Comme tous les matins depuis une semaine, Philippe embauchait tôt. Beaucoup de travail, peu de temps. Et puis, à cette heure-ci, il profite du calme et n’a pas besoin de se sacrifier au rituel du serrage de mains en passant dans chaque bureau.
Cela faisait bien une demi heure qu’il était arrivé, lorsque le calme du bâtiment fut troublé par une bruit de serrure, puis un couinement. Intrigué, il tendit l’oreille. Qui pouvait bien arriver à cette heure-ci ? Entendant la porte d’entrée se refermant, il se leva pour en avoir le cœur net. Doucement, il pointa la tête par sa porte, scrutant le couloir vers la grande porte.
Au bout, de dos, il reconnut la femme qui s’occupait de faire l’entretien de bureaux. Il avait oublié que nous étions mercredi, jour de son passage. Penchée, elle s’affairait visiblement sur l’aspirateur. Philippe décida d’aller vers elle.
« Bonjour, je peux vous aider ? »
Elle sursauta, aussi surprise que lui était inquiet quelques minutes plus tôt.
« Heu, oui, enfin, non … bredouilla-t-elle… »
Philippe comprit sa réaction et arbora un magnifique sourire pour la tranquilliser.
« Je vous vois vous agacer sur ce foutu aspirateur. Que se passe-t-il ? »
« Je n’arrive plus à dérouler le fil, et je ne suis pas vraiment en avance aujourd’hui… Il y a des jours comme ça… »
Philippe s’accroupit et examina l’appareil. Après quelques manipulations, le fil décida de sortir.
« Et voilà, c’est réparé »
La jeune femme à son tour, le remercia d’un très jolie sourire. Philippe fut surpris. Cela fait plusieurs mois qu’il l’a croise, sans vraiment la voir, la regarder. Les cheveux un peu défait par sa lutte avec le fil, son sourire n’en était pas moins charmeur. Là, ainsi presque à ses pieds, il la découvrait sous un autre oeil.
« Bon, et bien, je ne vais pas vous mettre en retard plus que cela, répondit-il »
« Merci beaucoup, vraiment, merci insista-t-elle ».
Philippe se redressa et se dirigea vers son bureau. A mi-chemin, il ne put s’empêcher de se retourner. Elle rassemblait ses affaires et ne le voyait pas. Lui eut tout le loisir de la regarder. Le jean serré qu’elle portait révélait de belle jambe, fines, minces. Il discerna qu’à son entre jambe, elles ne se touchaient même pas… Hum… Ainsi penchée, elle mettait en en valeur, bien à son insu, de très belles fesses, ronde juste comme il les aime.
Philippe continua son chemin, non sans garder à l’esprit le plaisir que ces images venaient de lui procurer. Autant de mois, sans se rendre compte de la plastique de cette femme… Cela l’étonnait presque.
Et c’est avec cette interrogation qu’il se remit au travail… Enfin, pas évident. Le bruit de l’aspirateur venait troubler la quiétude qu’il cherchait si tôt. Et puis, comment s’enlever de l’esprit cette femme en l’entendant travailler juste à côté. Le bruit se rapproche et bientôt, pointant la tête à sa porte, la jolie femme l’interpelle :
« Excusez moi encore, mais est-ce que je peux faire votre bureau ? »
« Oui, bien sûr… De toute façon, j’allais prendre un café. Je vous laisse la place. »
Philippe se lève et croisa la jeune femme juste à la porte. Il sent un doux parfum dans son sillage, un parfum enivrant, captivant. Sans montrer son émoi, il part vers la machine à café comme convenu. Mais la curiosité est trop forte. Il revient alors. Sans un bruit, il l’observe depuis son entrée. Elle ne le voit pas, trop occupée à passer son aspirateur. Il continue son observation. Alors qu’elle se penche pour ramasser un papier, ses reins se dévoilent. Un petit string violet vient compléter le tableau.
Elle passe un chiffon rapidement sur le bureau, trop vite visiblement : dans son élan, elle renverse un pot à crayons. Philippe comprend le gène de la jeune femme et décide d’intervenir. Il se précipite derrière elle pour l’aider à les ramasser. Mais il a oublié qu’elle ne l’a pas vu… A sa proximité, elle pousse un léger cri de peur et se retourne. Elle se retrouve alors quasiment dans ses bras. Confuse, surprise, un peu embarrassée, elle n’a d’autres défenses que de lui présenter encore une fois ce si joli sourire.
