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Papa Noël m’a mise sur la liste des vilaines

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Papa Noël m’a mise sur la liste des vilaines

Préambule : Moi j’aime Noël. Les guirlandes, les cadeaux, cette ambiance de fête qui fait briller les yeux des gens. Et ce que je préfère dans tout ça, c’est de recevoir les cadeaux. Est-ce de l’égoïsme, de la cupidité de ma part ? Non, c’est du mérite, j’ai toujours été une adorable enfant sage. Et dans ce texte Agnès va justement recevoir ce qu’elle « mérite », alors soyez prévenu que derrière l’esprit de Noël bon enfant qui parsème ce texte il y a aussi une bonne dose de perversité.

— Je vais pas faire bander ton père j’espère ? Ah ah !

— Ça se pourrait bien que si !

Agnès fronça les sourcils, son sourire vacilla. Elle pensait blaguer, mais l’idée qu’un homme d’âge mûr puisse poser un regard lubrique sur elle lui donna un frisson de dégoût mêlé à de l’agacement. Bien sûr, elle aimait plaire. Mais pas comme ça, pas à n’importe qui. Certainement pas au père de son copain qui penserait qu’elle était une cochonne, car habillée trop sexy.

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Pourtant, elle n’allait pas changer de tenue pour si peu. Cette jupe en velours rouge, moulante comme un écrin, avait coûté une petite fortune, et elle comptait bien se faire remarquer et éblouir la famille de son amoureux.

— Mais c’est normal, qu’il réagisse comme ça. J’adore maman, mais physiquement elle a mal vieilli, expliqua Yann pour défendre son papa.

— C’est pas une raison. Ça te dégoûte pas que ton père trouve la copine de son fils bandante ? Moi je trouve ça malsain.

— T’es coincée. T’es juste jolie.

— Si je suis coincée,alors tu peux oublier la pipe avant de partir.

— Oh, t’es pas sérieuse…

— Si, complètement. Ça t’apprendra à réfléchir avant de parler.

Agnès n’était déjà pas ravie d’aller voir la famille de son petit copain pour Noël. Mais elle avait accepté en pensant que ça remplacerait le cadeau qu’elle avait « oublié » d’acheter (son budget cadeau étant principalement parti dans la robe moulante). En tout cas, ce ne serait pas une partie de plaisir, d’autant qu’elle savait qu’elle allait devoir assister à la messe de Noël, et déjà cela l’ennuyait. Yann au contraire était ravi, il allait se déguiser en père Noël pour offrir des cadeaux à ses neveux et nièces.

Quand ils arrivèrent en fin d’après-midi, la demeure des parents de Yann ressemblait à une carte postale. La façade, enveloppée de lierre gelé, scintillait sous les guirlandes dorées. Le jardin était couvert d’une neige épaisse et immaculée qui craquait sous leurs pas et les fenêtres laissaient entrevoir un sapin somptueux, décoré de boules rouges et or.

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À peine la porte franchie, Agnès sentit une vague de chaleur réconfortante. Un feu brûlait dans l’âtre de la cheminée, et des effluves de vin chaud, de cannelle et de pain d’épices flottaient dans l’air.

Béatrice, la mère de Yann les accueillit à bras ouverts. Elle était chaleureuse, mais d’une laideur que même l’esprit de Noël ne parvenait pas à masquer.

Puis vint Jacques, le père. Agnès fut frappée par la ressemblance troublante entre lui et Yann. Même carrure, même visage carré, mais avec trente ans de plus. Dès qu’elle lui fit la bise, elle éprouva un rejet envers lui, il avait la bouche baveuse et avait laissé une marque de salive désagréable sur sa joue.

La soirée se déroula entre rires des enfants et bavardages des adultes. Yann, tout à son rôle de fils modèle, restait collé à sa mère, discutant des préparatifs du réveillon. Quand le soleil se coucha, il fut décidé d’offrir tout de suite de petits cadeaux aux enfants pour qu’ils se montrent sages durant la messe de minuit.

