J’avais découvert les infidélités de ma femme Brigitte et après une période candauliste notre couple était en danger. Un week-end de tous les espoirs et une rencontre extraordinaire changèrent notre avenir. Six mois plus tard, une nouvelle vie se dessine.
Six mois plus tard…
Quand on rentre dans notre maison, ce n’est jamais par la porte d’entrée, toujours par la porte-fenêtre de la cuisine donnant sur le jardin. Et là après 8 heures de boulot, j’ai une vue magnifique sur Brigitte et Dimitri qui préparent ce qui semble être un poisson en papillote.
— Et ensuite, tu n’as plus qu’à mettre au four, dit Dimitri à Brigitte.
— Mouais, faut encore que je ne rate pas le temps de cuisson.
— Internet est ton ami pour ça, Princesse.
Elles rient toutes les deux.
Ça fait six mois que Dimitri a emménagé chez nous. L’idée semblait folle, mais ça fonctionne. Et Brigitte et moi avons trouvé en elle une alliée, une épaule, et… Une amante.
— Comment s’est passée ta journée, chéri, me demande Brigitte ?
— Très bien, lui dis-je en l’embrassant tendrement, la penchant au-dessus du plan de travail. Et la vôtre, Mesdames ?
— Très bien aussi, répondent-elles en chœur et en riant.
J’embrasse à son tour Dimitri d’un doux baiser dans le cou.
— Alors tu convertis mon épouse rebelle à la cuisine ?
— J’essaye d’en faire une épouse docile mais je crois que c’est foutu d’avance !
On éclate de rire tous les trois.
Dimitri vit dans notre chambre d’ami et prend ses cours à la faculté non loin de la maison. Brigitte a quitté son travail et en commence un nouveau la semaine prochaine. Elle m’avait dit ne plus vouloir de contact avec ce qu’elle avait appelé « sa vie d’avant ».
Quant à moi je m’accorde très bien de mes deux belles bombes dans cette maison.
Je les laisse à leur atelier et je file à la douche. Quand j’en sors, je les rejoins au salon. On parle, on refait le monde autour d’un apéro, quand Dimitri s’exclame soudain :
— J’ai oublié de vous dire !
Brigitte et moi attendons la suite.
— Sonia et Benoît nous rendent visite ce week-end !
— Mais c’est super ça, dit Brigitte enthousiaste.
— Ça me fait trop plaisir de les voir, enchaîne Dimitri.
S’ensuivent conversations sur des anecdotes du club des deux sexagénaires où Dimitri travaillait, rires, et deuxième tournée. Le poisson s’annonce, on passe à table, et je débarrasse une fois le dîner délicieux englouti.
— Tu regardes un film avec nous, demande Brigitte à Dimitri ?
— Non, j’ai une tonne de boulot. Profitez bien, les amoureux, répond-elle en nous lançant un baiser de la main et en montant à l’étage.
J’ai dû m’endormir à peu près au milieu du film, je crois. La télé est encore allumée sur un programme de fin de soirée, j’ai un plaid sur moi et je suis seul sur le canapé. J’émerge lentement, me lève et vais voir dans notre chambre au rez-de-chaussée : Brigitte n’y est pas. Je souris et là j’entends des gémissements venant de la cage d’escalier. Je me rapproche. La voix de Brigitte parvient jusqu’à moi.
— Aahhh, oui ! Ahh oui, comme ça !
Je monte lentement vers l’étage et la chambre de Dimitri, prenant le temps d’écouter les mots de ma femme.
— Ah, ma chérie, oui ! OOOOOH encore !
Ses gémissements, de plus en plus audibles, sont accompagnés de claquements très explicites.
— Aahhh putain ! AAH, j’adore… J’adore ta queue Dimitri !
J’entends Dimitri lui répondre en continuant de monter :
— Ça te plaît, hein ? C’est ça que tu voulais ?
— Oooooh, oui ! Ah, oui, c’est ça !
J’atteins le palier, et je reste en retrait dans l’encadrement de la porte ouverte.
— Oooooh… Oooooh oui plus fort ! Baise-moi plus fort encore !
