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Nouvelles aventures professionnelles et sexuelles de Julie et Manon Chapitre 8 Final

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Le lendemain matin en me réveillant je fus surprise de ne pas avoir Manon à mes côtés, comme chez nous c’est un rite la première réveiller réveille l’autre.

Croyant que pour une fois c’est moi la première, ben non sa place est libre, pensante qu’elle est aller aux toilettes je restais couchée en l’attendant. Au bout de 5 minutes, ne l’a voyant pas revenir je me suis levée et me suis dirigée vers les toilettes, en passant devant notre salon j’ai entendus la voix étouffée de Camille qui disait :

« Oh oui Manon, encore, ouiiiiiiiiiii, que c’est bonnnnnnnnnnn, je t’aime, ouiiiiiiiii je vais jouir, ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiii »

Décidément, il n’est que 6 h et ces deux sont déjà en train de baiser, ne voulant pas les déranger je suis retournée dans ma chambre, j’ai pris mon godemiché et me suis masturbée en imaginant la scène laquelle j’étais témoin auditif. J’imaginais que Camille était à califourchon assise sur le visage de Manon qui lui bouffait sa chatte.

Effectivement j’étais au bord de l’orgasme quand Manon pénétra dans la chambre le godemiché encore enfoncé au fond de mon vagin. J’ai fait semblant alors de n’avoir rien entendu en lui disant :

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« Chérie où était tu ? Je voulais te réveiller ce matin comme c’est notre rite »

Manon : « Tu dormais bien j’ai du aller faire pipi et quand je suis sortie des toilettes Camille rentrait elle m’a demandé de rester un moment avec elle »

Moi : « Et vous avez fait l’amour ? »

Manon : « Oui chérie » « Tu ne m’en veux pas ?

Moi : « Non ma chérie si cela t’a fait du bien »

Comme pour me dédommager  Manon me roula une longue pelle pour preuve d’amour.

Il était grand temps de prendre notre douche et le petit-déjeuner les autres vont bientôt débarquer.

Après les bisous du matin les petits-déjeuners et l’arrivée de Marc et Alicia il ne restait que Christelle, ce qui est normal elle arrive régulièrement à la dernière minute, Fabienne nous demanda d’être sérieux  jusqu’à la fin de la mise en place et l’arriver des livreurs.

Ensuite après le déjeuner si Julie est encore d’accord elle nous racontera comment nous avons fait connaissance et dans quelle circonstance nous sommes devenues des adeptes du libertinage de l’exhibitionnisme et autres pratiques que je ne citerais pas, je laisse le soin à Julie de vous le révéler.

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Voilà Christelle suivie du premier camion de livraison des boissons, pour eux il n’y a aucuns soucis ils connaissent le chemin.

« Christelle tu leur offriras un café où ce qu’ils désirent lorsqu’ils ont fini et tu signeras le bon de livraison »…

« Bien Madame »

Fabienne fit un sourire à Christelle, et parti s’occuper de chercher les nappes.

Marc et Grégory plaçaient les tables dans la salle et dans les deux terrasses suivant les plans que j’avais approuvées. Alicia s’occupa des chaises Camille et moi nous couvrons les sous-nappes puis les nappes serviette etc. Puis Camilles chercha les petits cartons ou était noté les noms de personnes qui avaient réservé. Camille pris en main celui de mes parents avec le nombre de personnes 5, je ne savais toujours pas qui pouvais bien venir, et je n’allais pas appeler papa ni maman ce sera la surprise.

Le reste de la matinée se déroula normalement, la mise en place se termina, Grégory préparait le déjeuner et nous les femmes nous sommes allés changer de tenue pour être plus sexy.

Le déjeuner terminé, nous sommes retournés dans le lieu de vie de Fabienne et Grégory ou nous nous sommes installés dans le salon pour m’écouter raconter l’histoire.

Fabienne et Camille avaient préparé quelques boissons et des amuse-gueules.

Je commençais le récit par la présentation des participants :

Mes parents Brigitte et Philippe

Damien retenu à Toulouse pour sa formation de mécanicien avionique

Marie Claude maman de Muriel et belle mère de Damien

Manon et moi Julie.

