Un sublime après midi de plaisirs partagés avec mon tonton à son domicile.
Et si nous voilà à ce spécial jeudi où si en partant déjà un peu plus tard qu’à l’habitude, je me serais tout de même décidé après 9hrs30 de partir, pour cette fois me rendre à Bischheim où réside mon tonton préféré. Arrivé un peu avant 10hrs, un peu de problème pour stationner, pour sonner chez ce dernier où bien sur si la porte s’ouvre de suite, il fallait encore grimper les quatre étages (sourire). Et enfin une fois arrivé, tonton m’attendant déjà sur le seuil de la porte, il me fait entrer et avant même que je ne puisse ôter ma veste et autres, se jette sur moi comme sa petite drogue, s’emparant de ma bouche que nous nous dévorons quelques instants tout comme nos langues avec déjà un plaisir dément et combien partagé. Me libérant ensuite de ma veste, ma sacoche, il m’entraîne alors par le bras dans son havre de paix.
Si mon tonton alors vêtu encore d’une belle robe de chambre me doutant un peu qu’il devait être tout à poil en dessous, il était en m’attendant assis dans le canapé de son salon devant sa télé, où il m’invite alors à y prendre place tout en me souriant et me remerciant encore d’être venu et surtout sans avoir de remords de ne pouvoir pêcher aujourd’hui. Il me remercie encore pour ma discrétion en montant évitant que les voisins ne jettent un œil, surtout que, ni sa femme ni la mienne ne peuvent à et instant imaginer que nous soyons ensemble au domicile de ce dernier il est donc préférable que les voisins eux aussi n’en sachent rien au risque d’en parler à sa femme.
Si nous conversons ensuite de mille petites choses, l’heure de l’apéro n’étant plus trop loin, je décide au fond de moi, de prendre un peu les devants et ce, tout en conversant, laisse à un moment ma main se poser sur le genou de tonton qui ne réagit en rien, à part écarter très discrètement ses jambes, où alors tout en lui souriant, je continue à longer sa jambe, je finis en écartant un peu l’ouverture de cette robe de chambre, comme je m’en doutais à pouvoir me saisir sans plus, de la jolie queue à moitié en érection de mon petit pervers qui se laisse alors tomber en arrière dans le canapé, en grimaçant, laissant alors sa queue s’engouffrer dans ma bouche, me faisant plaisir à lui la sucer et la rouler autour de ma langue, où mon petit coquin adoré se laisse à des Oh Ouiiiiii… continues mon Gégé….., continues… comme j’ai attendu ce moment depuis ce matin….
Si après un moment, relâchant un instant sa queue, lui dévorant ensuite ses petites couilles ce qui là encore semble lui faire un bien énorme se déhanchant comme un petit animal, où, à force de glisser vers le bas dans ce canapé, laissant alors déborder un léger son petit cul, je profite par la même à laisser partir l’index de l’une de mes mains entre ses cuisses et s’introduire dans son trou de cul que je lui branle, laissant tonton à des gémissements et de râles dans un plaisir indescriptible. Mais souhaitant profiter au maximum l’un de l’autre aujourd’hui et ne voulant surtout pas faire jouir trop vite mon petit pervers tonton, je relâche alors ce dernier, mais combien déjà heureux à lui avoir fait autant de bien et ce même avant l’apéro (sourire). Et bien sur ce dernier ne se retient pas à me remercier quelques instants reprenant avec gourmandise ma bouche. Si pour ma part, j’étais encore tout habillé (sourire) ce dernier propose alors de chercher l’apéro, bien sur le petit Ricard, qui aujourd’hui sera accompagné de quelques gâteries salées que tonton avait préparé et qui je l’avoue étaient très bonnes, ne manquant pas de le remercier.
