J’avais à peine fêté mes 18 ans quand j’ai commencé à ressentir cette attirance étrange et irrésistible pour les hommes. Je ne savais pas comment gérer ces pulsions, ni même si je devais les explorer. C’est alors qu’Alberic, mon grand-père, a remarqué mon trouble. Un soir, il m’a pris à part et m’a conduit dans une chambre privée, loin des regards indiscrets. “Bruno, je vois bien que quelque chose te préoccupe,” a-t-il dit d’une voix douce mais ferme. “Laisse-moi te montrer un monde de plaisir que tu n’as jamais imaginé.” Je n’avais aucune idée de ce qui allait se passer, mais une part de moi était curieuse, presque avide de découvrir ce qu’il avait à m’offrir. Alberic s’est approché de moi, ses yeux brillants d’une lueur que je ne lui avais jamais vue. Il a commencé à déboutonner mon pantalon, et avant que je puisse protester, il avait déjà sorti ma queue durcie.
“Regarde, Bruno, c’est la base du plaisir oral,” a-t-il murmuré avant de prendre mon sexe dans sa bouche. La sensation était incroyable, une chaleur humide et douce qui m’enveloppait complètement. Je ne pouvais pas croire que c’était mon grand-père qui me faisait ça, mais mon corps ne mentait pas – j’étais dur comme jamais. Alberic a commencé à me sucer lentement, sa langue jouant avec mon gland, me faisant gémir malgré moi. Je sentais une vague de plaisir monter en moi, mêlée à une confusion et une excitation que je n’avais jamais ressenties auparavant. C’était choquant, mais tellement bon. “Tu vois, Bruno, il n’y a rien de mal à explorer tes désirs,” a-t-il dit en s’arrêtant un instant, avant de reprendre sa fellation avec encore plus de vigueur. Je sentais que j’allais jouir, et cette idée me terrifiait autant qu’elle m’excitait. Finalement, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. J’ai explosé dans sa bouche, mon corps secoué par des spasmes de plaisir intense. Alberic a tout avalé, me regardant avec un sourire satisfait. “Ce n’est que le début, Bruno,” a-t-il dit en se relevant. “Il y a tellement plus à découvrir.” Je suis resté là, pantelant, à la fois choqué et excité par cette initiation inattendue.
Mon grand-père venait de m’ouvrir les portes d’un monde que je ne connaissais pas, et je savais que je ne pourrais plus jamais revenir en arrière. Encouragé par Alberic, j’ai commencé à explorer mon propre corps sous le regard approbateur de mon grand-père. J’étais nerveux au début, mais la présence rassurante d’Alberic m’a aidé à me détendre. Il m’a montré comment caresser ma queue, en me guidant avec des gestes doux mais fermes. “Fais comme ça, Bruno,” il a murmuré, en enveloppant sa main autour de la mienne pour me montrer le bon rythme. Mon souffle s’est accéléré alors que je sentais mon membre durcir sous ses instructions. Mon grand-père, assis dans son fauteuil, observait la scène avec un sourire satisfait. “C’est bien, mon garçon,” il a dit, ses yeux brillants d’excitation. “Laisse-toi aller.” Sa voix rauque ajoutait une couche de perversité à l’atmosphère déjà chargée de désir. Alberic a continué à m’enseigner des techniques de masturbation, me parlant de ses propres expériences sexuelles. “J’ai découvert le plaisir de la branlette à ton âge,” il a avoué, ses yeux fixés sur mon sexe en érection. “Et crois-moi, il n’y a rien de plus excitant que de se branler devant quelqu’un qui te regarde avec envie.” Je me suis senti de plus en plus à l’aise avec ma sexualité. Les mots d’Alberic et le regard de mon grand-père me faisaient monter la température.
J’ai commencé à poser des questions plus poussées sur le fétichisme. “Qu’est-ce qui t’excite le plus, Alberic?” j’ai demandé, ma main continuant à caresser ma bite avec une assurance grandissante. Il a souri, visiblement ravi de mon intérêt. “J’adore les pieds, Bruno. Rien de tel que de lécher et de sucer des orteils bien propres.” Sa confession m’a fait frémir d’excitation. L’idée de quelqu’un se masturbant en léchant mes pieds me semblait soudainement incroyablement érotique. Mon grand-père s’est penché en avant, ses yeux brillant d’un feu sombre. “Et moi, j’aime regarder,” il a ajouté, sa voix chargée de désir. “Rien ne m’excite plus que de voir mon petit-fils découvrir les plaisirs de la chair.” Sous leurs regards, j’ai continué à me branler, sentant une vague de plaisir monter en moi. Alberic a murmuré des encouragements, me guidant vers l’orgasme. “Laisse-toi aller, Bruno. Montre-nous à quel point tu aimes ça.” Et j’ai joui, fort, sous leurs yeux avides, sentant une libération totale et une nouvelle compréhension de ma propre sexualité.
