Philippe et sa maman
Je m’appelle Philippe et j’ai 46 ans, je vais vous raconter ce qui m’est arrivé il y quelques mois.
Ma mère, une grande femme assez distinguée de 65 ans a du aller aux obsèques d’une ancienne relation professionnelle dans les Vosges. Elle m’a appelé pour me demander si je pouvais la conduire car elle n’était pas sûre de vouloir conduire plus de 1 000 km allez retour. N’étant pas débordé, j’ai accepté.
Nous sommes donc parti de bonne heure avec sa voiture, plus confortable que la mienne pour cet enterrement. Il n’y a rien à dire sur la cérémonie, les enterrements sont tous pareils surtout ceux de gens que l’on ne connaît pas.
En début d’après midi nous avons décidé de reprendre immédiatement la route quitte à faire une escale sur le chemin du retour. C’était sans compter sur l’aléa de la mécanique. Nous avions à peine fait 50 km que la voiture a commencé à ne plus avancer. Nous sommes arrivés dans un petit village où il y avait un garage où je pensais faire réparer la voiture avant de repartir derechef. Mais, comme d’habitude, la réparation s’est avérée plus compliquée que prévu et le garagiste nous a dit qu’il lui manquait une pièce et qu’il fallait attendre 24 ou 48 heures avant de pouvoir repartir.
Que faire dans ce trou perdu pendant 48 heures, premièrement trouver un hôtel puis voir quelles distractions pouvait proposer le village.
Trouver l’hôtel fut simple, il y en avait un à 200 mètres du garage, mais problème, veille du marché il ne lui restait qu’une chambre et la réceptionniste d’ajouter que le seul du pays. Nous avons donc pris cette chambre.
« Il n’y a qu’un lit » dit ma mère, tu dormiras dans le fauteuil. Ça commençait bien, de plus nous étions partis pour maximum 2 jours emporté le strict nécessaire. Nous étions donc là au printemps, elle en robe gris foncé et moi en costume sombre alors que le temps était plutôt clément, sympa pour se balader.
Comme il était encore beaucoup trop tôt pour dîner, nous sommes partis chacun de notre côté pour visiter le village, elle les, rares boutiques, moi rien.
À 19 heures, nous nous sommes retrouvés dans « notre » chambre avant d’aller dîner au restaurant de l’hôtel qui s’était rempli entre-temps.
Elle me dit : Nous allons être ridicules habillés comme ça dans ce restaurant de campagne, mais sinon je n’ai qu’un jean et un sweet shirt et jamais je ne dînerais en public si négligée. Effectivement elle était un peu sur habillée : robe grise stricte mais moulante, faisant ressortir toutes ses rondeurs et surtout sa poitrine, des collants voile noirs et des escarpins assez haut. Pour ma part, mis à part la cravate, je faisais un peu notaire. Mais avait-on le choix ?
La salle de restaurant était pleine mais agréable, bizarrement peu bruyante.
Tu prends un apéritif ? Je m’attendais à une réponse négative mais : oui une coupe de champagne, je bois rarement mais pour fois, et puis ici personne ne fait attention à nous. Le dîner fut agréable, la table bonne et le vin également. Ma mère en a bu plus que de coutume et son humeur devenait joyeuse.
Vers 11 heures et demie elle me dit, remontons, je me sens un peu grise. Arrivée dans la chambre, elle déclara qu’elle n’avait pas sommeil et me demanda de regarder ce qu’il y avait dans le minibar. Vin blanc ou whisky ? Ce fut vin blanc pour elle et scotch pour moi.
Je regarderais bien la télé avant de me coucher dit-elle, mais à cette heure il n’y a rien. Apparemment il y a des chaînes satellites tu veux que l’on zappe pour trouver quelque chose ? Lui ai-je répondu.
Et j’ai fait défiler les chaînes, infos continues, vie des animaux films commencés et puis un porno ! J’allais continuer à zapper quand elle me dit « C’est un porno, je n’en ai jamais regardé, laisse quelques minutes ».
Je me suis assis dans le fauteuil, elle était assise sur le bord du lit. Sur l’écran une blonde se faisait vigoureusement enculer par un mec et elle en suçait un autre. Je regardais ma mère qui regardait comme fascinée tout en buvant son vin blanc. Je la détaillais, pas mal pour 65 ans, des jambes encore bien, une poitrine qui semblait abondante est des formes somme toute attirantes, mais c’est ma mère.
Je me sentais un peu gêner et je commençais bander tout seul dans mon siège. Un porno à la TV et une femme attirante sur le lit, que faire ?
C’est vulgaire, mais je trouve ça moins choquant que je ne croyais dit-elle. Et puis les filles sont bien foutues. Tu t’intéresses aux filles, lui ai-je demandé un peu surpris. Non mais à mon âge on peut être admirative des jeunes.
Tu es encore très bien, ce soir si tu n’avais pas été ma mère, j’aurais tenté ma chance avec toi.
