Comme promis, voici la suite de nos aventures, après avoir démissionné du restaurant ou j’étais serveuse et ma compagne Manon aide cuisinière, nous allons retrouver notre ancien lieu de travail la ferme-auberge située à 1300 mètres d’altitude dans le massif Vosgien.
Manon et moi nous avons notre logement dans la maison d’habitation située à proximité de l’auberge, nous, nous plaisons, beaucoup de vivre isolée, respirée l’air frais la tranquillité la nature ce qui nous permettait de vivre nue pendant nos loisirs, et de s’adonner à de petite rando nue, en forêt.
L’auberge étant située sur un Gr 5 utilisé par de nombreux randonneurs devenait trop petite Fabienne la patronne décidée son agrandissement en y joignant une terrasse couverte dotée de baies vitrées coulissantes. Ces travaux ont eu lieu pendant la fermeture hivernale. L’auberge est fermée chaque année du 11 novembre au 1er avril.
Pendant cette fermeture, Manon et moi avions trouvé un emploi au restaurant qui proche du domicile et qui nous rapprochait de maman qui était tombée malade.
Nous étions très contentes d’avoir trouvé ce restaurant à proximité, la patronne nous a même proposé un CDI et était très contente du travail effectué. Seulement au fil des mois, la patronne a pris un amant et à appliquer ses folies sexuelles au sein de l’entreprise, voulant faire du lieu une maison close, causant sa perte. Après notre démission entraînant aussi celle des deux serveuses en extra, elle a dû fermer le temps de retrouver du personnel.
Voilà, lundi, matin j’avais donné rendez-vous à Alicia accompagner de son mari Marc et Christelle pour la signature des contrats de travail. Ce rendez-vous fut l’occasion aussi à faire connaissance avec notre famille. Comme convenu le rendez-vous était fixé à 9 h et comme cela est assez difficile de nous trouver, Damien ira les attendre sur la place de l’église.
Ce jour-là, jour pas comme les autres je demandais à tous de ne pas se promener nue dans la maison bien que Fabienne Grégory et Camille eux aussi, son, une famille naturiste occasionnelle et elles sont au courant de nos pratiques.
Manon avait préparé la table de la cuisine pour prendre le petit-déjeuner, la signature se faisant au salon à 11 heures.
Vers neuf heures Christelle m’appelait pour me dire qu’ils sont arrivés sur la place de l’église. Pas de problème Damien mon frère vient de sortir pour venir vous guider.
Cinq minutes plus tard les deux voitures rentrèrent dans la cour. Damien les fit entrer. Manon et moi vêtue ce jour-là de la même robe courte sans être mini et d’une paire de bas autofixant sans soutien-gorge et sans culotte les accueillaient dans le couloir. Alicia la première voulut juste faire la bise se gêner de l’embrasser sur la bouche du se résigner à me rouler une pelle comme d’habitude, alors que Manon était déjà en train de le faire à Marc, quant à Christelle sans aucune gêne roula une pelle à Damien qui ne s’attendait pas à cela.
La présentation ne faisait que commencer, voilà Marie-Claude la belle-maman de Damien qui eut droit au même traitement que nous sauf en plus court.
Puis je les amenais dans la chambre de Maman qui attendait l’infirmière et puis celle de Muriel qui elle dut rester alité vu sa grossesse difficile.
Venez nous allons en cuisine Manon nous à préparer un bon café et Damien à chercher des croissants à la boulangerie.
Assise en bout de table à ma droite se trouvait Alicia à ma gauche Marc à la gauche de Marc, Maman, à la droite d’Alicia Damien, à la droite de Damien Marie-Claude et à l’autre bout de la table en face de moi Muriel et Manon.
La discussion, c’est porté sur notre nouvelle patronne Fabienne son mari Gregory et la fille de Fabienne Camille issue du premier mariage, son père étant décédé d’un cancer il y a deux ans.
Puis la discussion s’est portée progressivement sur le sexe.
Lorsque Alicia a appris que nous avions tous des rapports sexuels avec Fabienne, Camille et Gregory j’ai vu dans son visage qu’elle se demandait dans quel engrenage elle va tomber.
Je l’ai tout de suite rassurée :
« Alicia, rassure-toi, les rapports que nous avions se passaient toujours dans leur maison située à une trentaine de mètres de l’auberge voir l’été dans la nature le hangar dans le foin, mais jamais au travail comme avant ».
Je constatais que Maman s’excitait et soudain j’ai vu le regard de Marc se crisper en regardant autour de lui, Une main celle de Maman se posa sur le bas-ventre de Marc et caressa le sexe à travers son pantalon.
Je protestais :
« Maman, s’il te plaît, arrêtes-tu n’as pas honte, ne recommence pas ! »
« Excuser là, Marc, elle a des moments ou elle a ses crises et le fait à tout le monde même à nous ».
