Petits souvenirs d’incestes et d’initiations passés entre un tonton de la famille et moi même au bord de l’eau (Épisode I) Pour en revenir à présent aux souvenirs bien ancrés en moi et que je me serais fait trop plaisir à résumer dans ce premier épisode, auxquels avec mon tonton nous nous étions laissé aller il y a quelques années durant Déjà, pour dire que si je n’avais avant de connaître tonton pas connu ce genre de plaisirs, très vite me sera venue cette addiction et même drogue de ses jeux , plaisirs, que j’aurais eu et que j’avoue n’avoir jamais perdu, encore aujourd’hui à mon âge, la soixantaine passée, envers certains hommes, (qui faut-il soient mon genre et très sympa), Et pour en venir à ce premier épisode, où je si devais juste aller vers mes 50 ans, et que mon loisir qui me reste depuis des années la pèche, j’aurais fait en ce temps là, la connaissance d’un tonton à mon épouse qui si pour sa part devait en cette période avoir 68 où 69 ans, marié, sans enfants. Et tout cela, après avoir appris que ce dernier avait un étang de pêche dans la région, situé pas très loin de chez nous. Et si je ne sais pourquoi, mais tout ce sera passé très vite, où en effet, si ce tonton avait appris lors d’une réunion de famille, à laquelle je n’étais pas présent, ayant toujours la bougeotte, mais que ses la famille présente lui avait précisée, que si j’adorais la pêche tout autant que lui, il n’en reste pas moins, que pour ma part, cela aura jusqu’alors, toujours été en petit solitaire dans mes petits coins secrets le long du Rhin. Et si ce dernier semble-t-il, aura malgré cela, bien insisté auprès de la famille, précisant, qu’il aurait trop plaisir de juste me connaître et peut être me donner l’envie de pêcher de temps à autre avec lui. Et si bien sur après cela, la petite famille proche et même ma moitié, m’auront faits part de cela, m’auront de plus incités et poussés à pourquoi pas essayer et de plus profiter de cette aubaine unique disaient-il, le tonton n’aura pas manqué lui aussi de m’appeler, où après quelques échanges téléphoniques, cela nous aura un peu permis de faire plus ample connaissance, même par téléphone, ce dernier avec ses mots si persuasifs, me faisant miroiter son étang, m’avouant de plus que cela lui permettrait par la même de ne plus être aussi seul en cette belle période, aura fini par me persuader à accepter, et tout cela sans que je ne pensais alors que le tonton, que je n’avais jusqu’alors jamais vraiment connu, pouvait avoir dans ses gênes et comme cela se résume dans cet épisode ci-dessous, autant de petits penchants déviants comme je l’avoue j’en avais moi-même déjà de temps à autre mais pour ma part, en petit solitaire.. Arrive donc ce fameux premier jour, où si je ne savais pourquoi, me sentant de plus un léger angoissé, je me rends donc à cet étang, où arrivé sur place de suite accueilli par ce tonton duquel si j’étais bien sur son neveu, nous ne manquons pas de juste nous embrasser, me serrant je trouvais d’une façon déjà coquine dans ses bras, du plaisir disait-il, de me voir et surtout de celui d’avoir accepté son invitation. Et si bien sur, j’aurais de suite trouvé le site superbe, isolé en pleine nature et de plus, à l’abri des regards, pensant là déjà au fond de moi, ne sait-on jamais ce qui pouvait arriver ??? Si ensuite je l’avoue, la journée ce sera passée superbe et où tonton m’aura de suite informé avoir ramené pour midi un déjeuner que sa femme nous aura préparé, après quoi nous aurons pour cette première rencontre, surtout profité et cela comme j’adore à mon habitude, et en toute franchise à mieux se connaître. Et en effet, à converser, tonton m’avait rappelé son âge, un peu le court de sa vie, comment il avait acquis cet étang et bien d’autres confidences, arrive mon tour où si bien sur je lui aurais aussi confié pas mal de mon intimité, lui précisant avoir juste la cinquantaine, rajoutant ce qu’il aura en souriant combien apprécié, qu’au premier regard déjà, je l’aurais de suite trouvé super sympa, très accueillant me laissant même à lui dire, que son physique, était loin d’aller avec l’âge qu’il semblait avoir ce qui n’aura pas manqué de le ravir. Quant en ce qui me concerne, je ne vais pas énumérer toutes les autres éloges auxquelles tonton ce sera laissé à mon égard, retenant toutefois, surtout pour moi, le terme de « trop