Philippe hésite… Il prend alors sa main pour la débarrasser de son chiffon. Elle ne dit rien. Il tourne le visage vers elle, elle l’observe. Philippe se penche alors vers son visage en direction de ses lèvres et l’embrasse doucement. La jeune femme ne semble pas indifférente à ce geste d’affection, et place en réponse ses mains sur les fesses de Philippe. Elle l’attire tout contre elle. Si bien qu’elle sent très vite l’excitation de Philippe. Au premier coup, elle est surprise, car elle n’a aucune idée de l’état dans lequel il était depuis tout à l’heure. Pour s’en assurer, elle le repousse un peu, puis plonge sa main entre ses jambes. Non, elle n’a pas rêvé. Elle regarde alors son pantalon et voit très bien une bosse.
Philippe ne cache pas son embarra. Mais très vite il se ravise. Il enlève la blouse de le jeune femme. Elle commence par enlever la boucle de sa ceinture, puis défait un à un les boutons qui enserre l’objet de sa curiosité. Philippe descend un peu son pantalon. Son sexe n’en est pas moins à l’étroit dans son boxer jusqu’à ce qu’elle prenne l’initiative à son tour de le descendre.
Elle remonte la main le long de sa cuisse, remonte sur ses bourses pour saisir à pleine main son sexe dressé. Au contact de sa main, Philippe a l’impression son sexe va exploser. La jeune femme le regarde d’en bas, l’oeil coquin. Sans le quitter des yeux, elle approche sa bouche de la base de son sexe. Elle laisse doucement sortir sa langue et lentement la passe le long du membre tendu de Philippe. Puis, elle abandonne son regard.
Elle passe méthodiquement sa langue à la base de la verge. Elle la baisse délicatement, car vu l’excitation de Philippe, il a plutôt tendance à vouloir rester droit. Par dessous, elle lèche ses testicules et suite le membre jusqu’à son extrémité. Enfin, elle entrouvre ses lèvres pour accueillir le gland. Philippe, aux premières loges, ne perd aucun instant de ce délicieux spectacle.
Elle commence à engouffrer son sexe. Philippe n’en revient pas d’être dans cette situation. Il y a quelques minutes, il l’aidait à réparer son aspirateur, et maintenant, elle est devant lui en train de le sucer !
Le va-et-vient dans sa bouche est régulier, chaud. Philippe sent bien qu’à ce rythme, il ne tiendra pas longtemps. Il n’y a pas de raison qu’il soit le seul à avoir du plaisir…
Après un dernier passage au bout de ces lèvres visiblement expertes, il saisit le visage de la jeune femme pour s’en retirer. Puis, il l’invite à se relever. Il saisit son visage à pleine main et l’embrasse goulument pour la remercier de cette entrée en matière.
Excité, pressé de confirmer que ce qu’il a entrevu de la jeune femme est aussi prometteur que le reste, il descend son pantalon. Aussitôt, elle retire son tee-shirt. Philippe admire son corps un instant, stupéfait d’être passé à côté d’une si belle femme depuis tant de temps. A moitié nue, elle s’offre à ses désirs. D’un revers de main, il ballait les quelques dossiers qui encombrent son bureau et assoies sa complice dessus. Elle se cambre un instant pour lui offrir la possibilité de retirer sa petite culotte. Philippe ne se fait pas prier, et sans quitter des yeux son sexe bientôt dévoilé, la culotte se retrouve vite par terre.
De surprise en surprise… il découvre un sexe parfaitement épilé, doux. Il ne peut pas résister, surtout après la splendide fellation qu’elle lui a prodiguée. Les mains sur ces deux cuisses, il commence à embrasser leur intérieur. Au premiers contacts, la femme bascule la tête en arrière en laissant échapper un petit râle de plaisir. Philippe en profite pour faire passer ses deux jambes par dessus ses épaules. Son sexe, luisant, bombé s’offre à lui. Il tend le bout de sa langue juste à la base de son vagin puis remonte le long des lèvres. La femme resserre ses jambes autour de sa tête et le presser contre elle. Au diable les préliminaires… de toute façon, au regard de son excitation, Philippe n’hésite pas. Il se fraye un chemin de sa langue entre les lèvres jusqu’à son petit bouton. Il sent les chevilles de sa partenaire le presser contre son dos. Philippe rebouble les coups de langue, parfois rapides, tantôt plus lentement pour savourer toute sa douceur.