Agnès se mordit la lèvre, excitée par cette idée. Elle avait très envie de voir Yann en tenue de père Noël. Elle en avait un peu honte, mais elle avait toujours fantasmé sur le père Noël. Depuis qu’on lui avait enseigné que le père Noël apportait de gros cadeaux aux enfants, elle avait idéalisé ce personnage qui pouvait lui offrir tout ce dont elle avait envie.

Elle se dirigea vers le garage où étaient cachés les cadeaux pour les enfants et le déguisement du père Noël. Son cœur battait un peu plus vite. L’air était glacial, et ses talons crissaient sur le sol givré. Dans l’obscurité du garage, seule une faible ampoule pendait, projetant des ombres vacillantes sur les murs.

Là, au centre, trônait l’homme au costume rouge. Les bottes, la ceinture, et surtout, le manteau ample bordé de fourrure blanche. Une silhouette familière, imposante qui se tenait près des paquets. Agnès esquissa un sourire, son regard brillant de malice.

— Oh, père Noël… » Elle avança d’un pas chaloupé. « J’ai été très méchante cette année. Je t’ai laissé partir sans ta petite pipe, comme une vilaine fille. Heureusement, je vais me rattraper… pour voir si j’ai droit à un gros cadeau.

Agnès se mit à genoux devant le père Noël, un sourire espiègle éclairant son visage. Elle effleura doucement le tissu du pantalon rouge d’un baiser léger, puis fit descendre le pantalon comme si elle déballait le plus beau des cadeaux. La bosse qu’elle découvrit dans le caleçon confirma que sa venue dans le garage excitait sacrément Yann.

— Oh, père Noël, quel vilain garçon tu fais ! Laisse-moi t’aider à te détendre auprès de ton grand traîneau.

Elle tira doucement sur le slip et libéra ce bon gros bâton de sucre d’orge. Avec la dévotion d’une enfant devant un sapin illuminé, elle l’effleura du bout de la langue. Chaque coup de langue réveillait encore plus le membre refroidi par le climat hivernal, et elle ne put s’empêcher de glousser :

— Oh là là, c’est une vraie bûche de Noël ! Et Ma bouche de petite lutine va la réchauffer, père Noël.

Saisissant le « cadeau » à pleine main, elle s’appliqua à le vivifier. Sa bouche de bonne élève enveloppait la queue de sa chaleur réconfortante. Elle suçotait le bout comme une sucette.

— Alors, père Noël ? Est-ce que ta petite elfe dévouée fait du bon travail ?

En guise de réponse, une main ferme se posa sur ses cheveux, guidant ses mouvements alors qu’elle s’appliquait avec ardeur à engloutir la bite, sa tête montant et descendant comme un tire-fesse. Les lèvres d’Agnès descendirent jusqu’à la base du bâton, le sucre d’orge était si gros et si long qu’il entrait dans sa gorge. Elle sentit l’obélisque se mettre à gonfler, et elle arrêta un instant de sucer :

— On dirait que mon père Noël est prêt à distribuer ses présents tout droit dans ma cheminée !

Puis, avec un mélange de dévouement et de malice, elle accéléra le rythme, transformant cette petite pipe en une débauche de succion.

Au moment fatidique, Agnès sentit le gros esquimau exploser et le tuyau d’arrosage du père Noël se mettre à gicler sa crème sur sa langue. Une chaleur envahit sa bouche, et elle accueillit la douce et appétissante « neige » qui se déversait avec un dévouement sans faille ; comme une enfant sage savourant sa première cuillère de crème fouettée.

— Eh bien, père Noël, tu m’as vraiment gâtée cette année, »dit-elle, amusée, en avalant tout ce qu’on lui offrait. Chaque gorgée glissait dans sa gorge comme un chocolat chaud par une froide nuit d’hiver.

Avec un dernier mouvement lent, elle relâcha son « sucre d’orge » devenu moins vigoureux, essuyant sa bouche après avoir ingéré cet énorme festin de réveillon.

Soudain, une voix familière brisa le moment :

— Chéri, tu t’en sors avec le costume ?

