Dans la vallée, le traditionnel réveil matin est redevenu d’actualité, Fabienne se réveilla avant Philippe et ce dernier a eu droit à la fellation ; Fabienne le suça jusqu’à l’éjaculation qui inonda sa bouche. Philippe se leva, allait prendre sa douche et se prépara pour aller au travail.
Fabienne croyant qu’elle allait passer le restant de la nuit seule se mit à caresser tout son corps en insistant sur ses seins, triturant ses tétons, descendant sur son sexe caressant sa fente, écartant ses lèvres, titillant son clito et insérant un puis deux doigts dans son vagin.
Alors qu’elle se masturbait la porte de sa chambre s’ouvrait, Manon et Muriel pénétrèrent dans la pièce, Muriel s’allongea à côté de Fabienne se blottie contre elle, Manon se plaça entre les cuisses de Fabienne et remplaça les doigts de Fabienne par les siens.
Pendant que Manon s’occupait de la chatte de Fabienne, Muriel donna un sein à téter à Fabienne.
Elles cessèrent de faire l’amour, après avoir jouaient toutes les trois.
Là-haut sur la montagne, la nuit débutait comme la veille sans rapport complet, quelques caresses, une fellation, un soixante-neuf et Raymond s’endormit. Brigitte espérait qu’il va revenir à la charge le matin au réveil comme il l’a fait la veille, mais ce matin il me réveilla non pas pour me faire l’amour, mais pour me dire qu’il va baiser sa fille Camille.
Je me disais qu’après tout elle va peut-être réagir autrement que la veille. Alors pour ne pas me sentir abandonnée j’ai pris mon gode et me suis fait jouir par ce moyen.
J’ai entendu mon mari qui sortait de la douche et descendais pour prendre son café et aller à la ferme s’occuper des vaches et les sortir.
Je voulais me lever lorsque Camille est venu me demander :
Bonjour, maman, c’est toi qui as dit à papa de venir me faire l’amour ?
Bonjour ma fille, non il est venu de lui-même, pourquoi ?
Non rien, mais cela fait longtemps qu’il ne m’a pas fait jouir autant.
Vient dans mes bras Camille, embrasse-moi ma chérie !
Camille, tu sais que papa recevra deux candidats ?
Tu devrais t’habiller plus sexy, mettre une jupe plus courte que ce que tu portes d’habitude.
Pourquoi maman ! Si tu veux séduire, le nouveau fait ce que je te dis. Tu ne vas pas lui sauter au cou de suite de toute, façon un il vient à neuf heures et l’autre à dix heures. J’ai demandé à papa que tu participes à l’entretien, mais tu n’auras pas la parole, c’est juste pour donner après ton avis à papa.
Et aussi de t’exhiber légèrement lorsque vous allez voir les vaches paitre. Ça va attirer le jeune à vouloir se battre pour avoir le poste s’il nous voit en tenue sexy et sans culotte.
Je vois maman, mais à dix heures cela va faire tard pour la mise en place.
Ne t’inquiète pas il y a Manon qui va venir après et qui m’aidera.
Maman tu es un amour, vient vite on descend voir s’il y a beaucoup de réservations aujourd’hui !
Attends toute nue ? Mais oui, maman !
Une fois arrivée dans la salle, Camille fit couler deux cafés, et moi je consultais l’agenda. Camille une table de six et trois de deux, douze personnes sans ceux qui viennent sans réserver.
Dans la vallée, Manon prit le départ pour la ferme auberge, Muriel va passer la matinée avec moi jusqu’au retour de sa maman et de ma fille. Après le petit déjeuner, le téléphone sonna. Surprise c’était le premier appel de mon fils Damien.
Bonjour mon chéri !
Bonjour, maman ; tu me manques, tu sais !
Toi aussi mon fils je me masturbe souvent en pensant que c’est ta bite qui me pénètre.
Arrêtée maman tu me donnes envie de me masturber aussi, mais je suis au bureau.
Tu ne peux pas te caresser en faisant attention ?
Non-maman, dommage. Muriel est avec toi ?
Oui chéri, je te la passe.
Allo Muriel !
Oui chéri§
Je les laissais converser ensemble.
