Histoires taboues

Philippe découvre que sa femme Brigitte commet l’adultère Chapitre 6

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Ma femme Brigitte 6

J’ai découvert les infidélités de ma femme Brigitte. Après une période candauliste, il devient de plus en plus difficile de trouver un sens à notre couple… Je décide de l’emmener en week-end où après un trajet excitant nous nous retrouvons dans un restaurant. Le dîner lui aussi promet des aventures insoupçonnées. La rencontre avec un jeune serveur va nous permettre de trouver un juste milieu entre nos désirs.

**********

Surprendre et être surpris

— Eh bien, les amoureux, si on y allait ?

L’invitation du jeune serveur est joyeuse, nous quittons le restaurant avec lui en direction du parking de notre hôtel. Je marche devant, et Brigitte se rapproche de lui pour le connaître un peu mieux.

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— On te suit aveuglément, tu sais ? Lui dit-elle.

Il rigole et je les entends converser un bon mètre derrière moi. Il s’appelle Dimitri, il a 26 ans et travaille cette année pour payer sa thèse en psychologie. Il est grand comme moi, 1,75 m, mais plus fin, un peu éthéré, très beau. Ses traits sont fins, sa peau mate, caramel, et il est habillé élégamment. Un air androgyne, un peu, peut-être. Ses longs cheveux noirs attachés en catogan lui donnent un air elfique, presque mystérieux.

— Vu l’endroit où tu nous emmènes, on va être francs avec toi, on n’est pas très habitués à ce genre d’endroit, dit-elle.

— Ne soyez pas inquiets, je vous l’ai dit, c’est un endroit charmant, simple et élégant. Dans le coin, ce n’est pas les clubs libertins qui manquent, du plus… Doux au plus trash. Celui-ci est dans les gentils…

Ils rigolent ensemble.

La scène me rappelle étrangement le soir où j’avais ramené Brigitte et son amant Daniel.

Mais un peu comme un film dont on aurait juste changé la musique, j’ai une tout autre sensation à ce moment. Ils continuent leur conversation derrière moi.

— Et toi alors, comment en es-tu arrivé à travailler dans ce genre d’endroit ? Lui demande-t-elle.

— Ce sont des clients du restaurant qui m’ont dit qu’ils cherchaient de l’aide au club. J’ai postulé et voilà.

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— Mais est-ce qu’il t’arrive de…

— De participer ? Répond-il du tac au tac. Oui, parfois, ça fait aussi partie de l’esprit de liberté de l’endroit. Surtout quand… Eh bien quand de belles femmes comme vous me draguent.

Brigitte rit.

— Tu n’es pas mal non plus, dit donc.

— Merci.

Nous arrivons au parking, et je me retourne vers eux en ouvrant la voiture. Brigitte est au bras de Dimitri.

— Brigitte, si tu allais à l’arrière avec notre jeune ami, vous pourrez m’indiquer la route comme ça.

Mon prétexte foireux semble pourtant leur convenir très bien. Rien n’est dit, mais tout le monde se comprend.

— Bien sûr, me dit-elle.

Clin d’œil appuyé vers moi, Brigitte monte à l’arrière avec lui. Je monte aussi et démarre, Dimitri commence le guidage.

Nous roulons plusieurs minutes en ville, et ses indications sont claires. Je n’entends pas Brigitte, mais dans le rétroviseur je croise son regard, un peu interrogateur, mais en même temps je vois qu’elle fera ce qu’elle désire… Et je n’ai aucune envie de l’en empêcher.

C’est là l’avantage de conduire le SUV que j’ai : il a un très grand rétroviseur. Et à ce moment, j’ai une pleine vue sur l’intégralité de la banquette, du bas des mollets de mes passagers au haut de la plage arrière.

Nous sortons de la ville sur une route départementale, les indications de Dimitri se font rares…

— À partir de là, c’est tout droit pendant 20 minutes, dit-il.