Marc : « Ce n’est pas grave, je comprends, c’était plutôt agréable. »
Je racontais alors ce qui c’était passer à l’hôpital :
« À l’hôpital il y avait une infirmière qui se prénommait comme moi Julie, maman avait vu son prénom sur le badge qu’elle portait sur sa poitrine, comme sa tête ne réagit plus comme avant, Maman croyait que c’était moi. Quand l’infirmière est venue lui prodiguer les soins, Maman a réussi à descendre légèrement le pantalon et la culotte et même à la caresser. L’infirmière ne voulant pas crier ou se dégager brusquement pour ne pas lui arracher la perf, l’a laissée faire. »
Lorsqu’en rendant visite à Maman, Julie l’infirmière est venue me raconter ce qui s’était passé, et qu’elle n’a rien dit à ses supérieurs ni même à ses collègues. Elle m’a alors dit qu’elle aurait pu lui retirer la main, mais elle a aimé et avait même un début de jouissance. Elle rajouta, qu’elle est lesbienne et qu’elle à une compagne.
Le petit-déjeuner se termina, et en attendant la venue de notre nouvelle patronne, je leur ai proposé une petite visite de la maison sachant très bien que cette visite allait virer à quelques caresses.
Muriel retourna s’allonger dans sa chambre, Manon et Marie-Claude s’occupaient de débarrasser la table et de faire la vaisselle tout en s’octroyant quelques baisers et caresses.
Damien lui se rendit au garage pour bricoler, quant à moi je faisais visiter la maison aux autres.
En rentrant dans la chambre de Marie-Claude, je m’aperçus que la fuck-machine n’avait pas été rangée à sa place, Christelle de suite s’en approcha, contempla le gode fixa sur le piston, et s’empara d’un des godes le porta à sa bouche le lécha et elle l’a pris en bouche. Elle souleva alors sa robe, retira sa culotte puis s’allongea sur le lit. Elle positionna alors le gode sur ses lèvres intimes le fit glisser de haut en bas et de bas en haut avant de le faire pénétrer dans son vagin.
Pendant que Christelle se godait, j’emmenais Alicia et Marc dans ma chambre et dès le seuil franchi je sautais au cou de Marc pour lui rouler une pelle alors qu’Alicia défit la ceinture et baissait le pantalon et le boxer. Alicia branla alors la queue de son mari, puis m’invita à la rejoindre, ce que je fis sans hésiter pour une fellation à deux. Un échange de queue eut lieu entre Alicia et moi et c’est ma bouche qui a eu droit de recueillir sa semence que je m’empressais d’aller la partager avec Alicia qui se masturbait, en lui roulant une pelle. Je gardais de la semence pour Christelle qui au moment ou je pénétrais dans la chambre était en pleine séance de vocalise, ma bouche se soudait alors à la sienne, nos langues s’entremêlèrent et le restant du sperme se répandit dans sa gorge.
Fabienne allait bientôt arriver j’emmenais mes trois chéries dans la salle de bains pour se refaire une beauté et se gargariser la bouche, Christelle voulait remettre sa culotte mais Alicia l’en empêchait. De même je remarquais qu’elle portait un soutien-gorge, que je lui demandais de retirer, en lui précisant que Fabienne tout comme Camille seront elles aussi sans sous-vêtements hors des bas. Au restaurant le port du soutien-gorge et de la culotte est obligatoire pour nous tous, mais dès le travail fini vous êtes libres de les garder ou de la quitter.
Christelle me demanda si elle pouvait utiliser la fuck-machine cet après-midi.
« Oui, ma chérie, et si cela se trouve, si Fabienne est d’accord nous ferons une partouze. »
J’ai vu le sourire de Christelle, elle m’a fait un bisou sur ma bouche pour me remercier.
Maintenant descendons, la patronne ne va pas tarder.
Nous passons dans le salon en attendant et nous installons à une grande table. Manon nous a rejoints en disant :
« Christelle tes cris de plaisirs ont fait fuir tous le gibier »
Christelle : « Je m’excuse, mais je suis bruyante quand je jouis »
Manon : « Pas grave, chérie, cela nous a excitées, Marie-Claude et moi nous nous sommes mis en 69 sur la table de la cuisine et nous avons mélangé tes cris au nôtre »
En attendant nous parlons de tout et de rien, lorsque mon frère Damien passa pour voir si tout allait bien car il a entendu des cris. Il ne resta pas et retourna bricoler.
La conversation fut interrompue par « In The Moon » de Glenn Miller, système que Papa avait installé au portail pour demander l’ouverture du portail.
Fabienne et Camille se présentaient à la porte d’entrée et c’est Marie-Claude qui les accueillait, et les débarrassait de leurs manteaux. Elles étaient ravissantes dans leurs robes courtes et moulantes.
