Nous avons échangé nos femmes, nos mères !
Suite logique de la série précédente nous vous relatons comment nous avons échangé nos femmes et nos mères (voir la série « Une famille incestueuse chaude partage ses aventures libertines » partie 19)
Ce samedi matin comme convenu avec Fabienne, je me rends à la ferme auberge pour apprendre mon rôle de femme d’aubergiste pendant une semaine. Comme ce samedi midi l’auberge affiche complet ce qui va me mettre dans le bain pour la semaine suivante lorsque je serais la femme de l’aubergiste et la nouvelle maman de Camille leur fille, tandis que Fabienne prendra ma place en tant que nouvelle épouse de Philippe et nouvelle maman de Julie et de Damien même si ce dernier est à Toulouse pour son travail. Ces échanges se font du lundi au lundi suivant. La semaine suivante ce sont les enfants qui auront un nouveau père, Julie ira à la ferme auberge et Camille sera la nouvelle fille de Philippe. Ces échanges nous pouvons les plus variés soit mon mari et ma fille vont aller à l’auberge rejoindre Camille et Raymond son père et Fabienne sera pendant une semaine ma chérie. Je suis bi tandis que ni mon mari ni le mari à Fabienne le sont c’est pour cela que nous avons décidé de joindre ma fille.
Ainsi ce samedi matin, avant de partir j’ai enfilé une robe, sans dessous comme c’est mon habitude ? Fabienne m’a demandé de me vêtir pour faire le service d’un chemisier blanc de préférence sans motif d’une jupe noire ou bleu foncé. La seule jupe noire que j’ai elle est mini à raz des fesses. Malgré cela elle l’a accepté, mais m’a recommandé de plier mes genoux si je dois me pencher pour ramasser quelque chose tomber parterre. Il faudra donc que je m’habitue à me baisser d’un autre manière. Ces recommandations, elle me les a données lors de notre rencontre lundi dernier.
Arrivée devant la ferme auberge je me gare et en sortant de voiture je tombe nez à nez avec celui qui devait devenir mon nouveau mari Raymond. Il m’embrassa, me sourit et me fit rentrer dans le bureau où m’attendaient Fabienne et Camille. Bonjour ma chérie, je devais faire aujourd’hui comme si j’étais une employée et habitue-toi à nous vouvoyer lorsque des clients sont présents. Tu vas nous suivre, nous allons nous préparer. Elles m’ont emmené au vestiaire et nous nous sommes changés. Camille retira en premier son pantalon de jogging et sa veste, elle était devant moi en soutien-gorge et petite culotte. Elle mit sa chemise blanche et sa jupe noire et son petit tablier de serveuse. Fabienne enleva son pantalon et sa veste de jogging sous laquelle elle était nue mis un soutien-gorge sont chemisier, sa jupe, mais resta sans culotte. Ma robe suivit le même chemin, je mis mon soutien-gorge, mon chemisier et ma mini-jupe noire.
Hum elle est vraiment courte, penche-toi sur cette table comme si tu voulais poser une assiette devant le client. Ça va encore, on voit légèrement le rebond de tes fesses.
Camille laisse tomber une petite cuillère !
Ramasse là Brigitte !
Elle eut du mal à perdre son habitude exhibitionniste de se baisser sans plier les genoux. Elle y arriva après plusieurs essais.
Pour les boissons Camille et moi nous nous en occupons aujourd’hui à partir de mardi, ce sera toi.
Et lundi je ferais quoi ? Ça, c’est ton mari qui va te le dire et ta fille Camille t’aidera.
Venez nous allons faire une pause café avant le rush, Raymond nous rejoints et pour m’habituer s’est moi qui devait faire le service. En me penchant légèrement, Raymond s’aperçut du rebond de mes fesses. Il voulait me mettre ses mains aux fesses, mais Fabienne lui dit :
Ne touche pas, je suis encore ta femme. À partir de lundi tu fais ce que tu veux.
La journée se déroula comme Fabienne l’espérait, après le service je retirais ma tenue et restais nue pendant le repas du personnel. Fabienne me demanda alors des précisions sur les habitudes de chacun pour rester dans la continuation. Pour le reste c’est à elle de gérer.
Puis je remis ma robe et je donnais rendez-vous à Fabienne lundi matin à huit heures sur le parking du moulin à mi-chemin pour la remise des clés et du code d’accès.