Dans le rétroviseur, Brigitte est appuyée tout contre lui. Il se penche vers elle et ils s’embrassent. Un long baiser, sensuel, et leurs mains ne sont pas de reste. Il lui caresse les seins, plutôt les lui malaxe en fait, et elle frotte sa main sur la bosse que forme son entrejambe. Mon regard fait des allers-retours entre le rétroviseur et la route. J’entends les soupirs, les tissus qui se frottent. Il lui relève la robe et elle repousse ses bretelles en même temps. Ses seins, gros et lourds, aux aréoles si larges, contrastent dans le noir de la voiture. Elle lui dégrafe son pantalon et en sort une belle queue, bien droite, sur laquelle elle se jette comme une affamée.

J’entends les bruits de succion, d’aspiration, la bouche de ma femme qui gobe et avale le sexe d’un jeune homme. Un regard et je la vois allongée sur le côté, sa tête allant et venant en même temps que sa bouche entoure ce sexe glabre… Lui n’est pas inactif et, penché aussi sur elle, il passe sa main dans son dos pour atteindre son intimité… Je ne sais pas quel orifice il masturbe à ce moment-là, mais le bruit, les clapotis humides résonnent à mes oreilles. Elle le suce avidement, sa bouche en « O » montant et descendant avec sa main qui va de la tige aux couilles sans le moindre poil. Il n’a jamais lâché son sein de l’autre main…

— Attends… Viens… Lui dit-il soudainement.

Je vois du mouvement dans le rétro. Et le visage de Brigitte apparaît au niveau du mien, juste entre les sièges avant. Elle est rouge, essoufflée, et sublime.

— Le spectacle te plaît, chéri ? Me demande-t-elle.

Elle est accoudée sur les deux sièges avant, son visage à 30 cm du mien, et dans le grand rétroviseur je constate qu’elle est désormais à califourchon sur Dimitri. Ses jambes grandes ouvertes sur son intimité, je ne vois juste en dessous que le bassin et les jambes de Dimitri. Une longue et large bite darde devant la toison brune et luisante de ma femme.

— J’ai très envie… Me dit-elle tout en avançant un peu plus vers moi.

— Profites-en alors, comme si je devais l’autoriser à quoi que ce soit.

— Il va… Ah !

Son gémissement emplit l’air en même temps qu’elle retombe en arrière.

J’essaye de conduire, mais je ne peux m’empêcher de regarder dans le rétro. Elle est adossée à lui. Jambes grandes ouvertes, et l’énorme sexe de Dimitri s’est enfoncé tout au fond d’elle. Il va et vient doucement, et Brigitte se penche à nouveau en avant, tout près de moi.

— il s’ est enfoncé  tout en moi… OOOOOH, Philippe, il est tout en moi… Aha…

Je vois sa tête avancer et reculer juste à côté de moi, en même temps qu’elle monte et descend sur la bite de Dimitri…

Il a pris ses seins dans ses mains, et la fait aller et venir sur lui.

Elle gémit, respire de plus en plus fort jusqu’à haleter, au rythme de plus en plus rapide de ses allées et venues.

— OOOOOH, chéri, sa queue est… Ah… Elle est si grosse en moi…

Elle repart en arrière, et le spectacle du rétroviseur m’offre une vue sur ma femme balançant son bassin de plus en plus vite sur les cuisses de Dimitri. Celui-ci lui malmène les seins désormais, deux poignées pour lui permettre d’accentuer les coups de boutoir qu’il inflige à ma femme. Un œil sur la route, l’autre sur le couple qui baise à l’arrière, les cris de jouissance de Brigitte me parviennent d’un coup aux oreilles.

Le silence retombe. Dimitri et elle ne bougent plus. Elle se redresse en s’adressant à lui :

— Reste en moi.

Elle se penche à nouveau vers moi :

— Tu as aimé le spectacle ?

— Oui.

— Tant mieux.

— C’est la prochaine à droite, au fond du chemin de terre, interrompt Dimitri.