mignon » même si j’en avais soixante (sourire) me trouvant physiquement trop choux, allant jusqu’à se laisser à mes dire, surtout dans le joli petit short que je portais ce jour là, ne manquant d’y porter ses yeux, me doutant que ce dernier, devait lui sembler un léger aguichant sans pour ma part, y avoir pensé en le mettant ce matin (sourire) . Si je lui aurais ensuite fait part en toute franchise que j’avais plutôt l’habitude de pêcher en solitaire ce qui en cas de petites envies quelconques, me laissant à un petit sourire, je pouvais sans lui donner de détails, me laisser à tout ce que je voulais, cela encore aura fait sourire également ce dernier, qui me donne en réponse, que si l’endroit comme je l’aurais découvert est en effet idyllique, bien abrité par la végétation,, et surtout discret avec très peu de passage, rajoutant par la même avec un regard alors coquin, libre, à toi Gégé si tu t’y sens bien, de te laisser à ta guise et même me faire connaître si tu le souhaites et cela sans gêne, tes petits plaisirs secrets cachés, même les plus coquins, ce qui de suite ne m’aura aucunement laissé insensible. Si après cela, me prenant sans plus par le bras, ce qui ne m’aura pas déplu, nous aurons fait le tour de son bel étang, tonton me proposant gentiment de choisir mon endroit de pêche, où si j’aurais alors opté simple, à savoir pour le bas de la berge, pas loin de la terrasse et de son petit bâtiment ce qui aura encore fait sourire le tonton qui alors me précise et sans que je ne le savais, pêcher pour sa part à peine à une dizaine de mètres de l’endroit que j’aurais choisi, rajoutant que cela nous permettra de bavarder à notre guise. Et si le temps passait, et que midi se rapprochait, tonton me propose alors de prendre l’apéro et de déjeuner au soleil et tout cela toujours en continuant à converser de mille choses durant le repas. Si enfin, en début d’après midi, nous nous serons mis un peu à la pêche nous aurons avec combien de plaisir pour moi, novice de cet étang, pris ce jour, quelques carpes, brochets, autres poissons que nous aurons bien sur remis à l’eau en fin de pêche. Alors en fin de journée et avant mon départ, j’aurais avoué à tonton que l’endroit était bien plus chouette que je ne le pensais, le remerciant par la même je vais dire de m’avoir aussi vite un peu adopté avec sa gentillesse, de plus nourri, promettant à ce dernier de bien sur revenir dés la semaine prochaine, nous quittant alors tonton se faisant plaisir avec cette fois quelques bisous où me serrant encore plus fort que le matin, j’aurais presque eu du mal à ce qu’il me lâche. Et si ce dernier et son bel étang auront très vite finis par devenir pour moi une petite addiction (sourire), les semaines suivantes, j’attendais à chaque fois, avec hâte le jeudi pour rejoindre mon tonton avec son petit sourire que je trouvais de semaine en semaine plus coquin à mon égard, finissant par adorer ce dernier et surtout passer avec lui, de cools journées de pêche tous les deux. Et si de plus, je l’avoue m’être souvent laissé à quelques petits fantasmes sur le chemin me rendant chez ce dernier, qui m’auront toujours, je ne sais pourquoi faites bander allant jusqu’à me caresser souvent même tout en roulant ma petite queue et de plus déjà là, avec surtout des pensées envers mon tonton. Et si une fois arrivé, la journée comme jusqu’alors se passait super bien, j’avais malgré cela mais sans penser à mal, remarqué que ce dernier se laissait aujourd’hui, à des petits moments parfois bien plus entreprenants, passant bien souvent près de moi, profitant à passer juste sa main dans mes cheveux, dans mon dos, etc.., ce qui ne me déplaisait bien sur en rien bien au contraire, laissant de plus ce dernier à son plaisir. Et tout cela dura encore, jusqu’à ce qu’arrive cette fameuse quatrième semaine, où si nos habitudes bien sur n’auront pas changé, sinon que si nous étions alors mi juin, je savais déjà avant de partir de chez moi, qu’il ferait encore plus chaud que la semaine passée, décidant alors de me vêtir un minimum, avec juste un léger polo, qu’une fois arrivé, je pourrais de suite ôter, ne gardant que le petit short bien serré que tonton je savais adoré, (sourire) sous lequel de plus je ne portais rien, permettant de laisser apparaître au mieux, une jolie petite bosse que formait derrière ce dernier ma