivant seule elle aussi, mais je me voyais mal aller sonner à sa porte la queue à l’air.
Lui, toujours aussi doux et confus, n’en était pas moins content de cette situation où il me voyait sans décence un peu à sa merci et cela l’existait lui aussi beaucoup.

Il s’approcha de nouveau de moi et me montra les photos qu’il avait prises et des bribes de vidéos où l’on me voyait nu, de l’ouverture de la porte au trottoir. Il me dit alors que sa voiture n’était pas très loin et qu’à défaut d’imperméable ou de manteau il gardait toujours une couverture dans son coffre.

Longeant les façades à demi recourbées, lui me suivant de près, nous allions maintenant vers sa voiture qu’il me disait toute proche.
Sauf que complètement nu sur le trottoir à la merci et à la vue de n’importe qui, proche restaient malgré tout bien trop loin.
Une cinquantaine de mètres déjà et je lui demandai alors si son auto était encore loin. Il me répondit que non, qu’elle était à l’angle de la petite rue là-bas, qu’il s’était garé le long du parc qui lui-même longe les boulevards.
On dut traverser ma rue, remonter une ruelle et entamer l’avenue le long du parc.
Parc faisant toute la longueur de l’avenue, mais que d’une trentaine de mètre de large.
De plus en cette saison, la végétation déjà fort peu arborée avait depuis longtemps perdu toute verdure et seules des branches de buissons clairsemées entre des étendues de pelouses rases séparaient l’avenue des boulevards, même à cette heure, encore passants.

Je continuais malgré tout à être terriblement excité de cette situation et lui apparemment aussi.
Je lui demandai où était sa voiture et là dans un large sourire un peu vicieux me dit tout de go : « Je n’en ai pas, je suis venu à pied… »
Je me sentis comme vidé, anéanti par ses propos ne sachant que faire, mais bandant toujours aussi fort.
Mais il me dit qu’il avait une idée.
Il s’approcha de moi, pris ma main et la posa sur sa braguette gonflée en m’intiment quasi l’ordre, mais avec douceur, de la caresser.
Puis il me fit avancer dans le parc, il voulait que je m’exhibe et m’amena au plus proche des boulevards que de l’avenue, là où il y avait du passage de véhicule et me fit m’arrêter en plein milieu d’une pelouse à l’endroit qu’il avait jugé le mieux pour lui et ses prises de vues.

Certes le parc était plongé dans le noir, mais si proche des boulevards qui eux étaient très bien éclairé, même s’il avait été difficile de nous apercevoir, ce carré de pelouse était celui qui était le plus éclairé et donc le plus visible des dits boulevards. De plus de ce côté-là, pas de buissons pour me cacher. Que de la pelouse jusqu’aux trottoirs à à peine 10 mètres de la voirie.
Il me demanda de me mettre à 4 pattes pour d’autres prises de vue puis de me mettre sur le ventre dans l’herbe froide et mouillée.
Après un moment, il avait sans doute tout bien préparé, il m’obligea cette fois, mais en restant poli et courtois d’aller m’étendre sur l’un des rares banc public du sentier qui cheminait sur tout le pourtour du parc, quasi à la limite de ce dernier avec le trottoir et donc le boulevard.

Il me demanda ensuite de poser sur ce banc, de frotter mes bourses jambes écartées sur les planches peintes de l’assise, de me mettre à califourchon sur celles du dossier, de faire de même sur l’un des gros accoudoirs en fonte à la peinture usée et glacée, puis de m’avancer sur ce dernier en le faisant glisser entre mes fesses, jusque à son bout oblong, ressemblant pour le coup à un énorme sexe de métal, et ensuite de m’y frotter la rondelle comme si je voulais que ce bout de métal poli me sodomise.
Il prit toutes les vues et positions qu’il voulut, avec en toile de fond les quelques véhicules qui passaient sans rien remarquer.

