Ce jeudi matin dans la vallée, Fabienne devait se lever plutôt que d’habitude, elle avait rendez-vous à huit heures chez la coiffeuse. Elle prit sa douche, se maquilla, et s’habilla, un chemisier à petites fleurs sans manche, une mini-jupe fendue noire. Elle descendit en cuisine, avalai en vitesse une tartine et un café. Elle appela Muriel qu’elle partait.
Ce jeudi matin, là-haut dans la montagne, Brigitte se leva en catastrophe après avoir fait l’amour avec Camille, sa fille, se précipita sous la douche, se maquilla et s’habilla de sa tenue de serveuse, mais cette fois-ci elle ne mit pas de soutien-gorge même si l’on apercevait ses tétons et les aréoles brunes, et sa mini jupe, elle avala un café et se précipita vers sa voiture, car elle avait rendez-vous chez sa coiffeuse à huit heures.
Ce rendez-vous avait été décidé entre elles et rentrait dans le cadre du jeu d’échange.
Nous avions convenu que la première arrivée attend l’autre et que la coiffeuse est au courant de nos jeux ainsi que de la façon de nous vêtir. C’est une très bonne amie à Brigitte et elle est la patronne du salon. Elle est mariée et ils sont libertins, Brigitte à mis au point avec la coiffeuse et son mari un scénario. Pendant que l’une se fait, coiffer l’autre se fait baiser par le mari de la coiffeuse.
Fabienne n’était pas au courant du scénario que Brigitte avait mis au point. La seule chose qu’elle était au courant c’est qu’elle allait avoir une relation sexuelle, mais où ? Quand ? Avec qui ?
Elle allait le découvrir de suite, lorsque Fabienne rejoignit Brigitte à l’entrée du salon. Brigitte embrassa Fabienne et lui donna les directives.
Fabienne, tu vas prendre cette entrée, tu montes au premier, le mari de la coiffeuse t’attend, il va te baiser. Pendant ce temps je vais me faire coiffer. Si tu as fini de baiser, tu descends au salon te faire coiffer et moi je prends ta place. Nous nous retrouverons au salon.
Bien ma chérie, après un bisou sur la bouche, Brigitte entra dans le salon, embrassa la coiffeuse et s’installa dans le fauteuil. J’arrive de suite, me dit la coiffeuse.
Fabienne gravit les escaliers et frappa à la porte de l’appartement de la coiffeuse. Un homme vint lui ouvrir et demanda à Fabienne :
Bonjour, madame, vous désirez ?
Bonjour, monsieur, je viens faire l’amour.
Venez rentrer et déshabillez-vous ici dans le corridor. Je retirais mon chemisier et ma mini jupe le monsieur, son t-shirt et son pantalon et il le fit pénétrer dans la chambre à coucher. Mais là une surprise il y a un autre homme allongé nu sur le lit. Cela, Brigitte ne m’a pas dit, avait-elle peur que je refuse où n’est-elle pas au courant. Il n’était convenu qu’aucun nom ni prénom ni aucune parole hors des mots ayant un rapport avec le sexe. Je n’étais là, soumise aux ordres des deux hommes.
L’homme qui m’a accueilli est, je suppose, le mari de la coiffeuse, m’ordonna d’aller branler et de sucer son collègue et de me mettre à quatre pattes, puis me dit stop au même moment où je prenais la bite dans ma main pour la branler. Je m’arrêtais net en regardant le monsieur qui me dit : tu vois ce fouet si tu ne fais pas ce que nous te disons, tu subiras.
Non, monsieur, surtout pas ça, alors obéit !
Aller continue branle et suce bien mon collègue. Je repris la masturbation et l’autre s’allongea entre mes jambes, m’attrapa par les hanches et me lécha la chatte pendant un moment, il se relava et sortit de la pièce pour revenir avec différents objets. Il m’introduit dans mon cul sans même le lubrifié, un gode et dans ma chatte un concombre il fit alors des va-et-vient aux deux objets insérer dans mes deux trous. Je n’en pouvais plus, je hurlais de plaisir surtout que pour moi la soumission était une première. Après un moment de torture, il me sortait le gode et le concombre de mes deux trous et m’ordonna de m’empaler sur la bite du collègue, ce que je fis immédiatement, puis me présenta sa queue devant ma bouche pour que je le suce.
Pendant ce temps dans le salon, la coiffeuse termina de me coiffer tout en me disant ; Brigitte, tu n’as pas peur de te faire violer ?
Non pourquoi ?
Parce que tu ne portes pas de soutien-gorge sous un chemisier transparent et pas de culotte sous une mini trop courte. Oui je sais tu va me dire que la culotte je n’en porte jamais, mais les seins nus !
Pendant ce temps à l’étage Fabienne à changer de position, en levrette empalée sur la queue du monsieur et enculé par son collègue j’ai eu mon quatrième orgasme d’affilé. Lorsqu’ils ont éjaculé.
J’avais mal au cul, j’étais épuisée. Je me suis rhabillé et suis allé au salon pour me faire coiffer. Lorsque je suis rentrée dans le salon, je cherchais Brigitte, croyant qu’elle était partie, une coiffeuse m’a dit qu’elle est dernière au bureau avec la patronne. Allez-y, elle vous attend. Merci.