Je tourne sur le chemin qui semble s’enfoncer dans un bois. Dans le rétro, Brigitte est toujours assise sur Dimitri, adossée à lui. Elle croise mon regard, la vue qu’elle m’offre est incroyablement perverse : elle se caresse doucement les seins en descendant ses mains vers ses cuisses encore grandes ouvertes, sa chatte encore profondément empalée sur l’énorme membre. Ses lèvres intimes sont rougies et déployées comme deux ailes délicates, ses poils bruns brillent d’un mélange de son plaisir à elle et du sperme que Dimitri vient d’éjaculer en elle. D’un doigt, elle en cueille une goutte et la porte à sa bouche.

Ni une ni deux, je gare la voiture sur le bord du chemin désert, dans un champ. La nuit nous entoure, je sors et ouvre la portière arrière sans réfléchir, mû par un désir soudain. Brigitte et Dimitri me regardent toujours assis l’un sur l’autre, et ma femme comprend soudain mon envie. Elle glisse vers moi, enjambant Dimitri et se désemboîtant de lui dans un bruit mouillé…

— Allonge-toi, ta tête sur lui et relève tes jambes, lui dis-je, un brin autoritaire.

Elle s’exécute. Je relève ses jambes vers sa poitrine et plonge ma bouche sur sa chatte pleine du sperme de Dimitri. Je la dévore, lèche, avale et engloutis ses grandes lèvres dans ma bouche. Je lèche encore, sans réfléchir, et les gémissements de Brigitte reviennent, comme une musique suave et si excitante. Je m’active encore plus, léchant plus fort, mordant presque, un instant sur et autour de son clitoris si durci qu’il paraît être de pierre. Dimitri lui attrape les cuisses, les redresse encore plus. Je lape violemment ce délice pendant que Brigitte repart vers un orgasme foudroyant.

Je me relève doucement, sortant de ma frénésie… Brigitte repose ses jambes, les laissant pendre en dehors de la voiture. Je la contemple, elle redresse la tête et rit, de ce rire que l’on a parfois juste après un orgasme. Elle se rassoit non sans mal sur la banquette et referme la portière pendant que je reviens au volant.

Quand je redémarre, je vois au loin des lumières sur un petit parking. À l’arrière de la voiture, Dimitri remonte son pantalon et Brigitte se réajuste un peu. Nous arrivons devant une grande maison, plus un mas en pierre en fait, et après nous être garés nous montons en direction d’une grande porte d’entrée.

Un homme d’une soixantaine d’années nous ouvre après que Dimitri a sonné.

— AAH ! Dimitri, enfin tu es là ! Dit-il avec un grand et franc sourire.

— Bonsoir, benoît, je vous présente Brigitte et Philippe, deux visiteurs que j’ai rencontrés au restaurant.

— Bienvenue au Fantasia, Madame, vous êtes sublimes ! Répond-il avec un clin d’œil plus paternel qu’aguicheur.

Il émane de lui une gentillesse et une joie sincère. Nous le suivons et entrons.

— Eh bien, Dimitri, tu connais le chemin, allez-y, j’arrive ! Dit-il en ouvrant une porte d’un grand couloir d’entrée.

— Je les installe et je me mets au travail, benoît, lui répond Dimitri.

Le benoît en question s’arrête au milieu de la porte.

— Ah non, Dimitri ! Tu nous amènes deux charmants clients, donc tu as ta soirée libre !

Et il disparaît en refermant la porte derrière lui. Dimitri nous regarde, surpris, et sourit :

— Eh bien, j’ai bien fait de vous amener alors !

Nous rions tous les trois et Dimitri nous invite à le suivre. Un grand salon s’ouvre devant nous, un bar en pierre derrière lequel s’affaire une belle femme du même âge que benoît.

Dans la salle, une dizaine de tables où quelques clients discutent, à trois ou à quatre, leurs conversations couvertes par une chanson rock qui passe en fond.

Dimitri nous conduit au bar, où nous nous installons sur de grands fauteuils hauts.

— Dimitri !

