Avant-Propos.
Comme promis à la fin de la série : Nouvelles aventures professionnelles et sexuelles de Julie et Manon 8, nous voilà de retour pour vous raconter la suite de nos aventures.
Première surprise :
Nous sommes au matin du samedi 1er avril le jour de la réouverture de l’auberge, il est 7 heures, seule Fabienne est présente à l’auberge et a procédé à l’ouverture du bar afin de servir les boissons et les cafés aux randonneurs.
À 7 h 30, j’accompagne Manon qui doit passer l’aspirateur dans la salle et dans les deux terrasses.
En arrivant au bar Manon et moi nous avons embrassé Fabienne par un baiser rapide sur la bouche, car comme l’a décidée Fabienne plus aucun acte sexuel n’est permis à l’auberge. Pour moi j’en doute fort que cela tiendra longtemps et je parie qu’avant la fermeture ce soir une main baladeuse me touche ou touche quelqu’un d’autre.
Deux couples de randonneurs sont rentrés, apparemment des habitués car ils tutoyaient Fabienne. Je ne restais pas ayant du travail de préparation à faire avant l’arrivée d’Alicia et de Christelle. Marc lui étant à mi-temps n’arrivait qu’en début d’après midi.
Christelle s’était mise d’accord pour emmener Alicia laissant sa voiture à Marc. En les apercevant je me suis précipité dehors pour les accueillir à ma façon. Christelle se garait à côté de moi et avant de descendre de voiture je m’aperçus que les deux avaient leurs jupes troussées jusqu’à la taille, et en plus elles ne portaient aucune culotte. En sortant de voiture, elles laissèrent sur les sièges un gode ventouse dégoulinant de cyprine.
« Oh les cochonnes,vous faites cela depuis votre départ du domicile? »
« Si ma chérie, et nous avons bien joui »
« Vous n’avez pas de culotte ?, si Fabienne le remarque vous allez avoir des problèmes »
Elles sortirent de leur sac à main chacune un string et l’enfilèrent et ne baissèrent que leurs jupes avant de rentrer ? Au vestiaire elles enlevèrent leurs vestes et se présentèrent dans la tenue réglementaire, en passant par la cuisine elles embrassèrent Manon et Grégory qui s’affairaient à la préparation des différents plats.
Voilà les filles il est temps de se mettre au travail si nous ne voulons pas être en retard , je vous ai préparé les chevalets comportant les noms et nombre de personnes pour les personnes ayant réservé. Les deux terrasses ont par contre des tables de libre pour les non réserver.
C’est à ce moment-là que Camille est venue nous rejoindre, elle s’est excusée du retard dû à une panne d’oreiller, puis m’aida à la préparation de la salle.
En posant les chevalets sur les tables je retombe sur celui de mes parents 5 personnes au nom de Brigitte et Philippe, m’interrogeant toujours qui peuvent être les 3 autres hormis Papa et Maman excluant Muriel ma belle-sœur enceinte et Marie-Claude qui restait auprès d’elle, je ne voyais que mon frère Damien. Bref je verrais bien, de plus papa à réserver la table un peu à l’écart des autres tables séparées par un massif de fleurs destinée pour avoir un peu d’intimité.
L’heure tournait, au bar ne restait que quelques randonneurs qui d’ailleurs ne tardèrent pas à partir. Je me suis alors rendu voir Alicia et Christelle si elles ont fini le travail avant que nous allions nous mettre à table pour le repas du personnel qui se prenait avant le début du service de midi.
Tout allait bien, lorsque Christelle s’approcha de moi je fus surpris par sa tenue qui n’était certainement pas approuvée par Fabienne, En effet hors le chemisier lequel étaient légèrement transparents pour nous tous, Christelle avait mis un soutien-gorge transparent laissant apercevoir les taches brunes de ses aréoles et ses tétons.
Je lui fis la remarque :
« Christelle tu n’as pas un autre soutien-gorge à mettre ? » « Fabienne ne t’a rien dit ? »
Elle répondit : « Mince c’est vrai, ce matin je me suis levée à la dernière minute j’ai pris le premier qui m’est tombé dans la main et suis partie en catastrophe. » « Non Fabienne ne m’a rien dit »
« Écoutes-tu à la même taille que moi, je t’en cherche un des miens tu n’as qu’à te changer avant que Fabienne s’en aperçoive ».