Agnès se figea, le visage se glaçant comme une flaque d’eau par une nuit de gel. Le doux tintement de la magie de Noël s’effaça brutalement, remplacé par une sourde panique. Elle leva lentement les yeux, comme si elle craignait de croiser le regard du père Fouettard. Sous la faible lumière vacillante, elle reconnut alors, avec horreur, les traits de Jacques, le père de Yann, un sourire satisfait sur les lèvres.

Un frisson d’effroi remonta le long de sa colonne vertébrale. Elle venait de sucer… le père de son copain !

Et ce dernier n’avait rien dit pendant tout l’acte, pour profiter de la méprise. Agnès fut extraordinairement en colère et le père Noël eut tout juste le temps de remettre son pantalon avant que son épouse ne rentre dans le garage.

— Ça va ? Il y a un souci avec le costume ? Le pantalon tient bien ?

— Il a un peu tendance à tomber. Mais tout va bien maintenant. Agnès a été très gentille et m’a aidée à… ajuster le costume, déclara le papa d’un ton enjoué.

Agnès, rouge comme une boule de Noël, croisa les bras, boudeuse.

— Bon, alors tu peux venir ? Les enfants attendent, » insista Béatrice depuis la porte, sans rien remarquer d’étrange.

— Bien sûr, j’arrive tout de suite.

Et tandis que Béatrice sortait du garage, Jacques se tourna vers Agnès.

— Ne t’inquiète pas, petite elfe. Tu as gagné ta place sur la liste des enfants sages…

Quel culot ! pensa Agnès, en serrant les dents.

— Tu n’es pas d’accord ? insista Jacques. Tu ne pipes mots. Ho, ho, ho !

Un peu plus tard, dans le salon, Agnès retrouva Yann affalé sur le canapé, les bras croisés, un air maussade peint sur son visage. Pas parce que sa copine avait boulotté le foutre chaud de son père (encore heureux, il ignorait tout). Non, ce qui le tracassait, c’était cette histoire de costume de père Noël. Le costume était beaucoup trop large pour lui. Il l’avait essayé peu après son arrivée, mais il était trop maigre et le résultat était ridicule. Aucun enfant n’aurait pu croire qu’il était le père Noël, il avait donc accepté que Jacques prenne la place. Le pauvre naïf ignorait que son père ne s’était pas contenté de porter le costume de Père Noël, mais qu’il avait aussi goûté à un cadeau réservé à son fils.

Le père, lui, était très content. Avec un air triomphant, il s’installa devant le sapin. Il distribua les cadeaux avec une prestance joyeuse, faisant résonner un « Ho, ho, ho ! » exagéré à chaque paquet tendu. Il s’approcha d’Agnès à un moment, ses yeux pétillant de malice, et lui caressa les cheveux de la même manière qu’il l’avait fait lorsqu’elle lui prodiguait la bonne petite fellation du soir.

— Alors, Agnès, tu as été une bonne fille ?

— Oui, papa, elle est super, répondit à sa place Yann, avec un sourire innocent.

— Oh, ça, je n’en doute pas. Elle a été très serviable ce soir. On devrait lui décerner le prix de la meilleure petite assistante du père Noël. Elle a vraiment un don pour réchauffer une ambiance froide.

Agnès faillit s’étouffer avec sa coupe de champagne. Ses joues devinrent encore plus rouges, et elle lança au père Noël un regard noir comme des boulets de charbon.

Alors que tout le monde se préparait pour la messe de minuit, Agnès se trouva un moment seule avec Jacques dans la cuisine. L’odeur des épices et du vin chaud emplissait la pièce, mais l’atmosphère entre eux était tout sauf douce ou chaleureuse.

— Vous avez bien profité de la situation. C’est pas très… catholique, tout ça.

Jacques répondit avec une nonchalance déconcertante :

— Oh, voyons, Agnès, c’est toi qui as voulu rattraper ta vilaine conduite envers mon fils. Ce n’est pas bien d’oublier de lui offrir sa sucette. Et moi, je n’ai fait que t’offrirmon gros cadeau.

— Eh bien, puisque vous en parlez, justement je veux un gros cadeau.

— Comment ça ? demanda Jacques, intrigué.

Agnès se pencha vers lui, un sourire perfide sur les lèvres.

