Je vois ma belle et douce Brigitte se diriger vers la salle de bains…
J’attends la journée du vendredi avec ferveur, cela fait maintenant plusieurs semaines que Brigitte me rapporte ses moments de débauches avec son amant. Je profite de ses séances, toujours par le biais d’une cassette, puis me repais de son intimité. M’attardant de plus en plus sur son petit orifice qui lui procure les sensations les plus fortes.
Un jour, alors que nous marchons dans la rue, nous rencontrons une vieille connaissance de la fac. Cela fait plusieurs années que Brigitte et moi n’avions pas vu Dominique. Nous discutons un peu sur le trottoir, et nous décidons après échange de numéros de téléphone de nous revoir.
Moins d’une semaine après, nous l’invitons à manger. Il arrive en début de soirée. Après les banalités d’usage, il complimente Brigitte sur sa tenue et le fait qu’elle soit toujours aussi jolie. Elle rosit très légèrement, mais ne répond rien. Le repas se passe dans une très bonne ambiance, entre souvenirs de fac et petites galères de la vie actuelle.
Nous nous retrouvons avec ma femme dans la cuisine. Je lui dis que Dominique n’a guère changé. Elle rigole puis me dit qu’effectivement il est toujours aussi entreprenant. J’écarquille les yeux, l’air interrogateur.
— Lorsque tu t’es absenté pour aller aux toilettes, il m’a demandé aussitôt si on pouvait se voir sans toi.
— Qu’est-ce que tu as lui répondu ?
J’ai la bouche sèche.
— Qu’il n’y avait aucun problème. Cela te dérange ?
Cet enfoiré ne s’embarrasse pas de scrupules, dix ans sans se voir et il veut baiser ma femme. J’élude sa question, elle se doute de toute façon de ma réponse.
Je lui demande alors si l’idée de se faire prendre par un de mes potes de fac l’excite. C’est à son tour de garder le silence, elle sourit malicieusement. Voulant vérifier par moi-même, je passe la main sous sa jupe et, surprise ! Elle ne porte pas de culotte, sa fente suinte de désir.
— Tu n’en as pas mis ?
— Je lui ai donné, il voulait la sentir, elle est maintenant dans sa poche.
Je m’attarde un peu dans sa grotte déjà humide et décide à mon tour de prendre l’initiative.
— Très bien, dans ce cas pourquoi attendre ? Va le trouver, dis-lui que c’est maintenant ou jamais.
Brigitte hésite avant de répondre.
— Tu es sûr ? Ce sera la première fois en ta présence ?
Je fais le brave.
— Mais oui, mais oui. Vas-y. Je te laisse quelques minutes pour lui expliquer la situation.
Elle me regarde, visiblement en proie à une réflexion intense. Brigitte se décide, elle franchit la porte de la cuisine.
J’allume une cigarette et me sers un verre de vin. Petit moment de calme avant la tempête. J’écrase ma cigarette, je me décide à assister au spectacle. J’entre au salon discrètement.
Brigitte est nue, debout, accoudée sur la table de notre salle à manger. Dominique, toujours assis, lui bouffe la chatte avec énergie. Brigitte, yeux mi-clos, gémit doucement.
Il lui introduit un, puis deux doigts dans la fente. Brigitte bouge un bras, se caresse un moment les fesses et se glisse un doigt dans le cul. Elle se branle. Dominique stoppe ses caresses pour profiter du spectacle. Elle lui demande de continuer à lui bouffer la chatte. Sans faire prier, il replonge son nez dans la fente luisante de ma femme. Elle jouit.
Dominique sort sa queue, elle s’en saisit puis le branle doucement.
— Viens, je veux me faire baiser dans mon lit.
Docilement, il la suit. J’attends un moment avant d’apparaître sur le pas de la porte.
Il est allongé sur notre lit, nu aussi. Brigitte s’occupe de son membre. Elle lèche sa tige sur toute la longueur, titille ses bourses avec le bout de sa langue. Jugeant la rigidité du méat satisfaisant, elle s’empale alors dessus.
