Chapitre 5
Le sexe puissant, bandé au maximum, emplit entièrement la bouche distendue par cette présence envahissante. Elle en savoure le doux contact sur sa langue et son palais. Elle le fait coulisser en un va-et-vient ample et régulier, de ses lèvres jusqu’au fond de sa gorge. L’une de ses mains l’enserre à la base et l’anneau de ses doigts accompagne ses mouvements. L’autre main palpe et fait rouler les testicules gonflés. Le rythme s’accélère peu à peu, sous l’impulsion de mon fils.
Son désir est si intense qu’il sent qu’il ne pourra pas résister longtemps à de telles caresses. Prévenant de sa mère de l’imminence de sa reddition, il s’abandonne totalement à ses sensations. Sans le lâcher, elle continue ses douces et chaudes succions et les caresses de ses mains ; elle les poursuit jusqu’à ce que, soudain, il explose et se vide en râlant dans sa bouche.
Bien qu’elle s’y attende, l’éjaculation la surprend par sa soudaineté et son abondance. Mais elle savoure et déguste le jus épais, visqueux que les jets puissants et chauds projettent en saccades au fond de sa bouche gourmande. Elle ne peut cependant tout avaler et un peu de l’abondante éruption coule lentement de la commissure de ses lèvres vers son menton.
Elle garde le sexe dans sa bouche en attendant que ses derniers spasmes s’apaisent, elle le nettoie délicatement de sa langue. Elle constate, avec une surprise ravie, qu’il ne montre pas le moindre signe de faiblesse et reste toujours fièrement érigé. « Quel vaillant petit soldat ! » Pense-t-elle en souriant et une soudaine crispation lui noue le ventre à l’idée de sa prochaine présence en elle… Elle imagine la verge au fond de son vagin accueillant et impatient. Par avance, elle sent déjà se dilater les parois de son intimité détrempée.
Nikola reprend lentement ses esprits. Il s’accroupit devant sa mère et l’embrasse goulûment. Sa langue reconnaît la saveur âcre de sa semence dans la bouche et sur les lèvres de sa mère. À son tour, il la débarrasse de son dernier vêtement : il fait glisser le string sur ses fesses et le long de ses cuisses, puis la fait s’allonger sur le tapis pour passer les jambes et les pieds.
Il regarde maintenant avec des yeux enfiévrés cette femme étendue qui a attisé son désir toute la soirée, qui vient de le faire jouir si intensément et qu’il va enfin posséder. L’indécence de sa position, son abandon est une incitation à la luxure, un appel à la débauche. Sans plus de honte ni de pudeur, elle s’offre à ses regards. Il peut enfin découvrir et détailler son sexe,
Il se penche sur ce corps offert à ses désirs. Il a déjà soupesé et pétrit ses seins en dansant, il entreprend de les lécher d’une langue avide, d’en faire le tour avant de venir en happer les tétons roidis d’excitation et de désir, les torturant doucement entre ses dents.
Le premier coup de langue de notre fils sur son corps arrache un soupir de plaisir à Marianne. La langue se met à vagabonder, à butiner sur son corps offert à sa convoitise. Mais si la bouche et les mains parcourent son corps en tous sens, elles évitent soigneusement son sexe. Elles s’en approchent, le frôlent même. Elles jouent avec les poils de sa toison, les peignent, puis les ébouriffant, les tirent pour séparer les lèvres, luisantes et grasses, et découvrir le friselis des petites nymphes qui s’entrouvrent, dévoilant l’entrée secrète si convoitée. Mais quand Marianne croit qu’elles vont enfin la toucher au plus intime, elles sont déjà reparties ailleurs, la laissant frustrée, de plus en plus avides de les sentir s’aventurer au creux de son corps.
– Salaud… salaud… mais viens donc ! Touche-moi ! S’entend-elle lui réclamer.
Et elle s’ouvre encore davantage, projette son ventre à sa rencontre. Elle gémit lorsqu’enfin notre fils vient titiller son clitoris surexcité avec son pouce et le fait rouler délicatement entre ses doigts. Quand même ! Voluptueusement il insiste, répétant sa caresse. Maintenant ses doigts passent et repassent avec légèreté du clitoris à la fente gourmande et réceptive. Il prend définitivement possession de ce corps, le fouille au plus profond et savoure la vision du balancement de ce bassin sous sa main. Marianne apprécie le mouvement régulier et appliqué qui, peu à peu, l’embrase toute entière.
Son impatience est si grande que son corps tendu n’est plus qu’un cri muet, qu’un appel à l’amour. Enfin, la langue tant attendue se pose sur son sexe dégoulinant. Surprise, Marianne crie de bonheur. Elle sent avec délice que notre fils commence à la lécher. Cette langue qui lape son sexe, qui s’insinue habilement dans sa chair consentante, qu’elle s’en allait jusqu’aux tréfonds d’elle, la rend folle, la fait délirer, râler. Lui se délecte du nectar que son sexe secrète à profusion. Sa langue aventureuse et indécente visite chaque recoin de l’intimité chaude et humide de sa mère sans se presser.
Sous cette langue persuasive, Marianne jouit une première fois, violemment.
Mais elle veut davantage que la langue de notre fils, si habile soit-elle. C’est son sexe qu’il lui faut, qu’elle veut sentir s’enfoncer en elle. C’est par cette queue qu’elle veut se sentir défoncée, labourée. Affamée, folle d’impatience et de désir, elle le veut en elle de suite. Cette attente qu’il lui impose lui est insupportable.
