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Odile la cougar dominée par son jeune amant Chapitre 1

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Je m’appelle Odile, je suis une femme de quarante-deux ans, mariée à un homme merveilleux depuis plus de vingt-six ans, mère d’un garçon de vingt-six ans et d’une fille de vingt-deux ans. Je suis conseillère financière dans une grande banque. Je mesure un mètre soixante-dix, pèse soixante-six kilos, j’ai des cheveux bruns et des yeux bleus. On me dit très belle pour mon âge, ce que j’admets et trouve flatteur.

Bien évidemment, il m’arrive de regarder des hommes, mais je n’ai jamais été jusqu’à seulement imaginer tromper mon mari. J’aime aussi être regardée, je vous l’avoue, parfois même par des types bien plus jeunes que moi. Je n’ai jamais été infidèle à mon mari que j’aime énormément. Je ne crois pas qu’il soit possible d’être infidèle à l’homme qu’on aime, mais depuis peu j’ai réalisé que l’amour et le sexe n’ont finalement rien à voir.

C’est un vendredi soir de juin, je rentre du travail. J’arrive à la maison, je stationne. Je remarque qu’il n’y a pas mal de voitures devant notre maison.

Quand j’entre, j’entends de la musique assez forte et c’est là que je comprends que mes enfants sont en train d’organiser une petite soirée entre amis, au sous-sol.
Je descends les voir, les salue, leur demande s’ils ont mangé.
Mon fils joue à la Play Station avec des amis, ma fille flirt avec un garçon ; cinq garçons et quatre filles font également partie de ce tournoi électronique. Je discute quelques minutes de tout et de rien avec eux puis je leur dis que, me sentant fatiguée, je vais prendre une douche et m’étendre un peu.

Je leur souhaite une bonne soirée et je remonte. Je me rends dans ma chambre où je commence à retirer boucles d’oreille et chaînettes devant le miroir de ma commode. Soudain, je sens deux mains chaudes glisser le long de mes cuisses, relevant ainsi ma jupe. Je sursaute. Je sais que ça ne peut pas être mon mari, il est absent pour trois semaines, pour raison professionnelle. Donc, je me retourne. Il s’agissait d’Omar, un ami de mon fils.

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Surprise d’avoir été touchée, je lui demande ce qu’il fait ici, dans ma chambre et lui ordonne de retourner en bas immédiatement. Il me répond que ça fait longtemps qu’il a envie de moi et qu’il croit que moi aussi j’ai envie de lui, car il a remarqué que je l’ai déjà observé.

Le pire, c’est qu’il a raison. Je n’éprouve aucune envie pour lui, mais effectivement, je l’avais déjà regardé ; j’ignorais totalement qu’il s’en était rendu compte. Omar est un très beau garçon, il a trois ans de plus que mon fils. Une femme de n’importe quel âge l’apprécierait du regard, sans nécessairement imaginer un instant coucher avec lui.

Il m’était impossible de l’apercevoir entrer dans la chambre, pendant que je suis en train d’enlever mes boucles d’oreilles devant le miroir, la porte n’y est pas visible. Dès que mon regard s’est posé sur la commode, il est arrivé derrière moi et a relevé ma jupe.

Je lui réponds qu’il rêve, que si je l’ai déjà regardé j’ai l’âge d’être sa mère. Je lui ordonne à nouveau de redescendre au sous-sol, sinon je crie et appelle la police. Mais lui me répond qu’avec la musique on n’entendra probablement pas mes cris, de ne pas m’inquiéter et qu’on a le temps parce que les autres jeunes le croient parti acheter de la bière.

Il me demande si j’aimerais partager un petit secret avec lui. Évidemment, je refuse et le somme une troisième fois de quitter ma chambre, que mon mari doit être sur le point d’arriver. Il me répond que mon fils lui a dit qu’il absent pour plusieurs jours.

Omar m’attrape par les cheveux. Je vois bien qu’il fait quelque chose avec son autre main, mais comme il me fait mal, je ne peux pas baisser ma tête pour voir ce qu’il fait. Je lui dis d’arrêter qu’il me fait mal.