J’essaie de me faire discret. La situation m’excite, je suis à cinq pas de ma femme qui se fait mettre par un pote de fac ! Je suis hypnotisé par cette colonne de chair qui va et qui vient dans la chatte de ma femme. Comme d’habitude, je me branle. Brigitte est déchaînée, sa croupe imprime un rythme intense. Soudain, elle ralentit la cadence, elle prend alors le membre de Dominique et se l’enfile dans l’anus. Le rythme reprend, plus rapide encore. Elle m’interpelle :
— Regarde comme il me défonce bien, il m’explose le cul !
Je garde le silence. Brigitte jouit de nouveau. Dominique aussi, dans un flot d’injures. Le corps de Brigitte s’immobilise. Elle est en sueur. De petites mèches de cheveux se collent sur ses tempes humides. Ces détails qui m’échappaient auparavant m’interpellent maintenant. Je la trouve belle. Je la désire.
Après un moment, elle se retourne vers la porte et me demande :
— Philippe, mon chéri, nous avons soif, va nous chercher à boire.
Je suis tétanisé. Est-ce un test ? Je prends immédiatement conscience que cette demande n’a rien d’anodine, qu’elle peut influer considérablement sur nos rapports futurs. Je ne réponds rien, je ne bouge pas. Devant mon mutisme, elle insiste plus sèche :
— Eh bien, je me suis mal fait comprendre ?
Je soutiens son regard, notre relation se joue à l’instant. Les secondes sont des minutes, j’ai chaud.
Finalement je baisse les yeux, je m’incline. Je me dirige lentement vers la table de salon pas encore débarrassée. J’entends des murmures depuis notre chambre, aussitôt suivis par de petits rires.
Je reviens dans la chambre, avec un verre d’eau dans chaque main.
Brigitte a repris le sexe de Dominique dans sa bouche. Elle sent ma présence, elle interrompt sa fellation, d’un mouvement du menton désigne la table de chevet, et reprend son activité.
Je m’exécute. Dominique me regarde. Pas de traces de moquerie sur son visage, au contraire, je crois même y lire de la gêne. Immobile, j’observe ma femme qui aspire doucement le sexe encore flasque de son partenaire. Elle s’arrête de nouveau :
— Merci Philippe, tu peux sortir maintenant, et referme la porte derrière toi.
Dans un état second, je me retire et après un dernier coup d’œil, je referme à contrecœur la porte. Je reste prostré, fixant la mince cloison de bois qui me sépare de Brigitte et de son amant.
Très vite les manifestations de plaisirs reprennent. Je colle mon oreille pour mieux entendre. Les sons me parviennent étouffés mais distincts. Brigitte est en furie, Dominique reste assez sobre et c’est sur demande de Brigitte qu’il devient grossier.
Je reprends mes activités manuelles, mon sexe ayant repris du tonus. Le temps passe, j’ai déjà éjaculé depuis longtemps, lorsque Dominique sort de la chambre. Il est rhabillé.
D’une voix à peine audible, il me remercie. Il évite mon regard, son embarras est maintenant visible. Il a hâte de partir. Il ajoute néanmoins, avant de sortir :
— Brigitte m’a demandé de repasser la semaine prochaine, si tu refuses je comprendrai.
Avec véhémence, je lui rétorque :
— C’est ça, va te faire foutre.
Lorsque je pénètre dans notre chambre, il y fait maintenant très chaud, cela sent la transpiration ainsi que les effluves intimes des deux amants. Brigitte est déjà sous la douche. Je m’assieds sur le lit. Elle ressort de la salle de bains quelques minutes plus tard dans un nuage de vapeur. Elle me sourit. J’attends qu’elle me dise quelque chose, n’importe quoi. Elle n’en fait rien, elle m’embrasse le front, puis se couche. Je l’imite, j’essaie de lui parler, je veux comprendre son comportement.
La nuit passe, blanche en ce qui me concerne.
Les jours s’écoulent. Depuis deux vendredis, il n’y a plus de cassette sur la table lorsque je rentre. Peut-être ne voit-elle plus Daniel ?
Je reste sur mon incompréhension, pourquoi cette défiance tout à coup ? Nous étions si proches depuis quelques semaines. Maintenant c’est à peine si nous nous parlons.