Le bureau n’était fermé que par un rideau, en entrant je trouve la patronne adossée contre son bureau, sa jupe relevée la culotte sur ses chevilles et Brigitte à genoux léchant son minou. Je me suis dirigée vers la patronne et elle me prit dans ses bras et m’embrassa.
Elle dut interrompre les ébats, laissa retomber sa jupe, Brigitte voulue lui remettre sa culotte, mais elle lui demanda de lui enlever. Elle retira son chemisier et me demanda de lui retirer le soutien-gorge puis remis son chemisier et sortie du bureau pour me coiffer. Brigitte me fit vite une bise, car elle ne pouvait plus attendre, la partie de baise a été reportée à un autre jour. L’auberge l’attendait.
Alors que j’étais installée dans le fauteuil et après le shampoing effectué par l’apprentie, la patronne revint pour me couper et me coiffer. J’ai alors appris qu’elle se prénomme Christelle, elle me demanda si la partie de sexe m’a plu. Je lui ai répondu que j’étais surprise par me faire baiser de cette façon d’être soumise par deux hommes. Elle m’a alors avoué qu’elle aussi est à sa première expérience avec une femme et c’est dommage, car elle a bien aimé ce petit moment avec Brigitte de ne pas pouvoir lui rendre la même chose, car elle a adoré de se faire lécher par une femme, trouvant qu’elle sait mieux le faire que son mari ou un autre homme.
J’aimerais bien vous voir toi où Brigitte, j’aimerais faire l’amour avec vous deux rien que vous, sans hommes.
Christelle dit moi quand tu es libre ?
Écoute, nous sommes fermé le lundi est ce que cela ira chez toi et chez Brigitte.
Attend l’auberge est fermée le lundi comme le salon ; mais nous avons un nouvel ouvrier et si tu venais chez Brigitte ? Ce sera plus tranquille.
Tu veux venir quand, matin après midi ?
Le matin à 8 h serait le mieux.
Oui je t’attendrais, Brigitte et ma fille Camille ne seront là qu’à partir de neuf heures. Mais cela nous permettra à nous connaître sexuellement.
Après nous être embrassé, je rejoignais mon domicile ou m’attendait Muriel qui devait se douter que je n’étais pas allé uniquement pour me faire coiffer, mais aussi avoir un rapport ou une simple masturbation.
Je suis arrivé chez moi, effectivement Muriel me demanda si j’ai bien joui et rajouta : tu n’as pas eu de rapport avec Rocky ces derniers temps, tu n’aimes plus ?
Si, mais pas maintenant.
Là-haut dans la montagne, Brigitte était bien arrivée à la ferme auberge, où Camille et Manon avaient fini la mise en place de la salle pour ce midi.
Camille me demanda si je ne veux rester sans soutien-gorge, car mes seins étaient trop visibles. J’hésitais un moment, et pour faire taire les mauvaises langues, j’ai décidé de le mettre.
Manon déboutonna alors mon chemisier me l’enleva, Camille m’enfila le soutien-gorge, l’agrafe et Manon me remis mon chemisier.
Manon retourna en cuisine et se remis à son travail elle était toujours nue sous son tablier fermer seulement par les deux boutons du milieu. Elle était en train de frotter le plan de travail, ce qui fit balancer ses gros seins de gauche à droite, ce qui excita Raymond. Il ne tenait plus en place et se mit derrière Manon troussa son tablier, il sortit sa bite, la glissa entre ses cuisses et chercha à la pénétrer. Manon l’aida en la plaçant à l’entrée de son vagin. Il la pénétra, ses va-et-vient d’abord lent puis de plus en plus vite pour la faire jouir, car les clients de l’auberge commençaient à arriver. Il arrêta et dit à Manon que ce n’est que partie remise qu’elle s’attend à ce qu’il la reprenne dès qu’il a un moment.
Dans la vallée, Fabienne pensive assise à la table de la cuisine se remémora la relation de ce matin avec le mari de la coiffeuse et de son collègue. Elle eut une vie soudaine de se masturber où mieux de se faire baiser par le chien. Elle est alors sortie et à fait sortir du chenil Rocky elle l’emmenait du côté de la piscine se mit en levrette et appela Rocky qui accouru et sans crier gare la monta directement sans léchée sa chatte comme d’habitude. Il n’a pas mis longtemps aujourd’hui à éjaculer au fond de moi sa semence me laissant sur ma faim. Je me suis terminé avec mes doigts.
Puis le reste de la journée se passa à faire tranquillement, à part quelques embrassades entre Marie Claude, Muriel, Julie et moi, nous nous occupions à faire nos travaux ménagers.
Mon mari pour une fois rentra tôt du travail a eu droit avant de diner à un apéritif spécial, chacune d’entre nous devait à tour de rôle sucer sa bite. Marie Claude débuta suivie de Muriel, Julie et Manon qui venait juste de rentrer du travail puis pour terminer je l’ai sucer et avaler sa semence. J’ai alors décidé de laisser ma place cette nuit à Marie Claude, et moi je vais la passer avec Julie ma fille.
Là-haut sur la montagne, pas de grands ébats sexuels à part que Raymond à terminer ce qu’il avait entamé avant le service de midi.
Ici aussi le restant de la journée et de la nuit se passa normalement à part que Camille passa la nuit avec ses parents où seules quelques caresses furent échangées.
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