Tu racontes n’importe quoi, tu as vu comme je suis ; vieille et affaissée de partout. Ce n’est pas l’impression et ce que j’en vois n’est pas du tout moche.
Et pendant ce temps-là le porno défilait mais nous commencions à ne plus le regarder, ma mère me fixait et je la regardais sous un jour nouveau.
Maman, tu m’en montrerais plus si je te le demandais ?
Elle a haussé l’épaule et s’est remise à regarder le film. De mon côté je ne la quittais pas des yeux. Elle bougea légèrement et ce simple mouvement a fait remonter son rouble un peu plus haut là où les collants deviennent plus sombres. Elle a en fait une belle paire de jambe et sa cuisse n’est pas lourde.
Tu es sérieux, tu voudrais en voir plus ?
Oui, ce que je vois me trouble et je suis sûr que tu es encre très belle.
Flatteurs, les hommes disent n’importe quoi pour arriver à leurs fins. Mais,
Elle s’est levée et sans que rien ne puisse en présager à passer sa main dans le dos, ouvert sa robe et l’a laissée tomber à ces pieds.
Je me suis retrouvé devant ma mère en soutien-gorge de voile noir, culotte assortie et oh surprise porte jarretelles et bas. Quelle vision : ces seins gonflés étaient clairement visibles à travers la fine dentelle, son ventre voluptueux un peu arrondi, et sous la dentelle du slip je voyais nettement sa toison brune.
Alors, déçu ?
Non, tu es superbe, bien des femmes de 40 ans sont moins bien.
Je ne suis pas déshabillée pour simplement t’entendre dire que je suis superbe, je veux voir l’effet que ça te fait.
Avec un tel encouragement, je ne pouvais quitter le fauteuil, déshabille à mon tour et exposer mon sexe complètement bandé.
Je l’ai prise dans mes bras et embrassée, j’ai senti sa main sur mon ventre puis sur ma bite elle commençait un doux mouvement des va-et-vient des plus prometteur pour la suite.
Je n’ai pas touché de queue depuis plus de 15 ans, j’avais oublié que c’est si doux.
Puisque tu as attendu 15 ans tu peux encore attendre quelques minutes et encore faire montera pression lui ai-je dit, tu vas faire ce que je te demande, puis je vais te dire ce que vais te faire avant de le faire.
Un peu surprise, elle s’attendait sûrement à ce que je la mette sur le lit et que je la saute sans préambule.
Si tu veux que dois-je faire ?
Enlève ton soutien-gorge et caresse-toi les seins.
Elle l’a enlevé, ses seins étaient gonflés un peu tombants mais fermes avec une aréole très brune et des tétons pointés. Elle les a caressés pressés l’un contre l’autre me regardant avec un sourire.
Enlève ta culotte et montre-moi ta chatte, exhibe-toi.
Sans réticence elle a enlevé sa petite culotte noire et j’ai vu sa chatte, des poils bien taillés pour mettre en valeur des lèvres charnues et brillante de mouille qui avaient du mal a caché un clito plutôt grand.
Pendant 10, elle s’est caressée, assis sur le lit les cuisses grandes ouvertes, je n’en perdais pas une miette.
Retourne-toi, mets-toi à quatre pattes. Maintenant, je voyais son cul, deux globes charnus, le sillon écarter et un anus tout rond tout rose. Elle se caressait la chatte et le cul faisant glisser ses doigts sur toute la longueur de sa raie et s’attardant parfois sur sa rosette. Quel spectacle, une vraie femelle en chaleur.
Et maintenant que vas-tu me faire ? Demanda-t-elle sur un ton assez pervers.
En fait, je ne vais pas te le dire, je vais te le commenter en temps réel, tu fais ce que je dis.
Approche, tu m’embrasses, je sens ta langue qui entre dans ma bouche, je sens ta main sur mon ventre, tu me prends la bitte, tu la caresses doucement pendant que ma langue est dans ta bouche. Maintenant je sens ta langue descendre sur mon cou, mai poitrine, Elle est sur mon ventre ? La bouche est près de ma queue, je sens ta langue sur le gland ? Tu commences à me sucer, c’est bon, c’est chaud, allez encore plus profond, je n’ai pas envie de jouir dans ta bouche, mais la sensation est forte, je vois le haut de tes cheveux monter et descendre en rythme alors que tu me pompes. C’est bon, c’est doux. Maintenant sans sortir de ta bouche, je te fais changer de position, Ta chatte est devant mes yeux elle est trempée, je commence à te lécher la toison, puis les lèvres de ta chatte sont collées contre ma bouche, tes fluides un peu salés me remplissent la bouche, je prends ton clito entre mes lèvres et je le suce comme un bonbon, tu coules encore plus, si tu continues je vais être trempé, mais c’est si bon. Je vais faire durer ce 69 avant de passer à la suite.
Philippe
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