— Vous allez me donner votre carte de crédit, et je vais faire quelques… grosses dépenses. Sinon, je raconte tout à votre femme. Vous savez, la messe de Noël est un excellent moment pour confesser ses péchés.

Jacques cligna des yeux, visiblement pris au dépourvu.

— Alors quoi ? Tu es une… une…

— Oh non, non, non. Pas une pute. Jamais je ne coucherais avec vous, argent ou pas. Mais j’estime qu’une compensation est légitime. Et ne vous inquiétez pas, je saurai quoi faire de vos… largesses.

— Mmm… très bien, mais je sens que c’est une pipe qui va me coûter cher.

— Vous n’avez pas idée.

Jacques, accablé, mais résigné, tendit sa carte bancaire comme s’il remettait son or àun brigand. Toute famille partit à la messe, mais pendant que le prêtre entamait son oraison et que les chœurs chantaient, Agnès, installée dans un coin, passait en revue les boutiques de luxe sur son téléphone. Jacques pouvait voir sa carte de crédit vider son compte en banque à la vitesse d’un bobsleigh. Son visage prenait une expression si blême qu’on aurait pu le prendre pour un bonhomme de neige. Alors que le prêtre annonçait la naissance du Divin Enfant, lui n’avait en tête que l’Apocalypse financière qui s’annonçait. À chaque nouvelle confirmation d’achat, l’orgue de l’église semblait marquer une marche funèbre pour son compte bancaire.

De retour à la maison, Agnès se prélassa sur le canapé, son téléphone dans une main, un chocolat chaud dans l’autre, savourant pleinement la douce satisfaction d’avoir réalisé l’équivalent d’un braquage. Elle se sentait comme un lutin qui aurait réussi à voler le traîneau du père Noël sans se faire prendre.

Mais soudain, Jacques se montra agité. Il fouillait frénétiquement ses poches, ses tiroirs, même sous le sapin. Béatrice, intriguée, l’observait depuis la cuisine.

— Jacques, qu’est-ce que tu fais ?

— Ma carte bancaire ! » s’écria-t-il, l’air accablé. « Je l’ai perdue… ou on me l’a volée ! »

Agnès, allongée sans gêne sur le canapé, sentit une vague d’inquiétude. Pourquoi jouait-il la comédie ? Il savait parfaitement où était sa carte, maintenant presque vide, soigneusement rangée sous sa robe. Alors, pourquoi ce cirque ?

Jacques continuait son numéro, fouillant même entre les cadeaux posés au pied du sapin.

— Peut-être qu’un des enfants l’a prise par erreur ? Non, ce serait improbable… Agnès, tu n’aurais pas vu quelque chose ?

Agnès redressa le menton, feignant une innocence totale.

— Moi ? Je ne touche jamais aux affaires des autres. Vous devriez mieux surveiller vos biens, Jacques.

Il haussa un sourcil, mais ne dit rien, se passant pensivement la main sur la joue. L’ambiance s’était soudain refroidie, comme si quelqu’un avait ouvert une fenêtre par cette nuit hivernale. Agnès se sentait déstabilisée. Jacques préparait quelque chose, elle en était certaine. Mais quoi ?

— Ça doit être durant la quête ! J’ai peut-être fait tomber la carte. Il faut que je retourne à l’église, tu viens avec moi Agnès ?

Agnès se rebiffa, méfiante.

— Hein, pourquoi ?

— Un bon chrétien l’a sûrement retrouvée et donnée au prêtre. Mais peut-être qu’elle est encore par terre. J’ai besoin de quelqu’un avec de bons yeux pour m’aider à chercher.

— Mais… Yann ? Ou Béatrice ?

Jacques secoua la tête.

— Béatrice est occupée à la cuisine, et Yann… eh bien, tu sais comment il est : incapable de retrouver quoi que ce soit, même si c’est en face de lui.

— Il a raison, confirma Yann. Faudra que je fasse changer mes lentilles.

— Oui, tu pourras presque te faire piquer ta petite-amie sous tes yeux, répondit Agnès énervée qu’il la laisse à nouveau seule avec le papa.