Je me penche discrètement, voyeur dans ma propre maison. Le spectacle est sublime. Ma femme est à quatre pattes sur le lit de Dimitri, et celle-ci la prend vigoureusement par-derrière. De mon observatoire elles ne me voient pas, mais j’ai une pleine vue sur la scène : les seins lourds de Brigitte qui balancent sous le pilonnage intense de Dimitri, sa façon de lancer ses fesses vers elle pour l’inciter à y aller plus fort, les jolis seins en poire de Dimitri qui eux aussi ballottent au même rythme que leurs hanches.
Leurs corps sont transpirants, elles brillent dans la lumière de la lampe de chevet. Dimitri martèle l’intimité de Brigitte sans retenue, le plaisir intense se lit sur leurs deux visages.
— AAH, oui, encore… Ah, oui, oui, oui !
Dimitri attrape alors Brigitte par la taille et bascule leurs deux corps ensemble en arrière.
Dans un râle intense, Brigitte se retrouve sur Dimitri, couchée maintenant sur le dos. Brigitte la chevauche, cavalière sensuelle dont les jambes grandes ouvertes exhibent entièrement l’accouplement bestial. Elles sont face à moi, et la vue de l’énorme pieu de Dimitri qui entre et sort de l’intimité de ma femme accentue encore mon érection déjà bien prononcée.
Son sexe est une vraie barre d’acier, et Brigitte l’accueille et s’empale dessus férocement, ondulant ses hanches, montant et redescendant pour l’enfoncer encore plus profondément.
— Ah oui, comme ça ! Oooooh, tu… Tu rentres si loin !
Je me délecte du spectacle, quand Brigitte m’aperçoit soudain.
— Oh mon amour ! Tu es là ! Viens, viens nous rejoindre !
Elle n’a jamais cessé d’aller et venir en me disant ça, et je rentre dans la chambre, m’approchant doucement du lit.
Je quitte mon short et me retrouve nu et bien tendu face à ma femme qui, après avoir léché son majeur et son annulaire, se caresse désormais lascivement le sexe, glissant ses doigts entre et autour de ses grandes lèvres charnues.
— Ah… Regarde mon amour, regarde comme elle me baise bien…
Je suis captivée par ce gros plan pornographique et si excitant. Je me branle en même temps, Brigitte continue :
— OOOOOH, elle… Elle rentre si loin en moaaahhh…
Ce dernier mot finit dans une longue plainte intense, en même temps que Dimitri accentue sa pénétration encore plus. Brigitte bascule, la tête en arrière, sa bouche ouverte dans un long cri d’orgasme. Dimitri ne s’arrête pas pour autant, martelant la chatte de ma femme au point de la faire sauter sur elle.
— Ah, chéri, viens… AAH, donne… Donne-moi ta queue aussi…
Je me lève et approche mon sexe de son visage.
— Ah, mets-la-moi dans la b…
Je ne la laisse pas finir et m’enfonce dans sa bouche.
Elle m’avale presque entièrement, les bonds que Dimitri lui fait faire poussant un peu plus chaque fois ma queue au fond de sa gorge.
De plus en plus fort… De plus en plus loin…
Je sens mon plaisir monter, de ma vue dominante la scène m’amène rapidement au bord du gouffre, le corps de Brigitte qui monte et descend, les mains de Dimitri sur ses hanches, leurs seins qui balancent dans tous les sens et la bouche de ma femme qui m’engloutit entièrement… Je jouis dans sa gorge et elle avale mon plaisir, s’empalant frénétiquement sur Dimitri.
Celle-ci gémit alors… Elle aussi va venir, je me jette alors entre les cuisses de Brigitte, lui lèche avidement la chatte défoncée sur le sexe qui va-et-vient en elle… Dimitri crie et se retire de Brigitte. J’attrape son énorme pieu et l’avale, le plus loin possible à mon tour. Dimitri se contracte et jouit, une longue saccade de sperme jaillissant dans ma bouche. J’avale avec plaisir et pas pour la première fois la jouissance de ce sexe magnifique.
Brigitte s’est endormie juste après, épuisée, entre Dimitri et moi. On se regarde sans rien dire, toujours étonnés de la tournure que notre trio a prise ces dernières semaines.
Dimitri se penche par-dessus Brigitte et m’embrasse… Un long baiser que je lui rends avec langueur.
