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Philippe découvre que sa femme Brigitte commet l’adultère Chapitre 8 Final

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J’avais découvert les infidélités de ma femme Brigitte. Après une période candauliste, notre couple était en danger. Un week-end de tous les espoirs et une rencontre extraordinaire changèrent notre avenir. Six mois plus tard, une nouvelle vie dessine un avenir prometteur.

Ça a l’air bien parti pour

Brigitte me regarde par-dessus sa tasse de café. Je repose la mienne, plongé moi aussi dans ses grands yeux. La nuit intense se lit sur nos deux visages.

— Je crois qu’on les a épuisés, dit-elle en brisant le silence.

Je ris doucement. Elle aussi.

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Benoît arrive dans la cuisine peu après, et dépose tour à tour un baiser sur le front de Brigitte et sur le mien.

— Vous êtes rares tous les deux, nous dit-il pudiquement.

Quelques minutes plus tard, c’est Dimitri et Sonia qui nous rejoignent. Sonia glisse un baiser à son mari puis à Brigitte. Dimitri la câline en l’entourant de ses bras et ensuite m’embrasse langoureusement.

— On dirait que tu as fait voir des étincelles à certaines, me dit Brigitte en regardant Dimitri.

Celle-ci rougit. Sonia rit et confirme :

— Ce jeune homme est effectivement plein de ressources.

Tout le monde rigole, ma gêne laisse le pas à ma fierté. Dimitri change de sujet :

— Sonia et Benoît m’avaient parlé d’aller voir les calanques, ça vous dit aussi ?

Le regard de Brigitte et le mien se croisent, communication non verbale. Je réponds pour nous deux :

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— On va traîner ici ce matin.

Dimitri sourit et continue :

— Alors, rejoignez-nous à L’Alcôve pour déjeuner vers 14 heures. Je te donne l’adresse, vous allez adorer l’endroit. Et prenez vos maillots, ajoute-t-elle avec un clin d’œil.

Les plans « découvertes » de Dimitri étaient toujours pleins de surprises. Je prends le bout de papier qu’elle me tend. L’adresse est en bord de mer. C’est prometteur. Le petit-déjeuner se termine au son des discussions sur la plus belle calanque et le meilleur sentier. Sonia, Benoît et Dimitri s’en vont et Brigitte et moi finissons de ranger. Je vais à la douche et me délasse un moment les muscles que les deux furies ont fortement sollicités.

La porte de la salle de bains s’entrouvre et Brigitte, nue, me rejoint dans la grande cabine de verre. Sans un mot elle se place contre mon torse, sa tête posée dans mon cou, lovée sous l’eau chaude dans mes bras.

Nous nous laissons enrouler par la chaleur un moment, je savoure le contact de sa peau douce sur moi, de ses seins appuyés sur mon ventre, de sa jambe légèrement fléchie entre les miennes. Elle passe derrière moi, et commence à me laver. Ses mains glissent sur moi, autour de mes épaules, de mon ventre, et je sens mon sexe se tendre. Ses mains se posent dessus.

— Hum… Je constate qu’elles t’ont laissé un peu d’énergie pour moi, dit-elle toujours dans mon dos.

Une de ses mains continue le lavage de mon corps, l’autre reste sur mon membre désormais bien tendu et le caresse lentement.

— Elles ont fini par te laisser dormir ? Continue-t-elle.

— Oui… Un peu.

— Vous étiez très beaux tous les trois.

— Tu… Es venue ?

— Oui, je me suis réveillée au milieu de la nuit et je suis venue boire à la cuisine. J’ai entendu… Vos voix. Alors j’ai voulu mater un peu, dit-elle sur un ton espiègle. Elle reprend :

— J’entendais… Tes râles, des « han » de plaisir puissants… Et des gémissements. Je me suis mise à côté de la porte et j’ai fait ma voyeuse. Sonia… Était sur toi, empalée et déchaînée à se faire du bien sûr ton sexe… Elle suçait Dimitri, debout, en même temps… Et quand celle-ci est venue derrière Sonia et s’est enfoncée en elle avec toi, je n’ai pas pu me retenir et…

— Tu t’es caressée ?

— Oh oui… C’était si excitant de la voir… Se faire prendre par vous deux. D’habitude c’est… C’est moi qui suis à sa place comme ça…

— Et tu adores qu’on te prenne comme ça avec Dimitri, non ?