Ce premier appel de mon fils me donna envie et pour ne pas me mettre en retard dans mon ménage je suis monté dans ma chambre m’enfiler mes boules de geisha, ainsi je peux me donner du plaisir en même temps que je fais mon ménage.
J’étais en train de récurer le sol de la cuisine quand Muriel passa à mes côtés, elle entendit des gémissements croyant que je me suis fait mal.
Belle maman, tu t’es fait mal ?
Je lui ai montré la ficelle qui sortait de ma chatte, elle comprit et me donna une petite caresse sur mes fesses,
Là-haut, sur la montagne. Arrivée de Manon, elle entrait par-derrière, par la porte réservée e au personnel nous embrassa et se rendit au vestiaire ou elle retira sa robe et enfila un tablier.
Elle se rendit alors en cuisine pour prendre les ordres de Raymond.
Camille avait vêtu son chemisier blanc et une minijupe rouge, particularité de cette tenue aujourd’hui elle ne porte pas de soutien-gorge ni de culotte. Elle me demanda si l’ont ne vois pas trop ses seins ; Camille c’est la limite, ton chemisier n’est pas trop transparent comme le mien. Le seul problème est que si tu es excitée tes tétons vont pointer, mais rassure-toi tout ira bien.
En passant par la cuisine, je suis passé derrière Manon qui se penchait dans la machine à laver la vaisselle pour sortir le panier, en lui mettant ma main aux fesses. Je sais qu’elle adore cela. Je m’aperçus que son tablier était déboutonné jusqu’au sexe.
Hé ben Manon tu es hyper sexy comme ça. Elle me dit que c’est le boss qui m’a demandé de rester ainsi.
Ah ! Il t’a au moins mis sa main ?
Non pas encore !
Neuf heures arrivées du premier candidat.
Bonjour, madame, je me présente Yves, je viens pour l’offre d’emploi.
Bonjour, rentré, prenez place, j’appelle le patron.
Brigitte derrière le comptoir remarqua que ces yeux n’arrêtaient pas de fixer les jambes de Camille. Il n’a pas encore vu mes jambes, mais cela ne va pas tarder. J’avais encore des couverts à mettre sur les tables alors que je faisais exprès de me pencher en avant. Il devait s’apercevoir à présent de mes fesses et l’absence de culotte. Je l’ai remarqué en me retournant brusquement qu’il rougissait et ne savait plus quoi dire lorsque je lui ai demandé s’il désirait boire quelque chose.
Camille revenait avec son père, il s’assit en face du candidat Yves et Camille s’assit à la table voisine s’assurant qu’il avait une bonne vision sur ses jambes et peut être plus si elle croise et décroise ses jambes. Raymond consultait son CV et sa lettre de motivation, lui posa de multiples questions, et lui expliqua son rôle, etc.
Venez, nous allons à présent vous faire visiter l’exploitation. Ils lui faisaient visiter en premier le labo où il affinait les fromages et les produits laitiers, puis l’étable avec la machine à traire, le hangar et tout le matériel, un tracteur, etc. puis précéder de Camille ils grimpèrent le pâturage jusqu’à l’abreuvoir. C’est lors de cette grimpette que le candidat Yves et Raymond eut une vision sur l’intimité de Camille. Arrivé à l’abreuvoir, Camille remarqua la bosse qui s’était formée autant chez le candidat Yves que sur son père. Elle fantasmait, elle se voyait pénétrer par les deux bite une dans sa bouche l’autre dans sa chatte.
Après cette entrevue, papa dit au candidat : Yves vous serez prévenu encore aujourd’hui si votre candidature est acceptée.
Je devais attendre l’autre candidat qui ne devait pas tarder en attendant j’emmenais papa dans le hangar et derrière le tracteur je lui ai baisser son pantalon et son slip et pour ne pas perdre du temps j’ai pris immédiatement sa queue raide en bouche. Ma fellation dura un moment jusqu’à l’arrivée du second candidat. J’avais prévenu papa qu’il doit éjaculer ailleurs que sur moi ne voulant pas devoir me changer encore longtemps.