— Je… Je vous aime, je crois, nous dit-elle.
Je lui souris, passant ma main dans ses cheveux et sur son beau visage.
On s’endort comme ça, l’un contre l’autre… Contre l’autre.
La lumière du jour passe à travers les volets, j’ouvre les yeux. Une sensation agréable à l’entrejambe accélère mon réveil. Je lève la tête :
— Bonjour mon amour, me dit Brigitte en reprenant sa fellation.
Elle me suce doucement, faisant aller et venir sa bouche en rond autour de mon sexe érigé.
Elle accélère un peu plus, branlant en serrant de plus en plus fort, et quand elle ouvre la bouche en grand, tirant perversement sa langue vers mon gland, je jouis longuement entre ses lèvres, la regardant laisser couler mon sperme de sa bouche en souriant.
Elle suce ses doigts comme après un délicieux dessert et se lève, j’entends couler la douche une minute après.
Quand j’arrive dans la cuisine après être moi aussi passé par la douche, les filles sont accoudées sur l’îlot central, un café devant elles, et discutent. Je passe derrière Brigitte et lui vole un baiser en tournant autour d’elle. Je me penche vers Dimitri et l’embrasse langoureusement à son tour. Celle-ci continue :
— Sonia m’a dit qu’ils arriveront vers 18 heures, pour ne pas avoir les bouchons du vendredi.
— Le chalet est prêt, mon amour ? Me demande Brigitte.
— Oui ma belle.
Comme nous avions accueilli Dimitri dans la chambre d’ami, j’avais fait installer un petit chalet dans le jardin, derrière la piscine, peu après son arrivée. Il possède une jolie chambre avec une salle de bains pour nos amis en visite.
— Vous leur avez prévu quoi pour le week-end ? Demandé-je.
— On s’est dit qu’ils préféreraient se reposer tranquillement plutôt que de visiter toute la région. Donc grasses matinées, siestes et piscine, et le soir resto peut-être. Tu en dis quoi ?
— C’est parfait, vous êtes des cheffes.
Je pars travailler et laisse mes deux princesses. J’ai pris mon vendredi après-midi, mais je dois achever deux ou trois dossiers dans la matinée.
Vers 11 heures, j’ai fini, et quand je rentre, les filles ont préparé la maison. Je m’attelle au jardin et tonds, taille un peu et nettoie la piscine.
Il est 15 heures quand, le karcher à la main, je vois Dimitri et Brigitte s’installer en maillot de bain au bord de la piscine. Elles sont arrivées avec un grand plateau, des verres et une bouteille de rosé dans un seau à glace.
— Hep ! Toi le pool boy, là-bas ! M’interpelle Dimitri. Viens donc te rafraîchir un peu !
Elles rient, je les rejoins, on trinque.
Allongé sur leur transat, verre à la main, je ne peux m’empêcher de reluquer, c’est le terme exact, leurs maillots de bain. Brigitte le remarque :
— Tu aimes nos nouvelles tenues ?
— Ça serait difficile de ne pas aimer, vous êtes absolument renversantes toutes les deux.
Je reconnais le style d’une célèbre marque de microbikinis australienne. Brigitte porte un tout petit deux-pièces blanc. Deux triangles minuscules reliés par de fines bretelles cachent à peine ses grandes aréoles, tandis qu’un encore plus petit triangle sert de string. À travers le fin tissu, je devine sa toison brune fournie mais parfaitement taillée. Dimitri, elle, arbore un modèle rose pâle, légèrement maillé. La transparence est encore plus accentuée que celui de Brigitte, et cette fine résille ne cache rien des magnifiques seins en poire de Dimitri. Ses longues jambes à la peau caramel sont croisées, et quand elle change d’un coup de position je constate que son petit string lui non plus ne cache rien de son anatomie bien pourvue et, elle, parfaitement lisse.
Si je n’avais pas fait entourer le jardin d’un grand mur à la façon d’une hacienda, les rares voisins seraient en train de faire un arrêt cardiaque.
Tout en sirotant nos verres de vin, Brigitte et Dimitri se font plus aguicheuses :
— Dis, mon amour, tu as bientôt fini ? Me questionne Brigitte.