Pas de chance au moment ou j’allais sortir pour monter dans notre logis chercher un soutien-gorge Fabienne fit irruption et me demanda où j’allais, Christelle prenait les devants en expliquant à Fabienne le pourquoi, elle lui pardonnait pour une fois puis me laissa aller chercher le sous-vêtement.
Christelle se rendit au vestiaire m’attendre et pour que cela aille plus vite elle retira son chemisier et son soutien-gorge pour mettre le nouveau que je lui ai apporté. Pour me remercier elle me roula une courte pelle, puis nous sommes allés prendre notre repas de midi, Pendant notre repas ce fut Camille qui allait servir les clients au bar les lieux de restaurations n’ouvraient qu’à 11 h 30.
Les premiers clients arrivèrent et s’installèrent à leurs places réserver. Les deux terrasses étaient déjà pleines, il ne restait qu’une table de 4 personnes de libre pour les non réserver, quand à la salle où je servais elle se remplissait plus lentement.
Quand soudain la surprise tant attendue arriva, Maman avec son déambulateur accompagner par Papa se présentait et tout en les embrassant je les installais à leur place qu’ils avaient réservée.
Je demandais alors à Papa :
« Papa tu as réservé pour 5 personnes et vous n’êtes qu’à deux ? »
« Patience ma fille d’ici une à deux minutes les trois personnes manquantes seront là »
« Papa excuse, moi, mais je dois m’occuper des autres clients, je reviendrais pour prendre la commande ».
J’ai continué mon travail en prenant les commandes, aidé par Camille qui au bar préparait les boissons que je servais au fur et à mesure, aux clients et en voulant retourner aux passe-plats pour le début du service repas j’aperçus mon frère Damien suivi par Véronique et Loic.
(Loïc étant pilote de chasse et Damien mon frère étant son mécanicien. Véronique est la femme de Loic) (Pour être plus précise cette Véronique n’a rien à voir avec la Véronique qui écrit des récits que vous pouvez lire actuellement sur ce site)
J’ai fait signe de la main à Damien que je n’ai pas le temps pour l’instant étant en pleins coups de feu.
Camille continua à servir les apéros et moi je commençais à servir les entrées. Ce qui est bien c’est que la plupart des clients viennent déjeuner pour avoir la spécialité de l’auberge « Le Repas Marcaire ».
J’avais un moment de répit je suis allé à table pour saluer Véronique et Loic ainsi que mon frère.
Véronique me dit qu’ils vont rester ici à l’auberge jusqu’à demain dimanche soir avant de retourner à Saint Dizier et qu’elle me verra ainsi que Manon pendant ma coupure.
Je ne m’attendais pas à les revoirs de sitôt, pour vous aider à mieux les connaître Damien était l’amant de Véronique lorsqu’il était à Luxeuil avec le consentement de Loic. C’est un couple libertin comme notre famille et ainsi ils ont fait connaissance de notre famille entière et sont devenus nos amants.
Le service de midi de ce premier jour de réouverture fut une réussite la salle et les deux terrasses affichèrent complet, les clients très contents commencèrent à quitter l’auberge, la plupart étant des randonneurs.
Il ne restait en salle que mes parents et amis. Pendant que Camille allait aider Alicia et Christelle à desservir les tables des deux terrasses, je suis allé desservir la table de mes parents. J’ai remarqué que Papa avait sa main posée sur la cuisse de Véronique troussant sa robe et elle ne se gênait pas pour caresser le sexe de Papa discrètement à travers le pantalon, caché par la nappe.
En face Loic et Maman devait faire la même chose à la vue des bras qui bougeaient de temps en temps.
Soudain j’ai senti une main se poser sur mes fesses à travers ma jupe, cette main était celle de Damien que j’ai repoussé immédiatement en lui disant :
« Pas maintenant Damien tu ne peux pas attendre que j’aie ma coupure ? »
Alors que j’allais continuer de débarrasser la table Fabienne est venu saluer la famille et elle s’est rendu compte du jeu qui se déroulait sous la table, ni Papa ni Maman avait cessé les caresses malgré la présence de Fabienne.