Encore tremblante du plaisir qu’elle vient d’avoir, elle l’attire sauvagement sur elle…
Je vois le gland turgescent et violacé écarter les lèvres gorgées de sang de la vulve de ma femme allongée, écartelée et ouverte. La lente pénétration de cette verge dilate peu à peu le vagin qui l’enserre entre ses parois chaudes, humides et à mesure distendue par cette intrusion. Puis, lorsqu’elle est parvenue au bout de sa course, tout entière enfouie et tout au fond du ventre de ma femme, elle reste là un moment, immobile, remplissant toute la cavité, laissant les souples parois s’habituer à sa présence, à son volume.
Je vois cette queue, toujours complètement enfouie au tréfonds de ma femme, entreprendre un lent mouvement de rotation qui lui permet d’assouplir et d’étirer encore plus la cavité qui l’enserre. Marianne sent cette rotation démoniaque distendre encore les parois de sa grotte ruisselante. Puis je la vois qui se retire lentement, luisante de sucs, jusqu’à ce que la corolle des petites lèvres n’entoure plus que l’extrémité du gland, avant de revenir d’un mouvement toujours aussi lent et puissant, cogner à nouveau le fond du fourreau soyeux. Et le piston poursuit son mouvement inexorable, encore et encore, coulissant puissamment, en longs allers-retours dans ce sexe accueillant, offert à ses assauts. Et son rythme cadencé et inépuisable l’entraîne de plus en plus loin au fond des entrailles de Marianne.
Je la vois, ouverte, abandonnée, écartelée, saisie aux hanches par les mains possessives de notre fils, se faire pilonner par cette queue infatigable, brillante de ses sécrétions intimes. Marianne, les reins creusés, allant au-devant des coups de boutoir, seins secoués au rythme des coups de reins de son amant, les mamelons érigés, durcis par le désir et le plaisir, dardés et offerts à la bouche et aux dents. Je la vois nouer ses jambes autour de notre fils pour que son sexe s’enfouisse encore plus loin en elle, plus profond dans son ventre, tout au fond de ses entrailles.
Je la vois l’entourer de ses bras pour ne faire plus qu’un avec lui, accompagner chacun de ses mouvements, précipiter son ventre à sa rencontre pour le sentir la remplir toute entière, pour être encore davantage toute à lui, alors que la cadence et le rythme de leurs mouvements s’accélèrent encore et que la verge semble encore grossir, plus impressionnante, plus puissante à chaque coup de reins…
J’entends aussi… le premier soupir de satisfaction de Marianne lentement pénétrée, puis le crescendo de ses râles, ses gémissements sous la fougue de notre fils, ses cris inarticulés lorsque sa jouissance trop forte n’en a plus fait qu’un pantin désarticulé secoué de violents spasmes de plaisir, lorsque les ultimes sursauts du sexe de son amant la remplissent de semence. J’imagine l’éjaculation jaillir en elle comme la lave incandescente, la submerger au plus profond d’elle-même, l’inonder en puissantes giclées. Sous ses yeux, Nikola se vide à nouveau en elle, longuement, en râlant de plaisir.
Et moi, je suis bouleversé par l’érotisme torride du spectacle qui se déroule devant moi.
Il faut voir, plus qu’entendre, le merci que ma femme murmure à notre fils d’une voix éteinte, rauque d’avoir trop crié. Je vois ma femme chérie, transpirante et alanguie, le corps désarticulé sur le tapis du salon, éreinté par cette si intense chevauchée. Je voir enfin, dans la fourche de ses jambes ouvertes, les blancs filaments de sperme qui ressortent peu à peu de son sexe inondé, en gluantes coulées, et qui s’écoulent lentement entre ses fesses jusque sur le tapis. Et son sourire de femelle repue, épuisée, mais comblée par un mâle vigoureux.
je suis profondément troublé et perturbé par tout ce que j’ai vu ce soir, le cœur chaviré par des émotions contradictoires, j’approche enfin d’elle, elle trouve cependant la force de m’adresser un sourire las et de me souffler :
– Je t’aime, chéri !… Merci pour cette soirée… Je suis comblée…
Après un peu de repos.
– Mes chéris, vous me rendez folle. Je meurs d’envie que vous me preniez en même temps.
– En même temps ? Tu veux dire…
– Ouiiii ! Dans ma chatte et mon cul, ensemble. S’il vous plaît. Mes trous se sentent tellement vides !
Nous sommes allés dans notre chambre et nous avons recommencé nos caresses, puis Marianne s’est empalée sur notre fils et après que je l’aie préparé, j’ai commencé à pénétrer son cul. J’ai commencé gentiment à la pénétrer, la sensation était étrange, je sentais le pénis de mon fils à travers la paroi de sa mère. Lorsque je fus au fond, nous restâmes ainsi un instant, puis Marianne commença à bouger lentement.
C’était extraordinaire, Marianne sentait ces deux bites en elle et moi je sentais la bite de mon fils à travers la paroi. Marianne a longuement joui et finalement Nikola et moi avons joui presque simultanément. Mais ensuite, nous ne pûmes résister à faire à nouveau l’amour, Marianne fut couverte de caresses, puis nous changeons notre position notre fils l’a pris ma place, et moi je repris sa place, Marianne était entièrement comblée.
Le final demain à la même heure !
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