— Hum… Oui, tu le sais bien. Mais là ce qui m’excitait c’était… C’était comme si je me voyais de l’extérieur, je ressentais son plaisir. Tout en vous voyant parfaitement entrer et sortir d’elle.

— Tu es restée mater longtemps ?

— Oui, dit-elle en riant, comme prise sur le fait. Et quand Sonia a joui entre vous deux, je n’en étais pas loin non plus. Je suis restée un bon moment à vous regarder… À te regarder, en fait. Comment tu baisais Dimitri ensuite, empalée sur toi pendant que Sonia la suçait. Et après quand tu prenais le cul de Sonia à quatre pattes et que… À ton tour tu suçais le sexe de Dimitri…

Brigitte me branle maintenant fermement, et de ses deux mains elle s’active à vouloir me faire jouir sous cette douche sensuelle. C’est moi qui reprends le dialogue :

— Tu te caressais, pendant tout ce temps ?

Je prends ses poignets doucement et me tourne vers elle. Elle me regarde intensément, et à mon tour je passe dans son dos.

— Oui, et je me refusais de jouir. Je me branlais vraiment fort mais je voulais que ça continue. Tu m’as contaminée avec ton voyeurisme… Et j’ai adoré ça.

À mon tour, je me mets à la laver, mes mains suivent le même parcours que les siennes sur moi : épaules, côtes, ventre, seins. Je m’y attarde plus que les siennes sur mon torse peut-être… Je reprends en même temps mon tour de questions :

— Et qu’as-tu fait après ?

— Je… suis restée jusqu’à ce que Sonia vous fasse jouir toi et Dimitri en même temps dans… Sa bouche. J’étais liquide, j’avais la chatte en feu. Mais je ne voulais pas rentrer vous rejoindre, un peu comme si c’était votre moment à vous trois. Comme toi quand…

— Quand je te regarde avec un autre sans participer ?

— C’est ça… Je n’avais jamais ressenti ça avant. Être excitée comme ça, mais extérieure à l’action. Te voir, ressentir ton plaisir avec une autre, connaître exactement cette sensation qu’elle ressent et te voir lui faire des choses que tu me ferais. C’est assez… Ah… Diabolique…

Son gémissement est sorti de sa bouche au moment où ma main atteignait son intimité. Je la caresse doucement… Elle s’ouvre un peu plus en appuyant son dos contre mon ventre.

— Et ? Dis-je sur un ton interrogateur.

— Je… voulais aller dormir à l’étage, mais quand je suis passée au salon j’ai vu que le chalet était éclairé… J’étais vraiment trop excitée. Quand j’y suis rentrée, Benoît était sous la douche et… Je l’y ai rejoint.

Mes doigts glissent entre ses lèvres intimes, les écartant doucement pour libérer son clitoris qui tombe pile sous mon majeur. Je reprends :

— Je dois te dire que moi aussi, je suis venu t’espionner un peu.

— Ah… Ah oui, quand ? Dit-elle pendant que je continue de l’explorer.

— Peut-être une demi-heure après que… Tu n’es allée le rejoindre au début de la nuit.

— Oooh et… Tu as aimé ce que tu as vu ?

— Han, c’était très… Hard si je peux dire. Et très excitant.

— Il est… ahnnnn… très puissant tu l’as vu, et… Je me suis vraiment abandonnée…

— Je voudrais savoir… Qu’est-ce que vous vous êtes dit quand il a… Commencé à te prendre à la piscine ?

Mes caresses deviennent plus appuyées, Brigitte se penche un peu et pose ses mains sur la paroi de verre. Elle continue sa presque confession :

— Je sentais qu’il allait me mettre son sexe dans… ma chatte et… d’un coup j’ai eu une envie, alors… ahnnn… Je lui ai demandé de me prendre par… Par le cul. Il m’a dit « tu es sûre ? » et j’ai répondu oui. C’était dément de sentir un si gros sexe entrer par là.

— Ça m’a rendu fou quand je t’ai vue assise sur lui.

Mes doigts la branlent toujours devant, je glisse de mon autre main un doigt entre ses fesses. Une pince géante la tient et elle se cambre encore plus pour m’en faciliter l’accès.

— Il était si gros en moi chéri… Reprend-elle. Je le sentais si loin et il y allait si fort pendant que tu me regardais que… J’ai joui deux fois sur lui. Et quand je l’ai rejoint après, j’avais encore cette sensation en moi… J’en voulais encore.