Il m’informe aussi que pour le déjeuner il nous aurait concocté un lapin avec des nouilles, ce dernier encore en cuisson mais que nous devrions pour voir manger vers 13 hrs 00, ce qui à voir tonton jeter un œil à sa montre, nous laissait encore bien du temps. Et voilà que tout en trinquant un verre, puis un deuxième…le pervers petit profiteur sachant bien que je ne supportais pas trop boire, se laisse bien assis dans son canapé et sans plus , à me lancer tout en souriant, « et si mon petit neveu chéri ôtait à son tour quelques habits en me faisant profiter son tonton d’un petit striptease ??? »
Si je me sentais à cet instant un tout léger gaie, je me laisse à sourire à mon tonton chéri, buvant encore un petit coup, lui lançant si cela peut te faire plaisir. Je me lève donc très lentement, et commence tout en me déhanchant, à retirer un à un mes quelques habits. laissant déjà glisser lentement mon polo au dessus de ma tête, me caressant le torse, puis mes petits tétons sur lesquels si je m’attarde un peu, je laisse de plus descendre lentement ma main dans mon entre jambes, pour alors faire glisser la tirette de mon jeans qui tombe à terre, que je ramasse pour le jeter dans un coin, pour enfin, en arriver à mon joli caleçon que je portais ce jour, qu’avant de retirer je me laisse un moment, à tourner autour de mon tonton adoré, passant si près de lui à un instant que ma petite bosse encore cachée, frôle presque son nez, me laissant entrevoir ses yeux brillants avec une folle envie de toucher, me reculant alors très vite où là, se souriant tous deux je me laisse lentement à ôter ce dernier étant à présent tout à poil, me faisant de plus plaisir à continuer à me tortiller, me remettant à caresser mon entre jambes sous les yeux de mon petit pervers, qui bien sur n’en pouvant plus, me lance des « viens mon Gégé..viens, j’ai trop envie de toi….STP..STP. »
Et si je me rapproche de ce dernier alors tout à poil, rajoutant de plus, fais de moi ce que tu auras envie mon tonton, ce dernier n’y tenant bien sur plus, laisse partir sa main entre mes jambes, se saisissant de ma petite queue, me palpant de son autre main mes petites couilles, promenant ensuite ses dernières autour de mes fesses, où à grimacer déjà de ce torride moment, je ne me retiens plus, me jette comme petit dément dans ce canapé sur tonton adoré, reprenant avec démence nos bouches, roulant avec démence nos langues l’une dans l’autre, tout cela, dans des ébats pervers et sans limite, finissant par tous deux nous retrouver allongés sur le joli tapis au sol avec nos queues combien en fusion, se débattant dans des positions les plus perverses, où si très vite mon tonton me bloque à son envie, cela nous permet réciproquement de reprendre nos queues à chacun, se les glisser au fond de nos bouches et dans des va et vient partagés, se défonçant de plus sans retenue, nos trous de culs, nous arrive après quelques minutes cette explosion où dans une jouissance indescriptible, nos spermes giclent dans un plaisir insoutenable au fond de nos gorges, ne relâchant en rien ni l’un ni l’autre, nous laissant à un bonheur sans nom durant encore quelques sublimes instants.
Si enfin, tous deux apaisés au mieux provisoirement nous nous rendons ensuite à la salle de bains, pour un peu nous rincer et nous rafraichir, un dernier torride bouche à bouche, nous laisse à profiter des dernières gouttes de spermes restants, pour ensuite se rhabiller un minimum et aller enfin tous les deux mettre en place notre déjeuner. Et combien nous étions tous deux heureux à cet instant de cette heure déjà passée à se donner à nos âges tant de plaisirs. Et en effet, tout en préparant le repas, la tables, etc., tout en conversant si nous en arrivons un instant à notre relation, pour laquelle sachant tonton depuis toujours en temps normal, pas trop bavard étant tout aussi solitaire que moi, surtout pour sa part, depuis tant d’années seul au bord de son étang.
Et là, nous nous laissons à être unanimes à s’avouer qu’avec un autre homme cela ne nous était et ne nous serait jamais venu à l’idée, ni même jamais ressenti l’envie de partager de tels moments, tonton, me fait part, que s’il n’avait jusqu’alors jamais pensé ni ce serait intéressé à se faire plaisir avec un homme, rajoutant que la première fois où de tels fantasmes lui seront venus, cela aura été lors de notre première rencontre où, sans se l’expliquer, de telles envies l’auront alors très vite envahies et plus fort de jour en jour en pensant à moi et combien cela m’aura bien sur fait plaisir.