Pendant le temps que Raymond était à l’extérieure, Brigitte retrouvait Manon en cuisine à préparer en avance les salades et en surveillant la cuisson. Elle eut plusieurs occasions de se donner du plaisir en se caressant ou se faire caresser par Brigitte qui n’hésitait pas à fourrer ses doigts dans sa chatte.
Manon, tu dors là ou tu rentres chaque soir ?
Pour le moment je rentre, sauf si la météo est mauvaise.
Arrivée du second candidat au même moment où nous sortons du hangar.
Raymond dit à Camille fait le rentrer, je passe par-derrière.
Bonjour, madame, Jean Michel, je viens pour le poste.
Venez rentrer, installez-vous, je cherche le patron.
Puis ce fut le même scénario, Brigitte qui s’exhiba avant l’arrivée de son mari et de Camille.
Camille reprit la même place et croisa et décroisa plusieurs fois ses jambes ce qui avait pour effet de trousser sa jupe, et l’excitation provoqua l’érection de tétons qui perçait le chemisier.
Jean Michel ne savait pas où poser ses yeux. Puis ce fut le même topo pour la visite extérieure.
À la fin de la visite, le candidat allait être informé dans le courant de la journée de la décision finale.
Brigitte, Camille et Raymond se sont concertés sur le choix du candidat. Raymond préféra Yves, car il a de l’expérience dans ce domaine alors que Jean Michel est novice. Camille, elle avait aussi fait ce choix, pour elle ce n’était que le choix sexuel et non professionnel. La vue de son intimité a produit un effet sur Yves tandis que Jean Michel n’avait aucune réaction.
Brigitte demandait à son mari, a tu penser que l’ouvrier ne pourra pas travailler sept jours sur sept, il lui faut aussi du repos ! Ah oui c’est vrai j’avais complètement oublié, alors je propose cela c’est d’embaucher les deux ; Yves du lundi au vendredi midi et Jean Michel du vendredi midi à dimanche soir ; pour que Jean Michel puisse aussi profiter d’un week-end, Yves fera la semaine pendant les premiers quinze jours et Yves fera les week-ends les quinze jours suivants. Comme cela il n’y a pas d’injustice.
Si vous êtes d’accord, Camille convoque les deux pour cet après-midi quinze heures.
D’accord, elle les appela et sans préciser le changement et ils seront là sans faute.
Dans la vallée, rien de particulier ce mercredi matin le train-train habituel. Ce n’est que vers dix heures que Fabienne décida d’aller faire quelques courses au centre commercial. Elle s’habilla alors d’une robe sexy que Marie Claude lui a prêtée, une mini robe dos nue jusqu’à la taille décolletée cachant mal ses seins nouée dans la nuque.
Elle a mis cette robe parce qu’elle avait envie de s’exhiber et qui sait d’avoir une relation sexuelle.
Arrivée sur le parking, elle chercha une place un peu à l’écart des entrées où se massent la plupart des voitures.
Elle prit un caddie et se rendait dans ce centre et déambulait entre les rayons en s’accroupissant les cuisses écartées après s’être assurées qu’elle peut le faire en toute sécurité. Dans un autre rayon elle se pencha sans plier les genoux et s’attarda, elle n’avait pas remarqué qu’un homme s’était approché de Fabienne et s’était accroupi, faisant semblant de choisir un article, il était à deux mètres de Fabienne et avait ses fesses et sa chatte à porté de mains. Elle s’en est aperçue au moment ou elle a fait demi-tour pour repartir dans un autre rayon. L’homme sourit et Fabienne lui demande si la vue de sa chatte lui a plu. Il se leva et comme réponse il lui montra la bosse qu’il avait dans son pantalon.
Vous avez envie de faire l’amour avec moi, madame ?
Oui, monsieur, mais où ?
Chez moi ?
C’est loin chez vous ?
À dix kilomètres !
Y a pas plus près ? Je vous propose sur le parking, derrière la voiture pendant que je range mes courses.
Je vous suis, quand il pouvait, il me caressa les fesses, où ma chatte. Nous arrivons dans les rayons alimentaires, il était difficile pour lui de me caresser alors il m’a demandé ou j’avais garé ma voiture. Il est parti pour voir s’il y avait une possibilité de me baiser et qu’il m’attendrait sur place.