Elle ondule sous mes mains, haletante, et je l’incite à poursuivre :

— Continue…

— Je suis entrée dans la douche quand il se rinçait. Il m’a sentie avant de me voir et j’ai… Empoigné son sexe directement. Je l’ai senti pulser dans ma main, il était mou mais il est déjà… Ah, oui, là… Il est déjà très épais, même au repos. Je le tenais d’une main, de l’autre j’ai caressé ses couilles… Le savon s’en allait mais je glissais encore autour. Il m’a embrassée, je le sentais durcir petit à petit à nouveau. Je me suis mise à genoux et je l’ai pris dans ma bouche, léchant partout, sa queue, ses couilles…

J’enfonce mes doigts en elle doucement, d’un côté et de l’autre en même temps.

Deux et un, puis deux et deux…

— Ah, c’est bon chéri ce que tu me fais…

— Qu’as-tu fait ensuite ?

— Hnnnn… Je l’ai sucé un moment et ensuite il m’a relevée… Sa queue était si dure contre mon ventre… Il m’a lavée, longuement, il passait ses mains partout, comme toi, là, maintenaaaaaahhhnnn…

Trois, et trois…

— OOOOOH… Hum… Il… On est sorti de la douche et je me suis mise sur le lit, à quatre pattes avec… Les fesses en l’air. Il m’a léchée longuement… Sa langue fouillait partout. Et quand il s’est redressé, je lui ai tendu mes fesses en les écartant avec mes mains. Je n’en pouvais plus… Je le voulais. Il m’a prise… presque d’un coup, par… Par le cul. Je le sentais m’envahir… Si profond.

Mes doigts vont et viennent en elles, elle dégouline, d’eau, de tout. Je continue :

— Tu lui disais quoi ?

— Que c’était bon ! Ahnnnn… Je… J’aimais sa grosse bite dans mon cul. Il y allait encore plus fort après… Si tu avais vu ça… — Je l’ai vu.

— Oooh, tu… C’est là que tu es venu ? Ahnnnn, il… Il me sodomisait si fort… Hum…

— Oui je voyais. C’était impressionnant quand… Il se retirait et rentrait à nouveau… Ton cul était si… Ouvert…

Je plante un quatrième doigt dans son anus, elle m’accueille dans un gémissement de plaisir intense… Mon pouce sur son clito et ses lèvres, je m’agenouille et ma main s’enfonce encore, les quatre doigts allants et venants de plus en plus loin.

— Ah ! Oh, oui, il m’a tellement ouverte…

— Tu as aimé te faire… Défoncer le cul comme ça ?

— Ah, oui !

— Tu sens mes doigts là dans ton cul, comme ils entrent facilement ?

— Ah ! Ah… Oui… !

Je prends un peu de gel douche et m’en applique sur la main qui la fouille de plus en plus.

— Tu en veux plus ?

— Ah ! Ah je…

— Dis-le !

— Oui ! Oui !

Mon pouce rejoint les quatre autres, alterne dans son fondement une recherche perverse, fouille et rentre peu à peu. Ses gémissements deviennent cris, ma main devient à chaque tentative encore plus lubrique et, quand elle passe l’anneau qui m’aspire entièrement, Brigitte hurle de plaisir.

— Ah ! Ahhhnn… Oui… Encore ! Tout ! Je veux tout !

Ma main gauche étrille lèvres et clitoris dans un rythme infernal, ma droite s’enfonce et ressort, doigts, pouce, paume, tour à tour et en même temps. Brigitte tend son cul, bras tendus appuyés sur la paroi de verre qui tremble dangereusement.

Je perfore, elle geint, encore et encore… Jusqu’à un jaillissement sur mon visage et un long cri, inconnu jusqu’alors.

On reste comme ça, serviteur pervers et statue figée dans son plaisir.

**********

Brigitte dort sur le lit depuis une heure, au milieu de son peignoir de bain, les cheveux encore mouillés. Je la regarde, l’air un peu couillon et amoureux.

Quand elle se lève, je suis à la cuisine, et son café coule depuis que je l’ai entendue se réveiller. Elle m’embrasse si tendrement que j’ai l’impression d’être le roi du monde.

— Personne ne m’avait fait jouir comme ça jusqu’à présent, me dit-elle sa tasse à café devant la bouche, un peu gênée.