Leurs transats sont collés l’un à l’autre, et elles sont allongées dans une position lascive en me regardant. Brigitte tend son bras vers le bikini de Dimitri, et elle glisse son index lentement sous la bretelle du haut, caressant au passage l’arrondi de son sein. Dimitri, comme un écho sensuel, approche à son tour sa main du string de Brigitte, et de son index aussi glissé sous la fine ficelle, elle promène son doigt jusqu’au triangle qui couvre à peine son intimité.
— Tu ne veux pas t’occuper un peu de nous ? Me demande Dimitri.
— Tu pourrais, continue Brigitte, nous la mettre où tu veux…
Je résiste, et ris doucement à leur tentation.
— Ils arrivent bientôt, et j’ai encore deux ou trois trucs à faire, dis-je à contrecœur.
Elles rient aussi de leur attitude tentatrice et me laissent continuer, papotant en bronzant au soleil d’avril.
Sonia et Benoît arrivent à l’heure prévue, les filles se sont habillées de leurs plus jolies et légères robes dans cette douce soirée.
Un apéro dînatoire de retrouvailles et nous nous racontons les changements de nos vies survenus ces six derniers mois. Quelques verres plus tard, tout le monde décide de plonger dans la piscine chauffée. L’ambiance est chaleureuse, les rires fusent. Batailles dans l’eau, Brigitte et Sonia s’affrontent perchées respectivement sur les épaules de Benoît et de Dimitri.
Sonia et Dimitri gagnent, Brigitte s’écroule dans l’eau avec Benoît. Les rires fusent de nouveau.
Sonia sort et me rejoint, s’asseyant sur le transat à côté du mien, son verre à la main.
C’est vraiment une très belle femme. 60 ans passés, une élégance rare avec une lumière coquine dans le regard. Des formes que l’âge lui a doucement données n’entament en rien sa beauté, au contraire. Des rides de sourire et de soleil sur le visage et le cou, des rondeurs aux bras et aux hanches, de superbes seins ronds qui pendent légèrement sous un sublime maillot blanc, une pièce, les épaules nues et le col montant soulignant un ventre un peu rebondi et un entrejambe échancré. Elle se penche vers moi :
— Elles ont l’air très heureuses… Et très amoureuses toutes les deux ! Dit-elle un peu interrogative.
— Je le vois aussi, et…
Sonia m’écoute, attentive.
— Je les aime toutes les deux aussi.
Elle sourit. On les regarde s’amuser à essayer de couler Benoît. Ce qui ne risque pas d’arriver, lui étant un massif gaillard bien en chair mais au charme d’un ours de montagne.
Il est immense à côté de Dimitri qui, déjà, fait presque ma taille. Et à côté, Brigitte a l’air d’être une brindille. De ses bras gros comme des troncs, il les soulève toutes les deux et les lance au-dessus de l’eau où elles plongent dans un fracas d’éclaboussures. Elles ressortent dans un fou rire général. Dimitri se rapproche du bord et sort de l’eau, s’asseyant sur le rebord de la margelle. Brigitte, tenace, relance son attaque sur Benoît. Sonia a rapproché son transat du mien et du dos de sa main, elle caresse mon bras.
— Ils sont mignons tous les trois, non ? Me demande-t-elle en les regardant.
— Oui, et on est ravis de vous avoir ce week-end.
Elle se tourne vers moi.
— Est-ce que je te plais, Philippe ? Me demande-t-elle sans détour.
— Oui, beaucoup, lui dis-je avec la même franchise.
La dernière attaque de Brigitte lui vaut de se retrouver coincée entre Benoît et la margelle.
Dans l’agitation, ses seins se sont échappés entièrement du tout petit maillot. Ma femme en me regardant arbore un air un peu gêné mais malicieux… Elle croque son index entre ses dents comme une fillette prise en train de faire une bêtise, puis ils sortent de l’eau.
Dimitri vient de s’allonger sur l’autre transat qui touche le mien : Sonia à ma droite, Dimitri à ma gauche.
Sonia s’approche de mon oreille et murmure :
— Benoît a très envie de ta femme, tu sais ?
Je la regarde, on se sourit.
Dimitri se love contre moi. Sonia pose sa main sur mon torse.