Et sans attendre davantage, Jacques saisit son manteau et fit signe à Agnès de le suivre. À contrecœur, elle obéit, suivant le père dans la froideur nocturne. Ils prirent la voiture, une belle Mercedes, mais au lieu de se diriger vers l’église illuminée, il s’arrêta sur un parking désert, sinistrement éclairé par les lumières blafardes d’un supermarché discount.

— À quel jeu jouez-vous, Jacques ? demanda Agnès, brisant la tension croissante.

Il se tourna vers elle, le regard calculateur.

— Un jeu où les petites filles pas sages sont punies.

— Je n’aime pas du tout votre ton.

Jacques éclata d’un rire grave et moqueur.

— Oh, mais je peux faire Ho, ho, ho ! si tu préfères. Sache cependant que j’ai appelé ma banque pour annuler tous les achats que tu viens de faire.

Les yeux d’Agnès s’agrandirent, sa bouche s’ouvrant en un « O » d’indignation pure. Adieu robes « YSL », adieu dessous « La Perla », adieu bijoux « Dior. »

— Quoi ? Jacques, vous allez le regretter ! Quand votre femme saura ce que vous avez fait dans le garage avec moi, je doute que vous ayez encore envie de dire : Ho ! Ho ! Ho !

Il pencha légèrement la tête, un sourire narquois sur les lèvres.

— Oh, mais je crois que si. Il suffira de voir qui a utilisé la carte pour déterminer le voleur. Enfin je veux dire la voleuse. L’adresse de livraison de tes achats annulés ne laissera pas la place au doute.

Agnès tenta de garder son calme, mais ses joues rouges trahissaient bien plus son humiliation d’être piégée que le froid mordant.

— Je peux quand même dire ce que vous avez fait !

— Oh, tu peux raconter ce qui s’est passé dans le garage. Mais qui va croire une voleuse ? Tout le monde pensera que tu essaies de détourner l’attention de ton vol par de fausses accusations. Et imagine ce que cela fera sur ton casier judiciaire : une grosse tache indélébile, une étudiante en école de commerce accusée de vol. Quel gâchis !

— Salaud !

— Ho, ho, ho ! Cela dit, je peux arranger les choses. Je peux dire que j’ai simplement perdu ma carte… mais en échange, il me faut un cadeau.

Elle le regarda avec suspicion :

— Un cadeau ?

— Un cadeau animalier,  répondit-il avec un sourire carnassier. La précieuse petite chatte que tu as entre tes jambes.

— Vous êtes fou ! Vous ne pouvez pas demander ça !

Mais le fait qu’il retire sa ceinture indiqua clairement qu’il pouvait en faire la demande.

— C’est immoral ! insista Agnès. C’est indigne et même irresponsable.

— Ce qui est irresponsable c’est d’avoir fait chauffer ma carte bleue. Sale petite allumeuse, il est temps pour toi de payer au centuple. Sans annulation, tu aurais dépensé 11 487 euros. Et je compte bien en avoir pour mon argent.

— N’avez-vous aucun scrupule !? Je suis la petite amie de votre fils !

— Comme ça tu auras été baisé par le père et le fils, il ne manquera plus que le Saint-Esprit pour compléter la collection.

— Vous n’être pas drôle !

— Je cherche pas à être drôle. Ma queue est tellement raide qu’elle me fait mal coincé dans mon slip. Je bande plus fort que l’âne de la crèche depuis que je t’ai vu. J’ai le petit jésus qui ne demande qu’à sortir…

— Vous manquez de pudeur, soyez raisonnable.

— La seule chose raisonnable à faire c’est que je donne une bonne leçon à une méchante et aguichante voleuse.Et pour ça, je fais t’enfoncer mon gros pieu dans ta chatte de belle salope. J’ai déjà vu des coquines qui faisaient des manières, mais des aussi putes que toi jamais.

— Pas ici, dans cette voiture !  protesta Agnès. C’est indécent !

Jacques fit un geste théâtral, désignant l’intérieur spacieux de la Mercedes.