— Tant mieux, lui dis-je. Tu ne vas pas me remplacer tout de suite, alors ?

— Ça, ça ne risque pas d’arriver, dit-elle en m’embrassant à nouveau.

— Toujours OK pour aller rejoindre les trois zozos à la mer ?

— C’est à la plage ?

— Je ne sais pas s’il y a une plage, mais c’est au bord de l’eau en tout cas.

— Hum… C’est prometteur, répond-elle.

— C’est exactement ce que je me suis dit.

Je prépare nos maillots, de la crème et de l’eau dans un sac. On se met en route 15 minutes plus tard.

Au bout d’un chemin de terre et après une heure de route, nous arrivons à ce qui semble être une grande maison entourée de hauts murs de pierre. Pas de panneau, pas d’étiquette sur la sonnette. Un grand gaillard d’environ 25 ans vient nous ouvrir le portail et on pénètre sur un grand parking. La maison est accrochée au rocher et descend sur plusieurs niveaux jusqu’à la mer, sans pouvoir apercevoir de plage derrière le jardin très dense. Nous suivons notre hôte qui nous fait rentrer dans la maison, puis dans un vestiaire faisant plus ressembler à un intérieur de particulier qu’à celui d’un restaurant ou des clubs habituels.

— Mettez-vous à l’aise pour la plage et ma collègue prendra vos affaires. Pas de téléphone ici, bien sûr.

Brigitte et moi nous changeons et je ressors juste avant elle. Une jeune femme d’une vingtaine d’années attend. On lui donne nos affaires et elle nous invite à la suivre.

— Vous êtes les amis de Dimitri, c’est bien ça ? Demande-t-elle.

— Oui tout à fait, répond Brigitte.

Nous descendons plusieurs niveaux par de larges escaliers, eux aussi en pierre. La maison est immense, décorée à la provençale mais sans trop de chichis. On finit par sortir sur un autre jardin, et plus loin, là où la plage commence, nous voyons une trentaine de personnes installées sur de grands transats, ou accoudées à une belle paillote. D’un côté de la plage privée, le rocher descend en falaise jusqu’à la mer. De l’autre, un autre haut mur rentre dans l’eau assez loin jusqu’à un ponton où est amarré un grand voilier. C’est magnifique, intimiste et très raffiné.

— Brigitte ! Philippe !

La voix de Dimitri nous parvient et je me retourne alors que Brigitte lui tend les bras.

— J’ai cru que vous ne viendriez pas, dites-moi ! Vous avez fait des folies, vous !

On rit et j’entends Benoît et Sonia rit derrière elle.

— On vous attendait pour déjeuner, je les ai fait cavaler alors on meurt de faim !

Dimitri appelle la jeune fille qui nous a guidés et commande pour tout le monde. On s’installe à notre tour sur deux transats, l’endroit est vaste et autour d’une table basse en bois, sont amenés Champagne et des plateaux de fruits de mer.

Dimitri porte son sublime microbikini et, comme si elles s’étaient entendues, Brigitte a mis le sien aussi. La vue est magnifique de toutes parts. On déguste, on boit, on parle de leur petite randonnée.

— C’est un endroit extraordinaire ici Dimitri, dit Brigitte en regardant autour d’elle. Mais on est où ? Dans un resto, un club ou…

— Tout à la fois, mais sur invitation et… Présentation, ajoute-t-elle un peu fière. Ici tout est permis, bien sûr dans le respect de chacun, et c’est surtout un bel endroit de liberté.

Je regarde à mon tour le décor et c’est vrai que c’est enchanteur. On déjeune tous les cinq et Dimitri continue de nous faire sa visite virtuelle du lieu.

— Il y a donc la plage qui est totalement privée, le jardin qui est merveilleux car la patronne voyage dans le monde entier pour ramener des plantes. Et ensuite la maison, où il y a trois niveaux : ici au même niveau que la plage c’est plutôt détente : il y a un hammam, une piscine intérieure avec des salles de massage aux bancs de pierre magnifiques. Au second, ce sont les alcôves, de petites ou plus grandes chambres et des salles de bains. Un étage assez câlin en somme. Et au troisième, eh bien, à part l’entrée que vous avez vue de l’autre côté, il y a trois grandes salles et quelques dédales de petits, hum, comment dirais-je… De petits aménagements coquins dirons-nous.

— C’est un peu plus… Rock’n’roll comme ambiance, dit-elle avec un clin d’œil à tout le monde.