Pendant ce temps, Benoît est venu galamment commencer à sécher Brigitte. Il est juste derrière elle mais sa stature l’entoure presque. Il essuie sa peau, emportant les fines bretelles du haut du bikini… Ses seins sont libérés, ronds et lourds, à la vue de tout le monde.
Sonia se love, elle aussi, contre moi, et de concert avec Dimitri elles glissent toutes les deux chacune une main dans mon maillot.
Je sens leurs dix doigts me prendre en main, bite et couilles, tout à la fois. Je me tourne vers Dimitri et on s’embrasse à pleine bouche. Lorsque je quitte ses lèvres, Brigitte est nue, la tête penchée en arrière vers Benoît dans son dos. Ils s’embrassent aussi fougueusement.
Sonia déboutonne mon short et le fait glisser sous mes fesses. Je me retrouve nu à mon tour, et mes deux masturbatrices continuent leur œuvre sensuelle.
Sonia écarte son maillot et colle un sein sur mon visage, Dimitri en fait autant avec le petit triangle de tissu. Je regarde Brigitte au milieu des bras géants de Benoît. Elle a relevé les siens et enlace le cou de Benoît au-dessus de sa tête pendant que lui, de toute sa hauteur, promène ses mains immenses sur le corps de ma femme.
Dimitri et Sonia ont repris de plus belle leur double branlette, et en même temps ont chacune écarté le bas de leur maillot : Sonia glisse lentement ses doigts entre de jolies lèvres humides et rasées, Dimitri, elle, caresse son épaisse verge qui durcit à vue d’œil. Sonia me murmure à nouveau à l’oreille :
— Tu veux que mon Benoît baise ta femme ?
Leurs mains me branlent, caressent mes couilles, un doigt glisse vers mon anus…
— Oui, je le veux.
Sonia continue sa provocation :
— Tu veux qu’il la fasse crier de plaisir, qu’il la prenne et qu’il la fasse jouir devant nous ?
Les doigts curieux de Dimitri explorent ma raie, titillent de plus en plus mon anus jusqu’à glisser une fois, deux fois, un doigt dans mon anneau. Sonia branle énergiquement ma bite dure, elle a collé son sein à ma bouche et je la tète avec gourmandise. Dimitri glisse sur son transat jusqu’entre mes cuisses, et sans que la main de Sonia ne me lâche le sexe, elle avale ma queue dans sa bouche.
Brigitte est face à moi à deux mètres, appuyant maintenant ses mains sur la table basse. Derrière elle, accroupi, Benoît lui dévore l’entrejambe. Les yeux fermés, elle savoure la langue qui la fouille, et lorsqu’elle ouvre les yeux, son regard croise le mien. Souriante et heureuse, elle se mord alors la lèvre inférieure en me disant pour que je le lise à distance : « je t’aime ».
Dimitri me suce activement, et Sonia toujours à ma droite se branle maintenant sans aucune pudeur, les cuisses largement écartées.
Benoît se relève, derrière Brigitte, toujours penchée en avant. Il ouvre son short qui tombe à ses pieds. Son sexe en érection jaillit, impressionnant autant par la longueur que par le diamètre…
Sonia, toujours aguicheuse, revient vers moi :
— Tu as vu sa bite ? Il va la lui mettre… Et elle va l’adorer…
Dimitri, elle, avale entièrement la mienne en salivant dessus furieusement. Elle continue l’allumage de Sonia entre deux coups de langue sur mon sexe :
— Hum oui, elle va adorer sa grosse bite…
Les deux torturent ma jalousie, mais elles ont très bien compris que ça m’excite.
En face de moi, Benoît va pour s’introduire dans Brigitte quand celle-ci tourne la tête vers lui et dit quelque chose. Il se penche sur elle et lui pose une question inaudible aussi. Je devine un « oui » quand elle lui répond et me regarde à nouveau. Elle écarte un peu plus les pieds et lentement il pousse à l’intérieur de ma femme son énorme pieu.
Son visage se tend. Surpris, le plaisir qui s’ensuit immédiatement après illumine son visage. Sans hésiter, il commence à la prendre plus puissamment, et la voix de Brigitte s’élève très vite vers des gémissements intenses.
Sonia se redresse et vient se mettre à califourchon face à moi.
