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Mon mari me prostitue à ses collègues de travail

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Je suis là, assise dans le salon, et je sens le regard de mon mari sur moi. Il a ce sourire carnassier qui me fait toujours un peu peur, mais aussi étrangement excitée. Il s’approche de moi, s’assied à mes côtés et me dit d’une voix douce mais ferme : « J’ai une proposition à te faire, chérie. »

Mon cœur se met à battre plus vite. « Quoi donc ? » je demande, essayant de cacher mon appréhension. « Je veux que tu te prostitues à mes collègues de travail, » il dit, comme si c’était la chose la plus normale du monde. Je reste bouche bée, choquée par ses mots. Mais, à ma grande surprise, je sens une chaleur monter entre mes cuisses. C’est mal, je le sais, mais l’idée me fait étrangement mouiller. « Pourquoi ? » je parviens à articuler, ma voix tremblante.
« Pour une augmentation de salaire, » il répond sans hésiter. « C’est pour nous, tu comprends ? On a besoin de cet argent. Tu dois le faire pour nous. » Je regarde ses yeux, ces yeux qui me dominent et me contrôlent. Je sais que je ne peux pas refuser. L’excitation perverse qui monte en moi me fait hocher la tête. « D’accord, » je murmure, sentant déjà mon corps se préparer à ce qui va suivre.

Mon mari sourit, satisfait. « Bien, » il dit, en posant sa main sur ma cuisse. « Tu vas voir, ça va être excitant. Et très lucratif. » Je ne peux m’empêcher de me demander ce que ça va donner, mais une partie de moi a déjà accepté cette nouvelle réalité. Pour le meilleur ou pour le pire, je vais me prostituer pour lui, pour nous. Et cette idée me fait trembler d’une excitation malsaine. Le premier collègue est arrivé chez nous, je l’ai vu entrer avec une lueur d’excitation dans les yeux, mais aussi une nervosité palpable. Mon mari l’a accueilli avec un sourire complice avant de nous laisser seuls dans la chambre, fermant la porte derrière lui, mais pas complètement. J’entendais encore ses pas s’éloigner dans le couloir.
Le collègue s’est approché de moi, ses mains tremblantes ont commencé à déboutonner mon chemisier. Je sentais son souffle chaud sur ma peau, et une chaleur intense monter entre mes cuisses. Il a fait glisser ma jupe le long de mes jambes, ses doigts frôlant ma peau avec une maladresse excitante. Je me suis laissée faire, mon corps répondant déjà à son toucher.

Quand il a retiré ma culotte, je l’ai vu hésiter un instant, mais son désir a pris le dessus. Il m’a poussée sur le lit, écartant mes jambes avec force. Sans préliminaires, il a sorti son sexe dur et l’a enfoncé en moi d’un coup brutal. J’ai gémi malgré moi, la sensation de son membre me remplissant m’arrachant un cri de plaisir mêlé de douleur. Je pouvais sentir ses hanches claquer contre les miennes, chaque coup de reins plus profond que le précédent. Mes gémissements se sont transformés en cris, et j’ai vu mon mari par la porte entrouverte, son sourire satisfait me regardant me faire prendre par son collègue. La vue de son plaisir à me voir ainsi utilisée m’a poussée encore plus loin dans l’extase, mes ongles s’enfonçant dans le dos de l’homme qui me baisait sans relâche.

La chambre était remplie de nos halètements et de mes cris, le lit grinçant sous nos mouvements frénétiques. Le collègue a accéléré le rythme, ses grognements se faisant plus rauques, et je savais qu’il était proche de jouir. Je me suis laissée aller complètement, mon corps se contractant autour de son sexe, l’amenant à l’orgasme avec moi.
Quand il s’est retiré, je suis restée là, pantelante, sentant son sperme couler entre mes cuisses. Mon mari est entré dans la chambre, son regard brillant de satisfaction et de désir pour la suite.