Elle nous raconte comment elle a connu l’endroit et on finit de manger avec gourmandise tout en discutant. Le champagne coule vers sa troisième bouteille quand Dimitri nous lance :

— Et maintenant, à l’eau !

Et prenant Brigitte par la main, elles courent se jeter dans les vagues. Je les regarde un moment batifoler comme deux gamines, d’arroser et se pousser dans l’eau. Leurs tout petits bikinis sont devenus quasi transparents au milieu des vagues, et quand leurs jeux se calment et qu’elles se mettent à discuter assises dans l’eau, le spectacle continue d’être émoustillant. Autour de moi, la plupart des clients rentrent à l’intérieur de la maison peu à peu, par trois ou par quatre, parfois plus. Benoît et Sonia eux aussi se lèvent.

— On va aller visiter un peu les étages, me dit Sonia l’air espiègle.

Je profite du calme qui règne maintenant sur la plage. Deux couples sont entrés dans l’eau et discutent maintenant avec mes deux jolies naïades. J’en profite pour les rejoindre dans les vagues légères. On fait connaissance, des regards passent de l’un à l’une, de l’autre à l’autre… Chacun s’épie sans lourdeur, devinant une courbe au-delà d’un maillot, louchant sur une bosse sur un short. Les deux couples se connaissent depuis longtemps, et aiment venir ici de temps à autre. Les deux femmes vantent à Brigitte la piscine intérieure et les bancs de massage, si bien que nous décidons tous de rentrer découvrir les lieux.

On entre dans la maison et après un large couloir on arrive dans une belle salle où trône une piscine chauffée. Tout autour sur le dallage sont installées des tables en pierre elles aussi, et la vapeur légère englobe toute l’atmosphère d’une douce chaleur.

— Alors, demande une Brigitte badine, qui va me faire ce massage ?

Elle monte alors sur une des tables et s’y allonge sur le dos. L’invitation est tentante mais je suis pris de vitesse par Vanessa, une jolie quadra, brune, aux formes voluptueuses.

— Si Philippe est d’accord nos maris peuvent s’occuper de Brigitte, pendant que Claire et moi ferons un quatre mains sur Dimitri et lui. Il y a une belle table double juste là-bas.

— Hum, quatre mains ? Laissez-moi passer ! Pardon ! Sorry ! Lance Dimitri en mimant une starlette dans la foule.

Tout le monde rit et je suis Dimitri, accompagné de Vanessa et Claire. Cette dernière est du même âge que son amie mais physiquement son opposé : menue, blonde et toute petite. Faisant le tour de la piscine, je regarde leurs deux maris commencer à appliquer une huile parfumée sur le ventre et les jambes de Brigitte. Les deux épouses nous font monter sur un gros bloc très large Dimitri et moi, et nous allonger sur le dos. En penchant ma tête sur le côté, je vois par-dessus la piscine les quatre mains qui parcourent le corps de ma femme.

Claire et Vanessa à leur tour prennent cette huile parfumée dans une jarre, et s’en enduisent chacune le corps. Elles font ça lentement, lascivement et Dimitri et moi sommes captivés. Elles font le tour de la table massive et chacune de leur côté monte à leur tour sur nous deux, et entame un massage sensuel en utilisant tout leur corps. Claire est à califourchon sur mes genoux, face à moi. Vanessa elle a grimpé sur Dimitri dans la même position, et assise sur ses cuisses, elle entame de glisser lentement le long de ses jambes.

Claire, elle, est penchée sur moi maintenant, et elle remonte tout son corps sur le mien, l’huile aidant, glissant elle aussi sur mes jambes, de mon bassin jusqu’à mon torse. La vue de son petit maillot de bain et de ses cuisses de part et d’autre, de son ventre rebondi et brillant, et de ses seins énormes au-dessus de mon visage me déclenche une érection sévère.

Ma tête tourne de chaque côté, de Dimitri et son bikini qui ne cache rien de son excitation elle aussi, jusqu’à Brigitte plus loin qui, soumise au traitement manuel intense des deux hommes, s’est maintenant ouverte entièrement à eux, ses seins sortant allègrement du maillot que le premier pétrit avec vigueur, et ses jambes largement écartées laissant le champ libre au deuxième qui sans aucune pudeur la branle activement de ses deux mains.