— Allez à notre tour aussi !
Dimitri la gratifie au passage d’un grand coup de langue sur sa chatte rasée et Sonia s’empale en se laissant complètement retomber sur mon sexe, dans un long cri de satisfaction.
Elle se baise sur moi de plus en plus vite. J’attrape ses seins, les pétris, attirant ses mamelons vers ma bouche.
— Oh oui, lèche-moi les seins en même temps !
Dimitri s’est redressé et arbore maintenant une magnifique érection.
— Viens là, ma chérie, dit Sonia, posant sa petite main sur la grosse tige dressée.
Dimitri se rapproche d’elle et Sonia se met à lécher sa queue, sautant sur la mienne en ondulant ses hanches de plus belle. Elle l’attire vers elle et se met à la sucer goulûment, sans jamais ralentir sur moi.
Me penchant entre leurs deux corps au-dessus de moi, j’aperçois derrière elles Brigitte, maintenant à quatre pattes sur la table basse et soumise au pilonnage intense de Benoît. Ses gémissements parviennent à moi au-dessus de ceux de Sonia et de Dimitri.
— Ah ! Ah, tu es gros !
Le Benoît n’y va pas de main morte et donne de grands coups de boutoir.
— Ah, oui, c’est ça ! Oui !
Encore et encore, j’entends ses soupirs devenir plus gutturaux.
Dimitri passe au-dessus de moi, son énorme sexe dressé au-dessus de mon visage… Sonia plonge sa bouche entre ses fesses et se met à lui lécher le cul, lapant et dardant sa langue sur son anus.
Ma main quitte un sein de Sonia et attrape la grosse tige de Dimitri. Celle-ci gémit aussitôt, ondule son bassin pour en avoir plus et Sonia accentue encore son anulingus.
Les cris de plaisir emplissent le jardin. Sonia se dégage alors de moi et me dit en souriant :
— Occupe-toi de ta petite Dimitri maintenant…
Elle se redresse et moi aussi. Derrière elle, sur la grande table basse où Brigitte est en train de se faire prendre en levrette, Dimitri s’allonge face à moi et, ses immenses jambes grandes ouvertes, elle se branle en se caressant les seins, son gros sexe dans une main et deux doigts qui vont et viennent dans son anus lisse… Je me penche au-dessus d’elle, le sexe à la main moi aussi.
— Va doucement, me dit-elle gêner. C’est ma première fois…
Je lui souris, flatté, et je la laisse me prendre dans sa main et me guider vers son œillet. Elle s’ouvre encore plus, Sonia lui tenant les jambes en arrière, Brigitte et Benoît ont même ralenti leur accouplement.
J’entre en elle doucement, mon sexe serré si fortement dans cet orifice encore vierge.
Un « O » muet apparaît sur le visage de Dimitri, puis un soupir, puis sa voix :
— Oh oui… Vas-y… Ah… Rentre…
Doucement, j’entre en elle, et son anus m’enserre très fort. Je vais et viens de plus en plus profondément au fur et à mesure que Dimitri s’habitue à moi. Elle m’incite à continuer :
— Vas-y, mon beau, encule-moi…
J’accentue mes coups de reins de plus en plus, Dimitri gémit plus fort, caressant plus vite son sexe dur. Je le prends en main et reprenant sa masturbation, j’augmente la cadence de cette sodomie incroyable.
Dimitri est entièrement à son plaisir, se tenant les jambes en l’air et devenant de plus en plus vocale.
Juste à côté, Sonia se branle furieusement, enfonçant trois doigts à la fois dans sa jolie chatte glabre.
Derrière elle enfin, Brigitte a maintenant la tête, les bras et la poitrine qui reposent sur la table basse… Seules ses fesses bien en l’air encore en levrette sont tenues par les mains de Benoît qui la pilonne fougueusement.
Toutes les trois crient… Et je baise le cul de Dimitri de plus en plus fort en entendant leurs trois voix se mêler…
Brigitte râle plus qu’elle ne gémit tellement Benoît y va fort…
Je regarde Dimitri, me penche vers elle et l’embrasse intensément.
— Prends-moi comme ta femme, par-derrière, me dit-elle dans un souffle.