Passage à la caisse après avoir rempli le chariot, j’arrivais à la voiture, il m’attendait. J’ouvrais le coffre laissant le chariot avec mes achats comme écran. Il me prit dans ses bras m’embrassa et il défait le nœud de la robe ? La robe tomba à mes pieds et me voila toute nue sur ce parking, heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de monde. Il me dit penche toi dans le coffre puis il baissa son short et son slip et sans attendre me pénétra. L’opération était risquée. À tout moment quelqu’un pouvait venir et moi toute nue. Malgré la rapidité de ce rapport, j’ai eu un orgasme. Il se retira éjacula dans sa capote et me remercia. J’ ai remis ma robe et j’ai vidé le caddie dans le coffre puis suis rentré à la maison ou Muriel m’attendait et m’aidait à décharger les courses.
J’ai enlevé ma robe et Muriel s’aperçut que ma chatte était trempée et que ma cyprine coulait encore de ma chatte. Elle me dit : belle maman, toi tu as baisé !
Oui, ma chérie et je lui es tout raconté. En écoutant mon récit, elle porta sa main à sa chatte et se masturba. J’ai alors fait une toilette sommaire de ma chatte.
Muriel m’aida à préparer le déjeuner et à chaque fois qu’elle passait derrière moi j’avais le droit à une petite tape sur mes fesses. Restait plus qu’à attendre l’arrivée de Marie Claude et de Julie.
Marie Claude et Julie trouvèrent Fabienne et Muriel enlacées se roulant une pelle qui s’éternisait, on aurait cru qu’elles participaient au concours du plus long baiser. Alors pour les concurrencer Julie enlaça Marie Claude qui fit de même.
Muriel et Fabienne cessèrent et allaient séparer la concurrence afin de les embrasser à leur tour. Le déjeuner se passa dans la bonne humeur, les quatre firent la vaisselle ensemble et ils ont décider de passer une après-midi tranquille ensemble à regarder la télé, à se câliner, s’embrasser et à se masturber.
Là haut sur la montagne, tout se passa très bien, les clients étaient contents et Camille, Brigitte, Manon et Raymond se mirent à table pour déjeuner à leur tour.
Alors Brigitte souleva la question quand Yves va-t-il commencer à travailler. Lundi à six heures. Pourquoi ?
Tu sais bien que Fabienne sera de retour et que Camille restera ma fille, mais change de père.
Oui je sais, mais où est le problème ? J’aurais une nouvelle fille, Julie.
Je suis d’accord avec toi, mais Julie a l’équipe du matin et n’arrivera qu’ici à quatorze heures !
Ah mince alors je n’y avais pas pensé.
Manon te sent tu capable de faire le service ? De toute façon ce ne sera qu’à partir de mardi vu que lundi c’est fermé.
Je peux toujours essayer, tu feras comme Brigitte la préparation des boissons, pour le service des plats et assiettes il n’y à pas de problème. Manon, elle sera là le samedi et dimanche, quelques jours ou nous sommes pratiquement complets.
Voilà l’arrivée de Jean Michel et d’Yves.
Raymond s’excusa de les avoir fait revenir et leur exposa le problème. Si vous êtes d’accord du nouveau système vous êtes embauchés tous les deux vous n’avez rien à perdre au contraire vous avez tout à gagner.
Yves d’accord ? Oui, patron ; Jean Michel, pareil patron.
Donc Yves, tu commences ce lundi à six heures jusqu’au vendredi 12 heures et Jean Michel du vendredi treize heures jusqu’au dimanche soir.
D’accord, patron et merci, bonne soirée.
Le reste de la soirée et de la nuit, se passa normalement, tout aussi bien dans la vallée, qu’ici là haut dans la montagne.
david d 51ans je suis encore puceaux jai jamais u de femme dans ma vie celibataire jai jamais toucher les seins dune femme jai jamais toucher la chatte dune femme jamais mis ma bite dans la chatte dune femme aucune femme ma toucher la bite aucune femme ma sucer la bite aucune femme ma masturber la bite mes couilles sont tros pleine je voudrait une femme vient faire lamour avec moi et me vider mes couilles dans sa chatte pour me soulager et passer du temps avec elle et rester au lit toute la journee a faire lamour et a jouir tout les deux