C’était la première fois que ma compagne et moi nous sommes avoué être tous deux fluides de genre et bisexuels. Nous avions souvent flirté, nous demandant si une personne du même sexe nous avait déjà séduits. Dans l’euphorie après une autre séance de sexe merveilleuse, elle me demandait : « Aimerais-tu que je regarde un autre homme te faire une fellation ? Ce serait ta première fois ? » Je renversais la question : « Aimerais-tu que je regarde une autre femme te faire un cunnilingus, te pénétrer avec sa langue ? Ce serait ta première fois ? » Nos sourires confirmaient que nous serions ouverts à regarder l’autre recevoir du plaisir oral d’une personne du même sexe.
La soirée cocktail ce soir-là était un événement en cravate noire, et ma compagne était éblouissante. Kenneth, un homme blond, plus âgé, suave et patricien, que je connaissais de réputation, s’est présenté. Sa façon de me dire sans gêne, de sa voix polie et raffinée, « Mes amis m’ont dit que votre compagne est baisable, extrêmement baisable ce soir. Je ne pouvais qu’être d’accord », m’a captivé. J’étais ravi de rencontrer enfin Kenneth après tant d’histoires sur sa réputation sexuelle. Je me demandais ce qu’il savait de moi.
Je devais aussi être d’accord avec Kenneth. Ma compagne était baisable en talons et dans une robe noire coûteuse, au-dessus du genou, qui mettait sa silhouette en valeur, exactement ce que j’avais en tête en la regardant s’habiller, et ce que je prévoyais pour notre retour. « Voulez-vous rencontrer mes amis ? », a demandé Kenneth. Avant que nous puissions répondre, ils étaient à nos côtés, ayant lu le langage corporel.
Une heure plus tard, nous étions cinq dans le penthouse de Kenneth, à proximité. Après le deuxième tour de champagne français, Kenneth, démontrant son aisance, nous a dit, totalement maître de la situation, sans gêne, mais avec une forte tension sexuelle : « Mes deux amis aimeraient vous séduire, Morgane, vous faire l’amour pendant que votre homme et moi regardons. Si vous craignez que votre homme soit laissé de côté, je m’occuperai de lui. »
Dans la lumière tamisée du penthouse, Kenneth avait une apparence séduisante, presque surnaturelle, un style audacieux et gracieux, conscient de son pouvoir de séduction sur les femmes et les hommes. Il savait aussi qu’il avait un sexe épais et imposant.
Morgane savourait l’instant, croisant et recroisant ses jambes pour une femme et trois hommes. Nous réalisions soudain comment Kenneth comptait s’occuper de moi pour que je ne me sente pas exclu. Nous nous demandions si ce n’était pas un plan élaboré, bien qu’excitant, pour que Kenneth me fasse une fellation. Nous étions prêts à suivre son plan pour notre plaisir sexuel commun, élevant notre vie sexuelle à un nouveau niveau.
« Voudriez-vous nous montrer un peu de peau, Morgane ? Vous êtes si baisable que vous nous allumez tous », a demandé Kenneth avec un sourire charmeur.
« Combien de peau ? », a taquiné Morgane en recroisant ses jambes, consciente d’être le centre de l’attention. Elle s’est dirigée lentement vers le tabouret bas au centre de la pièce, face au miroir mural. Elle a posé un talon aiguille sur le tabouret, souriant en relevant lentement sa robe, dévoilant ses cuisses magnifiques, puis encore plus haut, au-dessus de son string, avant de se tourner pour exposer ses fesses.
« Votre proposition m’intrigue, dites-m’en plus, Kenneth », a-t-elle dit alors que sa robe retombait sur ses fesses et ses jambes.
Kenneth et moi étions plus subtils, assis face à face, nous regardant dans les yeux tout en observant la bosse grandissante dans nos pantalons. Nous voulions tous deux la même chose, conscients des rumeurs et ragots sur nos réputations sexuelles. Il était inévitable que Kenneth et moi nous rencontrions dans de telles circonstances.
