Bonjour,
Je m’appelle Gérard, j’ai 66 ans. Je suis dans un petit village de l’Aude dont je tairai le nom pour des raisons évidentes. J’ai toujours eu une vie sexuelle trépidante avec mon épouse, malheureusement elle est décédée il y a un an. Je n’ai jamais souhaité me remettre avec une autre femme. Je lui ai promis fidélité et de ne jamais la tromper. Je compte bien rester fidèle à ce pacte que je lui ai fait il y a de ça maintenant 40 ans.
Le problème, c’est que les besoins sexuels ont rapidement fait savoir qu’ils étaient là. Je me suis masturbé et ça a calmé mes ardeurs un petit moment. Sauf que l’envie de pénétration est revenue assez rapidement. J’étais pris par ce serment fait à ma femme. J’ai pensé aller voir un homme éventuellement. Je me suis dit que de dos, un cul est un cul. Mais ma femme n’a jamais été attirée par la sodomie. Du coup, ce n’est pas pareil. Sans dire que je ne suis pas attiré du tout par les hommes.
Un après-midi, je suis allé chercher des champignons. Par le pur des hasards, j’ai vu une touriste s’arrêter au bord de la route et s’enfoncer dans la forêt pour aller faire pipi. Elle ne m’avait pas vu. Sans le savoir, elle était à 1 m de moi. Je l’ai vue baisser sa petite culotte et uriner sur les feuilles. J’ai vu sa belle chatte velue, ses jolies fesses et surtout senti sa bonne odeur intime qui me remontait au moment où elle vidait sa vessie. J’ai eu une érection de folie. Mais je n’osais pas bouger. Elle a fait ce qu’elle avait à faire et puis elle est retournée en voiture avec son mari et ils sont repartis. J’étais excité comme un fou. J’étais seul et pour avoir un petit peu de son odeur, j’ai récupéré le Kleenex qu’elle avait utilisé pour essuyer sa chatte. Je l’ai reniflé à pleins poumons et je me masturbais en même temps. Et là, à mon tour j’ai été surpris par le bêlement d’une chèvre.
Je ne suis qu’un homme, je suis désolé. La chèvre reniflait l’urine de cette femme qui se trouvait sur le sol. Elle était seule. Moi aussi. J’avais la bite à l’air et elle me tournait le dos… je l’ai attrapée par les hanches et je me suis frotté contre son vagin et j’ai poussé d’un coup. Elle a essayé de se débattre un peu avant d’abandonner le combat. Là j’ai ressenti tous les plaisirs d’une bonne chatte. C’était chaud, c’était humide, qu’est-ce que c’était bon ! Je suis resté un moment en elle et j’ai senti ma bite gonfler dans le vagin de la chèvre. J’avais l’impression que ça lui plaisait à elle aussi. Je me suis mis à faire des va-et-vient et à baiser cette chèvre par-derrière. J’étais vraiment très excité et je ne suis pas resté très longtemps dans cette chatte animale. Le plaisir est monté d’un coup et j’ai éjaculé dans son ventre. Qu’est-ce que c’était bon ! J’ai soulagé beaucoup de tensions sexuelles accumulées ces derniers temps. Je lui tapais sur les fesses et elle est repartie.
Une fois les couilles vides, j’ai récupéré le Kleenex de la jeune touriste que j’ai reniflé le temps de rentrer chez moi. J’ai même croisé un de mes voisins qui m’a demandé si ça allait et je lui ai répondu que j’étais simplement enrhumé 😉. Il ne se doutait pas que j’avais les bonnes odeurs de chatte de la touriste dans mon nez et encore la sensation de la chatte de la chèvre sur ma queue.
Maintenant, je retourne régulièrement en forêt et je cherche ma petite copine la chèvre. Elle me laisse m’approcher et la pénétrer sans problème. Je la baise longuement. Parfois j’y vais trois à quatre fois par jour ! Comme ça, je n’ai pas l’impression de tromper ma Josiane et je prends quand même du plaisir.
Je ne sais pas si cette histoire taboue pourra être publiée sur le blog, mais je sais que vous avez une partie histoire de sexe zoophile. Vous me direz !
Gérard 66 ans Aude
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