petite queue. Et si comme bien sur, je m’en doutais cela n’aura laissé en rien insensible mon tonton qui aussitôt arrivé, sortant de ma voiture, m’embrassant comme chaque fois, se laisse de suite souriant avec ses petits yeux déjà brillants, à me dire « tu es spécialement adorable et trop mignon aujourd’hui mon Gégé…» précisant comme je m’y attendais surtout avec ton joli petit short, derrière lequel il se laisse à « ce dernier semble bien garni » (sourire), ce qui me laisse de suite à quelques frissons, limite de bander et faire gonfler encore plus ma petite bosse, faisant au mieux pour me retenir et surtout, n’ayant jusqu‘alors, jamais entendu tonton me parler aussi coquinement, même si cela je l’avoue ne me dérangeait en rien, bien décidé alors à voir même si je m’y attendais un peu, ce que ce dernier que j’adorais trop, allait aujourd’hui encore à se laisser aller envers moi. Et si comme à l’habitude la matinée ce sera bien passée entre la pêche, le bavardage, l’apéro, le déjeuner, où ensuite en tout début d’après midi une fois à nouveau installé à ma petite place, le tonton comme toujours, à une dizaine de mètres de moi, remarquant cette fois encore bien plus qu’à l’habitude, que les yeux de ce dernier ne me quittaient pas. Si de plus, le soleil chauffait assez fort et ce, même sous mon parasol, il me vient une petite envie de défier à ma façon discrète le petit pervers coquin, qui depuis mon arrivée, ne se prive en rien à me mater. Alors, profitant d’un petit saut d’eau fraiche que je m’étais ramené, et que de plus si j’avais à cet instant super chaud, je pose ma canne sur son support, pour devant bien sur les yeux combien surpris, ébahis et même alors agars de mon tonton, retirer sans aucune gêne mon short d’où émerge bien sur de suite ma jolie petite queue à moitié en érection, pour ensuite vider ce seau d’eau sur l’ensemble de mon corps, alors combien rafraichissant, mais bien mouillé comme un chien, me trémoussant et me secouant comme l’aurait fait ce dernier (sourire) faisant alors semblant de me sécher. Et si bien sur sans surprise, je remarque à un instant mais sans connaître ses intentions, que tonton venait de se lever pour venir me rejoindre, se mettant un instant assis sur la berge, juste derrière moi, il se laisse tout en souriant à me lancer « cela t’aura fait du bien cette eau fraiche Gégé… lui rétorquant tout en lui souriant bien sur mon tonton, même si à présent je suis trempé (sourire). Et là, se souriant tous deux mais n’ayant rien demandé, voilà que ce dernier se lève alors, pour aller sous la terrasse, revenant très vite avec une grande serviette et sans un mot, profitant tout de même à me tapoter mes petites fesses, ce à quoi il ne s’était pas encore laissé aller, se mettant à me sécher avec douceur, le dos, ce que j’avoue était combien agréable, ne pouvant me retenir à quelques petits frissons. Toutefois, si toujours à me frotter, tonton à un moment ne manque pas de m’enserrer de sa serviette pour je pensais, me réchauffer, me laissant à cet instant par envie et jeu, à poser ma tête sur son épaule, pour le remercier me laissant à continuer à l’exciter, lui déposant alors un petit bisou coquin, où après cela, toujours avec sa serviette en main, il se laisse soudain à partir me sécher mon entre jambes, où là, je me laisse juste à lui dire « que fais tu tonton, je ne suis pas trop mouillé à cet endroit, et de plus je suis super chatouilleux, alors arrêtes, arrêtes STP…STP, tu me chatouilles…STP… STP. Mais ce dernier ne tenant aucun compte de mes suppliques, toujours debout derrière moi, continue son jeu, finissant par laisser tomber cette serviette me faisant de plus, un léger pivoter vers lui pour alors sans un mot, empoigner ma queue bien sur en érection, qu’il enserre pour la première fois entre sa main, profitant par la même à laisser sa bouche rejoindre la mienne et là, avec toute l’envie folle que nous devions alors avoir réciproquement au fond de nous, quelques secondes suffisent pour se dévorer avec fougue nos bouches tout en roulant nos langues l’une dans l’autre dans un moment de plaisir dément mais combien à cet instant torride et partagé. Et si ce jeu, toujours sur le bas de la berge perdure quelques sublimes minutes, ne relâchant en rien nos bouches, tonton toujours à jouer avec ma queue et mes petites couilles, même dans cette