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Philippe découvre que sa femme Brigitte commet l’adultère Chapitre 2

Philippe découvre que sa femme Brigitte commet l'adultère Chapitre 2
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« Je présume que tu sais ce que c’est ? »

Devant son silence, je me lève prends la cassette et la remets dans le magnétoscope. Les images défilent. Elle est maintenant nue à l’écran.

— Je ne voulais pas te faire de la peine, je te le jure, murmure-t-elle.

Puis elle retourne dans son mutisme tout en me regardant de ses grands yeux tristes. J’explose alors de colère, essayant de la rabaisser et de définir son attitude par des mots vulgaires. Elle ne dit toujours rien, à cet instant les mots me sont inutiles de toute façon. Je ne sais pas ce que je veux vraiment. Tout est si confus. Finalement l’émotion l’emporte, je m’écroule sur notre canapé. Je sanglote. Des bribes de phrases sortent de ma bouche. Confusément je lui demande pourquoi ? Si je lui ai fait du mal ? Que je ne le mérite pas. Elle s’assoit alors à côté de moi, et d’une extrême douceur m’enlace. Elle me caresse les cheveux. Nous restons ainsi un certain temps. La cassette défile toujours. Les cris de jouissance de ma douce Brigitte emplissent la pièce. Malgré le chagrin, mon corps me trahit. Mon sexe irrésistiblement durcit. Brigitte s’en aperçoit. Alors toujours avec délicatesse, elle le libère. Elle imprime de lents va-et-vient. J’ai la tête nichée dans son cou, je suis bien. Elle hurle de plus en plus fort à l’écran. Je sens la jouissance monter, je gémis à mon tour. Elle accélère légèrement le rythme et de longs jets souillent sa main et mon bas-ventre. Elle continue son mouvement un instant et arrête. Nous restons ainsi, sans rien ajouter un long moment. Lorsque je me décide à me lever, l’écran de télévision est noir. Je sens son regard dans mon dos. Je suis honteux de ma faiblesse. Je quitte la pièce, et m’enferme dans notre chambre. Je m’étends sur le lit et finis par m’endormir.

Je me réveille, il est très tôt. Brigitte dort à mes côtés. Je la regarde, jamais je ne l’ai trouvée si belle. Ses longs cheveux lisses et noirs sont étalés un peu partout. Je la contemple un moment, et me dirige sans faire de bruit vers notre salle de bains. Je n’ai pas le courage de l’affronter maintenant. Je veux m’enfuir avant qu’elle se réveille. En hâte je quitte notre domicile, et bien qu’en avance, me dirige vers mon bureau. La journée est une torture j’appréhende le moment de notre confrontation. Je rentre à la maison, elle n’est pas encore là. Fébrilement je l’attends. Je bois un verre pour me redonner contenance. 17 h 45, la porte s’ouvre, je suis assis, tétanisé. Elle entre, me regarde et me sourit, visiblement l’air soulagé de me voir. Elle m’embrasse et s’assoit en face de moi. Plus que la tension, la gêne est palpable. Chacun de nous à des choses à dire. Mais chacun se tait, cherchant le bon angle d’attaque. Brigitte brise le silence la première. Elle raconte tout, toutes ses frasques depuis un an. Tout a commencé par jeu sur Internet. Comment des conversations anodines, devinrent plus précises. Comment elle se prit au jeu. Un homme, Henri fut le détonateur, après plusieurs semaines de correspondances plus ou moins érotiques, ils décidèrent de communiquer de façon plus directe d’abord par téléphone ou selon son expression ils firent l’amour par téléphone. Lui se masturbant, elle exécutant de la demande de plus en plus chaude. Puis un jour il lui demanda de le rencontrer. Elle a la franchise de me dire qu’elle n’a pas hésité. Ce fut pour elle une découverte, elle se laissa complètement aller à ces nouvelles sensations délicieuses. Se donnant ainsi à un quasi-inconnu sans la moindre retenue, se découvrant des penchants et des désirs érotiques insoupçonnés. Proférant sur elle-même des insanités sur sa condition de femme facile. Éprouvant du plaisir dans son avilissement personnel. Devançant ma question, elle m’affirme qu’elle ignore ses motivations d’alors, mais qu’elle ne regrette surtout rien. Quitter pour quelques heures sa condition de femme « normale » reste pour elle pour un espace de liberté maintenant indispensable à son existence. Elle ajoute que je ne la fais plus jouir mais qu’elle aime encore mon contact, spécialement après ses ébats secrets. Qu’elle aime surtout mes trop rares caresses buccales après qu’un autre homme lui a souillé son intimité.