La voix de la femme du bar réussit à surpasser en volume sonore le groupe de rock.

— Sonia, voici Brigitte et Philippe.

— Bienvenue à vous deux !

S’adressant à Dimitri elle enchaîne :

— benoît t’a donné ta soirée, au moins ?

— Oui Sonia, merci ! Répond-il presque gêné.

— Alors tu veux rentrer chez toi ou bien tu restes un peu ?

— Eh bien, je pensais rester…

— Super ! S’exclame-t-elle. Alors, fais-leur donc la visite des lieux si tu veux, benoît fera ton boulot ce soir, ça lui fera un peu les pieds !

Nous rions tous les quatre. Je prends Sonia un peu à l’écart.

— Comment se passe le paiement de la soirée, les consommations ou les entrées ?

— Oh, mon petit, ici c’est très simple. Pour les couples vous me réglez une carte de membre annuelle de 200 euros. Et vous reviendrez quand vous voulez. Ensuite, vous payez vos consommations en partant.

Elle me gratifie d’un client d’œil coquin. C’est une femme magnifique, vêtue d’une combinaison moulante noire qui laisse voir sans équivoque ses formes : des hanches sculpturales, un petit ventre rebondi mais très sexy et de jolis seins en poire qui tombent légèrement en laissant sans pudeur deviner deux tétons qui pointent sous le tissu. Je crois même entrevoir le détour du mamelon, le tissu doit être très fin…

— Philippe, tu viens ? Dimitri va nous faire visiter !

Je décroche de mes observations et emboîte le pas de Dimitri et Brigitte. Nous traversons la salle principale, qui donne au-dehors sur un grand jardin qui se mélange à la forêt environnante. Un couloir nous mène à un hall rond d’où partent un escalier et un autre couloir. Dimitri commente sa visite :

— Là, ce couloir mène au hammam et à plusieurs salles de bains, et à deux ou trois alcôves. À l’étage, là-haut, il y a aussi plusieurs alcôves et des chambres aussi, ainsi qu’une grande salle.

Nous le suivons vers le hammam et découvrons un joli décor, plusieurs douches et le dit hammam, grande pièce remplie de vapeur dense, derrière une énorme porte en bois. À l’intérieur, de chaque côté de la pièce entièrement carrelée, 2 étages de bancs carrelés eux aussi forment le seul mobilier. Dimitri referme la porte et nous montons à l’étage. Un plus petit hall distribue des couloirs, et nous entrons dans un joli dédale où s’alternent coins canapés, alcôves aux lits larges et d’autres chambres qui elles peuvent se fermer. C’est joli, propre et bien tenu. Nous redescendons et revenons nous installer au bar où je commande une bouteille de champagne.

— Alors l’endroit vous plaît, demande Sonia à Brigitte ?

— Oui, c’est charmant, un très beau lieu.

Dimitri continue la conversation :

— Quand nous aurons fini nos verres, si cela vous dit on peut aller au hammam, je pense que ça nous fera du bien à tous les trois…

— Merveilleuse idée Dimitri, répond ma femme.

La musique est excellente, le champagne aussi, Brigitte, Sonia et Dimitri conversent agréablement pendant que je les regarde ainsi que les clients du grand salon. Il y a des jeunes, des plus âgés, quelques-uns parlent et d’autres se regardent sans rien dire.

Nos coupes terminées, Dimitri nous ramène vers le couloir du rez-de-chaussée et nous montre le vestiaire :

  • — Je vais me changer dans celui du personnel, je vous rejoins dans le hammam.

Brigitte et moi entrons et trouvons de jolis casiers déjà garnis d’une grande serviette, et d’une clé sur un bracelet.

On se déshabille autant du regard que littéralement. Je crois que je ne me lasserai jamais de la voir nue.

Elle s’enroule dans la serviette de bain, j’en suis encore à quitter mon pantalon.

— Concentre-toi un peu, Philippe, me taquine-t-elle.