Mon mari me prostitue à ses collègues de travail
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Les semaines défilent et je me retrouve complètement immergée dans mon rôle de putain de l’entreprise. Chaque soir, un nouveau collègue franchit la porte de notre maison, prêt à me prendre comme il le souhaite. La brutalité est souvent au rendez-vous, sans le moindre ménagement. Ils me traitent comme un objet, me retournent, me pénètrent sans préliminaires, me faisant sentir totalement utilisée. Pourtant, malgré cette dégradation, mon corps traître réagit avec une intensité qui ne fait que croître. Chaque coup de reins, chaque gifle, chaque insulte me fait frémir de plaisir. Je me déteste de ressentir ça, mais je ne peux m’empêcher de jouir sous leurs assauts. Mon mari, lui, filme parfois ces scènes sordides. Il adore capturer chaque gémissement, chaque pénétration brutale, pour ensuite montrer ces vidéos à d’autres collègues. Il me filme en train de me faire prendre par derrière, la caméra zoomant sur mon visage déformé par le plaisir et la douleur. Il filme aussi les moments où ils me forcent à les sucer, ma bouche remplie de leurs queues, mes yeux larmoyants fixant l’objectif. Un soir, c’est Marc, un des cadres supérieurs, qui se présente. Il me jette sur le lit sans un mot, me retourne et me pénètre violemment. Ses coups de reins sont puissants, me faisant crier à chaque fois. Il me tire les cheveux, me traite de salope, et je sens mon corps répondre à ses insultes par des spasmes de plaisir. Mon mari filme tout ça, un sourire satisfait sur les lèvres. Après que Marc ait éjaculé en moi, il se retire et me laisse là, pantelante et couverte de sueur. Mon mari s’approche alors, me filme de près, me demandant si j’ai aimé ça. Je ne peux que hocher la tête, honteuse de mon propre désir. Il rit, éteint la caméra, et me laisse seule avec mes pensées troubles.

Cette routine de la prostitution devient ma nouvelle normalité. Chaque soir, un nouveau visage, une nouvelle humiliation, et toujours ce plaisir coupable qui me consume. Je suis devenue la putain de l’entreprise, et je ne sais pas si je pourrai jamais m’en sortir. Je me retrouve dans une pièce sombre, éclairée seulement par quelques bougies qui projettent des ombres dansantes sur les murs. L’un des collègues de mon mari, un homme aux yeux perçants et au sourire cruel, me regarde avec une intensité qui me fait frémir. Il me pousse doucement vers un lit où des cordes sont déjà disposées. Mon cœur bat la chamade, mais je sais que je n’ai pas le choix. Je me laisse attacher, les poignets et les chevilles solidement fixés aux montants du lit. La sensation de vulnérabilité est à la fois terrifiante et excitante. Il sort un fouet, le faisant claquer dans l’air avant de le faire courir doucement sur ma peau nue. Chaque coup est précis, me faisant crier à la fois de douleur et de plaisir. Je sens mon corps réagir, mon sexe s’humidifiant malgré moi. Il me prend ensuite, ses mouvements brutaux et impitoyables. Je me sens utilisée, mais une partie de moi aime cette sensation de soumission totale. À peine ai-je le temps de reprendre mon souffle qu’un autre collègue entre dans la pièce, une caméra à la main. Il me demande de le sucer pendant qu’il filme. Je m’agenouille devant lui, prenant son membre dans ma bouche, sentant le goût salé de sa peau. La caméra capture chaque instant, chaque mouvement de ma tête, chaque gémissement étouffé.

La honte me submerge, mais une excitation perverse grandit en moi. Je me donne entièrement à cet acte, sachant que mon image sera immortalisée pour toujours. Mon mari, qui observe tout depuis un coin de la pièce, semble de plus en plus excité. Ses yeux brillent d’un désir presque animal. Il se rapproche, caressant doucement mes cheveux pendant que je continue de sucer son collègue. Je sens sa fierté perverse, et cela ajoute une couche supplémentaire à mon propre mélange de honte et d’excitation. Je me soumets à leurs désirs, me laissant emporter par cette spirale de dépravation. Chaque acte, chaque humiliation, me pousse plus loin dans cet abîme de plaisir malsain. Et malgré tout, je ne peux m’empêcher de vouloir en avoir plus. J’étais à peine remise de la dernière humiliation que mon mari m’avait infligée lorsque je me retrouvais encore une fois au milieu de ses collègues, cette fois dans une orgie sans fin. Ils me traitaient comme une véritable esclave sexuelle, sans aucun respect pour ma dignité. Je sentais leurs mains partout sur moi, me palpant, me pinçant, me pénétrant sans ménagement. Ils m’avaient installée au centre de la pièce, sur une table basse, et ils prenaient leur tour pour me baiser. Je ne pouvais rien faire d’autre que de me laisser aller, les sensations se mélangeaient dans ma tête, entre la honte et l’excitation. J’étais couverte de sueur et de sperme, chaque homme y allant de son plaisir, me remplissant de leur semence chaude. « Regardez cette salope, elle adore ça ! » cria l’un d’eux en me prenant par derrière, ses coups de reins violents me faisant gémir malgré moi. Je sentais mon corps trahir ma volonté, mes hanches se déhanchant pour aller à sa rencontre, mon clitoris palpitant de désir.