position pas très confortable, arrive un moment, où pour la forme, je me remets à dire à tonton arrêtes STP…. Arrêtes tonton, rien n’y fait, se laissant juste à murmurer… laisses toi faire Gégé… laisses toi faire… tu ne peux savoir combien j’ai envie de toi…..STP….STP… Et si je mentirais à cet instant en disant que je n’avais pas envie de cela, tout en reprenant une fois encore nos bouches, je laisse ce dernier continuer son petit jeu avec ma queue encore quelques instants, pour enfin tous deux se reprendre en se souriant de ce petit moment de plaisir combien plaisant, remettant alors mon short pour un peu calmer ma queue tout comme les ardeurs de mon tonton, prenant ensuite tous deux place un petit moment sur le haut de la berge où tout en conversant, quelques petits câlins tendres encore ne se font pas attendre Et même si jusqu’alors pour ma part, je ne m’étais pas encore laissé au plaisir de poser mes mains sur mon tonton, j’espérais bien que cela ne tarderait pas. Alors, toujours à converser, je me laisse à un moment, avec ma franchise habituelle à lui avouer « que si déjà à chaque fois sur le chemin à le rejoindre, rêvant d’un petit jeu d’inceste avec lui, étant en effet de la même famille, je bandais à chaque fois, jouant avec ma queue comme un petit dément, tout en fantasmant et espérant qu’il finisse par se laisser aller à ses petites envies envers moi, lui précisant de plus, même aux plus perverses, profitant alors juste un instant, à passer ma main entre les jambes de mon tonton, empoignant la première fois sa queue bien sur elle aussi en érection même cachée derrière son short, où ce dernier se laisse à ce que rien ne m’oblige à cela…même si remarquant de suite que ce dernier ne manque pas de se laisser à quelques petites grimaces de ce premier petit plaisir auquel je me laissais envers lui. Si ensuite ce dernier avec son petit sourire alors bien pervers, presque comme drogué de ce que je venais de lui avouer et surtout de lui faire, même si cela restait pour le moment très peu (sourire), il se lève alors pour aller fermer à clef le portail principal ce qui m’aura fait sourire, puis se dirige dans le bâtiment sous la terrasse où je le vois ressortir avec quelques coussins de mousse de ses chaises longues, qu’il entrepose au sol dans un coin de la terrasse, bien à l’abri des éventuels regards pour ensuite les recouvrir d’un genre de couette je me demandais, ce que le petit pervers pouvait bien avoir prémédité à cet instant.. S’il revient ensuite vers moi m’avouant sans plus, que tout comme moi et déjà la semaine passée, il espérait et rêvait que nous finirions à en arriver à cela, et surtout pour ma part, à imaginer que nous pouvions nous laisser à toutes nos envies, ne prenant plus de grands risques à nos âges à tous deux (sourire). Et si tonton me fait part, que s’il y aura déjà eu quelques proches et autres qu’il aura invité où autorisé à pêcher avec lui, mais qu’une telle attirance comme celle envers moi, ne lui sera jamais encore même venue à l’esprit. Il m’avoue alors, que dés le premier jour où je serais arrivé, même alors sans se connaître, et que nos regards même sans plus ce seront croisés et cela sans comprendre, il aura très vite ressenti des pulsions au fond de lui avec des envies folles de ce jeune neveu disait-il en souriant, qu’il ne connaissait presque pas, ne pouvant s’empêcher de se branler aussitôt qu’en soirée, j’étais reparti ce qui l’aura me dit-il combien apaisé. Il rajoute également que la seule chose dont il rêvait alors, était ce fantasme espérait-il de me faire juste un peu de bien en me donnant du plaisir et se faire plaisir à lui, même sans penser que cela devait être réciproque. Mais depuis tout à l’heure où je me serais laissé un moment à lui empoigner sa queue à lui, il aura compris que mon envie de lui était tout aussi forte que la sienne de moi, et combien cela lui aura fait plaisir. Et là, tout souriant, me déposant un petit bisou, .il me promet que je pourrais sans problème, profiter de lui à ma guise si cela devait me faire plaisir, mais que pour le moment et avant d’en arriver à l’apéro, il avait une envie démente de moi, ne se retenant en rien dans ses mots, me précisant, « juste de m’occuper un peu de toi à ma façon mon coquin » Et si bien sur, cela aura de suite tiqué dans ma tête (sourire) mais combien j’avais