À mon tour je suis en serviette, autour de la taille. Celle de Brigitte lui fait une jolie robe, ses cheveux maintenant attachés en queue-de-cheval lui donnent un air espiègle et sexy. On sort du vestiaire et je suis Brigitte vers le hammam. En marchant dans le couloir, nous passons devant une grande douche commune ouverte. Une jolie scène s’y déroule. Deux couples y sont emmêlés, les deux femmes appuyées face au mur, cambrées en arrière pendant que leurs hommes accroupis ont leur visage enfoui entre leurs fesses. Brigitte marque un arrêt dans l’entrebâillement, visiblement aussi captivée que moi par la scène.

— Il faudrait qu’on se douche nous aussi avant le hammam, me dit-elle en gloussant.

— Tu as raison, mais peut-être dans la douche d’après, dis-je avec un clin d’œil.

Elle rit et m’emmène par la main un peu plus loin.

L’eau chaude coule sur nous deux. Brigitte est contre moi et frotte doucement ses mains sur mon torse. Les miennes attrapent un peu de gel douche et je caresse sa peau en commençant par le bas de son dos, allant sur ses fesses puis ses cuisses. Nous nous lavons mutuellement, en nous regardant droit dans les yeux. Elle entreprend de laver mon sexe qui, depuis le vestiaire, est dur et droit comme un « i ». J’ai une main entre ses fesses, l’autre nettoie son intimité.

Elle nettoie chaque recoin du prépuce tendu, mes couilles rasées, mon entrejambe.

— Je t’ai déjà dit que tu as un beau membre, me demande-t-elle d’un coup ?

— Je ne m’en souviens pas, réponds-je, mais…

Elle me coupe, continuant son examen minutieux, en souriant :

— Elle est bien dure, bien droite et d’une bonne taille…

À mon tour, je l’interromps :

— Tu en as connu des bien plus grosses…

— Oui c’est vrai, des plus longues, plus larges, et même les deux parfois, mais la tienne c’est… Eh bien, elle est un peu à moi, tu vois ? C’est un peu de moi et… C’est pour ça que je la préférerai toujours.

Elle me sourit amoureusement, ma fierté de mâle voit sa jauge remonter à 110 % et nous terminons en nous rinçant. Le hammam est juste après dans le couloir, nous laissons nos serviettes à un crochet et j’ouvre la porte pendant que Brigitte y entre. Elle choisit de s’installer sur le banc carrelé du haut à droite, je m’assieds sur celui un cran en dessous. La pièce de quatre mètres sur quatre est spacieuse mais cosy. Brigitte s’allonge sur le dos, une jambe repliée. Assise en dessous, ma tête repose sur sa cuisse, sa main sur ma nuque. Une moiteur douce nous entoure, la vapeur dense revient par cycle, troublant la vue sans la gêner totalement.

La porte s’entrouvre, et Dimitri fait son entrée. Mais un détail semble avoir changé. Ses cheveux sont désormais attachés comme Brigitte en queue-de-cheval, haute. Dimitri déroule la serviette qui l’entourait et, tandis qu’il l’accroche, je constate avec surprise qu’il… Qu’elle a une magnifique paire de seins. Deux jolies poires, menues mais bien rondes, avec de jolies aréoles surmontées de beaux tétons.

Je me tourne vers Brigitte, qui me regarde d’un air amusé :

— Tu n’avais pas deviné ?

Je reste sans voix pendant que Dimitri, dans le trouble de la vapeur chaude, s’installe en face de nous sur le banc opposé.

— Ici, je peux être celle que je veux, dit-elle en me regardant. Ça va Philippe, pas trop surpris ?

— Surpris, ça oui, mais fichtre, tu es sublime !

— Tu es mignon… Merci. Mais tu sais que plus personne ne dit « fichtre » !

On éclate de rire tous les trois, Dimitri reprend :

— Ça n’est pas ma thèse que je finance en travaillant, c’est ma transition.

Brigitte, toujours allongée au-dessus de moi mais maintenant appuyée sur un coude, lui demande :

— Pour ce que j’en vois, ta transition est une réussite en tout cas, Philippe a raison, tu es magnifique.