Je me relève, elle se retourne à quatre pattes sur la table à son tour. Elle me regarde en penchant sa tête vers moi :
— Viens mon beau, défonce-moi le cul.
Écartant ses sublimes fesses, je m’enfonce en elle lentement. Dimitri est face à Brigitte, et toutes les deux se font prendre en chœur.
— Ah… J’adore la bite de ton mari, dit Dimitri à Brigitte en gémissant…
— Oui, baise-la, chéri, me dit alors Brigitte en se redressant un peu.
Je la regarde à mon tour, elle est en transe sous les coups de hanches de Benoît.
— Tu… Aime ce qu’il te fait ? Lui demande Dimitri haletant.
Brigitte sourit et lui répond :
— Oh oui, j’adore… Il est… Il est si gros… Et toi elle… Ah… Elle te plaît celle de Philippe ?
— Ah, oui ma Brigitte… J’adore…
Brigitte pousse un grand cri quand Benoît accentue l’intensité. Dimitri la questionne encore, admirative :
— Tu n’en as… Oh… Jamais eu de si gros dans ta chatte, non ?
— Ah, non, mais… C’est qu’il… Il n’est pas dans ma chatte ma belle…
Alors Benoît, basculant avec Brigitte en arrière, s’assoit sur un transat. Ma femme ouvre en grand ses cuisses pour les poser sur les genoux de Benoît. Et face à nous, caressant lubriquement sa jolie toison, je vois que l’énorme bite de Benoît est entièrement enfoncée dans le cul de ma femme…
Je m’enfonce encore plus fort et plus vite en Dimitri. Sonia s’approche alors et s’allonge devant nous, ses jambes de chaque côté du visage de Dimitri, qui plonge sa bouche sur sa chatte rasée, la lui mangeant avec délice.
Brigitte s’empale de plus en plus fort, Dimitri gémit en léchant Sonia qui s’y met-elle aussi…
Il ne faut pas longtemps pour que cette dernière ne jouisse dans une longue plainte de plaisir, écrasant ses lèvres intimes sur la bouche gourmande. Dimitri aussi va jouir au ton de sa voix…
— Ah oui, Philippe, je vais…
Sonia bondit de la table et se jette sous elle, prenant dans sa bouche son sexe prêt à jaillir.
Elle la branle et suce au même rythme que je l’encule et, dans un dernier cri, Dimitri jouit, vidant son plaisir entre les lèvres de Sonia.
Je me retire doucement et m’affale en arrière. Dimitri et Sonia viennent près de mon sexe tendu, proche de l’explosion. De l’autre côté de la table, Brigitte n’a plus aucune retenue, montant et descendant sur toute la longueur de l’énorme bite qui lui défonce le cul. Quelques secondes plus tard, s’enfonçant jusqu’à la garde, elle jouit en criant son orgasme anal pendant que Benoît la pilonne férocement.
Dimitri et Sonia me branlent et me sucent ensemble… Et quand Benoît annonce qu’il vient, je jouis au moment même où il se vide dans ma femme. Dimitri et Sonia, toutes deux à quatre pattes devant moi, avalent ma jouissance pendant que je regarde Brigitte se faire remplir le cul en hurlant de plaisir à nouveau.
Là, je suis allongé sur un transat, entre mes deux sublimes amantes, dans le petit moment de calme qui suit une tempête.
Brigitte laisse un Benoît étendu et vient s’asseoir au pied de mon matelas.
— Tu les as ravies mon amour, me dit-elle en constatant qu’elles se sont endormies.
Son doux regard se pose sur Dimitri :
— Elle est amoureuse… De nous deux, tu sais ?
— Oui, je le sais.
— Et je crois qu’on est tous les deux aussi tombés amoureux d’elle, je me trompe ?
Elle me sourit en disant cela. J’acquiesce.
— Je n’ai aucune envie qu’elle parte après son diplôme…
— Elle pourrait rester vivre avec nous, lui réponds-je.
Brigitte me saute au cou, colle ses lèvres sur ma bouche, et sa langue se noue à la mienne. Elle m’avoue d’une petite voix :
— Dimitri espérait que tu dises ça… Elle m’avait dit qu’elle aimerait rester vivre avec nous.
— Et toi ?