Avant de venir au salon Fabienne et Camille allèrent embrasser Maman et Muriel.
Ensuite, elles nous rejoignirent dans le salon où l’accueil se fit par un baiser sur la bouche puis elles prirent place à table en excusant Grégory qui avait un rendez-vous et nous rejoindras plus tard.
Avant que nous signions nos contrats de travail, Fabienne avait une proposition à faire à Marc :
« Marc, je vous explique, pendant ces mois de fermeture de l’auberge, nous avons agrandi l’établissement en y joignant une terrasse couverte avec de grandes baies vitrées coulissantes. Ses baies vitrées sont électriques. »
«Nous avons pensé à embaucher à mi-temps une personne qui s’occupera de l’entretien de l’auberge et qui convient pour une personne handicapée, et nous avons pensé à vous, si cela vous intéresse. »
Marc réfléchissait à la proposition pendant que Fabienne mit sur la table les contrats de travail de Julie, Manon, Alicia et Christelle, qui l’une après l’autre signait.
Marc apportait sa réponse positive et Fabienne allait s’occuper de lui faire son contrat.
Fabienne leur donna alors le plan de travail à venir et les conseils réglementaires
L’auberge ouvre le samedi 1er avril, cependant comme vous le voyez sur vos contrats de travail vous aller débuter le lundi 27 mars afin de faire le nettoyage et la mise en place de la nouvelle salle dont les tables et chaises seront livrées le lundi.
Concernant vos tenues vestimentaires, du 27 au 31 mars aucune consigne vestimentaire ne sera exigée, munissez-vous d’un tablier pour ne pas vous salir.
À partir du 1er avril votre tenue de serveuse, chemisier blanc, jupe noire ou bleu foncé aux genoux ou courte 10 cm maximum au-dessus des genoux sont acceptés, port du soutien-gorge et de la culotte où string obligatoire, toutes ses consignes vous les retrouver sur vos contrats de travail.
Fabienne donna la parole à sa fille Camille :
« Maman à déjà dit le principal, mais je voudrais demander à Julie si elle désir continué à être responsable des serveuses ? »
Moi : « Camille, je veux bien accepter et je te remercie de ta confiance je serais à la hauteur. »
Camille : « Je n’en doute pas, tu l’as déjà prouvée lorsque tu étais chez nous et je n’oublie pas Manon bien entendue »
Je me levais pour remercier Camille et Fabienne en leur déposant un baiser sur leur bouche je remarquais que la main de Camille était posée sur une cuisse de sa mère dont sa jupe était troussée.
Cette vue m’excitait et alors je demandais à Fabienne de révéler à Alicia Marc et Christelle nos vies privées.
Fabienne : « Voilà ce que je vais vous révéler maintenant ne concerne pas le restaurant ni votre travail, mais nos vies privées.
Julie m’a informée que vous aimez le sexe, que vous êtes bi, et bien voilà nous le sommes également et nous le sommes devenus grâce à Brigitte la maman de Julie et Damien. Mais ça, c’est une longue histoire que je ne relaterais pas ici.
Voilà, Julie et Manon nous avons des rapports sexuels aussi bien avec Camille qu’avec Grégory et moi-même et je peux vous avouez qu’en espérant ne pas vous choquer , ma fille et moi-même nous faisons l’amour. »
Sur ces aveux Alicia et Christelle s’interrogeait et Alicia demanda :
« Mais c’est de l’inceste ! » « Et avec Grégory ? »
Fabienne : « Oui elle fait aussi l’amour, mais il n’est que le beau-père, son père est décédé il y a deux ans d’un cancer. Grégory était l’aide cuisinier que j’ai épousée plus tard et Camille avait déjà des relations avec Grégory ».
Christelle : « Ah OK, nous comprenons maintenant et acceptons vos rapports.
Fabienne reprit la parole :
« Vous êtes libres d’accepter ou de refuser, je ne vous force pas comme votre ancienne patronne, mais aussi sachez que pendant les heures de travail aucune dérive ne sera acceptée. Si pendant la coupure du midi quelqu’un a envie vous irez dans nos privés, ou ailleurs dans la nature ».
Il était 11 h 30 Gregory arriva suivi de Papa.
Damien lui aussi fit son apparition et aider de Marie-Claude dressa la table de la salle à manger.
Papa et Grégory se présentèrent et c’est à ce moment-là que la présentation et les baisers commençaient à se transformer en baisers langoureux. L’atmosphère se détendait au moment de l’apéro, les corps se rapprochaient et les mains devenaient baladeuses à l’exemple de Camille qui caressait à présent la chatte de sa mère sans gêne.
Pour le moment il n’y eut aucune réaction des autres, l’apéro se termina quand « In The Moon » retenti, c’était le livreur de pizzas.
À table pendant que c’est chaud et bon appétit !
À suivre !
J’adore. cela m’a bien excité