Par une froide nuit de fin novembre, un dimanche, j’avais enfilé un collant noir et une jupe un peu plus longue que d’habitude. J’adore sentir le tissu sur ma peau et imaginer qu’on pourrait me voir. Ce soir-là, j’ai décidé de me rendre à une aire d’autoroute bien connue, où l’on trouve presque toujours quelqu’un prêt à s’amuser. Les cinémas pornos sont fermés le week-end, alors c’était l’endroit idéal.
À peine arrivé, j’ai senti que je ne resterais pas seul longtemps. Rien que d’y penser, mon sexe s’est durci, tendant mon collant tout neuf et le trempant de désir.
Comme toujours, j’ai d’abord fait un tour pour repérer si quelqu’un était intéressé. Puis, direction les toilettes pour essuyer l’humidité sur mon membre, car l’excitation coulait déjà le long de ma verge. Je voulais aussi me préparer pour ce qui, je l’espérais, allait suivre. Dans les toilettes, devant l’urinoir, j’ai relevé ma jupe, baissé légèrement mon collant et essuyé mon sexe raide. C’est là que j’ai remarqué qu’on m’observait.
Un homme me fixait, se léchant les lèvres en voyant mon excitation. J’ai alors enduit mon anus de lubrifiant, le massant doucement. Ça l’a rendu fou de désir. Il s’est approché, a caressé mon cul plusieurs fois, effleurant mon orifice. Lentement, il a glissé un doigt en moi, puis l’a retiré tout aussi doucement. J’ai entendu sa braguette s’ouvrir.
Il a baissé son pantalon juste assez pour libérer son sexe gonflé. Je faisais toujours face au mur quand il a frôlé mes fesses avec son membre, le frottant lentement entre elles. D’une main, il a atteint mon sexe, caressant ma verge trempée, où les premières gouttes perlaient déjà sur mes testicules.
Il m’a doucement penché en avant, et j’ai cambré mon cul pour l’offrir. Son sexe s’est approché de mon anus, et il a pénétré doucement, juste avec le gland. J’ai gémi de plaisir. Il entrait et sortait avec seulement le bout, puis, après quelques poussées délicates, je l’ai senti tout entier en moi. À chaque coup, je gémissais bruyamment, incapable de me retenir. En jetant un coup d’œil sur le côté, j’ai vu qu’on avait des spectateurs, qui se masturbaient déjà.
Mon partenaire a accéléré le rythme, grognant de plaisir, ce qui m’excitait encore plus. Quand il m’a pris comme un forcené, je n’ai plus tenu. Pour la première fois, j’ai joui sans me toucher. Une giclée puissante a jailli dans mon collant, le sperme coulant le long de mes jambes. Les spectateurs l’ont remarqué, certains murmurant « Trop bon ! »
Mon amant s’est déchaîné, et avec un grognement rauque, il a éjaculé en moi, sa semence chaude m’emplissant. L’un des voyeurs a crié : « Vas-y, remplis cette salope ! » À peine avait-il retiré son sexe qu’un autre a pris sa place, me pénétrant et déchargeant à son tour après quelques coups. Le troisième n’a pas eu le temps de me prendre ; il a joui sur mes fesses et mes jambes.
Les trois hommes sont partis après m’avoir claqué les fesses, l’un d’eux lançant : « T’es une sacrée pute ! » Sans me nettoyer, j’ai remonté mon collant et enfilé une culotte trouvée dans la buanderie de mon immeuble. Mes jambes tremblaient, mais c’était le meilleur sexe de ma vie.
J’ai rabattu ma jupe et regagné ma voiture. À chaque pas, le sperme s’écoulait de mon cul, faisant durcir mon sexe à nouveau. Dans la voiture, j’avais prévu un gode, que j’ai glissé en moi pour garder ce mélange délicieux le plus longtemps possible. Par précaution, j’avais posé une serviette sur le siège.
Sur le chemin du retour, je sentais le sperme vouloir s’échapper, mais je l’ai retenu autant que possible. Arrivé chez moi, sous un lampadaire, j’ai laissé couler. Une vague chaude a ruisselé le long de mes jambes, jusque dans mes chaussures. Dehors, il faisait froid, mais ce liquide brûlant sur ma peau était divin.
En secret, j’espérais qu’un passant me voie et se masturbe en me regardant. Une fois dans mon appartement, j’ai dû me soulager une dernière fois, éjaculant abondamment. Maintenant, je suis là, à écrire cette histoire, espérant qu’elle excite quelqu’un autant que moi. J’espère revivre ça un jour.

























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