Dimitri soupire fortement et, me retournant vers elle encore, je constate que Vanessa frotte maintenant sa jolie toison blonde sur la grosse tige tendue, écartant de sa main son maillot. Claire suit le même mouvement peu après et libérant une poitrine majestueuse, elle se met à onduler sur mon sexe. Tissu contre peau, et ensuite, les balancements aidant, peau contre peau.

Je sens et vois ses lèvres intimes entourer mon sexe, elle glisse, me masturbant lentement de ses hanches. Vanessa, elle, s’active de plus en plus, se mordant les lèvres, ses seins malaxés par les mains de Dimitri. Tout autour de moi les corps se frottent, caressent, palpent. J’entends les gémissements de Brigitte là-bas où les deux hommes lui infligent un infernal ballet de volupté. Elle ondule elle aussi sous leurs mains et maintenant leurs bouches.

Les deux amies accélèrent leurs caresses sur nos sexes et, quelques minutes plus tard, Vanessa et Claire jouissent presque en même temps, figées en l’air au-dessus de Dimitri et moi. Claire retombe sur ma poitrine, reposant son corps après un orgasme intense. Je ne bouge pas, la laissant savourer un moment.

C’est en tournant la tête que je vois Brigitte descendre de son piédestal, soutenue par les mains de ses masseurs. Me regardant de cet air que je connais bien, mordillant sa lèvre inférieure, elle me fait un clin d’œil et suit les deux hommes vers un couloir hors de ma vue. Claire se redresse vers mon visage :

— Tu as envie d’aller voir ce qu’ils vont faire ?

— Avec plaisir.

Et tous les quatre, nous descendons à notre tour de la table, partant à la suite du trio qui a déjà disparu.

C’est un véritable labyrinthe que nous parcourons. Des couloirs étroits, des portes entrouvertes ou fermées. Çà et là des lucarnes indiscrètes et des trous voyeurs donnent sur des chambres. Quelques scènes apparaissent furtivement dans une légère pénombre.

Ici, deux femmes sont assises sur un grand et gros monsieur allongé, l’une sur sa bouche et l’autre sur son sexe. Elles s’embrassent en se caressant mutuellement.

Là, deux hommes prennent une femme à quatre pattes, l’un pilonnant ses fesses tandis que l’autre baise littéralement sa bouche.

Plus loin, deux couples sont si enlacés qu’il est impossible de savoir qui suce qui désormais.

Claire est à mon bras, Dimitri tient la main de Vanessa devant nous. On arrive à une petite salle, dont un des murs est entièrement parsemé de trous de 20 à 80 cm de diamètre. Sur des coussins posés au sol, deux femmes et un homme sont agenouillés et sucent chacun les sexes qui semblent sortir du mur.

L’une des deux femmes est Brigitte et, accaparée par sa fellation sur un beau sexe noir, elle branle en même temps deux autres bites pendant qu’un bras semblant appartenir au mur caresse ses seins.

D’autres sexes sont aussi tendus, attendant leur tour. Claire va rejoindre elle aussi ces coussins et engloutit un sexe anonyme.

Vanessa délaisse à son tour le bras de Dimitri et nous indique une porte entrouverte. Je décide de rester de ce côté et elle emmène Dimitri de l’autre côté par la main.

Brigitte suce consciencieusement le beau membre d’ébène, et passe ensuite à un autre plus clair, jonglant de ses mains sur les sexes autour d’elle. Je m’assois sur le côté sur un coussin, et sortant à mon tour le mien je profite du spectacle qu’elle m’offre. Peu de temps après, une des tiges libère sa semence sur ses seins sans qu’elle n’interrompe ses fellations. Elle branle, suce, transpirante et magnifique. Je m’approche d’elle alors, et m’agenouille juste dans son dos. Je caresse à mon tour ces gros seins au milieu d’autres mains inconnues.

Elle suspend un court instant son ouvrage :

— Je les veux, me dit-elle dans un souffle.

— Prends-les alors, mon amour, regarde par là.

Je lui montre sur le côté une ouverture plus grande. Dans l’épaisseur du mur, un petit banc capitonné est installé au bas de l’ouverture. Le trou est assez grand pour y passer.

— Allonge-toi à l’intérieur si tu veux, lui dis-je.