Puis des amis de mes parents qui passaient leurs vacances chez nous :

Éric et Mireille et Maryline leur fille ainsi que Jean-Luc son mari.

Présents depuis une semaine ces derniers participaient à nos jeux d’ordres sexuels, nos sorties dans le but de découvrir la région qu’ils ne connaissaient pas.

  1. En racontant cette histoire je me mets souvent à la place de Papa et de Maman.

Une marche était programmée et la veille, Maman donna les directives et le programme de ces 2 jours de marche :

 « Demain jeudi et vendredi, comme convenu, nous allons faire une marche dans le massif Vosgien. Nous partirons demain matin à cinq heures, cette marche n’est pas une course, elle se fera à notre rythme entrecoupé de pause. Le principal sera d’arriver pour midi à la ferme-auberge pour un déjeuner marcaire.

Cette ferme-auberge nous servira aussi d’hébergement pour la nuit. Muriel et Marie Claude nous rejoindront pour le repas de midi seulement.

Coté tenue vestimentaire, de bonnes chaussures de marche et un coupe-vent à la rigueur un pull.

Sinon je reste en robe légère sans dessous. Emporter une bouteille d’eau et un petit encas. Marie Claude nous apportera du ravitaillement pour la suite. »

Voilà pour les infos que Maman nous a donnés, chacune d’entre nous était libre de s’habiller comme elle le désirait.

Puis Papa, qui sera le guide de cette randonnée ajouta :

« Juste pour vous signalez que cette marche se fera par étapes et que pendant cette pause libre à vous d’avoir une courte partie de plaisir, sans excès, car ça grimpe et il faudra quand même être à midi pour le repas marcaire à la ferme-auberge. N’ayez crainte, je serais stricte sur le temps de pause, afin de ne pas arriver en retard. »

Papa rajouta; pas d’excès cette nuit, je vous réveillerai à temps.

Après une nuit calme, après la douche et un petit-déjeuner léger, nous sommes allés nous habiller, nous avons décidé que tous seraient habillés de la même façon, un t-shirt et un short, bien entendu pas de culotte pas de soutien-gorge. Des affaires de rechange seront à notre disposition à la ferme-auberge.

Vérifié si vous n’avez rien oublié dans votre sac à dos, surtout votre bouteille d’eau et un coupe-vent.

Maman ajouta : « vous n’avez pas oublié vos godemichés j’espère ? »

Le départ eut lieu à 5 heures sonnante, notre guide Philippe nous menait à la chapelle première petite pause avant d’attaquer une première grimpette. Comme c’était une rando sexe à chaque pause, un ou une participante devait accomplir une courte démonstration sexuelle ? Comme Jean Luc était le dernier arrivé, il avait le choix de choisir la personne et ce qu’elle a l’intention de démontrer.

Jean Luc a choisi sa belle-mère Mireille, elle devait retirer son t-shirt et continuer jusqu’à la prochaine pause les seins nus.

Elle s’exécuta, retira son t-shirt et c’est en short qu’elle continua la marche. Ses seins ballottaient à chaque pas, ce qui nous excitait.

Je remarquais qu’Alicia commençait à s’exciter assise profondément dans le canapé, elle faisait trousser sa jupe haute sur ces cuisses dévoilant le porte-jarretelles.

J’ajoutais : « Oui Alicia, Mireille à presque les mêmes seins que toi ils sont gros et se balancent à chaque mouvement »

Elle me répondait par : « Oh oui Julie continue »

Nous attaquons à présent une montée sur environ cinq cents mètres et nous étions impatients de connaître la nouvelle punition. Arrivée au sommet, nouvelle pause. Mireille a remis son t-shirt et c’est à cette dernière de choisir celui ou celle qui allait être puni. Elle choisit Philippe qui devait exécuter un cunnilingus sur Maryline, cette dernière  s’adossa contre un arbre. Philippe s’agenouilla devant elle et lui baissa son short et la lécha pendant un moment. Maryline commençait à gémir. Philippe interrompit alors le cunnilingus, car la route était encore longue et les montées étaient éreintantes pour certains qui n’étaient pas habitués.