Je suis sonné par ses déclarations. Des milliers de questions me brûlent les lèvres. J’essaie de les ordonnancer. Combien de partenaires a-t-elle connues ? Elle me répond quatre. L’initiateur Henri, une rencontre d’un après-midi dont elle ignore le nom, Daniel et un collègue de travail. À cette dernière révélation je m’étrangle. Elle me m’annonce que c’est un de ses chefs de service, un homme marié, elle le suce régulièrement dans les toilettes sans contrepartie, juste pour le plaisir, engloutissant sa semence avant de reprendre comme si de rien n’était son travail. J’argue que ce Daniel est laid ! Elle me répond que cela n’a pas d’importance, cela augmente même son excitation et puis ses qualités sont ailleurs. Je suis abattu, et reste prostré un moment. Elle ajoute qu’elle m’aime, qu’elle veut toujours vivre avec moi. Je la devance alors en concluant pour elle :

— Bien sûr mais tu veux continuer tes petites aventures tout de même.

Ses grands yeux me regardent avec une immense tendresse et imperceptiblement, elle hoche la tête.

Brigitte reste assise pendant que je tourne comme un fauve autour de la table du salon. Un an de trahison ! Passer pour le dernier des crétins ! Cela fait beaucoup pour un homme. Paradoxalement la colère s’estompe. Mais que faire ? La quitter m’est insupportable. Continuer comme si de rien n’était, faire l’autruche, impossible en ce qui me concerne. Mais je reste lucide, mon excitation et mes soulagements manuels devant les performances de Brigitte me restent comme des moments d’extase intenses. Une proposition alors effleure mon esprit, mais j’hésite. Comment lui en parler ? Je lui annonce que je dois réfléchir et que l’on reparlera demain soir. Elle acquiesce. La soirée passe, maussade.

Je suis au lit, Brigitte se blottit dans mes bras. Je respire l’odeur de ses cheveux, comme d’habitude ils sentent merveilleusement bon. Je cogite. Ma femme ne dort pas également. Elle me demande si ça va ? Je lui réponds par l’affirmative. Je n’arrive pas à lui formuler ma requête. C’est elle finalement qui m’aide. Intuition féminine ? Elle me demande si je veux m’impliquer dans cette double vie, partager avec elle ses secrets. Ses mots sont une véritable libération. Je lui réponds que oui, j’aimerais tout connaître et être plus impliqué dans ses frasques sexuelles. J’aimerais qu’elle me raconte tout, plus de mensonges. Et surtout que son amant Daniel continue ses réalisations les mettant en scène, afin que je participe à ma manière. Je lâche ma dernière demande dans un souffle. J’attends sa réponse. Comment va-t-elle réagir ? Elle me sourit timidement et annonce :

— Ça va être merveilleux.

Le lendemain mercredi, la tension des derniers jours se fait encore sentir, mais je suis plus détendu. Bien que dans l’expectative, je pressens qu’une nouvelle opportunité s’offre à notre couple. Puisque Brigitte a décidé de vivre sa vie de femme, autant en prendre mon parti. Je rentre le soir chez moi heureux, pressé de retrouver ma femme, de lui dire que je l’aime. Elle rentre peu après moi. Elle m’embrasse. Nous discutons des banalités d’usage. Je remarque qu’elle s’est particulièrement bien mise aujourd’hui, tailleur strict, chemisier blanc et chignon dans les cheveux. Je lui fais remarquer. Elle éclate d’un petit rire puis me dit :

— Tu n’es pas le seul à l’avoir remarqué.

— Ah bon ? Fis-je intéressé.

— Oui, le chef de service m’a également complimentée lui aussi.

Je ne dis plus rien j’attends la suite.

— Il en a profité pour m’emmener dans notre cachette, tu veux savoir ?

J’opine du chef, elle continue.