C’est si douloureux que j’ai le réflexe de me mettre à genoux pour tenter de diminuer la douleur. Et c’est là que je comprends ce qu’il a fait de son autre main. À genoux devant lui, mon visage se retrouve vis-à-vis de sa bite qu’il vient de sortir de son short.
— J’aimerais que tu me suces, Odile. Je te jure que ça va rester entre nous.
— Omar, arrête ça tout de suite.
— Je me suis trop masturbé en imaginant que tu me suçais, j’aimerais que tu me la suces, juste une fois.
— Non, pourquoi tu ne le demandes pas à une fille de ton âge ?
— Je ne te lâche pas tant que tu ne m’auras pas fait une pipe.

Je finis par me soumettre à sa demande, je commence à le sucer, non pas parce que je cède, mais parce que je suis déjà excitée et finalement j’ai envie de sa bite dans ma bouche. Il me dit que ça l’excite si je le regarde dans les yeux pendant que je le suce. Ça fait déjà quatre ou cinq minutes que je suis à genoux devant lui, en train de lui tailler une pipe… À force de le sucer, je mouille de plus belle, je m’applique de plus en plus à lécher ce si beau membre d’un si beau jeune homme qu’Omar.

Totalement excitée, j’oublie tout maintenant, les enfants au sous-sol, mon mari absent, je prends goût à être aux genoux du beau Omar.

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Je lui fais un petit sourire en le regardant dans les yeux et en donnant deux ou trois bisous sur son membre, et me remets à le sucer doucement. Moi, une femme mariée, je suis en train de sucer un jeune ami de mon fils.
— Je ne savais pas que tu suçais aussi bien que tu peux être bandante.
— Tu aimes ? J’espère juste que tu vas tenir ta promesse de garder le secret.
— Je te le promets, Odile. Ça restera entre nous.

Pendant que je le suce, je regarde ce jeune mâle dans les yeux. Le voir soupirer, fermer les yeux, l’entendre pousser ses petits gémissements m’excite terriblement et je me sens de plus en plus humide sous ma jupe. Je reste à genoux devant lui comme ça au moins dix ou quinze minutes jusqu’à ce qu’il retire son membre que, pourtant, excitée comme je suis, je l’aurais bu sans problème.

Sans me dire un mot, il me remet debout et virilement, il me soulève dans les airs un peu de la même façon qu’un lutteur soulève son adversaire du sol pour le projeter par terre. Je me retrouve la tête à l’envers devant son membre et je sens un doigt écarter mon string, sa langue entre en contact avec mon clitoris.

Un 69 debout, c’est la première fois que je pratique une telle position. Omar me lèche, je le suce. Bon Dieu que c’est bon.

Omar sait très bien par où il faut passer la langue pour que ça plaise autant à une femme. J’en déduis qu’il a beaucoup d’expérience et que c’est même lui qui m’en montre.
À chaque léchage sur la longueur de ma vulve, je pousse des gémissements, je grimace de plaisir. Il sait quoi faire. Il me tient fermement contre lui, je n’ai que sa cuisse gauche pour me retenir, mon autre main étant occupée à gouverner sa belle et puissante queue.

Ce mémorable 69 debout à durer, quoi, six à sept minutes ? Il a même marché pendant le 69 pour aller fermer mieux la porte de la chambre. Tout au long de sa marche, aller à la porte et son retour près du lit, ni lui ni moi n’avons interrompu le contact avec le sexe de l’autre. Je suis tellement concentrée sur son splendide membre et sur le plaisir qu’il me procure avec sa langue que la dernière chose que vous pensez quand vous éprouvez de tels plaisirs, c’est l’âge de la personne qui vous les procure.

Omar m’a ensuite manipulée d’une telle façon que je n’ai même pas touché le sol et je me suis retrouvée à quatre pattes sur mon lit.
Il veut me prendre par-derrière.

Il m’a aussitôt embroché. Je réalise par la suite que je ne lui ai même pas demandé de mettre un préservatif. Mais je suis excitée que j’éprouve une telle envie de sa queue que je n’ai même pas pensé une minute à me protéger.

À la tête de mon lit se trouve un miroir. Je peux donc voir Omar, le contempler en train de me baiser. Je le trouve tellement beau. Mon regard n’arrive pas à se détacher de ses yeux. Je le regarde et il me regarde dans les yeux grâce au miroir pendant toute la pénétration. Pendant qu’il me pénètre, j’éprouve de telles sensations que je ressens comme un agréable courant électrique en moi, sans doute provoqué par l’intensité de mon excitation.