Philippe remonta le short de Maryline et la marche reprit son cours, il signala qu’à la prochaine étape nous aurons la possibilité de nous asseoir et de manger nos sandwichs. Il y aura aussi la possibilité de passer à une démonstration plus longue. Je demanderais à partir de cette étape de faire le guet, car c’est un carrefour ou plusieurs itinéraires de randonnées se croisent et il y a souvent du monde. Au cas où la place serait prise, nous ne prendrons que les sandwichs et la démonstration aura lieu un peu plus loin entre deux étapes.

Non seulement Alicia mais aussi Fabienne se sont mises à se caresser lentement, une main sur les seins l’autre entre les cuisses, et les autres commençaient à les imiter.

Marc et Grégory la main sur leurs queues à travers leurs shorts n’allaient pas tarder à les libérer.

Effectivement ce carrefour était occupé par d’autres randonneurs, et la démonstration n’a pas pu se faire, alors nous mangeons nos sandwichs et Philippe décida de prendre un sentier moins fréquenté que le chemin forestier. Nous repartons et nous nous engageons sur le sentier, une fois hors de vue Philippe notre guide s’arrêta et demanda de trouver les deux prochaines victimes, elle demanda alors si elle pouvait choisir tout le monde. La réponse fut oui. Alors Maryline proposa que l’on fasse pour cette étape une rando nue si vous êtes d’accord. Personne ne voyait d’objection et tous retirèrent leurs t-shirts et shorts.

Notre guide Philippe nous fit savoir qu’avant le prochain arrêt il faudra au moins remettre le short. Nous continuâmes et à cent cinquante mètres de la fin de cette étape, Philippe nous demanda de remettre les shorts et d’anticiper la démonstration ici, car le sentier rejoint le chemin forestier. Éric proposa alors une fellation et désigna les rôles, Manon suce Philippe, Julie suce Jean Luc, et Brigitte suce Éric. Les trois hommes s’adossèrent contre un arbre, les femmes s’agenouillèrent devant les sexes et débutèrent la fellation. Quant à Mireille à défaut de queue, elle se masturba. Elles avalèrent le sperme, et les seins nus se sont rendus à la prochaine étape où ils croisèrent un groupe de marcheurs qui ne croyait pas à leurs yeux de se retrouver en face de 5 paires de seins nus.

Toutes les mains étaient à l’œuvres et se masturbaient lentement tout en m’écoutant, même moi je devais me retenir sinon je ne pourrais pas continuer le récit.

C’était la dernière étape avant la ferme-auberge. Nous resterons ainsi jusqu’à destination, il est inutile de remettre le t-shirt trempé par la transpiration. Au cas où Marie Claude n’était pas encore arrivée, vous n’avez qu’à enfiler le coupe-vent. Pour déjeuner, vous porterez un t-shirt propre et une mini-jupette plissée. Toujours sous les recommandations de notre guide Philippe.

Aller on va continuer, nous sommes encore à quatre kilomètres de la destination, je vous donnerais d’autres infos une fois sur place.

Ces quatre kilomètres ne se passèrent relativement bien pas trop durs et en arrivant à la hauteur de la ferme-auberge je cherchais la voiture de Marie Claude. Je l’ai aperçu un peu plus loin cacher derrière un hangar. Arriver derrière la voiture j’ai fait signe aux autres de s’approcher sans faire de bruit, Marie Claude et Muriel enlacée s’embrassaient et se caressaient. Surtout n’effrayons pas Muriel, je n’ai pas envie que cette dernière fasse une fausse couche ici dans la voiture.

En effet cette randonnée était au début de sa première grossesse, c’est pour cette raison qu’elle n’a pas pu participer.

Nous nous sommes changés sur place, les femmes ont revêtu un t-shirt blanc et une jupette de tennis orange, sauf Muriel vêtue d’une robe de grossesse. Nous avons constaté que la jupette de tennis se soulevait lors d’une rafale ce qui allait exciter les éventuels voyeurs.