— Merci Brigitte je… J’ai l’impression d’être arrivée à ce que je voulais être. Mais je ne sais pas pour la suite si… Si je vais aller plus loin.

En disant ça, elle soulève et caresse son long pénis, puis le laisse tomber doucement. C’est Brigitte qui reprend :

— Si toi tu te sens bien telle que tu es… C’est le plus important, non ?

— C’est ce que je me dis aussi, répond Dimitri en s’adossant un peu plus profondément.

— Et puis, poursuit Brigitte en se levant, ça serait dommage de… Perdre un si bel outil.

Dimitri sourit, et reprend :

— Et vous deux alors, quelle est la vraie histoire ? Je vois bien que vous n’êtes pas tout à fait comme ces couples, quel est le terme déjà… Candaulistes ? Il y a autre chose chez vous deux.

On se regarde avec ma femme, de nos étages de banc respectif. À mi-chemin entre le balcon de Roméo et Juliette, et une séance chez une conseillère conjugale…

Brigitte hésite un instant et se met à raconter l’intégralité de notre histoire depuis quelques mois, ma découverte, ses infidélités, le début de compromis, la rechute, et enfin notre week-end toujours en cours…

À la fin du récit, Dimitri est dans une profonde réflexion. Elle brise le silence :

— Je ne veux pas jouer les psys mais… Avez-vous dit l’un à l’autre ce que vous vouliez ?

On se regarde avec Brigitte. Aucun de nous n’a de réponse, Dimitri continue :

— Un exemple : je me sens femme désormais, mais je n’ai aucune envie de me séparer de mon pénis. Ce que je veux dire c’est que j’ai fait le choix, entre deux solutions apparemment opposées, d’être une femme qui a un pénis, OK ? Donc vous deux, vous voulez quoi ? Car avant de trouver un équilibre, il faudrait déjà savoir ce qui s’oppose…

La démonstration de Dimitri est pertinente.

Je brise à mon tour le silence :

— J’aime Brigitte…

Puis je continue, mais en regardant ma femme :

— Je t’aime, avec tout ce qui fait ta personne.

Dimitri intervient :

— Brigitte, est-ce que tu dirais que tu es monogame par essence ? Ou bien as-tu toujours eu envie de… Papillonner ?

Brigitte marque un temps… Elle est allongée sur le dos et regarde le plafond.

— Je… Je crois que j’ai toujours été comme ça, frivole, aimant voir et toucher ce qui me plaît.

Dimitri poursuit :

— Et quand tu as rencontré Philippe, au début de votre vie à deux, comment ressentais-tu tes… Désirs d’ailleurs ?

— J’éludais certaines pensées, je pensais à notre couple.

— Et toi maintenant, Philippe, quand tu as découvert et vu Brigitte pour la première fois avec un autre, quel a été le sentiment le plus fort : la colère, la tristesse ou bien le désir, l’excitation, ou encore autre chose ?

À mon tour, je marque un temps de réflexion.

— De la jalousie de… Ne pas la faire jouir comme lui, et de l’excitation de voir son plaisir sur son visage à elle.

Dimitri prend son temps avant de reprendre.

— Brigitte, pourquoi as-tu petit à petit exclu Philippe de votre… Compromis ?

— Je… J’avais peur que… Que mes désirs devenant de plus en plus… Pervers, il souffre aussi de plus en plus.

— Mais Philippe, poursuit Dimitri, ça n’est pas l’appétit de Brigitte qui te faisait souffrir non ?

— Non. C’est de ne pas en faire partie.

— Donne-lui un exemple de ce que tu aurais voulu.

Je réfléchis.

— Quand nous avons rencontré et invité Henri, tu t’es comportée de manière moqueuse, presque acide avec moi. Quand vous avez été dans la chambre, tu m’en as fait sortir. Si au lieu de ça tu m’avais considéré comme ton homme, et lui comme un plaisir, et que tu avais laissé notre jeu de jalousie nourrir ton désir, alors nous aurions tous les deux savouré ce moment, au lieu que tu t’en veuilles après et que moi je me sente exclu.