Je suis à quatre pattes sur mon lit, Omar à genoux dernière moi et voilà, une femme à la quarantaine en train de se faire baiser par un jeune et en prime, je peux admirer mon jeune baiseur dans le miroir. Il commence lentement, mais plus ça va, plus il prend de la vigueur. Ses déhanchements deviennent de plus en plus virils. Moi je suis en admiration devant lui, voyant dans le miroir son beau visage et son corps bien bâtit, ses belles épaules surplombant mon corps.

Je vois bien qu’il a son téléphone portable dans une main, mais à aucun moment j’ai pensé qu’il pouvait nous filmer avec.

Omar, empoigne de nouveau mes cheveux. Il ne me fait plus mal, il est juste ferme. Comme s’il veut me faire savoir que cette fois, c’est à lui que j’appartiens et il n’a sans doute pas tort parce que je me sens soumise à lui depuis le début de son emprise sur moi.

En plus d’empoigner mes cheveux, Omar descend parfois son corps sur le mien, collant son sternum contre mon dos. Il me tapote les seins tout en alternant des mordillements et des léchages sur mon dos, ma nuque, les côtés de mon cou, mes épaules, mes lobes d’oreilles. Il me domine.

Il se redresse quelques minutes, puis il se penche ensuite à nouveau pour exercer son pouvoir de domination sur moi. À l’occasion il me chuchote quelque chose à l’oreille, ses mots sont parfois doux, parfois cochons, mais ceux qui m’excitent le plus sont ceux-là.
— Que t’as un beau cul, Odile. T’es bandante jusqu’à l’os. Je te ferais baiser sans discontinuer.

Ses mots m’excitent d’autant plus qu’en même temps j’entends le bruit du contact viril de son pubis qui cogne contre mes fesses. Je l’implore de ne pas s’arrêter, je sus sur trois pattes, lui tenant la cuisse d’une main pour le retenir contre moi. Je n’ai jamais rien connu de pareil et j’aime cette sensation de me sentir dominée par un homme, par Omar, surtout.

Je me fait dominer comme ça pendant quinze à vingt minutes, quand soudain je sens sa queue sortir de mon puits d’amour. Quelques secondes plus tard, je sens son membre faire pression sur mon anus. Omar cherchait à m’enculer.

Comme je ne me suis jamais fait sodomiser, que je n’aie jamais accepté, je le refuse à Omar. Mais il continue quand même. Moi, je lui résiste. Alors, il pose sa main sur ma nuque en serrant, et comme j’essaye de lui échapper, de sortir du lit toujours à quatre pattes, il passe sa jambe droite devant ma cuisse droite, rendant impossible toute tentative de ramper sur le lit pour lui échapper.

Omar est trop fort. Dans cette position, avec cette prise sur ma nuque, il a autorité sur moi.

Je ne peux plus rien faire, je sent que son membre rentre dans mon anus, mais jusque là, je ne ressens pas de douleur.
— Qu’est-ce que tu fais, Omar ?
— J’essaie de t’enculer.
— Non, ça je ne veux pas. Tu as eu ce que tu voulais, arrêtes maintenant s’il te plaît.
— Laisse-moi faire, Odile, ça ne te fera pas mal et tu vas aimer ça.

Je lui résiste toujours. J’ai beau essayer de me coucher sur le côté gauche ou droit, il me ramène à quatre pattes, il est trop fort pour moi. Je ne peux pas m’allonger sur le ventre, sa jambe m’en empêche.
— Ne bouge pas Odile, ne bouge pas, me dit-il avec un bisou sur le dos.

Peu importe ce que je fais, il se sert de sa force physique pour me ramener à quatre pattes. C’est lui qui domine et les choses sont ainsi. Je le connais assez pour savoir qu’il ne lâchera pas prise. Son gland entier est déjà entré dans mon anus, je crains juste que plus il rentrera, plus ça me fasse mal. Au moins, il me demande si je n’ai pas mal, ce qui me rassure, car il semble vouloir prendre soin de moi.
— Ça va, ma belle ?
— Ça s’endure, vas-y lentement s’il te plaît.
— Tu t’es jamais fait enculer ?
— Non, tu vas être le premier, il faut me croire.