Et je dois avouer qu’à ses mots qui m’auront fait mille effets et combien plaisirs, je ne résiste à remercier alors mon coquin adoré, qui tout en s’occupant des nouilles, m’offre un instant sa bouche que je dévore tout comme sa petite langue que j’enroule cette fois encore avec combien de plaisir et d’envie dans la mienne. Toutefois si arrive le moment où notre repas était prêt, nous souriant réciproquement, nous nous installons tous deux à table, à profiter de ce délicieux repas que mon tonton chérie nous avait fait avec toujours une bonne petite bouteille cette fois de rouge.
Et là, bien tranquille si nous conversons de mille choses arrive un moment où tonton toujours avec son sourire coquin, me fait, que si cela va faire plusieurs semaines que nous nous laissons à mille plaisirs les plus fous tous les deux, ne comprenant pas malgré ses 72 berges, avoir en permanence toujours encore autant envie de moi, comparant cela à une drogue dure. dure… mais dit-il, combien bonne et jouissive. Et si je le remercie de ses mots combien bandants, rajoutant avec le sourire que si la journée n’était pas terminée, j’étais tout à l’heure fin prêt à encore me donner sans retenue à lui, comme sa petite pute soumise et me laisser à ses jeux et envies les plus perverses qui lui viendront à l’idée de me prodiguer.
Après ses petits aveux réciproques, tonton assis en face de moi, je remarque de suite ce dernier à me mater encore avec ses yeux brillants, pour alors se lever, chercher le café, lui donnant un petit coup de main pour débarrasser notre table, ce dernier ne manque pas de me bloquer dans un coin de la cuisine, reprenant avec démence ma bouche y glissant sa langue pour la rouler autour de la mienne, ne manquant par la même à promener ses mains entre mes jambes où bien sur ma queue était à nouveau en toute érection.
Si toutefois, il était à présent 14hrs 30 passé, installés depuis une vingtaine de minutes à table à prendre notre café bien sur arrosé, où de plus, cette fois encore mon coquin, connaissant ma fragilité avec l’alcool, me verse déjà le troisième petit verre, ce dernier me propose d’aller me montrer quelques photos, m’invitant pour se faire à se rendre tous deux cette fois dans la chambre à coucher, où le lit encore défait et me sentant un léger éméché semble presque m’appeler (sourire) ce qui bien sur ne reste pas insensible aux yeux de tonton, qui se laissant à me sourire me lance alors « ça va mon Gégé…., lui rétorquant juste « pas mal, je vais super bien mon tonton», profitant juste, assis sur le bord du lit, à lui déposer un petit bisou dans le cou, où si ce dernier aura sorti quelques albums, pour alors regarder tous deux quelques photos, certaines de famille assez belle et bien sur de son étang super beau, cela dura encore un bon petit quart d’heures, ou alors, si nous nous levons tous deux, pensant pour ma part, aller encore prendre un café, tonton dépose ses albums sur la commode, pour ensuite aller tirer le rideau, me disant pour la discrétion, pour alors revenir vers moi tout souriant avec toujours ses yeux brillants d’envies….
Et là sans plus, il laisse partir ses mains sur moi, reprenant avidement ma bouche, ouvrant très vite la tirette de mon jeans, qui s’il tombe au sol, je m’en dégage sans plus, me retrouvant alors de suite à poil, où ensuite sans prévenir, le coquin me fait basculer en avant sur ce lit, laissant aussitôt tomber à son tour son pantalon, pour se jeter sur moi où là, les ébats reprennent avec une furie indescriptible, se laissant réciproquement à tous les plaisirs les plus fous, se dévorant réciproquement tous les endroits possibles de nos deux corps, se mélangeant encore nos petite langues, les roulants l’une dans l’autre, où finissant à un moment dan une position indescriptible, je profite à dévorer sans retenue, avec ma petite langue les fesses de mon petit tonton pervers, jusqu’à introduire cette dernière lentement dans son trou de cul et encore… et encore… ce qui laisse ce dernier à des gémissements terribles.