Philippe notre guide du jour nous dis :

« Pour la prochaine démonstration, elle se déroulera à l’intérieur de l’auberge au moment ou avant de déjeuner ; je cherche deux femmes volontaires pour s’embrasser à pleine bouche »

Julie et Manon étaient les seules à oser.

Et je demande à Jean Luc s’il est volontaire pour embrasser Mireille, sa belle-mère.

 La réponse fut oui et je propose de le faire en arrivant avant de prendre l’apéro. Quant aux autres si vous avez une petite envie de vous caresser pendant le repas n’hésiter pas, après le repas vous avez quartier libre.

Les yeux de Fabienne s’ouvraient étonnés de cette révélation dont elle n’était pas au courant car elle était en cuisine à l’époque et Camille était la seule au service.

Quant à Camille elle restait neutre, la vue de deux femmes se roulant une pelle, la vue d’un jeune roulant une pelle à une femme pouvant être sa mère la laissait indifférente. Nous ne les connaissions pas encore que de vus pour être déjà venus déjeuner ou dîner.

Après l’installation dans la salle de l’auberge, Julie et Manon s’embrassèrent suivies par Mireille et Jean Luc. Les regards de certaines personnes se portèrent plutôt sur Julie et Manon que sur Mireille et son gendre.

J’ai remarqué que des mains s’activaient sous les tables, certains visages se crispaient et je sentis une main glisser dans mon short et prendre mon sexe pour le masser discrètement.

J’ai vu Marie Claude sortir de son sac à main des boules de geisha, elle se tortilla pour les insérer dans sa chatte. De temps à autre elle a mis ses mains devant son visage pour ne pas faire voir aux autres qu’elle jouit.

J’ai vu alors Fabienne prendre la queue de Marc et la branler doucement et Alicia prit la queue  de Grégory.

Alors que les marcheurs commençaient à quitter l’auberge, nous nous attardons un moment lorsque l’aubergiste (Raymond le premier mari de Fabienne) est venu nous demander si nous étions satisfaits du repas.

Apercevant que nous étions habillées toutes de la même façon il croyait que nous faisions partie d’un club de tennis. La femme de l’aubergiste (Fabienne) vint se joindre à la conversation. J’ai vu que son regard se posait sur Marie Claude qui essayait de maîtriser sa jouissance en cachant son visage dans ses mains et en serrant les dents afin d’étouffer les gémissements. La patronne, croyant qu’elle se sentait mal, demanda à Marie Claude ci, elle a besoin d’aide. Marie Claude ne répondit pas, mais retira les mains devant sa bouche, la patronne a alors compris.

Fabienne exprime, toi, si tu as une remarque à faire, nous t’écoutons.

« J’étais choquée en voyant de se que vous osez faire sans gêne, et d’un côté cela m’excitait sans le montrer ».

Mireille voyant qu’aucune réaction négative ne venant de la part du couple d’aubergiste, se glissa sous la table sortie la queue de son gendre la branla et la prit en bouche bien visible du couple. La femme souffla à l’oreille de son mari qu’elle va fermer l’auberge temporairement. Puis elle revint dans la salle en déboutonnant son chemisier qu’elle retira, enleva ensuite sa jupe et son mari lui dégrafa le soutien-gorge qu’elle retira et en petite culotte se dirigea vers Eric qu’elle embrassa en lui faisant glisser son short ? Elle retira alors sa culotte, s’agenouilla et fit une fellation.

Son mari est sorti de la salle pour rejoindre la cuisine, il demanda à l’aide-cuisinier (Grégory)  et à la serveuse (Camille) de venir en salle dès qu’ils ont fini de nettoyer. Puis il revint en salle et se déshabilla à son tour. Alors les jupettes et t-shirts tombèrent, les couples se formèrent, Brigitte s’occupait de l’aubergiste, Marie Claude de Muriel, Maryline de Manon et Julie vint s’occuper de Philippe.