Nous sommes devant un miroir, alors il peut voir s’il me fait grimacer de douleur ou non. Je sens qu’il entre de plus en plus loin. Il me serre la nuque d’une main et me rassure de l’autre en me caressant les cheveux, les joues, le dos. Il sait que je lui suis soumise, que je ne tente plus de lui résister. Omar est peut-être jeune, mais il sait comment baiser une femme. Pendant qu’il me pénètre, on cause. Lorsqu’il me fait mal, je lui tapote la cuisse droite avec ma main et il fait attention.
— En as-tu baisé beaucoup, des femmes de mon âge ?
— Non, t’es ma quatrième, je pense.
— Tu les as toutes enculées ?
— Non, tu es la deuxième que j’encule.
— Mais pourquoi tu veux me le faire à moi ?
— Parce que t’es belle et que t’as un cul d’enfer, Odile. Comment tu te sens ?
— Ben je me sens enculée. Continue, mais lentement.
— Justement, soumets-toi. Je ne te ferai pas mal, laisse-toi aller.

Puis, j’ai poussé un grand cri de douleur. Mes yeux se sont remplis de larmes.
— Tu me fais mal, Omar, arrête s’il te plaît. Enlève-toi.
— Calme-toi, Odile, t’es pratiquement toute pénétrée. Il reste environ juste un peu à entrer.
— L’autre femme a aimé ça ? Elle se l’était déjà fait faire, elle ?
— Je ne sais pas, mais elle a aimé ça oui, elle a joui.
— C’est qui, cette femme-là ?
— Une collègue de travail de ma mère.
— Tu la baises encore ?
— On se voit encore de temps à autre, oui.
— OOUUCH… Doucement, Omar… Elle est mariée ?
— Oui.
— Tu l’encules chaque fois ?
— Pas chaque fois, juste quand elle le demande.
— Elle doit être habituée. Je n’en reviens pas, si mon mari savait que je suis en train de me faire enculer par un jeune ami de notre fils, je n’ai jamais voulu qu’il me le fasse. C’est le divorce tout de suite. Elle a quel âge ?
— La quarantaine aussi, elle baise même avec un jeune de dix-sept ans. Tiens, tout est rentré.
— Une chance que t’es un beau jeune homme, toi, parce qu’on n’en serait pas là, tout le deux.
— Je t’ai eu par la soumission, chérie. Ça t’a plu ?
— Oui, c’est ça le pire. Ça m’excite de me faire dominer. J’ai découvert ça avec toi.

Omar commence ses déhanchements. Je me regarde dans le miroir. Me faire enculer pour la toute première fois de ma vie par un jeune, qui de surcroît me domine entièrement. Mais vous savez quoi ? Ça me plaît. J’aime me faire enculer. Où je crois plutôt que j’aime me faire enculer seulement par Omar.
Aucun autre que lui ne me le fera ? Il est un excellent baiseur, ce jeune. Il vous domine, mais dès que vous soumettez à lui, il est soigneux, il prend soin de vous, il est doux. Il sait comment prendre une femme, certains hommes de mon âge pourraient rougir devant son expérience.

En une seule baise, il me fait découvrir plein de choses, il me rééduque sexuellement à lui seul. Je découvre le plaisir de me sentir soumise à un homme, de sentir lui appartenir.

Celles qui ont peur de se faire sodomiser, n’aient crainte et essayent, ça vaut la peine. La pénétration peut vous faire un peu mal au début, mais si votre homme sait comment s’y prendre, vous allez rapidement oublier cette douleur. Une fois bien pénétrée, vous ne ressentez plus de mal et je vous laisse découvrir le plaisir nouveau que ça vous apportera.

Donc, Omar m’encule comme ça pendant une bonne demi-heure en ne cessant pas de me complimenter. Nous n’arrêtons pas de nous contempler mutuellement grâce au miroir. Je n’ai peut-être pas eu d’orgasme, mais j’ai quand même eu un peu de plaisir, pendant son éjaculation. J’ai ressenti une douce chaleur se rependre dans mon intestin. Quand il s’est retiré et nous nous sommes étendus sur le lit, collés l’un contre l’autre, à échanger des bisous. Je me sens amoureuse, avec lui. Je me sens belle et désirée.

Après quelques instants, il se rhabille et s’en est allé acheter sa bière. Quant à moi, je retire ma jupe, le seul vêtement encore sur moi, et je vais prendre un bain.

Sam Botte

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