J’étais chez Alberic, le coeur battant d’excitation et d’appréhension. Il m’avait promis de me faire découvrir un nouveau monde, et je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. “Bruno, tu es prêt à explorer des plaisirs que tu n’as jamais imaginés?” me demanda-t-il avec un sourire mystérieux. J’acquiesçais, impatient mais nerveux. Alberic me fit asseoir sur le canapé et s’assit en face de moi. “Aujourd’hui, on va parler de fétichisme, et plus précisément du fétichisme des pieds,” dit-il en retirant lentement ses chaussettes. Je regardais ses pieds nus, intrigué mais aussi un peu gêné. “Les pieds peuvent être incroyablement excitants, tu vas voir,” ajouta-t-il en posant un pied sur ma cuisse. Il commença à me montrer comment utiliser ses pieds pour me caresser. Ses orteils glissèrent le long de ma jambe, provoquant des frissons que je n’avais jamais ressentis auparavant. “Tu sens ça, Bruno? C’est juste le début,” murmura-t-il en continuant à explorer mon corps avec ses pieds. Je sentais une chaleur monter en moi, une excitation nouvelle et étrange.
Puis, Alberic me demanda de lui rendre la pareille. “Prends mes pieds, Bruno. Fais-les tiens,” dit-il en posant ses pieds sur mes genoux. J’hésitai un instant, mais la curiosité l’emporta. Je pris ses pieds dans mes mains, les caressant doucement, puis plus fermement. Je sentais la texture de sa peau, la chaleur de ses pieds, et une vague de désir m’envahit.
“Maintenant, utilise ta bouche,” ordonna Alberic avec une voix rauque de désir. Je me penchai et commençai à lécher ses orteils, d’abord timidement, puis avec une avidité croissante. Le goût salé de sa peau, la sensation de ses orteils dans ma bouche, tout cela me rendait fou de désir. Alberic gémissait doucement, encouragé par mes attentions. “Tu vois, Bruno, le fétichisme des pieds peut être incroyablement érotique,” dit-il en me regardant avec des yeux remplis de désir. Je hochai la tête, incapable de parler, trop absorbé par les nouvelles sensations qui parcouraient mon corps. Je continuai à lécher et sucer ses pieds, sentant mon propre désir monter en flèche. Alberic me guida ensuite à utiliser mes pieds pour le caresser. Il me montra comment frotter mes pieds contre son sexe, comment utiliser mes orteils pour le stimuler.
Je sentais son excitation monter, et cela ne faisait qu’augmenter la mienne. “C’est ça, Bruno, continue,” grogna-t-il en se laissant aller à mes caresses. Je découvrais avec fascination ce nouveau monde de sensations. Les pieds, que j’avais toujours considérés comme banals, devenaient des instruments de plaisir intense. Je comprenais maintenant les multiples facettes de la sexualité, et j’étais impatient d’explorer encore plus avec Alberic. “Tu es un élève rapide, Bruno,” dit-il en me souriant, les yeux brillants de désir. “Et on n’a fait que commencer.” Je sentais que notre voyage dans le fétichisme ne faisait que commencer, et j’étais plus excité que jamais. J’étais assis sur le canapé, les mains moites et le cœur battant. Alberic m’avait promis une soirée inoubliable, et je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Quand la sonnette a retenti, j’ai senti une vague d’excitation et de nervosité me traverser. Alberic a ouvert la porte, et Marc est entré, un sourire coquin sur les lèvres. “Salut, Bruno,” a dit Marc en me regardant droit dans les yeux. “Alberic m’a beaucoup parlé de toi.” Je n’ai pu que hocher la tête, la gorge serrée. Alberic s’est approché de Marc, et sans perdre une seconde, ils se sont mis à se caresser mutuellement. Je les regardais, fasciné par la manière dont leurs mains exploraient chaque centimètre de leurs corps. Alberic a commencé à embrasser le cou de Marc, descendant lentement vers son torse, tandis que Marc gémissait de plaisir.
“Bruno, viens nous rejoindre,” a murmuré Alberic en me tendant la main. J’ai hésité un instant, puis j’ai pris sa main et me suis approché d’eux. Alberic a immédiatement posé sa main sur ma queue, déjà dure à travers mon pantalon. “Tu vois, Marc, il est déjà prêt pour nous.” Marc s’est approché de moi et a commencé à me déshabiller, ses doigts agiles défaisant chaque bouton de ma chemise. Une fois nu, il a pris ma queue dans sa bouche, me faisant gémir de plaisir. Alberic, de son côté, s’est mis à lécher mes tétons, envoyant des décharges électriques dans tout mon corps.