Un soir elle m’annonce qu’elle sort seule, sans autres précisions.
— Ne m’attends pas, ajoute-t-elle simplement.
Je l’attends quand même, puis vers minuit, décide de me coucher, cherchant sans succès le sommeil.
Elle rentre effectivement très tard. Je fais semblant de dormir. Elle se couche, son souffle régulier m’indique qu’elle s’endort rapidement. Je la regarde, je veux vérifier quelque chose. Brigitte, comme à son habitude, a revêtu une nuisette de soie. Elle dort sur le dos, il est facile pour moi de diriger ma main vers son minou et de le palper. Il est encore poisseux de foutre. J’introduis un doigt. Brigitte se réveille :
— Philippe, pas ce soir, j’ai eu mon compte, ils étaient nombreux.
Un coup de marteau au plexus m’aurait fait le même effet. D’un mouvement elle se détourne. J’ai envie de hurler, de la secouer pour la faire parler. Je me dégonfle. Je prends la décision de la suivre lors de sa prochaine escapade nocturne.
Cela ne tarde pas. Le week-end, alors que nous finissons notre repas du soir, je la vois se diriger vers notre chambre. Je l’observe se préparer. Petite robe noire très courte, qui recouvre à peine ses « Dim up », pas de culotte.
— Tu vas où ?
— Je rejoins des amis.
— Je peux venir avec toi ?
Elle sourit.
— Non, Philippe, pas ce soir, c’est une soirée privée, un autre jour peut-être.
Je ne réponds rien. Je regarde la fin de sa préparation. Elle est super sexy, je m’attarde sur la courbe de ses fesses qui apparaît sous le tissu noir.
Elle sort. Je lui laisse quelques minutes, je prends ma voiture. J’ai un doute : et si elle ne va pas chez Daniel ?
Moins d’un quart d’heure plus tard, je suis rassuré. Sa voiture est là. Je m’apprête à sortir de mon véhicule, lorsque j’aperçois ma femme et son amant sortir de la résidence. Ils montent dans le véhicule de Daniel. Je les suis à bonne distance. Ils s’arrêtent sur le parking d’une zone industrielle. Je me gare plus loin. Pour ne pas me faire remarquer, j’observe de loin. La seule source de lumière provient d’un lampadaire autour duquel je distingue un attroupement d’une dizaine d’individus disposés en cercle. Je m’approche finalement pour mieux voir, le cœur battant.
Brigitte est nue, allongée sur le capot d’une voiture, sa robe est soigneusement pliée sur le toit. Seuls ses bas l’habillent. Un inconnu la besogne brutalement. Ses seins tressautent sous l’assaut. Autour, la plupart des types ont la queue sortie. Je reconnais Daniel, je fais en sorte qu’il ne me voit pas. Brigitte crie son plaisir. J’entends près de moi des commentaires salaces :
— Elle en veut la salope !
L’homme qui baise ma femme annonce sa jouissance et se retire. Il reprend sa place dans le cercle et Daniel, en chef de cérémonie, désigne un autre gars pour s’occuper de Brigitte. Il la pénètre d’un coup.
La procession continue. Certains demandent à Brigitte de la prendre par-derrière, elle s’accoude alors sur le capot, offrant ainsi son petit orifice. Du sperme coule le long de ses cuisses.
Au bout d’un moment Daniel me reconnaît. Il s’approche :
— Tu pourras y aller aussi, mais il faudra attendre ton tour, OK ?
J’opine du chef en signe d’accord, les yeux rivés sur ma femme offerte à des inconnus. Finalement mon tour vient, Daniel me désigne comme le prochain a bénéficié des faveurs de Brigitte. Elle pose les yeux sur moi :
— Viens mon chéri, je suis bien souillée, comme tu aimes.
Son sexe est rempli de sperme. Je m’introduis, la sensation est délicieuse. Je la baise sauvagement. Elle crie alors :
— Regardez messieurs, comme il me baise bien mon petit mari.
J’ignore les commentaires désobligeants dans mon dos. Je veux profiter d’elle, de la douceur et du moelleux de son intimité. Puis je m’abandonne en elle, mélangeant ma semence à toutes celles des autres.
