Bonjour à tous,
ça y est, moi aussi je fais ma petite histoire taboue sur le blog ! Alors je vais vous parler de mon mari qui a deux vices. Le sexe et les sucreries. Il a trouvé le moyen de mélanger les deux ce qui donne un résultat bien excitant !
Il faut vous dire que mon mari adore grignoter devant la télé. Tous les soirs, il a son petit rituel et déguste ses carreaux de chocolat ou bien des bonbons en regardant le programme du soir. Comme tous les hommes, il aime aussi que l’on fasse l’amour, car il a besoin d’avoir les couilles vides pour dormir. Moi j’aime ça, alors tant mieux ! Mais vous allez me dire qu’il n’y a pas grand-chose de tabou là-dedans. Attendez ça vient ! Lol
Un jour il m’a envoyé un texto en me disant qu’il avait trouvé le moyen de combiner les deux plaisirs en même temps et que je devais me dépêcher de rentrer pour tester sa nouvelle pratique. Évidemment, je me suis posé beaucoup de questions, mais à aucun moment, je n’avais approché l’idée de son cerveau de grand psychopathe ! Il avait décidé de me mettre des bonbons dans le vagin ou dans l’anus, de les laisser macérer un moment et de venir les manger directement à la source. Avec le temps et la fait évoluer le truc en me demandant de les expulser pour les remettre dans le paquet. Il peut ensuite les savourer devant notre programme.
Je vais essayer d’être plus claire en vous racontant ce qui s’est passé par exemple hier soir. Il m’a demandé d’écarter les fesses et les cuisses et a commencé doucement à introduire des sucreries dans mes trous. Il en a mis et dans ma chatte et dans mon anus. Le salaud avait acheté une boîte Tirlibibi de chez Haribo et m’a introduit les bonbons les uns après les autres dans les trous. Cette nouvelle expérience si particulière m’a fait mouiller comme une salope ! De temps en temps, les bonbons ressortaient, bien que je contracte mes muscles. J’avais tellement de mouille, que ça glissait tout seul. Mon mari m’a grondée et j’ai dû faire plus attention.
Il m’a fait mettre sur le côté et nous avons regardé le début du film. Au bout d’un moment, je les avais presque oubliés ! Mais pas lui ! Il m’a fait mettre sur le dos, m’a mis un coussin sous les fesses et a plongé directement pour venir me bouffer des orifices. Il a pu se délecter de la mouille et des bonbons qui avaient commencé à fondre. Ce mélange de sucre et de jus intime était délicieux d’après lui. Oui, j’en ai goûté moi aussi ! Il se délecte du mélange et se branle en même temps. Nous avons innové en faisant un 69 ce qui fait que je le suce pendant qu’il déguste les bonbons qui sortent de mes trous. Une fois qu’il a mangé toutes ces sucreries, il me prend profondément et brutalement jusqu’à éjaculer en moi.
La dernière fois, il avait oublié, d’après lui, un bonbon à la réglisse. Il est ressorti lorsque je suis allée expulser le sperme de mon vagin. Je lui ai dit qu’une petite surprise l’attendait et il était aux anges ! Il a mangé le bonbon recouvert de mouille et de sperme. Ce bonbon souillé de mes sécrétions vaginales de son foutre lui a fait tout lécher avant de tout avaler.
Voilà ce que je fais avec mon mari gourmand le soir et que je considère comme une pratique taboue. Est-ce qu’il y en a d’autres sur le blog qui ont déjà essayé ou qui ont ce fantasme ?
Marielle, 51 ans, Toulouse.
Hum pas mal pourquoi pas essayé
Mmm sympa, je gouterai bien aussi
jolie gourmandises
Oui, j’ai essayé, je dirai même beaucoup. D’ailleurs le surnom de mon épouse est “Comblée”.
Pour rester dans le domaine de sucrerie, je l’ai remplie de chamallow, avec la chaleur humaine la guimauve se transforme en pâte gluante. J’adore trempé mon sexe dans cette mélasse et y jouir.
En 69 chacun goûte son bonbon, on devient très vite très collant, on ne se précipite pas pour se laver. Cela donne quelques heures de léchouille.
Nous avons essayé les chocolats “Mon Chérie”, la petite pointe d’alcool a très bon goût.
Nous avons essayé le rhum intime, puis des boudoirs pour un petit dessert de baba au rhum.
Nous avons essayé la glace en bâton de type magnum (attention au bâton!) …
La gourmandise fait partir de nous, mon nom en est prémonitoire (Gourmand)