De retour chez moi, fatiguée, mais contente, tous m’attendaient impatients et curieux de savoir comment c’est passer ma journée.
Voilà Chéri m’adressant à Philippe : je serais encore demain ta femme lundi, ce sera Fabienne ta nouvelle chérie.
M’adressant ensuite à Julie : voilà Julie à partir de lundi, tu auras une nouvelle maman !
Puis ce fut au tour de Muriel. Muriel lundi Fabienne sera ta nouvelle belle maman, elle t’aidera et t’aimera comme je t’ai aidé et aimer.
Marie Claude, Manon vous allez me manquer aider Fabienne comme vous m’aidez.
Marie Claude me fit alors une remarque :
Brigitte tu fais comme si c’était pour toujours alors que ce n’est qu’une semaine.
Écoute Marie Claude, nous jouons le jeu et pour le moment ce n’est qu’une semaine, qui te dit que nous n’allons pas renouveler l’échange pour une période plus longue pouvant aller jusqu’à trois mois. Alors joue le jeu, je ne vois pas pourquoi cela ne devrait pas marcher.
Justement Brigitte que vont dire les gens du village surtout à la boulangerie, les commères, etc.
Mais je m’en moque de ce que peuvent raconter les commères, je les envoie promener.
Le dimanche fut consacré à faire mes adieux (fictive) bien entendus, mais tous avaient décidé de jouer le jeu. J’ai de plus appelé Damien mon fils pour lui annoncer cette nouvelle, et lui aussi il va jouer le jeu.
Le dimanche soir je chargeais dans la voiture mes affaires de toilettes, mes habits que je vais peut-être avoir besoin, car même si je change de mari cela ne m’empêchera pas de vivre nue.
Puis ce fut ma dernière nuit à passer dans le bras de mon mari qui d’ici quelques heures sera mon ex. Avant d’aller me coucher, j’ai fait mes adieux à ma fille qui elle aussi allait devenir mon ex.
Le lundi matin lors du réveil de mon ex-mari il se leva sans rien dire ni même me faire la bise comme convenu je n’existais plus pour lui c’est comme si j’étais devenue transparente.
Après son départ je me levais je suis aller prendre ma douche et avala deux tartines, bu un café et m’habilla. Un chemisier à fleurs sans manche et un short en jean’s. Puis je suis partie rejoindre mon nouveau foyer.
Arrivée au point de rencontre avec Fabienne, notre jeu continua, nous ne nous connaissons pas, juste un bonjour de politesse, la remise des clés et chacune repris sa route.
Fabienne étant la première arrivée, elle accédait dans la propriété après avoir ouvert le portail avec le code, puis déchargea une partie de ses affaires qu’elle déposait à l’endroit prévu puis se déshabilla, et nue, elle descendit en cuisine, préparer le petit déjeuner pour Manon et Muriel. Ces deux dernières arrivèrent et Muriel en première sauta au cou et embrassa sa belle maman, puis ce fut le tour de Manon d’embrasser, Fabienne. Elles prenaient alors le petit déjeuner ensemble.
Pendant ce temps j’arrivais à la ferme auberge, pris mes affaires et me rendais à l’intérieur déposé mes affaires. Raymond mon mari et ma fille Camille ont fait comme si je me réveillais, Camille vint la première
bonjour maman ! Bonjour !, ma chérie, tu as bien dormi ?
Oui maman, tu viens prendre ton petit déjeuner ?
J’arrive, ma fille !
Mon mari arrivé, il était à l’étable avec ses vaches. En prenant le petit déjeuner, nous parlions de la situation actuelle de l’exploitation, il me parlait d’embaucher une personne qui ne s’occuperait que de la ferme et nous de l’auberge.
Chéri, qu’en penses-tu ?
Oui ce serait une bonne chose, cela nous soulagerait Camille et moi le lundi nous pourrons faire le ménage à fond de l’auberge toi tu pourras t’occuper de ta cuisine. Pour le remplacement de Pierre, c’est OK, Manon va débuter mardi prochain. Reste à trouver un ouvrier agricole.
Après le petit déjeuner, Raymond retourna à l’étable et Camille et moi nous allons faire la lessive et repasser le linge.
Camille, tu ne trouves pas qu’il fait trop chaud ?
Si maman ! Et en disant cela, elle vint vers moi, déboutonna mon chemisier et me l’enleva. Puis elle déboutonna mon short qui tomba à mes pieds.