Fabienne n’allait pas me faire la remarque car elle était tout comme Camille l’amante de Papa et de Maman à l’époque de Raymond son premier mari. Pour les remercier Fabienne leur a offert un café que j’allais devoir les servir et elle me dit :
« Julie, je te donne libre, tu cherches Manon, Camille et moi nous finirons la mise en place de la salle. En revenant avec les cafés, j’ai remarqué que Véronique n’était pas à sa place et sur la table un morceau de papier ou j’ai reconnu l’écriture de Papa ou étais noté :
« Chérie, rend toi aux toilettes enlève ton soutien-gorge et ta culotte »
Véronique revint quelque instant après tenant dans sa main les deux sous-vêtements, elle devait traverser le bar ou se trouvait encore du monde. Revenue à table en s’asseyant elle fit passer sa robe sous ses fesses pour s’asseoir cul nu sur la chaise. Elle portait un porte-jarretelles noir des bas couleur chairs. Ses tétons pointaient à présent perçant le fin tissu de sa robe décolletée en V.
Manon nous a rejointes et après les embrassades, j’ai demandé si vous êtes d’accord de faire une petite promenade amoureuse ?
Tous étaient d’accord, sauf que Damien soulevait le problème de Maman, elle se déplace avec le déambulateur donc elle ne pourra pas nous accompagner.
Ah oui c’est exact, j’ai une idée et si tu restes ici avec Maman et que Marc s’occupe d’elle avec Alicia et Camille vous irez dans la chambre de Camille et nous nous emmènerons Christelle et Grégory, Fabienne ne viendra pas car le bar reste ouvert.
Nous allons tous aider maman à rejoindre la zone de vie, et profité pour aller nous retirer nos tenues de travail pour ne pas les salir, Je quittais alors mes bas autofixant mon string et soutien-gorge pour revêtir une minirobe décolletée et dos nu. Christelle fit de même.
Loïc me demanda ou nous allons, je lui répondais que je connais un endroit où nous allons souvent baiser il y a une petite clairière à un croisement de deux chemins où se trouve un banc.
Loïc rajouta, mais cela ne va pas être possible c’est un lieu de passage ou il y a certainement beaucoup de randonneurs.
Loïc ne t’inquiète pas derrière cet endroit il y a un ancien bunker datant de la seconde guerre mondiale c’est là que nous baisons. À l’avant sur le banc il y a bien entendu le risque d’être interrompu ou d’être découvert, mais ce risque augmente l’excitation.
Maman à peine installer impatiente d’avoir un sexe d’homme dans sa bouche ou dans son sexe avait déjà la main posée sur le sexe de Marc, et Alicia enlaça Camille et l’embrassa goulûment. Les deux se dévêtir et une fois nues elles s’allongeaient sur le lit pour se caresser, s’embrasser et se lécher, elles se positionnèrent tête bêche se bouffant leurs chattes.
Quant à Maman elle branlait et embouchait la queue de Marc, Maman assise sur une chaise et Marc debout pantalon et boxer baisser se faisait sucer sa queue.
Damien lui ne pouvait que participer visuellement ou buccales aux ébats, car comme vous le savez il a été victime d’un terrible accident du travail amputant sa jambe droite et sectionnant ses parties intimes.
Au même moment, nous nous dirigeons main dans la main ou bras dessus bras dessous vers la clairière. Véronique et Grégory s’arrêtant souvent pour s’embrasser et se toucher, elle fut étonnée en glissant sa main dans le short de la taille de son sexe. Et la main de Grégory partait souvent sous la robe à la découverte de sa chatte trempée d’excitation, de ses fesses ou de ses seins en glissant une main dans son décolleté.
Quant à Loïc il avait droit à Manon à sa droite et moi Julie à sa gauche. Tout en marchant il pelotait nos fesses soit sous nos robes soit par-dessus, il ne savait plus à laquelle il devait donner ses lèvres pour un baiser langoureux, chacune d’entre nous voulait être la première.
Retour dans la chambre de Camille où Maman venait de terminer la fellation sur Marc qui à éjaculer au fond de sa gorge, Marc reprenait de la force, Damien s’étant installé entre les cuisses de Maman en s’occupant de son clitoris et Alicia se mettait en califourchon au-dessus du visage de Maman, elle s’abaissait posant sa chatte sur le visage de Maman qui dégustait la cyprine laissée par la baise avec Camille. Cette dernière embrassa goulûment Marc et s’efforçait de redonner des formes au sexe de Marc afin de pouvoir baiser Maman.
