Mon patron aime me sauter quand j’ai mes règles

Salut à tous,

J’ai 28 ans et je travaille dans une énorme boîte de Paris La Défense. Je suis dans les derniers étages où se trouve la direction d’une multinationale. Mais tout ça, vous vous en foutez. C’est simplement pour vous situer le lieu où se déroule mon histoire. Je confirme qu’elle est bien réelle et qu’il ne s’agit pas d’un fantasme.

Cela fait un moment que j’ai une aventure avec mon patron. C’est un bel homme d’une cinquantaine d’années qui est marié et insatisfait dans son couple. La seule chose que je regarde, c’est mon plaisir personnel et ma situation professionnelle. Les deux se combinent très bien pour le moment et je ne vois pas pourquoi cela changerait.

Nous étions en train de faire l’amour sur son bureau lorsque cela s’est produit la première fois. Pendant qu’il était en train de me pénétrer en missionnaire avec les genoux sur la poitrine, j’ai senti un liquide chaud couler de ma chatte vers mon anus. Je sais pertinemment que je ne suis pas une femme fontaine et je me suis posée la question de savoir s’il avait joui. Sa verge était encore très dure cela ne pouvait pas être ça. Tout d’un coup, ça fait « tilt » dans mon cerveau de blonde. C’était à peu près le moment de mes règles.

À ce moment-là il a joui. Lorsqu’il s’est retiré de ma chatte, mes craintes se sont confirmées. Sa bite était recouverte de mon sang et un filet de mouille et de règles se trouvait sur son bureau. Je me suis confondue en excuses et je suis partie vite me nettoyer dans sa salle de bain privative. J’ai attrapé mes affaires et je suis vite rentrée chez moi totalement honteuse. Le soir venu, il m’envoyait des textos en me montrant des photos de sa bite. Elle était bien dure et bien raide. Il m’a expliqué qu’il avait bien senti que ce n’était pas comme d’habitude. La chaleur de mes règles lui a provoqué des sensations nouvelles qui l’ont poussé à jouir plus rapidement. Il souhaite si je suis d’accord que l’on continue dès le lendemain.

Je n’ai pas répondu à son message et je suis allée me coucher. Toute la nuit, j’ai fait des rêves érotiques et dès le lendemain matin, j’ai mis une simple serviette alors que d’habitude je mets des tampons. Je suis allée le voir dans son bureau entre midi et deux et j’ai fermé la porte à clé. Il s’est avancé vers moi pour m’embrasser et j’ai vu qu’il avait une bosse sous son pantalon. J’ai ouvert mon sac et j’en ai sorti une petite alèse jetable. Je l’ai mise sur son magnifique bureau en noyer et j’y ai posé mes fesses. J’ai retiré ma petite culotte tout en laissant ma serviette hygiénique collée contre ma vulve. Je me suis penchée en arrière en m’appuyant sur les coudes et en lui disant qu’il pouvait déballer son cadeau.

Il s’est avancé et assis dans le fauteuil. Il était à la parfaite hauteur de ma chatte. Il a défait l’emballage et découvert ma minette ruisselante de règles. Il y en avait de partout ! Avec ses doigts, il a joué avec mon sang et m’a caressé la vulve. Il a écarté mes lèvres pour voir à l’intérieur et s’est aperçu que c’était plein d’hémoglobine. Il s’est relevé, a défait sa ceinture et a laissé tomber son pantalon sur ses chevilles. Il a frotté son gland contre ma chatte et s’est enfoncé en moi. Il m’a attiré vers lui au maximum en prenant soin de ne pas salir sa jolie chemise blanche. Il m’a baisée rapidement. Cela a duré moins de deux minutes ! Nous avons joui intensément tous les deux. J’étais maintenant pleine de sang avec le sperme de mon patron mélangé à mes règles.

Je ne suis pas allée me nettoyer et je suis retournée travailler. Toute l’après-midi, je lui ai envoyé des messages avec cette image mentale de ma chatte gluante de règles et pleine de sa semence intime. Il n’aura pas tenu bien longtemps puisque deux heures plus tard et m’a convoquée dans son bureau pour me mettre une seconde couche de foutre.

Depuis ce jour, mon patron prend un pied d’enfer en me baisant lorsque j’ai mes règles. J’avoue que je prends aussi un maximum de plaisir lorsqu’il s’enfonce en moi pendant que je saigne et qu’il se répand en moi. Je n’ai jamais raconté cela à qui que ce soit. C’est la première fois que je me confie à quelqu’un et encore plus sur un blog. Peut-être que mon histoire taboue vous aurait excité, si c’est le cas, laissez-moi des commentaires pour que je le sache.

Bisous à tous,

Carine 28 ans Paris

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