Son short prit le même chemin ainsi que son t-shirt.
Camille chargea la machine à laver et moi je repassais les nappes et serviettes. Nous étions à la buanderie, il faisait une chaleur intenable. À l’arrière de l’auberge, une petite terrasse personnelle avec des chaises longues, une table de jardin et des matelas gonflables.
Camille me dit : Maman vient fait une pause, nous terminons après. Elle me prit par la main m’entraina sur la terrasse. En passant, j’ai attrapé une bouteille d’eau et deux verres. Je m’assis dans une chaise tandis que Camille s’allongea sur un matelas gonflable.
Maman, viens à mes côtés j’ai envie de te faire l’amour. J’ai envie que tu me fasses jouir comme tu sais le faire, tu es une experte. M’allongeant à ses côtés elle m’enlaça, m’embrassa longuement, elle s’allongea sur moi et commença à me faire des bisous sur tout mon corps, me tétant mes seins me doigtant m’écartant mes lèvres intimes, sa langue pénétra mon vagin me léchant, ses lèvres pinçant mon clito, sa bouche l’aspirait sa langue le titillait. Elle changea alors de position, se mit tête-bêche, me donnant accès à sa chatte à lécher et c’est dans cette position du soixante-neuf que nous avons eu un orgasme puissant. Avant de reprendre le repassage, nous sommes passés par le hangar où mon mari sciait du bois.
En le voyant suer j’ai dit à Camille, vient, nous allons sucer ton père lui aussi à droit à une pause.
J’ai dégrafé sa ceinture du pantalon, Camille a baissé le pantalon et son slip, nous nous sommes accroupies et nous l’avons sucé l’une après l’autre. Il finit par gicler et nous avons avalé sa semence.
Après le plaisir il fallait reprendre le travail.
Pendant ce temps Fabienne, Manon et Muriel après avoir fait le ménage journalier et après avoir fait tourner la machine à laver Manon et Muriel suspendant le linge, et Fabienne allait nettoyer le chenil. Fabienne ne s’y attendait pas, Rocky apercevant Fabienne se baisser, posa sa truffe sur la raie des fesses et se mit à lécher. Elle voulut d’abord se dégager, mais de peur de se faire mordre, elle laissait faire, elle eut une jouissance, elle en resta là pour cette fois-ci.
Belle-maman n’oublie pas de chercher le pain ! Merci, Muriel, j’allais l’oublier.
Tu veux m’accompagner ? Oui
J’enfilais une mini robe dos nu jusqu’à la taille, et Muriel sa robe de grossesse.
Muriel me prévint de suite attention les commères vont jaser et ne vont plus rien comprendre.
Laisse-les radoter, elles n’ont que ça à faire à longueur de journée.
Nous rentrons dans la boulangerie qu’effectivement une des trois commères qui étaient présente, Muriel rentra en première, la boulangère croyant qu’elle venait chercher le pain seule dit :
Bonjour tu es seule aujourd’hui ? Non, ma belle maman m’accompagne !
Muriel à couper le sifflait à la boulangère, elle ne savait plus quoi dire tendit les quatre pains et en même temps je passais la commande pour samedi comme d’habitude.
Mais madame vous désirer quoi comme biscuit,
Comme chaque samedi, une forêt noire pour 8 à 10 personnes.
Je le mets à quel nom ?
Brigitte comme d’habitude.
Aller au revoir bonne journée !
Muriel n’en pouvait plus elle a du se retenir et ma dit bravo belle maman tu viens de les rendre folles et la d’ici un quart d’heure tout le village est au courant.
En plus elles ne vont plus rien comprendre la semaine prochaine, Brigitte revient.
Là-haut sur la montagne, à la ferme auberge, le couple Brigitte et Raymond et leur fille Camille s’apprêtaient à passer à table pour déjeuner. Raymond nous prévint que le livreur de boissons va arriver d’ici une demi-heure, ne rester pas nue. Ensuite cet après-midi j’ai prévu de descendre dans la vallée passer chez le pôle emploi et faire quelques courses. Le déjeuner terminer nous débarrassons la table Raymond s’occupa de faire la vaisselle.