“Putain, c’est trop bon,” ai-je réussi à dire entre deux gémissements. Alberic a souri et s’est mis à genoux, rejoignant Marc pour me sucer à deux. La sensation de leurs bouches chaudes et humides sur ma queue était indescriptible. Je sentais que j’allais exploser de plaisir. Marc s’est relevé et a commencé à embrasser Alberic passionnément, leurs langues se mêlant dans une danse érotique. J’ai profité de l’occasion pour explorer leurs corps, caressant leurs queues dures et leurs fesses fermes. Alberic a alors poussé Marc sur le canapé et a commencé à le pénétrer, tandis que je regardais, hypnotisé par la scène. “Viens, Bruno, prends-le aussi,” a dit Alberic en me regardant avec un regard enflammé. J’ai obéi, me plaçant derrière Marc et pénétrant son cul déjà dilaté par Alberic. La sensation de nos queues se frottant l’une contre l’autre à l’intérieur de Marc était incroyable. Marc gémissait de plus en plus fort, ses cris de plaisir résonnant dans la pièce. Nous avons continué ainsi, changeant de positions, explorant chaque recoin de nos corps, jusqu’à ce que nous soyons tous épuisés et satisfaits. Je n’avais jamais imaginé que le sexe à trois pouvait être aussi intense et excitant. Alberic et Marc m’avaient ouvert les yeux sur une nouvelle dimension de plaisir, et je savais que je ne pourrais plus jamais m’en passer.
“Merci, les gars,” ai-je dit, encore essoufflé. “C’était incroyable.” Alberic a souri et m’a embrassé doucement. “De rien, Bruno. Ce n’est que le début.” La session de trio devenait de plus en plus intense, et je pouvais sentir l’excitation monter en moi. Alberic et Marc m’avaient pris en sandwich, leurs mains explorant chaque parcelle de mon corps. Je pouvais sentir leurs bites dures contre moi, et ça me rendait complètement fou. Alberic s’est agenouillé devant moi, ses lèvres s’approchant de ma queue palpitante. Il a commencé à me sucer avec une telle voracité que j’ai dû me retenir pour ne pas jouir immédiatement. Pendant ce temps, Marc s’est positionné derrière moi, ses doigts lubrifiés jouant avec mon cul. J’ai gémi de plaisir quand il a commencé à me pénétrer lentement, son sexe glissant en moi avec une facilité déconcertante. Je me suis laissé aller à la jouissance totale, explorant chaque sensation nouvelle. Les deux hommes alternaient entre fellations et pénétrations, me faisant passer d’un plaisir à l’autre sans répit. Alberic a commencé à me baiser la bouche avec sa queue, tandis que Marc accélérait ses coups de reins. Je pouvais sentir leurs bites me remplir, me faisant sentir complet et désiré.
Les trois hommes s’abandonnaient à leurs désirs les plus profonds, chacun jouissant à plusieurs reprises. J’ai senti la première vague de plaisir me submerger quand Marc a joui en moi, son sperme chaud remplissant mon cul. Alberic n’a pas tardé à suivre, sa queue pulsant dans ma bouche tandis qu’il déversait sa semence sur ma langue. J’ai avalé avidement, savourant chaque goutte. Puis, c’était à mon tour. Avec un cri de plaisir, j’ai joui violemment, ma queue éjaculant entre les mains d’Alberic. Les sensations étaient si intenses que j’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais les deux hommes ne m’ont pas laissé de répit, continuant à me stimuler, à me faire jouir encore et encore. C’était une expérience fétichiste et débridée, où chaque fantasme était exploré sans honte ni retenue. Je me suis senti libre, vivant, et complètement satisfait. Après le trio torride qui avait laissé mon corps en feu, je me sentais transformé. Je me suis tourné vers Alberic, mon grand-père, qui m’avait initié à ce monde de plaisirs interdits. “Merci, grand-père,” j’ai murmuré, ma voix encore tremblante de l’excitation qui courait dans mes veines. “C’était incroyable. Je veux explorer encore plus ce monde du sexe entre hommes.” Alberic m’a regardé avec un sourire complice, ses yeux pétillant de satisfaction. “Je suis content que ça t’ait plu, Bruno. Tu es maintenant sur le chemin de la découverte de tes désirs les plus profonds.” Il s’est rapproché de moi, sa main caressant doucement mon torse nu. “Pour explorer davantage, il faut que tu sois prudent. Trouve des partenaires qui respectent tes limites et tes envies. Les clubs gays peuvent être un bon endroit pour commencer, mais assure-toi toujours de pratiquer en toute sécurité.”