— C’est bien, c’est bien, murmure-t-elle.
Je suis essoufflé, Daniel me demande de me reculer.
— Ce n’est pas terminé.
Brigitte s’agenouille. Le cercle se resserre, tous les types se branlent maintenant autour d’elle. Les deux plus entreprenants s’avancent. Brigitte saisit leur queue, et les suce à tour de rôle. Ils jouissent sur son visage et dans sa bouche. Elle se pourlèche les lèvres. Deux autres mecs les remplacent, le rituel continue.
Malgré sa gourmandise, Brigitte ne peut avaler l’énorme quantité de sperme qui jaillit sur elle. Des filets blanchâtres provenant de la commissure des lèvres coulent dans son cou et sur ses seins. Je distingue également des traces qui maculent ses joues et même ses beaux cheveux noirs. Ils se sont tous vidés, satisfaits d’avoir souillé une si belle femme, la mienne en l’occurrence. Ils repartent un à un, certains connaissent Daniel, le remercient, lui disent à la prochaine. Beaucoup de rires gras et de commentaires viennent à mes oreilles.
Ne reste que nous trois. Brigitte se rhabille. Daniel lui parle tout bas. Ils se concertent sur l’attitude à adopter à mon égard. Ils se décident, Daniel me tend les clefs de sa voiture et me demande de prendre le volant. Sans réfléchir, je m’installe à la place du conducteur. Ils montent tous les deux derrière. Daniel précise :
— Tu nous ramènes chez moi, prends ton temps.
Je roule, très vite. Je regarde dans le rétroviseur. Ils s’embrassent à pleine bouche. Je fais comme convenu un détour pour gagner du temps. J’entends le souffle de Brigitte s’alourdir, elle gémit. À un feu rouge, je me retourne.
Daniel aspire tour à tour chacun de ses seins pendant que Brigitte lui caresse les cheveux. Sa tête se renverse vers l’arrière. Sa jupe est retroussée jusqu’à la taille, dévoilant sans pudeur son intimité, ses jambes sont écartées au maximum.
Daniel en profite pour la doigter. J’entends nettement les petits bruits humides qui proviennent de sa fente. Conséquence du mélange des sécrétions intimes de ma femme et des souillures des participants au parking.
Je reprends la route. Je jette de fréquents coups d’œil dans le rétroviseur. Le visage de ma femme est la seule chose que je peux voir. Ses yeux sont clos, elle se mordille la lèvre inférieure. Des « Oh oui » et des « Plus fort » viennent ponctuer de temps à autre son plaisir. Les bruits cessent. Je regarde dans le rétroviseur, Brigitte n’y apparaît plus.
Je m’arrête à un stop et me retourne à nouveau. Elle s’active maintenant sur la queue de son amant. Elle darde sa langue sur le gland pendant que d’une main elle lui caresse les bourses. Elle gobe ensuite la queue voracement, l’avalant presque jusqu’à la garde, ce qui me semble un exploit étant donné la taille de l’engin.
Daniel la regarde faire, il tient les cheveux de Brigitte fermement, accentuant ainsi les mouvements de tête de ma femme. Je suis toujours à l’arrêt, je profite du spectacle, une bosse déforme mon pantalon. Daniel avance légèrement le bassin, elle lui introduit alors un doigt dans l’anus, ce qui a pour effet immédiat de le faire grogner de plaisir. Je pressens, plus que je ne vois, qu’il jouit. Brigitte, avec application, tient fermement le sexe dans sa bouche, ne laissant échapper aucune goutte de la liqueur de son mâle. Le sexe ramollit dans sa bouche.
Je reprends la route. Nous sommes arrivés chez Daniel. Je lui rends ses clés. Très cool, il me dit que je peux maintenant disposer, Brigitte passe la nuit chez lui. Je dois apporter ses affaires de rechange demain matin.
Comme un con, je les regarde entrer dans la résidence, elle ne m’a même pas regardé. J’ai froid, je trouve une cabine téléphonique, appelle un taxi qui me ramène vers mon véhicule. Je rentre chez moi, il est très tard. Je me couche dans le lit vide.
Je me sens seul…
À suivre.
Brigitte et Philippe
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