Comme d’habitude le lundi, jour de fermeture, Raymond en profite de faire une petite sieste en compagnie de Camille. C’est à cet instant que le camion de livraison est arrivé. Tiens d’habitude ils sont à deux. Il déchargea la commande et reprit les caisses vides. Puis comme c’est son habitude, il rentre pour faire signer le bon de livraison et boire un café. En lui ouvrant la porte, il me salua, mais eut comme un choc en apercevant une autre tête, il ne dit rien. Comme d’habitude il restait debout au bar, me tendit le bon de livraison que je signais et lui servit son café.
Je vins vers lui, posa ma main sur son sexe à travers son pantalon, il me déboutonna mon tablier que je retirais, me retrouvant nue devant lui. Je remarquais qu’il se posait des questions, pourtant tous les lundis c’est le même rituel, rien n’a changé, les mêmes gestes, jusqu’ici rien ne change.
Il devait reprendre dans l’ordre les actions que Fabienne lui faisait et que j’appliquais comme elle me l’a dit à savoir :
Elle me pose sa main sur mon sexe.
Elle s’accroupit, ouvre ma braguette, sort mon sexe, le branle, me suce.
Jusque là tout correspond ;
Elle se lève, va s’allonger sur la grande table, elle me fait un signe de venir et me dit : Viens baise moi vite j’en meurs d’envie.
Je m’exécute, je la baise. Mais je rêve, ce n’est pas possible. Attends je vais savoir si c’est un rêve ou pas.
Après avoir joui dans la capote je me retire et d’habitude elle reste allongée sur la table jusqu’à ce que j’ai remis le pantalon pour l’instant tout correspond. Elle descend de la table, je lui dis : Merci madame Fabienne elle me répond : Mais de rien monsieur Jérôme il y en a qui donne un pour boire moi c’est un pour baiser !
Puis sans remettre le tablier, je l’accompagne nue jusqu’au camion.
En revenant dans la salle, mon mari et Camille m’attendent en rigolant. Il doit se poser des questions encore longtemps. Et lundi prochain, quand la vraie Fabienne sera là, il va devenir fou. S’il ne l’est pas déjà !
Dans la vallée Fabienne et Manon préparèrent le déjeuner, dressèrent la table et attendaient l’arrivée de sa fille Julie et de Marie Claude. Comme elle était un peu en avance ne sachant pas quoi faire de ces dix doigts, elle se rendit dans le salon s’assis dans le fauteuil et pensait à Brigitte qui à certainement fini sa baise avec le livreur à l’heure actuelle. Elle imaginait cette scène qui lui donnait envie de se caresser. Une main pétrissait ses seins l’autre disparaissait entre ses cuisses. Cette courte masturbation fut interrompue par l’arrivée de Marie Claude et de Julie.
Fabienne retourna en cuisine où elle tomba dans les bras de sa fille Julie, cette dernière l’embrassait langoureusement. Marie Claude impatiente attendait pour l’embrasser de la même manière. Le déjeuner était servi, les discussions se sont portées sur l’actualité, personne ne faisant allusion de ce qui se passe à la ferme auberge ni même sur le sexe.
Cependant, Julie avait autre chose en tête que de parler de politique ou de la pluie et du beau temps. Elle était assise à côté de sa maman, sans crier gare, et sans que les autres s’en aperçoivent elle posa sa main sur la cuisse de sa maman. Sa main cherchait à s’introduire dans sa chatte. Alors Fabienne écarta ses cuisses et les doigts de Julie pénétraient dans la chatte humide de sa nouvelle maman. Julie glissa à l’oreille de sa maman, tu es trempée, tu as envie ? Oui, Julie continue, fais-moi jouir ma chérie !
Julie me doigta, termina ce que j’avais entamé avant qu’elle arrive. J’ai apprécié ce que ma fille a entrepris pendant le déjeuner et je vais le lui rendre plus tard.
Marie Claude, Muriel et Manon nous laissaient seules. Elles remontèrent dans leurs chambres.
Julie m’aida alors à faire la vaisselle, je lavais, elle essuyait et rangeait. Alors je racontais à ma fille le coup de la boulangerie, elle ne me croyait pas, il y a quand même une grande différence entre toi et Brigitte ; Julie si tu ne me crois pas tu demande Muriel, elle était avec moi !
Tu as commandé le dessert pour samedi ? Oui bien sûr une forêt noire pour 8 à 10 personnes au nom de Brigitte comme d’habitude ! Attends la semaine prochaine quand Brigitte cherche le pain ! Elles doivent jaser et tout le village doit être au courant à présent.
