En cette période de confinement, mon épouse et moi, étant au chômage partiel tous les deux, on décidait un après-midi d’aller marcher un peu dans la campagne environnante. J’étais agréablement surpris par sa tenue vestimentaire : leggings noir fuchsia des plus moulants…, baskets de marche associés et sur son torse, une doudoune et écharpe finissant de lui sculpter son joli corps de femme !
Tout en marchant, je me faisais des plus tendres…, caressant…, au point de lui demander son portable (je n’en ai pas), pour éventuellement la photographier, ce qu’elle désavoua d’abord ! Une fois loin de tout et tous, je réussissais traînant derrière elle, à faire un, puis plusieurs clichés de ces jolies petites fesses, ce qui eut pour effet de totalement la désinhiber, décoincer, et même presque par la suite elle en joua…
Au milieu d’un chemin de terre, sur le plateau où nous nous trouvions, entourés de larges champs à peine labourés, et de haies, je réussissais à lui faire ouvrir sa doudoune et photographiais sa poitrine, à travers son petit pull. Mélangeant mots doux et coquins, plus je faisais des clichés, plus elle accédait à mes demandes, comme exaltée qu’elle semblait être ! Je n’eus presque aucun mal à lui demander de relever son pull, pour « offrir » à son portable ses seins à peine cachés sous un petit soutien-gorge noir : j’étais aux anges…
Quelques pas plus loin, arrivés vers une vigne où à l’entrée, une cabane ouverte et aux quatre vents couverte à l’extérieur de tags, je l’invitais à m’en offrir plus et comme « conquise, subjuguée », mon épouse était, après un bref regard autour de nous, elle accéda à mes désirs…
D’abord elle « m’offrait » sa poitrine de plus en plus dénudée, puis ces fesses, à peine couvertes par un tanga noir en dentelle, qu’elle fit même glisser sur ces cuisses…
En quelques minutes, elle semblait totalement transformée et des plus dociles même accédant à tous mes délires… Adossée contre le mur et face à moi elle était, et je n’eus « presque » aucun mal à la diriger…, guider…, et surtout l’amener à se caresser sur son tangua puis ces doigts à l’intérieur, fougueusement elle se fouillait ! Devinez le tableau :
mon épouse leggings baissé aux genoux, blouson ouvert sur son pull et soutien-gorge remonté.
Oubliant tout et tous, sans se soucier de plus rien, comme hypnotisée elle semblait être et facilement, gaiement elle en vint à se faire plaisir seule ainsi devant moi et son portable. Qui était le plus excité des deux, je n’en trop rien, mais stoppais de la filmer, je m’approchais et me collais contre mon épouse qui d’une main me prit le cou, et me glissa :
— j’aimmmmmme encorrrrrre c’est trop bon !!!!
je ne sus et pu que lui glisser amoureusement « saaaallloooooppppe »
— Pour toi mon amour !
À mon tour je jetais un œil autour de nous, toujours personne à l’horizon, je me détachais d’elle, et moi aussi, face à face je me suis mis à me masturber, tout en lui « ordonnant crument » de baisser sa culotte… : ce qu’elle fit prestement, et en quelques secondes de violents et puissants spasmes de plaisirs la firent tressaillir, frissonner. Elle jouissait comme rarement et je n’en revenais pas !
Après ce merveilleux et intense moment de plaisir, avec quelques Kleenex elle se nettoyait, et encore sous l’effet de ces plaisirs pris, facilement elle accéda à me demande, d’ôter son soutien-gorge…, son petit pull, et de continuer notre marche, nue sous sa doudoune profondément ouverte…, jusqu’à notre maison, bien trente minutes de marche il nous restait ! Tout en marchant encore et encore des plus excités étions, et délirions sur notre arrivée à la maison, et sur la suite qu’on allait donner à nos extravagances…
La porte de la maison franchie, fougueusement ardemment dans le salon on allait s’aimer ne lui faisant garder que sa doudoune presque entièrement ouverte et son tangua. A travers celui-ci je la doigtais, fouillais, elle s’en régalait trempée qu’elle était, puis lui l’ôtant, on s’amusait à le sentir, renifler, lécher, et même qu’à un moment elle le porta à sa bouche enflammée que nous étions !
À quatre pattes sur le divan ma chérie d’épouse était avec ces mains sur le haut et moi par derrière, je la tambourinais !
Dans un état second elle était pour me crier presque de la prendre plus fort, plus loin, plus bestialement qu’elle adorait !crois que c’est moi en premier qui jouissait puis quand vint son tour des plus déchaînées elle était, et elle, par la suite, m’avoua sans détour que jamais elle ne c’était sentie aussi cochonne, aussi chienne que lors de notre ballade, et qu’en se fouillant devant moi, elle avait eu des envies des plus folles, excessives, démesurées, qu’elle me promettait de m’avouer plus tard !!!!
tartuffe harroferrari
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