Après avoir absorbé quelques verres, Magda regarde Isabelle et lui dit :
-Tu es une sacrée chaudasse, j’adore t’entendre hurler lorsque tu jouis, tu m’as fait mouiller comme une chienne, aller vient me dévorer. Après je te présenterai deux beaux blacks montés comme des chevaux. Ils vont te faire connaitre des pénétrations monstrueuses, hum je suis impatiente de voir ça !
Isabelle regarde son fils en ravalant sa salive et dit :
-Mon chéri, je te remercie, de m’avoir emmené dans ce lieu paradisiaque, Magda m’a déjà bien défoncée, et je ne sais si je dois encore continuer ?
Marc enlace sa maman, et avant de déposer un baiser brûlant sur ses lèvres, lui répond :
-Maman, je t’ai amené ici pour que tu te fasses éclater, je veux que tes orifices reçoivent les plus grosses bites possibles, et que tes jouissances restent marquées dans ta mémoire à tout jamais, ma petite chérie !
Le baiser qu’ils échangent et un baiser complice, les langues se nouent, à chacune son tour, elles sont sucées, tétées, leurs souffles deviennent bruyants. Magda jubile ne voyant les deux amants s’embrasser de la sorte, son corps s’enflamme. Elle presse les deux amants de terminer, car elle aussi a besoin de jouir. Ils se rendent dans une alcôve libre et les deux femmes s’enlacent, tombent sur la paillasse. Maintenant, c’est Isabelle qui est active. Elle s’acharne sur les orifices brûlants de Magda, en la faisant gémir de plaisir. Isabelle, s’évertue à lui donner autant de plaisir, qu’elle en a reçue. Elle utilise, elle aussi, le gode ceinture. Pour bien ouvrir Magda, qui ne cesse de jouir en geignant comme une bête malade.
Marc aussi se mêle de la partie. Pendant que sa maman défonce la chatte de son amante il sodomise Magda. prise en double, Magda jouit comme une machine, ses orgasmes sont monstrueux, son corps est secoué de soubresauts incontrôlables. C’est haletante que Magda git sur le sol. Après avoir repris ses esprits, elle s’absente un instant et revient accompagné par deux blacks en érections, leurs verges est monstrueuses, Isabelle les regarde en écarquillant les yeux. Marc, lui, émerveillé, attend que sa maman se fasse défoncer.
Un des deux hommes offre aux lèvres charnues d’Isabelle son gland gigantesque. Isabelle se déboite presque les mâchoires pour pouvoir gober l’engin. Sa bouche tête difficilement le gland, pendant ce temps l’autre homme caresse Marc, il lui triture les couilles, le branle énergiquement. L’inconnu se penche et gobe le gland qu’il vient de décalotter et le suce comme un affamé, sa bouche fait des bruits étranges. Isabelle recrache la verge de son cavalier, et regarde, yeux écarquillés, son fils qui se fait sucer la bite par un homme. Marc geint à chaque succion sur son gland, l’homme en même temps lui presse les couilles, c’en est trop pour Marc, qui remplit la bouche de l’homme avec sa semence.
L’homme ne recrache pas le sperme, il se pince les lèvres et enlace Marc, et l’embrasse fougueusement, en lui remplissant la bouche de son propre sperme. Isabelle n’en revient pas. Son fils noue sa langue au black en poussant des grognements de fauves. le baiser est très long. L’autre homme, frustré, redonne son gland à isabelle qui s’évertue comme elle le peut à faire une fellation au demandeur. Elle reçoit une violente décharge dans la bouche, l’homme lui demande de l’offrir à Marc.
Surprise par cette demande, mais excitée à la fois, elle enlace son fils, joint sa bouche à la sienne et y déverse le sperme que l’homme lui a si généreusement offert. Marc avale son rechigner. Isabelle est chaude comme de la braise. Un des deux hommes s’allonge sur le sol, et demande à Isabelle de venir s’empaler. Elle l’enjambe, c’est Magda qui dirige le monstre vers la chatte de sa nouvelle amie. Isabelle descend lentement. Le gland épais appuie sur les grandes lèvres, les écrase, elles s’ouvrent et le gland s’engage dans la gaine en la dilatant atrocement. Centimètre par centimètre, la verge s’enfonce péniblement dans le ventre d’Isabelle qui grimace.