— Et qu’est-ce que tu reproches à mon traîneau ? Il est parfaitement adapté pourtransporter des cadeaux joliment emballés comme toi, dit-il en commençant à déshabiller Agnès de sa robe moulante. « Et je ne vais pas dépenser des sous pour une chambre d’hôtel pour baiser une traînée comme toi…

— Vous êtes un mufle ! Un malotru ! un…

Pour couvrir les critiques inopportunes et injustes de la petite voleuse, Jacques enclencha la radio et poussa le volume à fond. Une mélodie festive emplit alors l’habitacle : « Jingle Bell Rock ». Les clochettes tintinnabulantes résonnaient tandis qu’il finissait d’ouvrir la robe moulante d’Agnès, dévoilant sa peau pâle, illuminée par la faible lumière du plafonnier.

— Vous pourriez au moins changer de musique, râla-t-elle.

— Mais c’est parfait pour l’ambiance, ma petite elfe grincheuse. Ça te plonge dans l’esprit de Noël, dit-il en ôtant la ceinture de la robe, comme s’il défaisait le ruban d’un cadeau.

Il rapprocha son visage du sien, et malgré son mécontentement apparent, Agnès sentit une chaleur monter en elle. Elle se recula instinctivement contre la portière, mais Jacques, avec l’assurance tranquille d’un homme qui sait ce qu’il veut, la ramena vers lui, il tira sur la poignée du siège, et Agnès bascula à l’horizontale.

— Vous êtes vraiment détestable, souffla-t-elle, la voix tremblante entre colère et trouble.

— Je sais, répondit-il avec un sourire en coin. Mais tu verras, je sais me montrer très généreux de ma semence.

Le froid extérieur condensait leurs souffles sur les vitres, mais dans la voiture, la température montait rapidement. Jacques écarta doucement les jambes d’Agnès, qui se surprit à apprécier sa poigne ferme et assurée. Quand il caressa sa peau, elle étouffa un soupir.

— C’est honteux, vous n’avez aucun respect pour votre fils, grogna-t-elle.

— Oh, crois-moi, je suis bien meilleur que lui. Tu sais ce qu’on dit : l’expérience, ça fait toute la différence.

Elle s’apprêtait à rétorquer quand il s’introduisit en elle d’un mouvement précis et profond, la coupant net dans son élan. Une autre chanson démarra à la radio : « All I Want for Christmas Is You ». Agnès ne put s’empêcher d’étouffer un rire nerveux.

— Sérieusement… murmura-t-elle, avant de mordre sa lèvre pour contenir un gémissement.

Jacques accéléra le rythme, et malgré son attitude boudeuse initiale, Agnès sentit son mécontentement fondre, remplacée par une chaleur irrépressible qui s’étendait dans tout son corps. Il savait exactement où et comment la toucher, bien mieux que Yann, songea-t-elle à contrecœur. Ses mouvements étaient sûrs, contrôlés, et elle ne put s’empêcher de remarquer qu’il était… plus imposant.

Elle se surprit à pousser un soupir de plaisir, puis un autre, jusqu’à ce qu’elle perde toute retenue.

— Tu vois, je t’avais dit que j’étais généreux, déclara Jacques de sa voix grave et rauque.

— Arrêtez de parler, grogna-t-elle, incapable de masquer la satisfaction dans sa voix.

Les chansons de Noël continuaient à tourner en boucle, tandis que les gémissements d’Agnès résonnaient dans l’espace confiné de la voiture. À chaque mouvement, elle se laissait emporter davantage.

Quand ils atteignirent le point culminant, « Douce Nuit » se jouait en arrière-plan, comme une ironie parfaite à leur acte bruyant. Jacques grogna profondément, ses coups de reins devenant presque frénétiques, comme s’il cherchait à vaincre le froid qui les encerclait. Agnès, les joues rouges de plaisir et de chaleur, agrippait le cuir glacé du siège, ses gémissements devenant incontrôlables à mesure que ses jambes tremblaient sous les vagues d’extase.

Le dénouement arriva comme une tempête. Jacques poussa un râle rauque en se vidant en elle, chaque spasme marquant sa domination. Agnès sentit la chaleur se répandre en elle, un contraste presque choquant avec l’air glacé qui s’insinuait à travers les joints de la voiture. Les flocons de neige, purs et immaculés, continuaient de tomber sur le pare-brise, alors qu’Agnès était vicieusement remplie par la semence du père de son petit-ami.