Elle sourit, à la fois joueuse et enjouée, se relève et glisse ses jambes puis son bassin jusqu’à la taille dans l’ouverture. Allongé sur le dos, le demi-corps de Brigitte a disparu dans le mur, et tendant les bras au-dessus de sa tête, elle m’invite vers elle. Je me mets debout, mon bassin près de sa tête, ses mains posées sur mes fesses. Elle ferme les yeux. Quelques instants après, un frisson de surprise la fait tressaillir.

— Oh chéri…

— Dis-moi, décris-moi ce que tu ressens, lui dis-je.

Elle se tend, se mord la lèvre.

— on m’a écarté les jambes et… OOOOOH… On me lèche.

Elle savoure ce plaisir invisible.

— Continue, lui demandé-je.

— Sa langue… Est douce, lente. Il… Elle va partout… OOOOOH !

Deux mains différentes sortent du mur, prennent chacune un sein et les serrent doucement, puis plus fort. Des doigts pincent un de ses larges mamelons.

— Ah, il… Des doigts… En moi… OOOOOH…

Brigitte tire doucement sur mon short et prend mon sexe dans sa main. Arrondissant ses doigts autour, elle va et vient doucement mais fermement.

— Hum, mes jambes… On a relevé mes jambes et on les tient… Ouvertes…

Elle me regarde, ouvrant ses yeux et ensuite sa bouche :

— Oh, je crois que… Ah…

Son corps s’est soudainement avancé vers moi et lentement il commence un va-et-vient saccadé.

— OOOOOH il… Il est en moi… Ah…

Elle ferme les yeux, tenant mon sexe encore plus fermement, au rythme des à-coups qui s’accélèrent. Elle halète, ses lèvres entrouvertes. Les soubresauts deviennent des secousses et ses va-et-vient vers moi de plus en plus amples.

— Ah chéri… Oh c’est bon…

Elle se caresse le visage sur mon sexe si tendu que je suis ballotté, frappé de sa joue rougie. Ses gémissements augmentent au fur et à mesure que l’invisible amant la pilonne de plus en plus fort. Elle est secouée, ses gros seins balançant d’avant en arrière sous mes yeux, et dans un martèlement devenant frénétique elle jouit violemment, au son d’un cri rauque et profond.

Le marteleur invisible s’arrête, comme s’il ne cherchait rien pour lui. Brigitte est encore dans sa bulle de plaisir quand elle se tend à nouveau.

— OOOOOH, il… Un autre va… Ah !

Son corps à peine remis se met alors à aller et venir de nouveau.

— Ah, chéri, il… OOOOOH… Il est bien plus gros que l’autre… Ah ! !

Je me penche et l’embrasse tandis qu’encore une fois son corps se met à aller et venir dans l’ouverture.

— Ah, Philippe, c’est bon… OOOOOH !

Le rythme est plus saccadé cette fois, et Brigitte lâche à chaque coup des « han » intenses. Elle halète de plus en plus jusqu’à ce qu’une fois encore un orgasme violent ne la terrasse.

Ses mains accrochées à ma taille, elle n’a même pas le temps de reprendre son souffle que les va-et-vient reprennent, un autre profitant de son intimité offerte là, de l’autre côté du mur.

J’ai arrêté de compter au quatrième changement, soutenant Brigitte qui semblait jouir non-stop, encore et encore.

Le temps est suspendu autour de nous, seuls désormais dans cette pièce. Après un dernier et profond orgasme, son corps s’est arrêté de bouger. Brigitte me regarde d’un air épuisé et en même temps souriant :

— Hum, c’était si intense… Merci mon amour.

— Mais de rien ma belle, te voir aussi comblée est un vrai plaisir.

— Hum… Tu ne perds rien pour attendre tu sais, je saurai me venger d’avoir osé soumettre ta femme à de tels délices.

On rit en s’embrassant et je l’aide à sortir de son carcan mural. On redescend vers la plage et, seuls à la paillote, on reprend des forces avec un grand verre de jus de fruits. Le soleil commence à descendre.

— On devrait peut-être chercher Dimitri et nos invités, non ? Me demande-t-elle.

— Ils finiront bien par réapparaître un jour, dis-je dans un rire taquin.

Brigitte rit aussi et on s’installe sur deux transats.

— Je t’aime, me dit-elle en regardant le jour disparaître. Tu crois qu’on sera toujours heureux comme ça ?

— Ça m’a l’air bien parti pour en tout cas.

Ses grands yeux plongent dans les miens. Oui, ça a l’air bien parti en effet.

FIN

Brigitte et Philippe

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