Nous voilà arriver au croisement des chemins nous n’avions encore croisé personne , mais cela ne devrait pas tarder à venir.
Voilà ce que je vous propose de faire :
« Grégory et Loic vous vous asseyez sur le banc, Véronique et Christelle à côté et vous aller sucer leurs queues et Manon et moi nous nous masturberons tout en faisant le guet et en vous regardant ». « Pour baiser vous vous enfoncer dans la forêt derrière vous il y a ce bunker, mais il faudra baiser debout Véronique et Christelle en levrette prenant appui soit au mur du bunker soit à un arbre.
Avant de s’asseoir Grégory baissa son short et son slip sous ses fesses faisant apparaître une énorme queue qui faisait réagir Véronique de peur qu’elle se fera déchiré son vagin voir son anus et même elle se disait je ne vais jamais y arriver d’avaler se sexe, seulement elle n’hésitait pas à le branler dans un premier temps puis avec sa langue de lécher le gland en titillant le frein tandis que Grégory lui posait une main sur la tête et de l’autre il plongeait dans le décolleté pour lui pétrir les seins.
Loïc et Christelle les imitèrent assis à leur côté tandis que Manon se postait à distance pour faire le guet en direction de l’auberge et moi je faisais le guet dans l’autre sens. Nous étions très excitées en voyant les deux couples en pleines actions que nos mains ont troussées nos robes et nos doigts ont pénétrés nos vagins.
En pleine action Manon lança l’alerte, nous nous sommes rajustées, Véronique et Christelle se sont redressées et Grégory et Loïc ont remballé leurs engins laissant les randonneurs passer.
Après le passage de ces personnes j’ai estimé que le danger de se faire surprendre allait en augmentant et il était préférable que nous nous rendons derrière le bunker pour passer à la baise.
Alors nous nous sommes dirigé vers le bunker et après s’être assuré que personne n’est présent dans les environs, Loïc et Grégory se sont adossés contre le mur du bunker ont baissés leurs shorts et Christelle et Véronique se sont accroupies pour continuer la fellation,
Manon s’est alors adossée à côté des deux hommes et m’a demandé de venir là léchée, tout en continuant de faire le guet. Je ne me suis pas fait prié, elle troussa sa robe écarta ses cuisses, et de mes deux mains j’écartais sa vulve et débutait un cunnilingus.
À l’auberge, plutôt dans la chambre de Camille, Marc s’apprêtait à faire l’amour à Maman dans la position du missionnaire. Il la pénétra lentement puis de plus en plus vite. Alicia s’allongea alors à même le sol entraînant Camille dans un 69.
Damien alors décida de retourner à l’auberge voir Fabienne, elle devait s’ennuyer, mais en arrivant par la porte de service je surpris Fabienne dans la cuisine adossée au plan de travail la jupe troussée son string abaissé se godant avec le manche d’un rouleau à pâtisserie. Elle ne m’a pas entendue arriver et je ne voulais pas l’effrayer je suis resté à la regarder dans l’encadrement de la porte. Elle dut à un moment donner interrompre sa masturbation car la sonnette retenti par l’arrivée de client. Elle retira son rouleau à pâtisserie remonta son string baissa sa jupe et sortie servir les clients. Elle revint un peu plus tard, je pensais qu’elle allait remettre sa masturbation, mais elle lavait le rouleau et le rangeait à sa place et rejoint le bar. Je finis par rentrer en disant à Fabienne discrètement afin que les clients ne l’entendent pas que c’est dommage de ne pas avoir pu terminer votre masturbation.
Elle me sourit et me dit à tout à l’heure mon chéri. Tout étonné qu’elle me dit à tout à l’heure mon chéri je me demande ce qu’elle à derrière la tête. Je suis certain qu’elle va fermer l’auberge lorsque les deux clients sont partis pour une courte période et va venir nous rejoindre afin de calmer ses pulsions sexuelles.
