Bonjour,
Je m’appelle Karine, j’ai 33 ans je suis une femme mariée. Je travaille dans une entreprise de maçonnerie et de travaux publics. Mon patron est un mec vicieux qui a beaucoup de maîtresses et auquel j’ai toujours résisté jusqu’à ce jour du mois de mars 2016. Je lui ai résisté juste pour faire monter son excitation. Il m’a donc violée comme une chienne, mais avec mon accord.
Ce jour-là, j’avais mis une jupe normale, des bas noirs j’avais un chemisier blanc quelque peu transparent. J’avais un chignon et des lunettes. Le cliché parfait de la secrétaire ultra cochonne et ultra salope. Mais souvenez-vous, je vous ai dit que j’étais mariée. Je lui ai toujours dit que mon patron était un mec vicieux et qu’il se tapait des clientes et des collègues de travail. Je n’aurais jamais pensé une seule seconde, que j’allais me laisser faire par ce pervers. J’étais tranquillement assise à mon bureau lorsqu’il est venu et qu’il est passé derrière moi. Il s’est penché en avant pour me soumettre un dossier, car il savait très bien que dans cette position, il avait une vue plongeante sur ma poitrine.
Je lui ai fait remarquer que c’était totalement déplacé de reluquer les seins de sa secrétaire. Il m’a répondu que c’était ma faute étant donné que je mettais toujours en valeur ma poitrine et que lui était un homme. Il était donc génétiquement attiré par les gros nichons. Nous avons ri et avons discuté de manière totalement surprenante de nos relations sexuelles. Il sait très bien que je suis mariée et comble de tout, il l’est lui aussi. Je lui ai demandé quel était son fantasme et il m’a répondu du tac au tac : « violer ma secrétaire en sachant qu’elle me résiste » il m’a fait un petit clin d’œil et il est reparti à son bureau.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce scénario et cette idée ont fait leur chemin dans mon cerveau. Je me suis surprise à avoir l’entrecuisse trempé. J’avais le bout des nichons qui pointaient à travers mon chemisier, c’en était gênant. Ne me demandez pas comment j’ai pris la décision, je ne le sais pas moi-même. Je suis allée dans son bureau, il était environ 19 heures. Je savais pertinemment que plus personne n’allait entrer et que nous étions tranquilles. Je rentre généralement vers 20 h 15 chez moi et mon mari ne m’attendrait pas avant cette heure-là. Je me suis avancée vers lui, je me suis assise sur le bureau et j’ai écarté les cuisses. Je lui ai dit que j’étais complètement outrée par son comportement de tout à l’heure. C’est vraiment un homme, il a compris en quelques secondes ce que je voulais. Le ton est monté et il a simulé une engueulade et une punition. Il a commencé à me malmener et à avoir des attouchements.
Je me défendais tout en me laissant faire. J’étais très excitée lorsque sa peau touchait mes cuisses, mon sexe et mes seins. Il a eu tout de même un moment de doute et m’a demandé si j’étais sûre de moi. J’ai défait la braguette en guise de réponse. Il a alors sorti son sexe qui était déjà bien dur, m’a attrapée par le chignon et m’a plaqué la tête contre sa queue. « Suce ma bite grosse salope ! » J’étais littéralement inondée de mouille. Je la sentais couler le long de mes cuisses, cela ne m’était jamais arrivé ! J’ai pris sa main et je l’ai passée sur mes sécrétions. Il a compris qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait.
Il m’a plaquée en avant sur son bureau, a remonté ma jupe et a baissé mon string. Il m’a écarté les fesses et m’a embrochée comme un vulgaire cochon. Sa queue était de taille normale, mais plutôt épaisse. Je peux vous dire que malgré l’excitation, je l’ai sentie passer. J’ai écarté mes fesses au maximum pour mieux la sentir. Il s’est mis à m’attraper par les épaules et à me bourrer la chatte comme un malpropre. Il n’arrêtait pas de dire des insanités et des gros mots qui m’excitaient de plus en plus. J’ai senti l’orgasme monter, j’ai explosé et j’ai eu la sensation que cet orgasme avait duré une heure. Je me suis affalée sur son bureau toute pantelante avec la chatte dégoulinante de mouille. Il a senti monter la pression à son tour. Il est sorti de ma chatte et a mis une jambe sur le bureau pour que sa verge soit au niveau de ma tête. Il a continué de se branler j’ai compris que j’allais prendre une douche de sperme de la part de mon boss. J’ai fermé les yeux et j’ai attendu que son foutre chaud jaillisse sur mon visage. Je l’ai senti contre ma pommette, puis ma joue. Excitée comme jamais, j’ai entrouvert les lèvres pour que le foutre de mon patron continue sa route dans ma bouche. Il m’a demandé de tout nettoyer, car il avait un rendez-vous juste après.
J’étais toute ébouriffée et j’étais surtout véritablement trempée. Je suis restée un moment à mon bureau à apprécier la situation avant de passer me faire un brin de toilette dans notre super salle de bain pour ouvriers. C’est propre et épanouie que je suis allée retrouver mon mari qui n’a jamais rien su de cette histoire. Le lendemain, j’ai regagné le bureau et mon patron a fait comme si de rien était. J’ai par contre eu énormément de privilèges depuis ce jour-là. C’est le paradis ! Alors pour le remercier et être reconnaissante, je le laisse me violer de temps à autre comme une chienne, mais toujours avec mon accord.
Karine 33 ans Martigues
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Très excitante cette histoire