Voyant que malgré tout je mettais du cœur à l’ouvrage, car j’aimais ça, il s’approche de moi quand je me cambrai encore plus, me penchant très fortement en avant et écartant mes fesses pour commencer à sentir le métal froid bien sur ma rondelle, trop petite pour l’accueillir.
Penché de la sorte, il me caressa la tête aux cheveux maintenant mouillés, ouvrit sa braguette et en sortit son sexe tendu, assez petit ma foi, puis, sans devoir me forcer, l’approcha de ma bouche que j’ouvris pour commencer à le sucer.
J’arrêtai alors mes contorsions et me mis à ses genoux pour la lui masturber puis recommencer à le sucer.

Au bout d’un moment de ce petit jeu très excitant, il se mit à se branler de lui-même, de plus en plus rapidement.Michel steuve nous confie une histoire taboue sur une expérience de plan cul
Je sentais qu’il voulait alors me jouir sur la figure et resta à genoux, les bras ballants, la tête un peu en arrière, prêt à accueillir sa semence.
Bien que de l’autre main il continuait tant bien que mal à faire des clichés et prises de vue de sa queue dans ma bouche puis de son gland venant me taper tantôt les lèvres tantôt les joues alors qu’il se secouait, il finit malgré tout par lui aussi fermer les yeux en râlant tandis qu’il me couvrait le visage de son sperme chaud, finissant de jouir dans ma bouche son jus, y dégoulinant de part et d’autre, et coulant sur ma barbe, flot que venait rejoindre celui qui ruisselait de mon front et de mes cheveux.
Une sacrée grosse éjaculation !

Reprenant ses esprits il me sourit, moi aussi, me montra les images de son jus sur ma face et dans ma bouche, plus que très satisfait de cette rencontre qui ne devait pas aller aussi loin, mais qui d’emblée avait pris toutes les tournures de ce à quoi il aspirait.
Puis, presque enfantinement il me dit qu’il m’avait menti.
Il n’était pas venu à pied, sa voiture était juste là.

Michel Steuve

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4 Commentaires

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  • Déjà, je remercie XFR pour avoir posté cette histoire en mon nom.
    Michel Steuve
    Il est un age où l’on ne se refait pas et assumer qui l’on est en fait partie.
    Aussi et si le site le permet, je mettrai en fin de ce message des liens qui pourront authentifier mes dires.
    Des sites perso comme Twitter et Facebook, mais aussi des profils vérifiés sur divers sites qui réclame un pièce d’identité.
    Auquel cas les liens ne s’afficheraient pas, il vous suffirait dans un moteur de recherche au filtre adulte désactivé de taper: michel steuve gay soumis. La liste est édifiante.
    Pour fair simple, majorité de cette histoire est réelle et mieux, la partie extérieure dans le parc, de l’avenue Bosière s’est répétée encore il y a peu, sous confinement et couvre-feu.
    Je remercie une nouvelle fois XFR pour cette histoire que je n’aurais pas mieux écrite moi-même.
    https://twitter.com/_Michel_Steuve_
    https://www.facebook.com/michel.steuve.gay.soumis
    https://fr.xhamster.com/users/michel_steuve_gay
    whatsapp +32 492 95 17 12
    et bien d’autres…

  • Tu m’ecxites trop Michel Steuve !
    Déjà oser publier ça en ton nom quand on sait qu’après recherche sur le net, Michel Steuve est une vraie petite cochonne bien réelle, mmmmh !

  • Salut Michel,
    Très excitante histoire, en plus, ta photo d’entête est hyper bandante !
    Tu peux mettre à jour tes liens ? Ils sont morts ! Idem pour ton tél/whatsapp !
    J’ai vu que tu avais un Skype, tu peux le donner ? :)
    Et qui ne risque rien n’a rien, tant qu’à faire file nous ta nouvelle adresse à Tournai :)
    Si t’aimes les jeunots, on est plusieurs partant pour s’amuser avec toi :)

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