Elle rougit :
— Moi aussi je l’espérais…
Elle m’embrasse à nouveau longuement.
Les deux sublimes créatures dorment lovées contre moi.
En face, Benoît émerge en se levant, et nous envoyant un baiser de la main, il se dirige vers le chalet. Nous voyons la lumière de la salle de bains s’allumer peu après.
Brigitte, assise contre ma jambe, se tourne vers moi. Elle ne dit rien mais ses yeux pétillent de désir.
— Va le rejoindre, profites-en, lui dis-je en souriant.
— Tu es sûr ?
— Absolument ma belle.
Elle m’embrasse langoureusement et se lève en direction du chalet.
Le froid se fait un peu sentir.
Je me lève à mon tour et soulève d’abord doucement Sonia, l’emmenant vers la maison. Je l’installe dans notre chambre du rez-de-chaussée, la couvre, puis je fais de même avec Dimitri.
Je me douche, enlevant agréablement les effluves de ma peau pendant de longues minutes.
Un regard dans la chambre, Sonia et Dimitri dorment dans les bras l’une de l’autre. Je retourne fumer une cigarette dans le jardin.
Les lumières du chalet sont allumées, je cède à la tentation d’aller voir.
Avant même d’atteindre la porte vitrée, j’entends la voix de Brigitte exprimer son plaisir :
— Ah oui comme ça ! Ah ! Oui, encore ! ENCORE !
J’atteins la porte et en voyeur discret je regarde à travers la vitre. Sur le lit Brigitte est à quatre pattes, le visage écrasé dans les draps. Cambrée tel un chat, elle offre à ma vue ses fesses relevées, avec au-dessus et derrière elle, presque debout, Benoît qui la sodomise de toute sa puissance.
Leur position expose à ma vue de la manière la plus impudique le sexe monstrueux qui pilonne profondément le rectum de ma femme. Elle le lui tend et il s’y enfonce sans retenue, de toute sa longueur, pendant qu’elle branle de sa main lubrique sa chatte trempée.
Il l’encule puissamment, allant tout au fond d’elle qui, à chaque rentrée, pousse un long gémissement. Il se met alors à sortir et remettre entièrement son énorme sexe, dévoilant l’anus béant de Brigitte qui l’invite à y aller encore plus fort à chaque fois :
— Ah, oui, vas-y… Défonce-moi le cul, encore… Ah, oui, oui !
Je le regarde agrandir à chaque pénétration l’orifice maintenant largement ouvert, et la masturbation frénétique que se donne Brigitte pousse l’obscénité de la scène à son paroxysme.
Une érection violente m’a prise, quand soudain je sens deux mains entourer ma taille et descendre dans mon short. La voix de Dimitri me tire de mon hypnose de voyeur :
— Elle est sublime quand elle jouit n’est-ce pas ?
— Oui, dis-je dans un souffle.
— Tu aimes la voir se faire prendre comme ça ?
Elle me branle doucement en serrant très fort.
— Oui, j’adore la voir.
— Regarde comme il est en train de la défoncer… Tu vois comment il a élargi son anus ? Sa bite est vraiment énorme, je n’ai jamais vu ça. Et il la lui rentre ensuite si fort encore…
Elle maintient sa poigne autour de mon sexe, montant et descendant très lentement.
— Elle adore se faire prendre le cul ta femme… Mais elle aime encore plus quand tu la regardes faire… C’est une des choses qui m’ont fait craquer chez vous deux. Vous êtes si libres. Et je vous aime.
Sa déclaration me touche, je me retourne vers elle :
— Nous aussi on t’aime Dimitri. Je… Je t’aime.
Elle m’embrasse, on s’embrasse.
Derrière moi, les gémissements de Brigitte annoncent un énième orgasme.
— Viens, me dit Dimitri, viens avec moi, on va te faire du bien à ton tour.
Je la regarde, elle me précise :
— Sonia aussi est réveillée, ajoute-t-elle avec un clin d’œil.
Sa main glisse à nouveau dans mon short.
— Viens nous baiser toutes les deux avec ta jolie queue mon amour…
Et me tenant par le sexe, telle une poignée, Dimitri m’emmène vers l’intérieur de la maison au son des cris de plaisir de Brigitte.
À suivre
Brigitte et Philippe
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