hâte de connaître la suite, imaginant déjà peut être, la queue de mon tonton au fond de mon petit cul, alors toujours avec ma franchise, je me laisse à cet instant à lui avouer que malgré tous mes petits vices les plus pervers, que j’adore et desquels, je me fais du bien en petit solitaire ce sera toi mon tonton, le premier homme auquel je ne refuserais pas de me laisser aller, rajoutant qu’en effet, avant lui, je n’avais encore jamais eu l’occasion de profiter de telles relations avec un homme, et que s’il devait être mon premier partenaire homme duquel de plus l’envie ne me manque en rien, il reste toutefois, le premier homme qui m’aura initié à de tels échanges.(sourire) et peut être à d’autres envies encore…. Et si ce dernier semblait combien heureux de ce que je venais de lui avouer, surtout du plaisir d’être le premier qui allait peut être profité de mon petit cul, comme un petit dément, il me ressaisit sur lui, laissant sa langue se glisser dans ma bouche et la rouler dans ma mienne. Et si cela dura encore quelques instants, étant à présent bien sec de ma bonne douche (sourire), tonton ne se retenant alors plus en rien, , me saisit gentiment cette fois sous la taille, tout en passant l’une de ses mains autour de mes petites fesses, m’entraîne vers la terrasse, où faisant semblant de me débattre, me trémoussant comme alors son petit soumis, ce dernier me relâche le temps d’un instant, pour à son tour, ôter son short, où là, découvrant sa jolie queue fine et longue et encore dans une belle érection, me doutant bien et avec combien de hâte de la suite… Et en effet, s’il ramasse la couverture au sol pour la mettre en place sur le devant de la table, il revient vers moi pour encore se bouffer bouches et langues, m’entraînant vers le bord de cette table, où si toujours à se dévorer, tonton me caressant de partout, je me laisse aller à ce dernier, qui derrière moi, me pousse un léger, ne pouvant me retenir à déposer mon torse sur cette couverture combien moelleuse, les jambes ballantes bien écartées le long de cette table, laissant à la seule vue de ce dernier, mon joli petit cul, ne me retenant plus à lui faire « Combien j’ai attendu ce moment…vas-y tonton… mets la moi…. Je sais que tu en as envie… fais moi sentir ta jolie queue mon petit coquins… Vas-y encules le ton petit neveu chéri…» Si ce dernier se positionne alors entre mes jambes, pour déjà à ma grande surprise, me laissant à un moment divin, se mettre dans un premier temps, à faire promener sa lange sur mes petites fesses, pour alors la laisser partir au plus profond de mon petit trou, ne pouvant déjà me retenir à quelques râles et gémissements de ce plaisir auquel je n’aurais imaginé un jour me laisser aller, tonton ne relâchant en rien cette langue, et pire encore, laissant partir une main sous mon torse pour en même temps s’emparer de ma queue bien en érection, se mettant à me la branler, jouant de plus avec mes petites couilles jusqu’au moment où s’il retire sa petite langue de mon trou à présent trempé de salive, il se laisse alors avec douceur à y introduire sa queue, qui s’y glisse sans aucune douleur, me laissant juste e à gémir de « Oh Ouiiiiii tonton…. Ouiiiiii, vas-y…. c’est trop bon…laisses toi aller mon petit salaud adoré… plus fort, baises le ton Gégé… » Et si tout en continuant à me branler ma queue je sens ensuite cette queue entrer encore et encore au plus profond de mon trou de cul, à me limer les entrailles dans un ressenti dément, laissant encore partir des râles de plus en plus fort de ce plaisir alors fous, me trémoussant, en faisant bouger mes petites fesses, ce jeu torride dura encore de sublimes minutes où si le coquin se laisse à des va et vient incessants déments, me mordillant et promenant sa langue dans mon cou, dans mes oreilles et ce toujours à me branler, ne pouvant se retenir tout comme moi aussi, il se laisse soudain à des « ça me vient mon Gégé…çà me vient…. Oh Ouiiiiiii ma petite pute…., je jouis…..je jouis », se laissant alors tous deux dans des râles réciproques à laisser gicler avec force, nos spermes pour tonton bien au fond de mon trou de cul, quant à moi lui emplissant avec force sa main de ce liquide tiède. Et après encore quelques bonnes secondes à profiter de ce moment presque insoutenable, tonton se retire alors de ce trou débordant de sperme, relâchant par