Maintenant il est temps de vérifier si son sexe est aussi doux dedans que dehors. Philippe se libère de son étreinte, saisit la jeune femme par le dessous des genoux et la rapproche un peu plus du bord du bureau et de son sexe, impatient. Elle comprends très bien le sort qui va lui être réservé… Elle n’attendait que cela. Elle saisit le sexe tendu de Philippe et l’approche de l’entrée de son vagin. Son regard plonge alors dans celui de Philippe, captivant, et sans crier gare, passe ses jambes autour des reins de ce dernier. D’un coup sec, elle l’attire en lui et le sexe de Philippe disparait dans ce gouffre de douceur. Philippe laisse pousser un râle de plaisir au contact doux et humide du vagin contre son sexe. Il commence un lent va-et-vient, tant pour en savourer chaque instant que pour le faire durer. Bientôt ses cuisses viennent marteler les fesses de la promise. Il accélère. Son vagin est si humide que c’est un plaisir sans nom.
La jeune femme ne tarde pas à inviter sa main entre ses jambes. Elle caresse par de petits cercles son clitoris. Bien sûr, elle “déborde” un peu sur la verge. Elle se redresse un peu, puis passe deux doigts de chaque côté du sexe de Philippe. L’étreinte est encore plus forte. Elle veut qu’il jouisse.
Philippe, non sans regret, quitte d’un coup de rein la vagin si accueillant et les attentions de son hôtesse. Il la retourne sur le bureau et la jeune femme lui offre volontier sa croupe. Elle écarte des mains ses fesses pour inviter à nouveau le sexe de Philippe. Il pose alors sa verge à la naissance de ses fesses puis descend le long des lèvres ruisselantes. Il recommence plusieurs fois, et cette fois, c’est lui qui décide de la surprendre. Alors qu’elle s’habituait à ce délicat passage, Philippe s’introduit d’un coup en elle jusqu’à plaquer autant qu’il le peut ses cuisses contre les siennes. Bien droit, les mains plaquées contre ses cuisses, il est bien décidé cette fois en n’en sortir qu’après avoir jouis. A grand coup de reins, il explore toute la profondeur intime de la jeune femme, pour leur plus grand plaisir.
Toujours aussi coquine, la jeune femme parvient à passer une main sous elle et à saisir le testicules de Philippe. Il n’en peut plus, et les images soudaine de la fellation qu’elle lui a offerte lui reviennent en tête. Il la saisit fortement pas les hanches et enfonce aussi profondément que possible son sexe au fond de son vagin. Là, enfin, il explose de plaisir. Immobile, il tente encore d’attendre le fin fond de ses entrailles.
Philippe se retire doucement. La jeune femme se redresse, visiblement satisfaite de l’issue. Il se baisse pour remonte son pantalon :
« Dis donc, qu’est ce que tu fais là ? interroge alors la jeune femme. Je ne vais pas te laisser partir ainsi… J’ai des principes dans mon métier ».
Philippe ne comprend pas. Elle se dirige vers une caisse contenant ses produits d’entretien et revient alors avec un long morceaux de papier essuie-tout. Elle s’agenouille devant Philippe qui commence alors à comprendre.
Elle saisit à nouveau le sexe encore humide de sa semence mêlé de sa cyprine. Elle commence par essuyer la base de son sexe comme elle époussèterait un bibelot.
« Non, franchement, ça ne va pas… Ce ne sera pas parfait », s’exclame-t-elle soudainement
Elle avale alors aussitôt le sexe de Philippe qui n’en revient pas. Elle continue méticuleusement à le sucer… jusqu’à ce que l’excitation de Philippe retombe.
C’est alors seulement qu’elle abandonne son jouet. Elle remonte le boxer, puis le pantalon, sans se soucier de Philippe qui se laisse faire. Puis, elle reprend ses affaires et se rhabille sous les yeux de cet amant improvisé qui voit disparait sous les vêtements le corps de cette très belle femme.
Soudain, la porte d’entrée claque. Philippe, un peu paniqué inspecte rapidement son bureau par crainte d’avoir laissé des indices de ce moment torride. Il ramasse fébrilement les dossiers à terre. Au moment où il se relève, il voit Hervé, un de ses collègues se présenter à sa porte, suivie par Véronique sa secrétaire.
« Salut Philippe, toujours aussi matinal je vois ! Bonjour Madame ».
La jeune femme acquisse par un timide bonjour et rassemble son matériel. Hervé engage un semblant de conversation avec Philippe : les banalités du matin.
Tandis que la jeune femme quitte le bureau, Philippe jette un dernier regard vers elle. Elle se retourne et du coin de l’oeil :
« J’espère que le ménage vous convient… Bonne journée, à bientôt ».
Véronique !
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