J’ai hoché la tête, buvant ses paroles comme un élixir. “Et pour les fantasmes? Comment puis-je les réaliser sans me mettre en danger?” “Commence par les exprimer,” a-t-il répondu, sa main descendant lentement vers mon entrejambe, provoquant une nouvelle vague de désir en moi. “Il y a des communautés en ligne où tu peux trouver des gens avec les mêmes intérêts. Et n’oublie pas, la communication est clé. Parle de ce que tu veux, de ce que tu aimes, et surtout, de ce que tu ne veux pas.” Je sentais mon cœur battre plus fort, non seulement à cause de ses caresses, mais aussi à l’idée de ce qui m’attendait. “Je veux tout essayer, grand-père. Les fellations, les trios, le fétichisme… tout.” Alberic a souri, ses doigts s’enroulant autour de ma queue déjà dure. “Alors, vas-y, Bruno. Explore, découvre, et surtout, jouis de chaque instant.” Il a commencé à me branler lentement, ses mouvements précis et aguicheurs. “Et souviens-toi, je suis là pour te guider, toujours.” Je me suis laissé aller à ses caresses, sentant une nouvelle vague de plaisir monter en moi. J’étais prêt à vivre pleinement ma sexualité, à explorer chaque recoin de mes désirs les plus obscurs et inavouables. Avec les conseils d’Alberic, je savais que je pouvais tout affronter, tout essayer, et tout savourer. J’étais encore sous le choc de ma première expérience avec Alberic, mais l’envie de découvrir plus me dévorait. J’ai commencé à fréquenter des clubs et des soirées spécialisées dans le sexe gay, cherchant à repousser mes limites et à explorer de nouveaux horizons. La première fois que je suis entré dans un de ces clubs, j’ai été immédiatement frappé par l’atmosphère chargée de désir et de sueur. Les corps se frôlaient, les regards se croisaient, et l’excitation était palpable.
C’est là que j’ai rencontré Marc, un mec avec un sourire carnassier et des yeux qui semblaient lire en moi comme dans un livre ouvert. Il m’a pris par la main et m’a emmené dans une salle privée. “T’as déjà essayé la fétichisme du cuir ?” m’a-t-il demandé avec un clin d’œil. J’ai hoché la tête, curieux et excité. Il m’a alors déshabillé lentement, me laissant en sous-vêtements avant de me revêtir d’une veste en cuir qui épousait parfaitement mes formes. La sensation du cuir contre ma peau était enivrante, et je sentais mon sexe durcir à chaque mouvement. Marc s’est agenouillé devant moi, et sans un mot, il a commencé à me sucer avec une maîtrise qui m’a fait gémir de plaisir. Sa langue jouait avec mon gland, ses lèvres glissaient le long de ma queue, et je sentais une chaleur monter en moi. Alors que j’étais sur le point de jouir, il s’est arrêté et m’a regardé avec un sourire satisfait. “Pas encore, mon beau. On a toute la nuit.” C’est à ce moment-là qu’Alberic est entré dans la pièce, comme s’il avait senti que j’avais besoin de lui.
Il m’a regardé avec fierté et a hoché la tête en direction de Marc. “Il est bon, hein ?” m’a-t-il dit en riant. Alberic s’est alors déshabillé et s’est joint à nous, formant un trio torride. Il a pris Marc par derrière, tandis que celui-ci continuait à me sucer. La sensation de voir Alberic baiser Marc tout en sentant la bouche de ce dernier sur ma queue était indescriptible. Nous avons passé des heures à explorer nos désirs, à essayer de nouvelles positions et à nous laisser aller à nos fantasmes les plus fous. J’ai découvert que j’aimais être dominé, sentir le cuir contre ma peau, et que rien ne m’excitait plus que de voir Alberic prendre le contrôle. Chaque nouvelle expérience me faisait me sentir plus à l’aise et épanoui dans ma sexualité. À la fin de la soirée, épuisé mais comblé, je me suis tourné vers Alberic. “Merci de m’avoir guidé,” lui ai-je dit, sincèrement reconnaissant. Il m’a souri et m’a répondu : “C’est juste le début, Bruno. Il y a encore tellement à découvrir.” Et je savais qu’il avait raison. Mon exploration ne faisait que commencer, et j’étais prêt à tout essayer, à tout vivre, pour découvrir les limites de mon plaisir.
Bruno
Ajouter un commentaire