Retour dans la forêt ou Véronique s’est relevée et c’est mis en position debout, penchée en avant les jambes écartées et prenant appui au mur en béton du bunker présentant les deux parties intimes à Grégory qui d’une main présentait son monstre à l’entrée du sexe de Véronique. Puis de sa main libre il la tenait par la hanche et poussait lentement sa queue dans le vagin jusqu’à ce que son gland touche le fond. Maintenant des deux mains tenant les hanches il fit coulisser son sexe dans le vagin en allant et revenant, Véronique hurlait de plaisir sa cyprine lubrifiait le conduit où s’activait la queue à un rythme de plus en plus rapide. De l’autre côté Loic se prépara aussi à baiser Christelle, il essaya une autre position soulevant Christelle à bonne hauteur afin qu’elle s’empale sur la queue les deux jambes entourant le corps de Loic il débuta la baise mais l’interrompit vite pour prendre une position plus classique en demandant à Christelle de s’installer en levrette à même le sol.
Manon et moi nous nous sommes mis en 69, plusieurs orgasmes nous secouèrent et les deux hommes se retirèrent pour éjaculer dans les bouches de leurs partenaires qui sont venues ensuite partager la crème en nous roulant des pelles.
Après avoir mis de l’ordre dans nos tenues il était temps de retourner à l’auberge, de nous changer et de reprendre notre travail.
Nous sommes arrivées juste à temps, après avoir fait une toilette et avoir remis nos tenues de travail nous sommes retournés à l’auberge où nous attendait Fabienne. Puis j’ai remarqué que cette dernière s’est dirigée vers Loic et Véronique et a appelé Papa. Comme elle ne pouvait pas participer aux plaisirs sexuels elle nous informait qu’elle avait envie d’être baisée à son tour par Véronique, Loic et Papa.
N’ayant pas envie de baiser à l’intérieur elle demanda s’ils étaient d’accord de retourner à l’endroit où ils étaient avant. Aucune objection ne venait des autres, les quatre prirent la direction du bunker.
Fabienne et Loic main dans la main suivi par Véronique et Papa. Ce dernier demanda à Fabienne de prendre les devants, ils les rejoindront un peu plus tard. Papa avait plutôt envie d’être seul avec Véronique un moment. Ils s’arrêtèrent un moment laissant Loic et Fabienne et Loic s’en aller et une fois qu’ils étaient hors de vu, Papa sorti son sexe de son pantalon demandant à Véronique de le sucer. Elle s’exécuta en s’agenouillant prit le sexe en bouche et le suça. Papa demanda à Véronique de rester immobile la queue dans sa bouche , c’est Papa qui allait branler sa bouche. Elle profita pour porter sa main sur sa chatte et se doigter énergiquement tout en ayant le sexe dans sa bouche.
Papa ne tarda pas à inonder la bouche de sa partenaire qui avala une partie de son sperme.
Avant de rejoindre Loic et Fabienne papa troussa la robe de Véronique au-dessus de ses seins et lui demandais de rester ainsi jusqu’à ce qu’ils arrivent au bunker. Elle ne portait plus que son porte-jarretelles, les bas elles les avaient enlevés pour ne pas les déchirer après le déjeuner.
Arriver au bunker Fabienne était à genoux devant Loic et suçait sa queue de bonne taille tout en la branlant d’une main et de l’autre massait ses couilles.
Véronique par contre demandait à Papa de la sodomiser tout de suite sans préliminaire. Papa ne se fit pas prier et demanda qu’elle se mette tout de suite en levrette. Il se plaça derrière elle et avant de présenter son sexe bandé à l’entrée de son anus cracha de la salive sur sa rosette et aussi passa ses doigts sur sa chatte trempée pour récupérer de la cyprine. Puis il plaça sa queue devant le petit trou et doucement entreprit la pénétration dans le conduit. Véronique hurla de plaisir étant habitué à la sodomie que Loic lui prodiguait souvent. Elle obtint vite deux orgasmes d’affilée.
Quant à Fabienne elle s’était placée à côté de Véronique en levrette mais elle préférait la pénétration vaginale.
Papa en attendant que Fabienne obtînt l’orgasme, s’allongeât et plaça sa tête entre les cuisses de Véronique toujours en levrette pour lécher sa chatte et titiller son clito bandé.
Mais leurs étreintes furent interrompues par des cris d’enfants. Ils décidèrent alors de cesser et de rajuster leurs tenues.
Puis ils rebroussèrent chemin pour rentrer à l’auberge ou les premiers clients arrivaient pour le dîner.
À suivre !
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