— Pendant la pause, il m’a glissé à l’oreille si je voulais le suivre. Je lui ai répondu que oui et nous nous sommes retrouvés dans les toilettes. Il m’a d’abord embrassée, soulevant ma jupe jusqu’aux hanches. Puis il a écarté sans ménagement le tissu de ma culotte et a glissé son majeur de mon orifice humide. Après quelques va-et-vient. Il m’a fait comprendre qu’il était temps que je m’occupe de lui. Il a sorti son sexe, court mais assez épais. Il était debout adossé contre le mur, moi accroupie, jupe retroussée mon intimité à nu. J’ai ardemment sucé son méat, pelotant ses bourses d’une main, me titillant le clitoris de l’autre. J’étais très excitée à l’idée de tout te raconter. Il a utilisé des mots très cochons pendant que je m’employais. Puis sentant son corps se tendre et par ses râles j’ai compris qu’il allait jouir. Son sperme est venu fouetter le fond de mon palais. J’ai tout bu. Continuant à le pomper et à me caresser bien après qu’il s’est vidé. Il s’est ensuite rhabillé puis est sorti sans dire un mot. Pour une fois j’aurais voulu qu’il s’occupe de moi plus profondément. Je pensais à toi et au fait que j’allais tout te dire, augmentant encore mon excitation. Frustrée, je suis retournée finalement à mon poste, la culotte trempée et les joues rouges.

Je suis en transe. Mon sexe me brûle. Les déclarations de Brigitte m’ont excité. Je veux me jeter sur elle. D’un geste elle m’arrête. Elle ne veut pas. Je la regarde, les yeux ronds, ne comprenant rien. Elle prétend que ce sera meilleur vendredi après que Daniel se est occupé d’elle. L’argument ne me convainc qu’à moitié tellement je la désire. Je l’implore de me montrer au moins son string, afin que je me rende compte. Elle obtempère. Jupe retroussée, elle se cale bien au fond du sofa, pose ses talons sur le bord de l’assise et lentement écarte les genoux. Je me penche pour mieux voir. Ma main cherche mon sexe rigide. Effectivement le petit bout de tissu porte les traces de l’excitation de Brigitte. Je me masturbe plus fort. Brigitte me regarde avec ses grands yeux, elle sourit. Je tends la main pour toucher, elle la repousse fermement. Elle cambre les reins, rendant sa position plus obscène encore. Le rythme de ma main devient frénétique, je sens ma sève monter, je le lui dis, elle ne répond rien. Je me répands, en longues saccades sur son entrejambe. Mes jambes sont faibles, pendant que le sperme coule sur son intimité et ses cuisses, je cherche un endroit ou me poser. Brigitte sourit toujours. Puis sans rien ajouter m’embrasse le cou, se lève et se dirige vers la salle de bain. La soirée est fantastique, nous rions, nous discutons, cela fait me semble-t-il des mois que nous n’avons pas été si proches. Je me surprends à la regarder comme une autre femme, mais c’est toujours ma Brigitte, si belle, si douce. La soirée suivante passe comme un enchantement, nous sommes jeudi, demain elle verra Daniel. J’aborde le sujet, lui pose maintes questions.

— Tu y vas à quelle heure ? Comment seras-tu habillée ?

Elle les élude, préférant me réserver la surprise. Nous nous endormons enlacés comme deux amoureux. Je suis heureux.

La matinée de vendredi passe trop longuement à mon goût. Examinant ma montre toutes les 10 minutes. Je veux l’appeler, juste pour entendre sa voix, je me retiens. L’après-midi est pire encore. Je suis nerveux. En ce moment ma femme se donne à un autre homme. Je rentre à l’heure habituelle, sa voiture est là, à sa place. Je la trouve confortablement installée sur le canapé, feuilletant un magazine féminin. Je repère aussitôt la cassette marquée du prénom de ma femme sur la tranche. Elle me regarde, ses yeux pétillent.

— Bonjour, me lance-t-elle.

Je lui réponds et viens m’installer à ses côtés. Elle se niche dans mes bras. Je sens son odeur un mélange de parfums mais aussi très légèrement de transpiration. Elle est telle que Daniel la laisse ! Je m’enivre. C’est elle qui propose la lecture de la bande-vidéo. J’approuve. Brigitte enclenche la bande et vient se placer en face de moi, tournant le dos au téléviseur. Elle me regarde. L’écran floconneux laisse immédiatement place au visage de Daniel en gros plan. Visiblement il effectue les derniers réglages. Très rapidement je m’aperçois que l’angle de vue est bien meilleur que la dernière fois. Pas besoin de cacher la caméra cette fois. Brigitte est assise en arrière-plan sur le lit. Daniel la rejoint, lui demande de se lever.

— Regarde-la bien, dans peu de temps tu ne la reconnaîtras pas.