Après discussion, nous avons convenu que le dimanche après-midi, dans le penthouse de Kenneth, serait le moment idéal pour réaliser sa proposition. En rentrant, j’ai expliqué à Morgane : « Kenneth est réputé pour être un homme doué et talentueux. »
La façon dont nous avons fait l’amour en rentrant était si différente, discutant de la proposition de Kenneth pendant que nous baisions. Morgane me demandait si j’étais à l’aise avec l’idée qu’il s’occupe de moi. Avec sa réputation, j’avais hâte qu’il satisfasse mes désirs charnels tout en regardant ses amis séduire Morgane.
Le dimanche, nous étions plus détendus, notre bisexualité désormais assumée, prêts pour notre première expérience bisexuelle partagée. Morgane m’a demandé : « Que dois-je porter pour nos nouveaux partenaires cet après-midi ? » J’avais déjà décidé ce que je voulais qu’elle porte pour nos trois nouveaux partenaires sexuels et moi, voulant qu’elle soit un objet de désir.
« Talons, bas et porte-jarretelles assortis, pas de culotte », lui ai-je dit en la regardant s’habiller. « Comme ça, avec ta magnifique chatte exposée sous une robe mi-longue. Et un soutien-gorge sans bonnet. Wow, tes seins sont sublimes. »
J’avais choisi ce que je voulais qu’elle porte pour nos trois nouveaux partenaires. Morgane me regardait m’habiller avec un jockstrap noir sexy, qu’elle ne m’avait jamais vu porter. Devant le miroir, il me allait bien, mon sexe flaccide pendant hors de l’ouverture étroite. Elle m’a dit : « Rappelle-toi, une fellation est un cadeau, un cadeau rare et spécial quand elle vient d’un homme doué et talentueux. Aujourd’hui, tu seras un objet sexuel pour un autre homme pendant que ses amis me séduisent, une nouvelle femme et son homme pendant qu’on regarde. Regarder un autre homme te séduire est pour nous deux, profite de ces nouveaux plaisirs, tu sais que ce qui t’excite m’excite. »
Dès notre arrivée, Morgane a pris l’initiative. Debout, un pied sur le même tabouret qu’il y a quelques jours, elle était un objet sexuel ultra-confiant, disant à tous, son côté exhibitionniste jouant la scène à la perfection : « Je pense qu’on a des affaires à terminer », en relevant lentement sa robe.
C’était le signal pour Kenneth de retirer la robe de Morgane, la laissant en talons, bas et porte-jarretelles, sans culotte. C’était aussi le signal pour Kenneth et moi de nous déshabiller, comparant nos sexes déjà tumescents. Puis Maria et Marc se sont déshabillés mutuellement. Kenneth a dit à Morgane : « Tu es encore plus baisable qu’il y a quelques jours », en passant une main sur ses fesses, nous regardant tous l’érection de Kenneth grossir, confirmant qu’il était définitivement bisexuel et incroyablement bien membré.
Je n’aurais jamais pensé apprécier regarder un autre homme faire un cunnilingus à ma compagne, la pénétrant avec sa langue, complètement nue, pendant qu’un autre homme nu taquinait mon érection avec ses mains et doigts doux, en prélude à une fellation. Il y avait aussi une autre femme nue, Maria, debout près de Morgane, l’embrassant avec la langue, sa main sur ses fesses, pendant que son homme, Marc, à genoux devant elle, lui faisait un cunnilingus, excitant sexuellement Kenneth et moi pendant que nous regardions.
Je me souvenais des mots de Morgane avant de partir, si profonds : « Rappelle-toi, une fellation est un cadeau, un cadeau rare et spécial quand elle vient d’un homme doué et talentueux. »
Cet après-midi-là, j’étais un objet sexuel pour un autre homme pendant que Morgane et ses deux amants regardaient. Regarder un autre homme me séduire était pour nous deux, savourant de nouveaux plaisirs sexuels. Morgane et moi nous embrassions avec la langue quand elle m’a dit : « Tu sais que ce qui t’excite m’excite », en regardant mon érection entre les lèvres serrées de Kenneth.
Kenneth a prouvé qu’il était extrêmement doué et talentueux. Morgane n’avait pas réalisé que Kenneth avait un sexe si imposant, contrairement à moi, qui le savais par les rumeurs. L’idée de regarder son sexe en érection, plus grand que mes vingt-trois centimètres, pendant qu’il me faisait une fellation, était excitante, un bonus. Encore plus excitant avec Morgane et nos deux nouveaux partenaires qui regardaient.