Magda appuie fortement sur ses épaules, en poussant un long râle, Isabelle s’emboite sur la bite énorme jusqu’aux couilles.. Elle serre les dents, l’homme la plaque contre son torse. L’autre homme se place derrière elle et frotte son gland contre son anus, et pousse.. Isabelle croit que sa dernière heure est arrivée. lentement la bite colossale s’enfonce dans son rectum, les deux verges semblent se frotter l’une sur l’autre tellement les conduits sont distendus. Dilatée comme jamais, elle ne l’a été, Isabelle souffle comme un dragon. Les deux bites se mettent en actions, isabelle croit que ses ouvertures vont se déchirer. Les deux mâles la défoncent comme jamais, elle ne l’a été. Au fil des minutes, son corps s’habitue aux manches qui voyagent en elle. Elle commence maintenant à geindre, elle agite comme elle peut son bassin. Magda intervient aussi, elle roule les mamelons d’Isabelle en les étirant fortement. Elle les écrase terriblement, tout en salivant, elle regarde l’expression du visage de sa victime Isabelle.
le gland qui appuie fortement sur le col son utérus, la fait geindre, elle a l’impression que le black veut le pénétrer. Son complice ressort entièrement sa verge du rectum et le replonge violemment jusqu’aux couilles. Isabelle pousse un grognement et se cabre et marmonne :
-Oui, oui, mes salauds, défoncez-moi, je suis votre pute, oh putain que c’est bon, encore, encore bourrez-moi, bourrez-moi !
Marc s’approche et offre sa verge à sucer à sa maman. prise par les trois orifices, Isabelle est au summum de plaisir, son fils et le premier à lui offrir son sperme, qu’elle avale rapidement. Soudain elle e cambre comme un pont, et explose. Sa jouissance est aussi monstrueuse que les bites qui lui forent les entrailles. Elle ressent un flot abondant de liquide chaud lui remplir le ventre et l’intestin. Ce n’est que du bonheur, soudain elle douleur terrible la fait rugir, Magda lui écrase les mamelons. L’effet est immédiat. Une nouvelle jouissance la fait cabrer. Les trois agresseurs la délaisse, elle reste seule avec son fils, haletante sur la paillasse. De ses trous béants s’échappent un liquide blanchâtre.
Marc regarde sa maman et ne peut s’empêcher de lui dire :
-Maman, mon Dieu, comme ils ton bien ouverte les cochons !
Faiblement, sa maman répond :
-Ils m’ont déchirés, démontés comme une chienne, ils ont fait de moi une bonne pute. C’était merveilleux mon chéri, je ne l’oublierai jamais !
Elle ajoute :
-Tu es fière de ta maman pute, mon chéri !
Marc répond :
-Je suis très fière de ma pute, avant de rentrer, j’aimerais te prendre encore !
La maman ne peut rien refuser à son fils amant et dit :
-Oui mon chéri, je veux bien faire ce dernier effort !
Elle enlace son fils et l’embrasse, ils basculent sur la paillasse. Isabelle roule sur son fils, lui Happe la queue, la suce un moment, elle la délaisse, et sa bouche s’égare sur son anus, Marc se cabre, il geint fortement, sa maman lui bouffe le cul, elle réussit à enfoncer sa langue dans la gaine étroite et à, la fouiller. Marc se cabre, se tend comme un arc, une giclée de sperme jaillit de sa verge. Rapidement, sa maman gobe le gland qui ne cesse de perler et le suce pour recueillir tout ce qui se cache dans la hampe. Elle se redresse, place sur son bas-ventre le harnais superbement goder. Il l’approche de l’anus de son fils et pousse doucement. Marc se cabre en geignant comme un animal malade. Il reçoit dans son rectum la totalité de l’engin.
Sa maman le défonce en poussant des hans de bucheron. le gode et son fourreau garni de picots rabote la cloison anale fortement, en faisant gémir Marc. Une explosion de jouissance le fait giclée une seconde. Il se redresse vivement, retour sa maman sur le ventre et lui plante son glaive de chair dans le cul. Il la défonce comme un forcené, jusqu’à ce qu’elle jouisse une ultime fois.
Ajouter un commentaire