Elle s’effondra contre le siège, le souffle court, ses cheveux ébouriffés et son rouge à lèvres à moitié effacé. À travers la vitre embuée, le monde semblait figé dans un calme hivernal, alors qu’en elle tout brûlait encore, comme un feu de cheminée pour ce soir de Noël.

— Joyeux Noël, lui dit Jacques alors qu’il tirait un dernier jet de sperme dans la chatte bien pleine.

Quand ils rentrèrent enfin à la maison, Jacques annonça :

— Finalement, cette petite escapade n’a pas été inutile, annonça-t-il d’une voix posée, mais chargée d’une pointe de malice. Agnès a retrouvé ma carte, et je dois dire qu’elle s’est révélée… très serviable.

— Ah, c’est une bonne nouvelle ! s’exclama Yann, j’espère que papa t’a bien remercié.

— Oh, oui, ne t’en fais pas, il s’est montré très généreux.

— Oui, je lui ai fait un petit don en liquide. Et je pense qu’elle mérite encore quelques félicitations pour ton dévouement, ajouta Jacques.

La soirée se poursuivit comme si de rien n’était, entre rires, échange de cadeaux et discussions animées. Jacques se montra irréprochable en parfait chef de famille, tandis qu’Agnès jouait la petite-amie irréprochable, esquissant des sourires radieux et prenant soin de détourner les conversations délicates.

Le lendemain matin, après un copieux petit-déjeuner familial où tout le monde semblait incarner l’idéal de la parfaite photo de Noël, Yann et Agnès s’apprêtaient à reprendre la route pour rentrer chez eux. Mais alors qu’Agnès montait dans la voiture, Jacques s’approcha d’elle avec un sourire affable et lui tendit un petit paquet soigneusement enveloppé dans un papier cadeau aux motifs festifs.

— Un dernier cadeau pour toi, murmura-t-il assez bas pour que Yann n’entende pas. Mais ne l’ouvre qu’une fois arrivée. C’est… personnel.

Quand elle l’ouvrit, elle découvrit une culotte blanche, basique, mais marquée d’un message au feutre : « Propriété de Papa Noël ».

Son sang se glaça un instant, tandis qu’un mélange d’indignation et d’embarras lui montait au visage. Jacques avait le sens de l’humour, certes, mais aussi un sens aigu de l’avertissement subtil.

Agnès comprit immédiatement le message : tant que la période permettant de contester une procédure pour vol serait encore ouverte, Jacques comptait garder un contrôle sur elle. Il n’aurait peut-être plus l’habit rouge, mais il saurait comment jouer le rôle de Père Fouettard.

Oui, Agnès allait devoir être une fille très sage envers le Père Noël si elle ne voulait pas finir sur la liste des vilaines filles de l’appareil judiciaire.

P.S. : Alors, qu’avez-vous pensé de ce texte ? Si je l’ai écrit, c’est parce que, comme l’Agnès de l’histoire, j’ai toujours eu une fascination pour le Père Noël quand j’étais petite. Il distribuait les beaux cadeaux dont je rêvais, c’était un véritable dieu pour moi.

En grandissant, avec mon lot de daddy issues bien assumées, l’idée de me retrouver sur ses genoux a pris une toute autre saveur. Et ma fascination s’est un peu déplacée… disons, des cadeaux sous le sapin à ceux qu’il pourrait déposer ailleurs.

Et il y aussi toujours ce moment de gêne, quand je rencontre le père d’un de mes copains. Je me surprends à imaginer : est-ce qu’il serait aussi bon que son fils au lit ? Est-ce qu’il fantasme sur moi ? Est-ce qu’il a envie de me faire grimper aux rideaux ? Parce que souvent la seule différence entre eux, c’est l’expérience…

En tout cas, vous aussi soyez un gentil père Noël, et donnez-moi un beau cadeau avec plein de like ! Et vous les filles, je suis sûre que vous aussi, vous avez aussi mérité une petite visite d’un beau père Noël cette année. Ho, ho, ho !

Allan Riff

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