Brigitte me regarde à présent. Dimitri apporte son aide :

— Brigitte ?

— Tu n’as rien dit à ce moment Philippe. Ni à d’autres. Quand juste avant de venir en week-end ici tu t’es énervé, ta colère m’a surprise. J’ai aimé ça, te voir t’affirmer. Je crois que je l’attendais un peu aussi.

Petit temps de pause.

— Tu as aimé que je te crie dessus ? Dis-je en souriant.

Brigitte rit à son tour et poursuit :

— En quelque sorte. Je sais que tu es un homme affirmé et sûr de toi, je ne l’avais plus vu depuis longtemps peut-être.

— Tout comme je sais, dis-je, que tes désirs sont un peu plus grands que moi… Mais que tant que je suis ton homme, ça me plaît…

Deuxième pause… Mais plus courte : Je remonte vers son visage et l’embrasse à pleine bouche. Je me tourne vers elle, toujours posée comme suspendue sur le banc au-dessus du mien. Allongée là au milieu de la moiteur du lieu, on dirait une déesse romaine.

Je pose ma main sur sa cuisse, et remonte directement jusqu’à son intimité. Elle écarte les jambes me laissant libre le passage, et sa main à elle vient attraper mon sexe dur.

— On dirait que tu es content de cette conversation, me dit-elle, en commençant de me masturber.

À mon tour, deux de mes doigts rentrent en elle sans résistance, m’accueillant dans un soupir. Je la branle plus fort, elle gémit encore.

Elle se redresse d’un coup, descend de son étage jusqu’au bas des bancs, devant moi. S’appuyant sur mes cuisses, elle s’agenouille entre elles, puis reprend mon sexe dans sa main. Elle me branle elle aussi activement puis met mon sexe dans sa bouche en l’attrapant des deux mains.

Elle me suce ardemment, forçant au fond de sa gorge pour m’avaler encore plus loin.

Mon plaisir est fabuleux, lorsque j’ouvre les yeux et vois Dimitri se masturber en nous regardant. Je lui dis sans réfléchir :

— Viens, viens près de nous, Dimitri.

Brigitte s’arrête, se tourne vers elle et ajoute :

— Oui ma belle, viens t’asseoir ici…

Dimitri se lève et nous rejoint, s’asseyant juste à côté de moi. Brigitte nous fait face, toujours accroupie. Elle ouvre en grand ses cuisses, lèche baveusement deux de ses doigts et les glisse instantanément entre ses lèvres trempées… Elle jauge nos deux sexes érigés devant elle :

— Hum… Tout ça juste pour moi ?

Dimitri et moi rions… Brigitte attrape nos deux membres et les branle sensuellement… Elle se penche vers moi et y met un coup de langue…

Elle fait de même sur Dimitri, gobant un instant le gland, aguicheuse. Elle continue de nous branler en même temps… Dimitri gémit autant que moi.

— Oh, vous… Vous êtes vraiment du feu tous les deux…

Brigitte se penche sur elle, et tente d’avaler l’énorme membre. Elle crache dessus et reprend perversement de la sucer…

— Donnez-les-moi, donnez-moi vos belles bites… Dit-elle frénétiquement.

Je me lève et approche mon sexe de son visage sans qu’elle ne le lâche de la main. Dimitri en fait autant.