Fabienne :

« C’est Mireille en se glissant sous la table pour sucer la queue du jeune qui a déclenché en moi une envie de participer alors que je ne savais pas encore que Jean Luc était le gendre de Mireille ni vraiment les liens de parenté de chacun. »

En pleins ébats quand la serveuse et l’aide-cuisinier firent leurs apparitions, surpris par cette orgie et après hésitation ils se déshabillèrent à leurs tours et formèrent un nouveau couple.

Après la fellation ou le cunnilingus, les partenaires s’échangèrent et chaque couple se cherchait une place pour baiser, sur les tables, au sol l’aide-cuisinier emmenait Manon, en cuisine, la serveuse se retrouva en 69 avec sa patronne, le patron baisait Marie Claude et ainsi de suite. L’orgie continua par de la sodomie, de la double pénétration vaginale.

Épuisé, mais content d’avoir pu passer une après-midi de baise, le couple d’aubergistes nous invita à une dégustation de ses produits fermiers. Et cette dégustation s’est déroulée dans la nudité totale même pour les aubergistes, la serveuse et l’aide-cuisinier. L’aubergiste nous a dit qu’ils sont depuis longtemps libertins, mais ici en montagne il y a très peu de chance de trouver une pareille occasion comme aujourd’hui. Je comprends, répondit Philippe, déjà vous n’avez pas le temps en tant que le fermier et en plus l’auberge alors pour les loisirs vous devez en avoir très peu.

Grégory prit la parole :

Effectivement j’ai eu une relation avec Fabienne pendant qu’il s’occupait du bétail ainsi qu’une relation avec Camille, ces relations sont restés sans suite, car Raymond tomba malade, jusqu’après le décès de Raymond.

L’aubergiste dit alors : je ne vous chasse pas, mais il va falloir que vous vous rhabilliez, car nous devons rouvrir. Je m’aperçus que la patronne remit son chemisier sans remettre le soutien-gorge et remis sa jupe sans culotte. Elle demanda à la serveuse de faire de même. Après s’être rhabillé nous avions décidés d’aller prendre l’air en faisant une petite promenade, à peine sortie la patronne m’appela elle voulait parler à Brigitte et à Philippe, elle dit à la serveuse de garder l’auberge et elle nous emmena dans une pièce.

Elle nous demanda de nous asseoir dans le canapé tandis qu’elle s’assit en face de nous dans le fauteuil en prenant soin de trousser sa jupe sur ses cuisses nous dévoilant la chatte poilue sans aucune culotte.

Elle nous demanda s’il n’y avait pas la possibilité de nous revoir sans son mari pour commencer. Brigitte a répondu à ma place :

« Mais oui il n’y a aucun problème quand tu veux… »

« Euh ! Oh pardon moi c’est Fabienne ! »

«  Moi c’est Brigitte et mon mari Philippe »

« Bien, mais je voudrais vous demandez quelque chose Brigitte ! Je ne sais pas si vous allez répondre ? »

« Allez Fabienne dites-moi ce qui vous tracasse ! »

« Vous avez une fille ? »

« Oui, Julie ! »

« C’est elle qui vous a sucé Philippe ? »

« Oui, tout à fait ! »

« Fabienne vous êtes choquée ? »

« Non, car je vous avoue que la serveuse est notre fille, Camille et nous couchons ensemble depuis une semaine. Alors je voudrais vous rencontrer avec ma fille seule pour commencer. »

« Comme tu veux Fabienne et quand tu veux !, cela ne nous cause aucun problème »

« Lundi c’est jour de fermeture cela irait chez vous ? »

« Oui, aucun problème ? »

« Matin ou après-midi ? »

« Venez en fin de matinée vous déjeunerez avec nous. »

« D’accord, Brigitte, tu me donneras l’adresse. »

« Une information Fabienne, nous sommes naturistes chez nous, ne sois pas choquée et en aucun cas je peux vous obliger à vous mettre nues. »

