Mon psy m’a enculée lors d’une séance et il avait une queue… énorme !

Bonjour à tous les membres du blog,

Je suis une femme célibataire de 42 ans et je suis régulièrement une thérapie pour des douleurs chroniques. Un psychologue spécialisé dans les émotions et le système nerveux m’aide grandement à surmonter cette épreuve.

Il y a quelque temps de cela, il s’est passé quelque chose lors d’une séance qui a totalement changé ma vie. Jamais, je vous assure jamais, je n’aurais pensé être capable de me laisser aller à un tel point de relâchement. Je vais essayer de vous raconter en détail ce qui s’est passé, mais je le ferai en plusieurs fois vu que je ne peux rester concentrée trop longtemps devant l’écran.

En 2012, j’ai eu une inflammation du nerf facial qui m’a causé des douleurs et des migraines atroces. J’étais arrivée à un point où j’avais envie d’y mettre un terme par n’importe quel moyen. Je ne vais pas m’étaler sur ce passage, ce n’est pas ce qui vous intéresse. Le spécialiste de la douleur m’a envoyé suivre une thérapie avec un psychologue spécialisé dans la gestion de la douleur et des émotions. Cela s’est très bien pendant quatre ans.

C’est un homme d’une cinquantaine d’années, de type asiatique qui a toujours été très gentil et très prévenant avec moi. Je décrochais quelquefois lorsqu’il me parlait de choses très techniques et je laissais aller mon esprit à divaguer en imaginant comment mon psychologue était lorsqu’il était nu. Les Asiatiques ont la réputation d’avoir un petit sexe, mais je peux vous dire que ce n’est absolument pas une généralité !

Un jour lors d’une séance, il m’a expliqué la relation qu’il y avait entre le plaisir charnel et la douleur. Un très bon moyen d’avoir une  baisse de l’intensité de la douleur est de se laisser aller au plaisir du sexe. Je devais me masturber régulièrement. Inutile de vous dire  que j’ai été surprise lorsqu’il m’a annoncé ça. Je pensais qu’il plaisantait, pas du tout. Le gars était très sérieux et disait tout cela d’un air détaché. Puis il m’a demandé de mettre sur papier mes envies, mes fantasmes, etc. Évidemment c’était libre et je n’étais absolument pas obligée de le faire. J’ai évidemment refusé, en tout cas au début.

Un soir où je n’arrivais pas dormir à cause des douleurs, j’ai fait ce qu’il m’a dit et je me suis masturbée. La jouissance a déclenché dans mon corps une vague d’endorphines qui m’ont aidé rapidement à m’endormir tout en soulageant ma douleur. Le lendemain matin, j’ai décidé de jouer le jeu et j’ai couché sur papier mes envies et mes fantasmes. Je lui donnais ce papier lors du dernier du rendez-vous suivant en lui expliquant que j’avais suivi ses conseils. Il m’a demandé de tout lui raconter en détail et c’est comme ça que nous nous sommes mis à parler de sexualité au cours des consultations suivantes.

Puis un jour, je lui ai mis sur le papier que je fantasmais sur mon psy et que j’avais très envie de coucher avec lui. Je lui avais envoyé tout cela par mail la veille de notre rendez-vous. Il ne m’a pas répondu et je me suis dit que j’étais grillée ! Le lendemain matin, j’étais tétanisée à l’idée d’avoir rendez-vous avec lui. Je me suis qu’il allait me juger et qu’il allait arrêter la thérapie. Dès que je suis entrée dans son cabinet, j’ai commencé à m’excuser. Il ne me répondait pas. Il a tripoté son téléphone et j’ai compris après qu’il l’avait basculé sur le répondeur. Il a tombé sa veste, enlevé sa chemise et m’a invité à me déshabiller pour passer dans la pièce d’à côté.

Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis exécutée. Dans l’autre pièce, il y avait un canapé confortable et une lumière tamisée. Il m’a aidé à me déshabiller et sans parler, il me fait asseoir sur le canapé et a glissé son sexe dans ma bouche. Il me penche la tête en arrière et me maintenait les yeux ouverts pour que je le regarde. Son sexe grossissait sur ma langue. L’excitation me faisait pointer le bout des seins et humidifiait mon sexe. Il passait ses mains sur ma poitrine et jouait avec mes tétons. J’y suis très sensible ! Puis sa queue est arrivée à une érection totale. J’ai été surprise de voir que cet Asiatique avait une queue plus grosse que la moyenne. Elle n’était pas longue, mais bien épaisse. Il m’a basculée sur le canapé puis il est venu me lécher. C’était délicieux !

Il a ensuite attrapé un préservatif et l’a enfilé. Il s’est glissé en moi et m’a pénétrée difficilement. Le plaisir était au rendez-vous et j’ai pris un pied d’enfer ! Nous avons baisé passionnément et intensément jusqu’à ce que je jouisse. Mais lui était toujours en érection. Il m’a fait me retourner et me mettre en position de levrette. Il a récupéré de la mouille entre mes lèvres et l’a étalée sur ma pastille. Il m’a dit qu’il allait réaliser mon fantasme, mais que c’était dans le cadre de la thérapie. Il a positionné son énorme gland devant mon petit trou et s’est mis à pousser. J’ai cru qu’il n’y arriverait jamais ! Doucement, mais sûrement, il a réussi à se glisser en moi aidé du gel d’échographie. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a !

Il a finalement réussi à s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles. Une fois au fond, il m’a tamponné si fort que j’ai eu un second orgasme. Les contractions de mon conduit anal ont déclenché le sien. Il a joui avec de nombreux spasmes. Il s’est retiré, a jeté le préservatif et m’a donné du papier pour que je me nettoie. Il m’a demandé de me rhabiller et de le rejoindre dans le cabinet. Il m’a dit que les débuts étaient prometteurs et qu’il explorerait de nouveaux horizons au fil des consultations.

Mais cela ne s’est jamais produit. Je ne suis jamais retournée le voir. J’ai mis un terme à la thérapie de moi-même et j’ai demandé à changer de psychologue. Non pas que je n’ai pas pris de plaisir, mais j’ai eu peur de devenir un simple objet sexuel pour lui. Grâce à lui, j’ai réalisé un de mes fantasmes et j’ai pris beaucoup de plaisir.

J’ai repris depuis le chemin des consultations avec un autre psychologue qui se trouve être une femme. Non, je vous vois venir bande de cochons, je ne suis pas attirée par le sexe entre filles ! Quoi que… Lol

Naomi 42 ans Paris

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