la même sa main emplie du mien dont il se délecte encore. Et là, me relevant alors, voyant ce total bonheur sur le visage de tonton, qui me remercie et me remercie encore de ce sublime moment, nous reprenons avidement nos bouches profitant encore de quelques gouttes de sperme restant. Si après cela nous serons allés tous deux nous tremper un léger dans l’étang au bas de l‘escalier pour un peu nous nettoyer et par la même nous rafraichir, remettant tous deux nos shorts, je remercie encore tonton du plaisir de m’avoir ainsi initié à cette sodomie et au bonheur de sentir une queue aussi profond en moi, plaisir auquel je lui rappelle ne m’être jamais laissé aller avant lui mais qui aura été un moment indescriptible. Il me confirme que cela était pareil pour lui et qu’il n’avait plus joui aussi fort, avec une telle envie et intensité et cela depuis bien longtemps, rajoutant n’avoir jamais encore dans sa vie était jusqu’à ce jeu de la sodomie ne trouvant les mots pour me remercier de m’être donné ainsi à lui me couvrant cette fois avec quelques simplement tendres et sincères bisous. S’il devait être alors 12hrs 30 passé, nous nous mettons tous deux, comme si de rien n’était à préparer notre apéro, tout comme le petit repas qui aujourd’hui était salade mixte qu’une fois encore ma tante nous avait préparées et de laquelle nous nous serons régalés. Et bien sur nous aurons cette fois encore bien échangés, et surtout se promettant bien sur le secret de nos torrides moments. De plus, pour permettre à nos petits sexes et à nos envies de revenir, nous aurons fait durer nos agapes de ce midi bien plus longtemps qu’à l’habitude, étant déjà presque 14hrs 30 où là, il aura fait encore plus chaud que le matin, je fais encore part en souriant à mon tonton, qu’après tous ses petits moments pervers de plaisirs, qu’il m’aura donné en matinée, le moment approche, où je comptais bien sur à mon tour ne me retenir en rien envers lui, laissant ce dernier à un adorable sourire. Et combien j’avais hâte que ce moment arrive avec cette envie sans nom et de toutes les façons, de dévorer mon tonton adoré. Si alors ce dernier s’absente un moment pour aller nous faire le café, pour calmer mes folles ardeurs, je profite alors pour fumer ma petite cigarette en attendant son retour comptant combien après cela m’occuper un peu de lui. Et après quelques minutes, revoilà le coquin qui nous sert alors le café, avec de plus un petit alcool doux, nous nous laissons encore un petit quart d’heure à profiter de ce moment cool, en toute sérénité, toujours à converser, à se sourire, ne manquant en rien de se mater réciproquement, jusqu’au moment où assis l’un en face de l’autre, je profite à laisser partir l’un de mes pieds entre les jambes de tonton, qui de plus alors, rapproche sa chaise pour mieux sentir mon pied lui câliner sa queue encore cachée. Et s’il se passe encore quelques minutes, tonton se lève ensuite, pour débarrasser, passant à un instant près de moi, mon excitation à son encontre était à l’extrême, je ne me retiens plus et profite à le coincer (sourire) le tirant un léger vers moi, l’obligeant à poser les tasses qu’il avait alors en main, pour alors sans un mot, lui faire tomber son short, passant mes mains entre ses jambes et enfin empoigner sa queue en érection, me laissant doucement à lui la branler, tout en couvrant son torse de bisous, mordillant le bout de ses petits seins ce qui laisse mon tonton à grimacer de ce plaisir, me levant, pour encore se dévorer nos bouches et se rouler nos petites langues comme nous adorons. Et là même debout, les envies les plus perverses me viennent, je couvre mon coquin adoré de caresses, de bisous à n’en plus finir, ce dernier finissant à un instant par s’appuyer contre la table tout en gémissant de mes jeux, se laissant juste à des « comme promis, je suis à toi, fais de moi ce que bon te semble mon Gégé… » Et debout derrière lui, le serrant sur moi, où après avoir fait tomber mon short, tout en continuant mes caresses, je profite à un moment à laisser ma queue se promener juste sur ses fesses, où si alors, ma petite pute écarte un léger ses jambes et surtout appuyé sur la table, se baisse un peu, je laisse ma queue se redresser, se poser sur son trou de cul, où n’y résistant plus, poussant un léger, cette dernière s’introduit lentement, laissant mon tonton