Sur ce, elle demanda à Brigitte si elle ne veut pas venir la lécher et à moi pour une fellation. Brigitte s’agenouilla alors entre les cuisses de Fabienne et lécha sa chatte trempée. Philippe se mit debout sorti sa bite et la présenta à l’entrée de sa bouche. Elle la prit entre ses doigts, la branla et approcha ses lèvres de son gland, sa langue tournoyait autour titillant son frein avant de la prendre au fond de sa gorge et d’entamer des va-et-vient tout en branlant d’une main et de malaxer ses couilles de l’autre. Elle ne tarda pas à jouir sous la langue de Brigitte et elle autorisa Philippe à gicler au fond de sa gorge. Son mari fit alors irruption dans la pièce et trouva sa femme avec le trop-plein de sperme qui s’écoula de sa bouche. Il sourit sans aucun commentaire.

 Fabienne demanda à Camille de venir nous voir. Comme elle n’était pas encore au courant de nos relations incestueuses, elle vint s’installer entre Brigitte et sa maman qui l’a informée que nous sommes devenues complices dans la pratique et que nous sommes invités chez Brigitte et Philippe lundi prochain, elle l’informa aussi que nous sommes naturistes à domicile, mais que nous ne sommes pas obligés de l’être ou de le devenir.

Fabienne demanda à sa fille Camille si elle a remis son soutien-gorge et sa culotte. Elle répondit que oui, alors sa maman l’informa qu’à partir d’aujourd’hui elle à ranger ses sous-vêtements au placard, tu es libre ma chérie d’en porter ou pas.

Fabienne a entretemps changé de tenue de travail pour le service, en fournissant des chemisiers blancs assez transparents, ne permettant plus d’être seins nus et de même à demander de remettre une culotte ou un string pendant le service.

Nous sommes alors ressorties dans la salle où nous attendaient les autres.

Raymond l’aubergiste nous dit que le ciel s’assombrit et qu’il va y avoir un orage. Alors il nous fallait prendre une décision. Si ce n’est qu’un orage passager et court aucun problème pour le retour à pied, mais si c’est le contraire, Marie Claude soit que tu fais deux voyages ou alors quelqu’un nous descendra.

Raymond a eu vent et à demander à Fabienne de nous ramener au cas ou. Ce qu’elle accepta avec le sourire.

Nous avons passé une nuit sans trop de jeux entre nous, dehors nous entendons le vent et la pluie tombée. Ainsi après le petit-déjeuner, nous serons véhiculés par Fabienne. Reste à dispatcher par voiture. Après décompte une personne sera de trop. Raymond dit à Fabienne de prendre dans ce cas l’utilitaire.

Nous sommes rentrés à bon port et secs. Pour remercier Fabienne, nous l’avons invitée à boire un café et en même temps informer Julie de cette nouvelle complicité.

Marie Claude, Muriel, Manon Maryline et Jean Luc regagnèrent leurs chambres et se préparèrent à prendre leur douche, Mireille et Eric leur camping-car.

La première chose en rentrant nous nous sommes déshabillées sous le regard de Fabienne qui elle n’osait pas encore, mais elle nous promet que lundi elles le seront. Brigitte à préparer le café et Julie a fait connaissance de Fabienne. Julie apprenait à Fabienne nos coutumes et l’embrassa amoureusement et en passant sa main sous sa jupe à la recherche d’une culotte qu’elle ne trouva pas, mais à la place de cette dernière elle trouva une toison bien fournie.

Elles en restèrent là car Fabienne devait remonter à la ferme-auberge.

Voilà cette marche de sexe s’est très bien passé, et nous pensons déjà à en refaire une autre.

Pendant tout le récit les mains s’activaient sur les sexes, avant que les langues ne prennent le relais soit pour une fellation soit pour un cunnilingus.

C’était la dernière journée avant la réouverture de l’auberge. À partir de demain samedi 1 er avril les plaisirs sexuels deviendront plus rares.

Manon et Julie vont mettre une pause temporaire dans nos récits, par manque de temps, mais nous reviendrons dès que possible pour de nouvelles aventures !

Un grand merci à Lucie et Franck pour la publication de nos récits.

Merci aussi aux lecteurs qui nous soutiennent par leur like !

Manon et Julie !

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