Et si les ébats perdurent dans des râles presque insoutenables, se roulant tous deux dans tous les sens possibles, je lance à mon tonton, ma queue bien dans sa main, “Oh Ouiiiiii continues…. Suces moi…. Branles moi…, fais moi du bien mon petit coquin ce qu’il ne manque de faire m’entrainant après d’interminables minutes dans un plaisir dément, à la limite de la jouissance et ce, jusqu’au moment où heureusement ce dernier cesse quelques instants son jeu torride, me faisant alors basculer sur le ventre, très vite il prend les deux oreillers posés sur le lit pour me les positionner sur le bas de mon ventre, qui bien sur, fait se relever mon petit cul, me retrouvant à présent dans une position combien perverse, où si de plus, je lui lance ‘Oh Ouiiiiiii mon petit pervers tonton adoré.. Prends moi… Encules moi…. Fais-moi sentir ta queue bien en moi.’.
Tonton se positionne alors dans mon dos, enserrant ses mains autour de ma taille, empoigne sans plus ma queue déjà en feu, que lentement il se remet à branler, pour alors me faire sentir la sienne dure comme bois, se promener autour de mon petit trou de cul et enfin, laisser cette queue entrer en moi, ne pouvant me retenir à des râles démesurés, des gémissements de ‘Oh Ouiiiiiii tonton…. encore.. encore… plus fort, continuant à se laisser à des va et viens effrénés et incessants, tout en ne relâchant en rien cette queue qu’il me branle, pour après encore quelques minutes de ces ébats plus que fous et dans des gémissements réciproques de plus en plus fort, finir par ne plus se retenir ni lui ni moi sentant le sperme de mon petit pervers gicler avec force dans les entrailles de mon cul, laissant ce dernier à un plaisir alors insoutenable tout comme pour moi moi-même qui presque au même instant laisse alors gicler mon sperme entre ses mains en ayant de plus empli mes couilles qu’il me palpait alors par la même. Et là, tous deux encore allongés sur ce lit je crois que nous venions de passer un moment encore insoutenable de plaisirs mais combien jouissifs et qui cette fois nous aura encore bien plus apaisés que jamais.
Et bien sur après cela nous aurons tous deux passés sous la douche où là encore à nous remercier réciproquement de ces déments instants de plaisirs desquels nous aurons encore aujourd’hui profité comme jamais, nous dévorant encore quelques sublimes minutes comme deux amants même hommes que nous n’avons aucune honte à avoir été durant encore cette sublime journée. Et si un peu avant mon départ, tonton me demande si je viendrais pêcher la semaine d’après, me précisant toutefois, que pour une fois et cela avec un drôle de sourire, que si cette journée risquait d’être peut être sans sexe et que l’après midi serait bien suffisant pour pêcher un peu, m’en précisant alors la raison.
En effet il me dit avoir une connaissance, un certain Romain me fait-il, de son âge, avec lequel il joue de temps à autre au billard et qui semble-t-il depuis des lustre avait envie de voir une fois son étang et que si ce jeudi après midi lui convenait tout à fait, tonton me précise mais seulement si bien sur cela me dérangeait pas, que ce dernier se joigne à nous m’avouant de plus, avec son petit sourire coquin, espérant que cela ne me contrarie pas s’il lui avait parlé de moi, son petit partenaire de pêche et neveu chéri…. Et si je fais à tonton que cela ne me gênait aucunement et que de plus il avait le droit de recevoir qui il souhaitait à son étang, il rajoute que si le Romain se réjouissait de voir enfin cet étang, tout souriant tonton ne manque de me dire que son Romain, semblait aussi avoir hâte de faire ma connaissance, ce qui je l’avoue m’aura un peu étonné me demandant au fond de moi s’il n’y avait peut être pas un petit piège coquin….. S’il était alors presque 17 h, et après cette journée combien démente, je quitte alors mon tonton chéri non sans échanger encore un torride dernier bisou
Et si en effet déjà sur le chemin du retour je pensais à la semaine suivante avec ce copain de mon tonton qui voulait semble-t-il juste voir son étang, je me doutais bien sur que cela n’en resterais pas juste à cela, comme vous pourrez le lire dans ma prochaine petite aventure au bord de l’eau où là mon tonton m’aura cette fois entraîné à une partie démente à trois.
FIN
Gégé
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