Bonjour amis nécrophiles et membres de ce blog,
C’est Simon, j’ai une nouvelle expérience marquante à vous raconter. Pour une fois, je traverse une journée des plus calme ! Et c’est tant mieux, parce que ça veut dire qu’il n’y a pas eu d’accidents ni de décès. Je suis sur mon ordinateur à regarder des trucs coquins sur le net tout en faisant ma comptabilité. C’était trop beau, ça ne pouvait pas durer. J’entends que l’on sonne à la porte de l’atelier. J’active la caméra et je vois que ce sont des ambulanciers qui m’emmènent un ou une cliente. Je descends, on fait des papiers et je mets la personne aux frais. Je remonte finir les lourdeurs administratives françaises avant de redescendre la rejoindre.
Je dis la, parce que je sais à ce moment-là que quand j’ai fait les papiers avec les ambulanciers, que c’est une femme. J’ouvre le sac je découvre une femme d’une quarantaine d’années des plus banales. Que ce soit au niveau du visage que du physique, c’est Madame tout le monde, rien de bien excitant. Je me dis que ce ne sera pas une nouvelle expérience nécrophile pour moi. Je commence à préparer mon attirail et je termine d’ouvrir le sac pour sortir le corps et le mettre sur ma table. Et là, énorme surprise ! Ma nouvelle amie est amputée des deux jambes au niveau des hanches. J’ai eu des personnes amputées sur ma table, mais jamais d’une aussi belle qualité et des deux membres. C’est à se demander si c’est un chirurgien qui en est l’auteur ou si c’est une malformation naturelle. À ce moment-là je m’en moque, ça n’a pas grand intérêt pour mon histoire. Je me surprends quand même à avoir une érection. Je décide de mettre mon excitation de côté et de terminer ma journée pour me retrouver ensuite seul avec ma nouvelle copine.
Une fois l’heure de la fermeture arrivée, je me mets en tenue, c’est-à-dire tout nu. Je branche au niveau de la jugulaire et de la carotide les grosses aiguilles qui vont rendre cette femme exsangue et embaumée. Cela a pour effet, comme je l’ai déjà expliqué dans une autre histoire, de réchauffer le corps et de ralentir la décomposition. La peau recommence à rosir. Les tétons pointent, les aréoles brunissent et la vulve recommence à s’humidifier. Ce qui me fascine chez cette femme, ce n’est pas le haut de son corps, mais bien le bas. J’ai un accès total à sa croupe ! Il n’y a pas les jambes qui me gênent comme d’habitude. Lorsque vous faites l’amour avec une personne vivante, elle écarte les cuisses de manière naturelle. Lorsque vous faites du sexe avec une personne décédée, vous devez tout gérer et c’est beaucoup plus difficile parce que ça porte bien son nom, c’est un poids mort. Le fait que ma patiente ait été amputée est une belle expérience pour moi.
Je ne résiste pas aux caresses que je lui fais, j’avais pris soin de caler sa main sur mon sexe et je faisais des mouvements de va-et-vient comme si elle me branlait. L’excitation est trop forte, je baisse la table et je plonge la tête la première entre ses cuisses qui n’existent plus pour le coup ! Je lui dévore le minou qui est fort odorant ! Il sent fort la chatte, pas de choses nauséabondes comme vous pouvez voir dans les films ou les séries. Le corps n’est pas en état de décomposition à ce moment-là. Je me régale d’enfoncer ma langue au fond de cette chatte béante et accessible, c’est trop bon ! Je décide de lui grimper dessus pour la prendre. Je me mets à cheval sur ma table et j’attrape cette femme par les hanches et je viens l’embrocher comme un poulet ! Je me sers d’elle comme d’une vaginette ou d’un Fleshlight. Je la baise littéralement et c’est trop excitant ! J’ai envie de jouir, mais j’ai très envie que cela continue. Mais je ne peux pas le faire et je décharge au fond de son vagin. L’émotion est très forte à ce moment-là pour moi. Je vais faire une petite pause pour revenir plus tard.

Une heure plus tard, après avoir pris une douche et grignoté un bout (non ce n’est pas cochon), je décide de recommencer avec ma cliente amputée des jambes. Je la retourne comme une crêpe pour avoir accès à son cul. Je lui écarte les fesses et je lui mets des doigts dans le conduit anal. Ça ne rentre pas, je branche un aspirateur pour lui vider le conduit qui devait être plein. C’est effectivement le cas. Je mets du lubrifiant après avoir tout nettoyé et je sodomise cette femme morte et amputée qui a maintenant l’anus tout propre et libéré. Les sphincters sont relâchés du fait de son décès, mais l’expérience reste très agréable ! Je m’allonge complètement sur elle et je la pénètre jusqu’aux couilles. C’est une sensation vraiment étrange et excitante de ne pas être gêné par les jambes d’une personne. Là encore, je n’en peux plus, j’éjacule au fond de son cul en me répandant abondamment dans ses entrailles.
J’ai alterné les moments de pauses et de baises avec cette femme amputée presque jusqu’au petit matin. Je peux vous dire que lorsqu’il a fallu ouvrir l’office à 8 h, je n’étais pas très frais ! J’étais complètement vidé et épuisé. Parce qu’après avoir fait l’amour à cette femme décédée toute la nuit, il a fallu que je fasse vraiment mon travail en nettoyant toute trace de mon activité sexuelle nécrophile pour rendre cette personne présentable dans les meilleures conditions pour sa famille. J’ai été bien inspiré, car peu après l’ouverture, des proches sont venues la voir. Ils m’ont félicité pour le travail et m’ont même donné la pièce.
Je tenais à vous raconter cette histoire, car elle a été pour moi un tournant dans ma déviance sexuelle avec les morts. Elle m’a donné envie de faire d’autres choses et d’explorer de nouveaux horizons.
Merci aux personnes avec lesquelles j’échange par mail ou par messagerie sur le blog. Beaucoup veulent venir me voir pour participer ou vivre leurs fantasmes, mais je ne peux pas faire cela. J’espère que vous le comprendrez.
J’espère aussi une nouvelle fois que vos votes seront à la hauteur de mes expériences, je vous dis à très bientôt pour une nouvelle histoire nécrophile.
Simon 65 ans (oui, j’ai fêté mon anniversaire il y a quelques jours !)
Bonjour comment vous contacter
ecris nous à castingscharme@gmail.com et on fera suivre