Brigitte nous lèche alternativement, branle et suce de plus en plus vite… Elle salive abondamment et se délecte de nos deux membres, se frottant le visage avec l’un et gobant l’autre, avalant presque jusqu’à la garde le mien, s’étouffant à moitié sur celui de Dimitri. Celle-ci attrape mes fesses et me pousse vers la bouche de Brigitte qui m’engloutit entièrement, je sens mon gland passer sa gorge et dans un accès de plaisir j’attrape le sein de Dimitri. Je suis au bord du précipice, Dimitri aussi. Brigitte accélère, branle plus fort, suce plus intensément, elle sent que Dimitri et moi ne sommes plus très loin :

— Donnez-moi tout, allez-y…

Elle nous masturbe ensemble juste devant sa bouche grande ouverte, et quand dans un râle je viens, Dimitri gémit au même moment qu’elle aussi y est. Deux jets de sperme arrosent la bouche de Brigitte, suivis par de nombreuses saccades que ma femme engloutit ou reçoit sur son visage. Elle lèche nos deux sexes, récoltant et avalant avec gourmandise notre plaisir.

— Hum… Vous m’avez comblée…

Dimitri rit et nous aidons Brigitte à se relever.

— Eh bien chérie, dis-je à Brigitte, si nous allions finir cette bouteille de champagne avec notre conseillère conjugale ?

— Après un petit tour par la douche ça sera avec plaisir mon amour, me répond-elle en riant.

On sort du hammam, et après une douche rafraîchissante nous arrivons au bar.

— Eh bien, à voir vos têtes, le hammam vous a fait du bien à tous les trois ! Dit Sonia.

Nous rions de bon cœur, un peu pris la main dans le sac. Il n’y a plus personne dans le grand salon à part deux hommes à une table, visiblement éméchés. Je m’assois sur un tabouret haut, Brigitte se love de dos contre moi, entre mes cuisses, enroulée dans sa serviette. Dimitri nous sert tous les trois une flûte, quand l’un des deux gars se lève bruyamment. Sonia a l’air agacée :

— Ces deux-là, Benoît, va me les dégager vite fait.

Elle part à l’arrière. Le gars debout vient vers nous et aboie :

— Eh, vous trois, ça vous dirait un petit plan à cinq ?

Sonia revient et l’interpelle : — Toi tu vas…

Je l’interromps, m’adressant à l’homme ivre :

— Finissez plutôt vos verres, et ensuite vous rentrez chez vous. Maintenant.

Mon ton m’étonne. Mais je ne le montre pas. J’ai l’impression d’être au bras de trois femmes superbes, avec une assurance sans limites, et d’être assis sur une énorme paire de couilles. En l’occurrence les miennes.

— Kestuveu toi tu…

Je ne le laisse pas finir :

— Sérieusement : rentrez, maintenant.

Le gars marque un temps et lève les bras en signe de paix.

— Pas de soucis, mec, on y va.

Il rejoint son acolyte et ils partent.

Brigitte est toujours contre moi de dos, mais elle a tourné la tête vers moi et me regarde comme si j’étais Brad Pitt.

Elle se tourne vers Dimitri et Sonia qui elles aussi me regardent :

— C’est mon homme, ça, dit-elle fièrement.

Ma paire gonfle à son paroxysme.

— Garde-le bien au chaud celui-là, dit Sonia.

Et elles éclatent de rire toutes les trois.

Une gorgée de champagne, puis une autre. La conversation reprend.

— Au fait Dimitri tu en es où de ta recherche d’appartement ? Demande Sonia.

— J’ai deux ou trois touches mais ce n’est pas encore sûr.

Brigitte s’immisce :

— Tu cherches où ?

— Sur Aix-en-Provence.

La discussion continue sur l’immobilier. C’est cher, c’est moche et c’est compliqué. Je le sais bien, c’est la ville où nous vivons.

Une idée me vient d’un coup. Dingue et simple.

Je caresse Brigitte sur le côté, elle penche la tête vers moi. Je lui murmure à l’oreille :

— On n’a pas vraiment besoin de notre chambre d’amis…

Brigitte se redresse et se tourne entièrement vers moi.

— Tu es sûr ?

J’acquiesce.

— Tu es certain ?

— Et toi tu en penses quoi ?

— J’adore l’idée. Il suffit d’essayer.

On se sourit comme deux crétins. Brigitte se retourne vers Dimitri :

— On a une proposition à te faire, ma belle.

À suivre…

Brigitte et Philippe

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