Il lui demande alors de se déshabiller comme une stripteaseuse. Brigitte s’effeuille, se trémoussant sur une musique imaginaire. Très vite elle est en soutien-gorge, ne reste que sa jupe. Elle cambre ses fesses vers Daniel qui consciencieusement dégrafe la fermeture éclair de sa jupe. Celle-ci coulisse le long de ses jambes. D’une pichenette elle l’envoie balader dans un coin de la pièce. Brigitte porte des dim-up et un string minuscule, petit triangle devant, ficelle derrière. Toujours debout elle se cambre de nouveau vers son amant. Daniel saisit ses fesses à pleines mains, les malaxe les écarte. Il plonge son visage dans les fesses de Brigitte et entreprend méthodiquement de lui manger son intimité. Brigitte halète. Elle se caresse le clitoris pendant que Daniel lèche son anus. Je suis émerveillé devant la scène. Je sors mon sexe. Brigitte exprime son plaisir par des « oh oui » et des « bouffe-moi bien ». Elle se libère, l’autre Brigitte prend le pas sur celle que je connais. Daniel relève la tête, se lève et positionne Brigitte en levrette. Il se dévêt et pose son gland devant l’entrée humide de ma femme. Il la fait languir. Puis exige d’elle qu’elle dise qu’elle veut se faire mettre. Elle le supplie presque de l’enfiler fond. Daniel sourit, il se lance. Il lui tient les hanches et la pistonne vigoureusement. Brigitte crie son plaisir. Daniel traite Brigitte de pute. Elle confirme. Finalement Daniel grogne et se vide en elle. Quant à moi j’ai déjà joui, tout seul. Brigitte me regarde mais ne bouge pas, ne dit rien. L’écran devient noir quelques secondes, puis l’image réapparaît. Daniel est allongé, Brigitte le suce, elle agace avec le bout de sa langue le gland de son partenaire. Puis elle s’empale dessus, dirigeant le gros chibre vers son œillet. Cela ne rentre pas d’un coup, mais progressivement jusqu’à la garde. Je reprends mes mouvements masturbatoires. Brigitte est de dos, je vois sa magnifique croupe onduler, elle se tient les seins. Elle hurle « défonce-moi ». Daniel mains derrière la tête ne dit rien. Ma femme jouit comme une folle plusieurs fois. Les mouvements s’arrêtent, elle se penche pour l’embrasser longuement. Le sexe de son partenaire, se rétracte et ressort de l’étroit conduit. L’anus de Brigitte n’est pas complètement refermé, un mince filet de foutre coule. Je suis fou. L’image se coupe, l’écran reste noir un moment je jette un œil à Brigitte. Elle devance ma question et me dit ce n’est pas fini. Effectivement, quelques secondes plus tard, je retrouve ma femme à genoux le sexe de son amant fiché dans la bouche. Daniel debout lui tient son beau visage et les cheveux et par de rageurs coups de reins violentent sa bouche. Brigitte subit l’assaut et s’exprime par onomatopées « hum ». Le sperme jaillit, éclaboussant la bouche et le visage de ma femme. Daniel lui demande de tout avaler, elle s’exécute avec application.

C’est terminé. Nos regards se croisent. Elle écarte les cuisses, elle ne porte plus son string. Elle déclare :

— Maintenant vient te régaler.

Je me précipite d’abord. Puis près de son sillon, je me retiens. Je profite du spectacle, des traces de semences séchées sont visibles. Je me repais de cette odeur, forte. Puis religieusement j’enfonce ma langue dans son vagin. Elle agrippe mes cheveux. Je me déchaîne alors. Elle gémit, accentuant mes coups de langue par des mouvements du bassin. Soudain elle me repousse gentiment, s’allonge sur le ventre et me dit

— Mets ta langue partout où il est passé.

Je comprends. J’écarte ses fesses, il y a du sperme sec autour de son petit trou. Y faisant fi, j’enfonce ma langue le plus loin possible. Elle réagit immédiatement, feulant son plaisir. Ma langue remonte mécaniquement de son vagin jusqu’à son anus. Je perds la notion du temps. Elle me demande d’arrêter. Mon sexe me fait mal. Brigitte le regarde et me dit :

— Tu m’as fait jouir, tu peux le mettre ou tu veux.

En transe, saisissant ma chance je m’introduis là où je ne suis jamais allé. Je la sodomise sans ménagement. Je m’acharne, voulant la faire crier comme Daniel y arrive si bien. J’ai la satisfaction de l’entendre crier, même si l’intensité paraît moindre qu’avec son amant. J’éjacule comme jamais, l’inondant de l’intérieur. Je m’écroule en sueur sur elle. Nous restons immobiles. Puis elle se dégage m’embrasse, me regarde avec douceur. Sans rien dire, je vois ma belle et douce Brigitte se diriger vers la salle de bains.

À suivre

Brigitte et Philippe

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