Là-haut sur la montagne Brigitte, Camille et Raymond s’habillèrent pour descendre dans la vallée pour faire quelques courses et passer au pôle emploi. Les deux femmes vêtues court et sexy arrivèrent en ville, Raymond se rendit au pôle emploi et Camille et moi nous allons à pied au magasin de bricolage ou Raymond nous rejoindra plus tard. C’est main dans la main que Brigitte et Camille se dirigèrent.
Arrivée sur le parking du magasin, Camille dit à sa maman de se baisser, elle regarda à droite et à gauche si personne ne pouvait s’en apercevoir, elle se baissa sans plier les genoux.
Wouah s’écria Camille, je vois tout c’est pire que ta mini jupe que tu portes pour le service. Tu permets que je te mette ma main de temps à autre sur ton cul ?
Oh oui la fille chérie, mais n’en fait pas trop fait le discrètement. N’aie aucune crainte, maman, je suis discrète.
Papa revint du pôle emploi et l’offre va être mise en ligne, il suffit d’attendre. Venez, nous allons voir pour cette tronçonneuse qu’ils ont en promotion. Pendant que papa se renseigna avec le vendeur, j’étais avec maman à une dizaine de mètres plus loin dans un rayon il me fallait des sécateurs pour tailler les rosiers, alors je me suis baissé et Camille s’assurait que personne ne voit sauf le vendeur et mon mari. Camille m’a alors passé sa main sur mes fesses, signe que je dois reprendre une position décente. Je soufflais à l’oreille de Camille qu’elle doit se baisser aussi. Elle avança de quelques mètres, se baissa en faisant semblant de choisir un article, je fis de même, je passais ma main sur ses fesses, mais cette fois-ci par-dessus sa robe. Elle se redressa, l’on ne voit rien, ma chérie, tu peux te baisser sans problème.
Mon mari a acheté la tronçonneuse et moi les sécateurs et après passage à la caisse, mon mari me demanda si je suis d’accord pour que Manon commence mercredi matin à la place de mardi prochain.
Si tu veux, pour moi il n’y a aucun problème. Alors il faudra passer chez elle pour la prévenir.
D’accord, mais pas longtemps chéri, j’ai encore du travail.
Maman arrête de stresser, je suis la je vais t’aider, tu as bien cinq minutes !
Je vois ma fille, tu as envie de faire l’amour ?
Non maman, ce n’est pas la question de vouloir faire l’amour, mais question de politesse, je n’aime pas venir chez des gens, bonjour et au revoir, j’aime bien discuter voir si tout ce passe bien pour cette première journée et certainement qu’eux ils ont aussi une anecdote à nous raconter comme toi avec le livreur.
D’accord ! J’espère qu’ils sont là. Raymond et Camille, faites comme si nous étions de simples amis en visite. Ils sont au courant aussi, nous devons jouer le jeu.
Arrivée au portail, je descends et fais déclencher le célèbre In the Moon de Glenn Miller. Quelques secondes après une voix féminine crépite dans l’interphone.
Oui !
Bonjour c’est Brigitte est ce que Manon est là ?
Bonjour Brigitte c’est Fabienne je ne t’avais pas reconnue vient rentre !
J’entendais le déclic et le portail s’ouvrait, Raymond se gara à l’intérieur.
Fabienne vint à notre rencontre, elle nous accueillait en nous faisant une bise sur chaque joue. Elle nous invita à rentrer et à prendre place dans le salon. Pendant ce temps elle fit appel à Manon.
Puis je vous offrir quelque chose à boire ?
Non merci Brigitte c’est gentil, mais nous ne voulons pas te déranger.
La porte d’entrée s’ouvrait et Fabienne dit : Manon c’est toi ?
Viens, nous sommes dans le salon ?
Elle arriva et nous salua s’assit et Raymond lui annonça la nouvelle. Manon, vous pouvez commencer mercredi si vous le voulez à la place de mardi en huit. J’accepte, merci, monsieur. Je serais présente mercredi matin à partir de neuf heures comme convenu. Oui, c’est exact.
Puis la conversation professionnelle devint plus intime et chaque famille raconta comment c’est passer la première journée.
Brigitte raconta celle du livreur et Fabienne, celle de la boulangère.
La visite se terminait, il était temps de remonter : là haut sur la montagne.
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