Mon mari, ce salaud, avait organisé cette soirée spécialement pour ses collègues. Il me regardait, un sourire satisfait sur les lèvres, tandis que je me faisais utiliser par une dizaine d’hommes. « Allez-y, les gars, elle est à vous, profitez bien ! » dit-il en riant, et ils ne se faisaient pas prier. Je me retrouvais avec plusieurs bites dans la bouche, d’autres dans mes mains, et encore d’autres dans mon cul et ma chatte. Je ne pouvais plus penser, juste ressentir. La sensation de leurs queues glissant en moi, me remplissant, me faisant jouir encore et encore. J’étais humiliée, dégradée, mais mon corps ne cessait de réagir, de trembler de plaisir. Ils me faisaient tout faire, me forçant à lécher leurs couilles, à avaler leur sperme, à me mettre à quatre pattes pour qu’ils puissent me prendre comme des bêtes. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses, mon visage couvert de leur jus, et pourtant, je ne pouvais m’empêcher de jouir, encore et encore. « Tu vois, chérie, tu es faite pour ça, » murmura mon mari à mon oreille, ses doigts s’insinuant entre mes jambes pour caresser mon clitoris hypersensible. Je gémissais, incapable de répondre, submergée par les vagues de plaisir qui me traversaient. La soirée se poursuivait, interminable, et je me perdais dans cette spirale de dégradation et de jouissance. J’étais leur jouet, leur esclave, et je ne pouvais rien y faire.

Mon corps ne m’appartenait plus, il était à eux, à leur merci, et je ne pouvais que m’abandonner à cette réalité perverse et excitante. Après des mois de cette vie de débauche, je me rends compte que mon mari ne m’a jamais aimée. Il me voit juste comme un objet à utiliser pour son propre plaisir. Chaque nuit, il me pousse dans les bras de ses collègues, me regardant me faire baiser par eux, ses yeux brillants de désir pervers. Je suis devenue une putain pour lui, une marchandise qu’il vend à ses amis en échange de leur respect et de leur admiration. Un soir, alors qu’il me prépare pour une autre session de sexe hardcore, je décide de me rebeller. Je lui dis que je ne veux plus continuer, que je veux retrouver ma dignité. Mais il éclate de rire, ses yeux se rétrécissent avec malice. « Tu crois vraiment que tu as le choix, salope ? » Il sort son téléphone et me montre des vidéos de moi en train de me faire défoncer par ses collègues, de me faire sodomiser, de me faire jouir encore et encore. « Si tu essaies de partir, je les mets en ligne. Tout le monde verra quelle chienne tu es. »

Je suis piégée. Mon cœur bat à tout rompre, mais une part de moi se demande si je veux vraiment m’échapper de cette vie de soumission et de plaisir extrême. Les sensations que je ressens quand je suis prise par plusieurs hommes à la fois, quand je suis remplie de leurs queues et de leur sperme, sont indescriptibles. Peut-être que je suis devenue dépendante de cette débauche, de cette perversion. Mon mari s’approche de moi, son sourire cruel toujours sur ses lèvres. « Alors, tu vas être une bonne fille et continuer à te faire baiser, ou tu veux que le monde entier sache à quel point tu aimes ça ? » Il me pousse sur le lit, écartant mes jambes sans ménagement. « Allez, montre-moi combien tu aimes ça, salope. » Je ferme les yeux, sentant une larme couler sur ma joue. Mais en même temps, je sens une chaleur familière monter en moi. Peut-être que je suis vraiment faite pour cette vie de soumission et de plaisir extrême. Peut-être que je ne veux pas vraiment m’échapper.

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