Morgane me rappelait : « Une fellation est un cadeau, un cadeau rare et spécial quand elle vient d’un homme doué et talentueux. Et il est doué, vraiment doué. Tu sais que ce qui t’excite m’excite », en regardant mon érection entre les lèvres de Kenneth.
Un orgasme à tomber, la première fois que trois personnes regardaient un autre homme me faire une fellation. Deux femmes et un homme, tous visiblement excités. Kenneth me taquinait, me maintenant au bord, jouant pour son public captivé, mes mains derrière la tête. Trop bon pour arrêter, mon sexe palpitait.
« Il est bon, chéri ? », a demandé Morgane en m’embrassant, sachant que j’étais au bord. « Donne-moi une note sur dix. »
« Onze. »
La fois suivante où nous avons vu Kenneth, une semaine plus tard, Morgane avait clairement indiqué qu’elle voulait l’avoir, le baiser, le partager avec moi. « Kenneth est tellement excitant, si suave, si confiant, et incroyablement bien membré. Il t’a mis en extase en suçant ton sexe. Et vous avez aimé qu’on regarde. Quelle taille penses-tu qu’avait son érection pour toi ? »
« Veux-tu que je lui demande quelle taille il fait en pleine érection, Morgane ? »
« Salut Kenneth, j’ai une question pour toi, Morgane m’a demandé quelle taille avait ton érection pour moi ? »
« Cher garçon, tu sais qu’un gentleman ne dit jamais. Mais si tu vas sur le lien que je viens de t’envoyer par texto, ça pourrait répondre à ta question. »
Nous avons suivi le lien, qui montrait un Kenneth plus jeune, nu de la taille aux pieds, avec une femme séduisante tenant une règle d’école sur son érection, dépassant les trente centimètres. Puis une autre photo, et une autre avec une femme d’âge mûr regardant une adolescente le prendre.
Le lien a répondu à la question de Morgane, tout en offrant une stimulation sexuelle supplémentaire pour nous deux.
Avant l’arrivée de Kenneth, Morgane m’a demandé, comme le font les femmes : « Que dois-je porter pour Kenneth ? Que veux-tu que je porte pour lui ? Et toi, que vas-tu porter pour moi et Kenneth ? »
Ma réponse fut : « Une de mes chemises de travail chacun, nus dessous, tous les boutons défaits, mais tu dois porter des talons pour mettre en valeur tes jambes et tes fesses. »
Quand Kenneth est arrivé, il savait qu’il serait le centre de l’attention pour Morgane et moi, et il l’a clairement montré. Comme convenu, nous portions chacun une de mes chemises de travail, nus dessous, tous les boutons défaits.
Kenneth a tout fait pour montrer à Morgane et moi qu’il était bisexuel, adorant ses fesses généreuses, les embrassant et léchant comme préliminaire pendant que j’observais sa technique, bandant.
Puis un cunnilingus pour Morgane, sa langue sur son clitoris, ses mains saisissant ses fesses, bandant pendant qu’il la baisait avec sa langue et un doigt, les plus gros doigts que j’aie jamais vus. Un mythe confirmé : gros doigts, gros sexe, Kenneth incarnait cela.
Par le passé, j’avais regardé un autre homme baiser ma compagne d’alors. Mais cette fois était exceptionnelle. Morgane voulait mesurer l’érection de Kenneth. Deux mains autour de son sexe, puis déplaçant une main sur l’autre deux fois.
Le défiant avec un sourire : « Je ne sais pas si je peux prendre tout ça, tu es énorme. »
Kenneth était énorme alors qu’il appliquait du lubrifiant sur son sexe en érection, s’introduisant lentement en Morgane, allongée sur le lit, jambes écartées. Elle faisait des bruits que je ne l’avais jamais entendue faire, des sons d’approbation, lui disant : « Si gros, si bon, jusqu’aux couilles en moi. »
Puis, mon fantasme de toujours, un homme, Kenneth, suçant mon érection pendant qu’il baisait ma compagne. L’ambiance en embrassant Morgane pendant qu’il la pénétrait était incroyable.
La prochaine fois, Morgane veut regarder Kenneth me prendre. Elle est déjà excitée à cette idée, encore plus que moi.
Nathan
























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