à des « Oh..Ouiiiiii., Oh Ouiiiiii… Et si bien sur je fais à mon tonton que je n’en avais pas fini avec lui, le laissant à me sourire et me dire « mais que vas-tu encore me faire,» après quelques minutes de cette superbe sodomie et ne voulant bien sur pas jouir ainsi, je me retire en douceur du trou de mon tonton, où je l’entraîne alors vers le petit coin discret, où il y avait tout à l’heure redéposé la couette sur laquelle il m’avait sodomisé, où si je le fais s’allonger, me rejetant entre ses jambes, reprenant mes torrides caresses tout comme sa queue, que cette fois, je fais glisser tout au fond de ma bouche pour lui la sucer, laissant de plus, partir ma main entre ses jambes et retrouver ce trou que je venais d’enculer pour changer de jeu. Et en effet, tout en continuant à me délecter de sa queue, je laisse cette fois partir le majeur de ma main qui alors lentement s’y enfonce doucement et encore et encore… jusqu’au plus profond, faisant de plus tournoyer ce doigt bien enfoncé au fond de ce trou, ce qui laisse mon tonton à des gémissements et des râles « Oh Ouiiiiii mon Gégé, Comme c’est bon…Continue… Continue ma petite pute… Encore…Encore… » Et si combien jusqu’alors j’avais donné du plaisir à ce dernier, arrive un moment où tonton alors me supplie presque, de le laisser encore partager ensemble ces ébats déments, toujours à me délecter de sa queue, pour son plaisir, je relâche cette dernière à la limite de l’explosion du fond de ma bouche. Et tout souriant et semblant combien heureux, mon tonton se débattant un peu, finit par reprendre le dessus pour à son tour encore se jeter sur moi, me dévorant de la tête aux pieds avec sa bouche, sa langue, ses mains qui très vite me laissent à des râles de « encore tonton… vas-y mon petit salaud…. bouffes le encore ton neveu chéri…… » . Et si les ébats alors, de plus en plus torrides, ne nous privant d’aucune perversité l’un envers l’autre, se roulant démentiellement sur cette couette dans toutes les positions les plus perverses possibles, nous finissons à un moment à cette position qui nous permet cette fois de se dévorer réciproquement nos couilles, nos queues, de se doigter sans retenue nos trous de culs nous laissant dans ces échanges les plus fous, à des gémissements de plus en plus forts jusqu’au moment, où dans une osmose partagée, ressentant cette jouissance indescriptible que nous attendions tous deux, lentement nous arriver et cela je vais dire au même instant, laissant nos bouches continuer dans des va et vient incessants sur nos queues pour enfin avec force et un plaisir démentiel, laisser gicler nos spermes sans aucune relâche au fond de nos gorges, ne relâchant en rien ni l’un ni l’autre de nos queues prisonnières au fond de nos bouches, s’en délectant avec bonheur tout en se caressant encore de longues minutes et ce jusqu’à se sentir alors combien apaisés tous les deux. Si après cela tonton et moi-même étions tous deux bien rassasiés de ces plaisirs déments auxquels nous nous serons laissés ce jour, reprenant encore un moment nos bouches profitant des dernières gouttes de sperme y restants, nous nous serons ensuite rhabillés (sourire) je veux dire remis nos shorts respectifs. Et si le temps aura passé, ne souhaitant pas repartir trop tard, faisant signe à tonton que même à regret bien sur, mais que j’allais à présent le laisser. Le voyant un peu triste, le lui promets alors que si bien sur nous remettrons cela la semaine prochaine, avec bien d’autres jeux encore et ne manquerons pas encore de mille façons, à nous enculer encore tous les deux, rêvant déjà des perversités les plus folles auxquelles nous nous laisserons encore. Mais tout cela et en se souriant, en se promettant toutefois de nous laisser en matinée un peu de temps pour la pêche, ce qui nous laisse à nous sourire, tout en ne manquant pas à nos envies de nous chauffer de temps à autre pour la suite…… Si tonton me reprend alors une fois encore dans ses bras, ne résistant à se repasser une fois encore nos mains entres nos jambes, nous échangeons alors un dernier torride bisou pour enfin aller m’installer dans ma voiture et reprendre la route pour la maison. FIN Gégé |
Petits souvenirs d’incestes et d’initiations passés entre un tonton de la famille et moi même au bord de l’eau (Épisode I)
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