En grandissant, mon père a toujours fait des petits boulots qui ne payaient pas toujours les factures. Ma mère nous a élevés, mes frères et sœurs et moi, avec une attitude positive, d’autant plus que mon père et elle avaient plusieurs bouches à nourrir et qu’ils n’avaient pas toujours l’argent nécessaire pour s’offrir le “confort matérialiste” de la vie, comme elle le disait. Pendant les mois d’été, lorsque je n’allais pas à l’école, j’accompagnais mon père à l’un de ses chantiers d’aménagement paysager. Le propriétaire de la maison était un homme d’un certain âge qui se sentait seul et qui, ayant vu une photo de moi sur la photo de famille que mon père lui avait montrée, lui avait demandé de m’emmener la prochaine fois.
Au début, mon père était très contrarié, mais M. Fabien lui a offert une prime de 2 000 euros. Il a dit qu’il voulait juste la compagnie d’un joli visage et mon père a accepté. Une fois par semaine, nous allions donc là-bas et je m’asseyais avec M. Fabien, ce qui a duré un certain temps : je faisais de petits travaux ménagers et je m’asseyais avec lui pour discuter. J’ai appris qu’il avait 48 ans, qu’il était divorcé et que sa femme l’avait laissé avec les enfants parce qu’il était toujours plongé dans son travail.
M. Fabien effleurait parfois mes jambes nues et il a commencé à me laisser utiliser la piscine, il aimait me regarder courir en maillot de bain. Mais tout a changé pour nous, l’un de mes frères aînés s’est cassé le bras lors d’un match de football. La compagnie d’assurance n’a pas tout couvert et mes parents ont dû payer 30 000 euros. Mon père ne m’a pas emmené le jour où il est allé chez M. Fabien et quand il est rentré à la maison, je me souviens avoir entendu mes parents se disputer dans la cuisine.
Mon père m’a appelé et j’y suis allé. Ma mère était enceinte et assise à la table de la cuisine, l’air contrarié par mon père. “Star, j’ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi.”
“Bien sûr papa, qu’est-ce que c’est ?”
“Demain, je vais t’emmener chez M. Fabien et tu y passeras la journée. Maintenant, ma chérie, tu dois faire tout ce qu’il te dit, quoi qu’il arrive, et si tu es une bonne fille, M. Fabien paiera le reste de la facture médicale de ton frère”, a expliqué mon père.
J’ai jeté un coup d’œil à ma mère qui m’a fait un sourire d’encouragement. Nous étions une famille libre, aimante et heureuse, et j’ai donc hoché la tête : “D’accord papa”, lui ai-je dit. Mon père a souri et m’a serré dans ses bras.

Le lendemain matin, j’ai pris une douche et je me suis rasé, mon père m’ayant donné des instructions pour que je sois complètement lisse. Mon père m’a donné une tenue à porter, c’était une tenue d’écolière. La jupe était à carreaux, il y avait des bas qui montaient aux genoux et un très joli bas en haut. J’ai trouvé bizarre qu’il y ait même un soutien-gorge et un string blanc, mais je n’ai même pas posé de questions. On m’a demandé de me tresser les cheveux.
Nous sommes allés chez M. Fabien et mon père m’a déposée sans me dire un seul mot. Même si j’étais jeune, je savais au fond de moi que j’étais un proxénète. Je savais que les intentions de M. Fabien ne seraient pas pures aujourd’hui. Lorsque je suis entrée dans la maison, M. Fabien m’a accueillie et m’a emmenée dans sa chambre.
“Il m’a demandé de m’allonger sur le lit et j’ai fait ce qu’il m’a dit. “Il m’a dit de relever un peu les jambes et, une fois de plus, j’ai obéi. J’étais nerveuse et j’essayais de ne pas le montrer. M. Fabien s’est penché vers moi et a couvert mes yeux d’un bandeau, puis il m’a pris les mains et les a attachées au lit.
Je suis restée assise pendant quelques minutes à écouter et à respirer profondément, puis je l’ai entendu déboucler son pantalon et le dégrafer. Mon cœur battait la chamade, puis j’ai senti le creux du lit lorsque son poids a glissé dessus. J’ai tiré légèrement sur les liens et j’ai constaté que j’étais attachée. Ses mains parcourant mes jambes lisses, j’ai frémi et je me suis déplacée. M. Fabien m’a maintenue immobile et a lentement enfoui son visage dans ma culotte.
“Tu es une si jolie allumeuse… tu portes toujours ces shorts courts qui montrent tes jambes. Je sais que tu le fais pour m’aguicher, n’est-ce pas ?”.
“N-No Mr…” J’ai été interrompue par une gifle sur ma cuisse et je me suis débattue.
“N’est-ce pas ?” Il a répété.
“O-Oui”
Il a gloussé et j’ai senti sa langue lécher l’entrejambe de ma culotte. Je me suis tortillée et j’ai lutté un peu, effrayée et timide. En me mordillant la lèvre inférieure, j’ai essayé de ne pas lutter contre lui en lui répétant sans cesse que j’avais besoin d’argent. M. Fabien a continué à lécher l’entrejambe de ma culotte, mon corps était chaud et gêné et je n’ai pas pu empêcher le petit gémissement qui m’a échappé……
j’ai grave envie de baiser
Ajouter un commentaire